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Entretien avec Kay Gottschalk, porte-parole du groupe parlementaire de l’AfD au Bundestag pour les questions financières. Vice-président du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
Nicolas Faure : L’Allemagne est en tête du peloton mondial en matière d’impôts et de charges sociales. Le SPD au pouvoir tente de financer sa politique en instaurant toujours plus de taxes. Une réforme fiscale de fond semble plus que nécessaire. Quelles mesures devraient être prises dans le cadre d’une telle réforme ?
L’Occident a toujours présenté la confrontation en Ukraine comme une «guerre sainte» pour la démocratie, même s’il est en réalité évident que la coalition poursuit, notamment, des objectifs plus pragmatiques et mercantiles. Une autre confirmation de cela est venue d’Europe.
Si l’élection de Trump doit changer quelque chose dans le comportement et l’attitude de nos personnages politiques, ce sera à l’insu de leur plein gré. On se doutait qu’il ne fallait rien en attendre directement, mais on pouvait, naïvement penser qu’un réveil salutaire allait frapper les volontés mollassonnes de ceux qui briguent le pouvoir. Un paramètre nous avait échappé, c’est justement ce détail. Ils réclament le pouvoir, mais pas pour gouverner, prendre des décisions. Ils le convoitent tous pour bénéficier des avantages de la situation et obéir. Aucune ambition nationale, ils ne savent et ne veulent que suivre des instructions qui leurs seront données par des instances supranationales. De toutes les réactions politiques qui a dit maintenant c’est : la France d’abord ?! Personne, même Marine Le Pen s’est alignée sur Macron pour regretter que l’Europe ne protège pas mieux les intérêts de la France !
La coalition tripartite au pouvoir en Allemagne, dirigée par le chancelier Olaf Scholz, est dans un désarroi complet après des mois de luttes intestines entre ses sociaux-démocrates de centre-gauche, les Verts axés sur le climat et les libres-démocrates pro-entreprises.
La Russie considère l’incursion de l’OTAN en Ukraine comme une menace existentielle, et l’OTAN a ouvertement déclaré son intention de faire de l’Ukraine un État membre après la guerre. Sans un règlement politique rétablissant la neutralité de l’Ukraine, la Russie annexera donc probablement les territoires stratégiques qu’elle ne veut pas voir sous le contrôle de l’OTAN, puis transformera ce qui reste de l’Ukraine en un État croupion dysfonctionnel. Alors que la guerre est en train d’être perdue, la politique rationnelle pour les Européens serait donc de proposer un accord basé sur la fin de l’expansion de l’OTAN vers l’est pour sauver des vies ukrainiennes, le territoire et la nation elle-même. Pourtant, aucun dirigeant européen n’a été en mesure de proposer publiquement une telle solution. Pourquoi ?
Il est heureux qu’il n’existe pas de prix Nobel pour la bêtise humaine, car il serait impossible de l’attribuer, tant les candidats seraient nombreux, à commencer par les gouvernants européens. La question de l’Ukraine (nous refusons de l’appeler invasion ou guerre, même si elle pourrait être les deux d’un point de vue technique) n’a rien à voir avec ce que les médias occidentaux — ou devrions-nous dire "accidentels" — répètent jusqu’à la nausée. La Russie ne cherche pas à annexer l’Ukraine; elle n’a pas non plus lancé une guerre de conquête ni, encore moins, agit par nostalgie d’un empire perdu. Il s’agit d’un conflit géopolitique au sens pur du terme. Géopolitique dans une perspective héritée du 19ème siècle, une lutte de pouvoir et d’intérêts, sans conflit idéologique ni opposition de systèmes, bien que les mercenaires et les naïfs habituels — qui, malheureusement, ne sont pas une espèce en voie de disparition — s’évertuent à le présenter sous toutes les couleurs possibles. Non, ce n’est rien de tout cela. C’est la vieille lutte entre le monde en devenir et celui qui refuse de mourir (comme disait le communiste Antonio Gramsci), provoquée par le refus de l’OTAN de cesser son expansion vers la Russie. Car telle, et non autre, est la raison de l’action militaire : assurer la sécurité de la Russie, ce que l’UE/OTAN a refusé, indiquant qu’elle persistait dans sa politique expansionniste.
La guerre en Ukraine a mis à nu de nombreuses faiblesses dans la capacité de l’Europe à se protéger, selon une étude élaborée par l’Institut international pour les études stratégiques.
L’Europe serait mal armée pour assurer sa propre sûreté, selon une étude d’un groupe de réflexion britannique parue vendredi, qui pointe le manque d’effectifs militaires et les capacités de défense insuffisantes des principales forces armées du continent.
Un article court vous est aujourd’hui donné à lire mais qui, en peu de mots, montre toute l’humanité d’un roi pour son peuple, toute la grandeur d’une belle âme pour les siens… tout ce que n’est pas un chef d’État issu du suffrage universel.
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par Françoise Michel
Dimanche 3 novembre dernier, le poste de télévision diffuse les images du Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, déclarant face à la foule qu’il « comprend la souffrance de ceux qui ont tout perdu » ; mais il ajoute immédiatement, prudemment, « que cela ne provoque pas de violences »… On apprendra un peu plus tard qu’il a eu peur de cette foule et qu’il a dû être exfiltré.
Chute de la coalition « feu tricolore » avec le chancelier Scholz à sa tête
Chaos en Allemagne : entre les politiques rouge-écolo des khmers verts du gouvernement, la guerre en Ukraine qui entraine un désastre économique, les diktats d’Ursula de l’UE, la coalition « feu tricolore » se délite. La chute d’Olaf Scholz, homme lige d’Ursula et de Washington, est annoncée.
L’Allemagne est au bord de la récession
L’Allemagne entre dans le chaos entre crise gouvernementale et croissance zéro. Le sort de la coalition dénommée « feu tricolore » ((la coalition est appelée « feu tricolore », en raison aux trois couleurs associées aux trois partis) composée des sociaux-démocrates, des Verts et des libéraux ne tient plus après des mois de disputes sur l’économie et le budget. L’Allemagne est au bord de la récession, et la situation ne fait que s’aggraver, en grande partie à cause des politiques rouge-écolo des khmers verts du gouvernement, de la guerre en Ukraine qui entraine un désastre économique, et des diktats d’Ursula de l’UE.