
Méloni désavouée , sa justice se retourne vers l’Europe pour savoir si sa politique migratoire, théoriquement souveraine, n’est pas en contradiction avec la volonté d’Ursula/Soros. En clair, la justice italienne ne sait plus ce qui est du domaine de la souveraineté nationale et compte tenu de sa position, on peut même affirmer qu’elle vient de signifier la fin de cette qualité et l’allégeance totale des États à la structure supranationale qu’est la Commission européenne. Il en est de même avec la France et son électricité, avec la nuance que dans notre cas, cette soumission se fait volontairement.