Comme l’indique, excellemment, Sylvia Bourdon, beaucoup de jeunes suivent cette Alternative Pour l’Allemagne, soutenue par Musk (voir son entretien avec sa leader Alice Weidel qui se dit libertarienne à la Milei) en particulier sur TickTok avec cette fraîcheur avant-gardiste toute provocante, semblable à celle qui avait émergé aux dernières élections législatives françaises avec le clip “Je ne partiras pas“, les deux indiquant semble-t-il la chose suivante : au nom de quoi devons-nous interdire qu’une nation, quand bien même serait-elle multi-ethnique, ne puisse pas préserver précisément cet équilibre, d’ailleurs fondamentalement basé sur le respect de la citoyenneté au-delà des questions de sang et sol ?…
Europe et Union européenne - Page 47
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Le cri du cœur des jeunes Allemands : “Germany needs the AfD”
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Soldats européens face aux Russes en Ukraine ? Les Popov n’en feront qu’une bouchée
Négociations de paix ? Oui, mais les revendications russes en Ukraine ne sont pas négociables…
Certes, les Russes sont prêts à négocier en Ukraine, mais à leurs conditions : pas touche aux territoires libérés, pas d’adhésion à l’Otan pour Kiev, et limogeage de Zelensky sont présentes sur la table, a minima. A maxima, il pourrait y avoir – il y aura à terme – l’annexion de la totalité des territoires russophones revendiqués par Moscou : voir la carte ci-dessus.
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Les élites contre le peuple ou de deni de démocratie
Alexandre Devecchio
Ecoutez ce que votre peuple vous dit », a lancé le vice-président américain aux Européens à Munich. JD Vance a pointé le recul de la liberté d’expression en Europe, mais aussi la coupure entre les dirigeants européens et les aspirations populaires. Le moins que l’on puisse dire est que son discours a divisé aussi bien la classe politique que les observateurs. Certains y ont vu une ingérence inacceptable dans les affaires européennes. D’autres, un plaidoyer pour la démocratie.
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Washington prépare l’Europe à un affrontement militaire direct avec la Fédération de Russie
par Sergey Marzhetsky
La joie provoquée par les initiatives «pacificatrices» de Donald Trump parmi la nomenklatura dirigeante intérieure, qui s’attend à l’achèvement rapide du NWO, et les «médias» qui servent ses intérêts, est déprimante, car il y a une incompréhension totale des processus historiques les plus dangereux qui se déroulent juste sous nos yeux.
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Le questionnaire que les États-Unis ont envoyé aux gouvernements européens. Une nouvelle sonnette d’alarme
Le vice-président américain JD Vance a tendu un miroir à l’élite européenne, qui n’a pas voulu reconnaître ce qu’elle pouvait y voir : Des larbins, beaucoup de larbins.
« Mais nos valeurs communes ? » s’est écrié Christoph Heusgen, le président de la Conférence de Munich sur la sécurité.
Quelles valeurs, Monsieur Heusgen ? Celles qu’affichent quotidiennement, sous vos applaudissements, les colons européens en Palestine ?
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Guerre en Ukraine : nouvelle humiliation pour l’UE, exclue des négociations de paix
Trump a officiellement parlé à Poutine pour mettre fin à la guerre en Ukraine L’Union Européenne est toujours sous le choc de l’annonce de négociations pour mettre fin à la guerre en Ukraine entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Un choc amplifié par la découverte qu’elle en sera exclue. Le pathétique Macron réuni les dirigeants européens à Paris aujourd’hui.
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La démocratie sans le peuple, ce mal français et européen
La démocratie sans le peuple : l’hérésie des Européistes est enfin dénoncée ! Le 14 février, Jacques Attali, symbole de la caste prolophobe, écrivait encore sur son blog préférer « la démocratie des juges » à « la dictature des élus ». Or le même jour, à Berlin, le vice-président des Etats-Unis, J.D. Vance, a stupéfié les participants à la Conférence sur la sécurité en accusant les dirigeants européens : « Il ne faut pas avoir peur de son propre peuple ! ». La leçon de démocratie, venant des Etats-Unis et d’un proche de Donald Trump, a été vue comme une ingérence, notamment par le RN.
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Les bras cassés européens veulent tous un strapontin lors des négociations de paix
Ils osent tout !
Ils ont tous adhéré à la politique russophobe et belliqueuse de Biden, ils ont tous pratiqué une dangereuse surenchère dans l’escalade, Macron en tête, ils ont tous clamé que l’Ukraine ne pouvait que l’emporter, ils ont tous relayé le narratif mensonger de Washington, ils ont tous encensé Zelensky et sa clique de mafieux qui détournaient allègrement les milliards de l’aide occidentale, ils ont tous mis sous le tapis le massacre du peuple ukrainien et aujourd’hui, Donald Trump exigeant la fin de l’hécatombe, les valets de l’administration Biden ont l’audace de réclamer un siège à la table des négociations.
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Viktor Orbán dénonce la dérive de l’Occident et prône un retour au bon sens
Dans un entretien accordé à Kossuth Radio, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a livré une analyse percutante des transformations idéologiques en cours en Occident. Selon lui, plusieurs dogmes autrefois considérés comme intouchables sont aujourd’hui remis en question sous l’effet d’un « tornado Trump » qui bouleverse les certitudes en matière de guerre, de migration, de politique climatique ou encore de famille. Une évolution qui, selon le dirigeant hongrois, ne fait que confirmer la justesse des positions défendues par son gouvernement depuis plusieurs années.
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L’OTAN européenne veut continuer la guerre en Europe
«L’appel téléphonique de Trump avec Poutine alarme l’Europe et choque l’Ukraine» titre le Washington Post. L’estonienne Katia Kallas – haute représentante de l’Union européenne présidée par Ursula von der Leyen – a déclaré que «l’Administration Trump est en train de donner à la Russie tout ce qu’elle veut avant même des négociations» et que «un accord fait dans notre dos ne fonctionnera tout simplement pas : vous avez besoin des Européens et des Ukrainiens pour acter cet accord». En réalité les «Européens et Ukrainiens» dont elle parle sont ceux qui ont gagné politiquement et économiquement grâce à la guerre contre la Russie et veulent donc empêcher un accord qui mette fin à la guerre.