Europe et Union européenne - Page 511
-
LOI SUR LE COPYRIGHT - EURODÉPUTÉS INCONSCIENTS (ou idiots) ?
-
Thomas Ferrier: "Pourquoi faut-il sauver l'Europe ?"
Conférence Suavelos Thomas Ferrier:
"Pourquoi faut-il sauver l'Europe ?" Octobre 2018
-
Hongrie : soutien aux familles, pas à l’immigration
Katalin Novák, secrétaire d’Etat à la Famille au sein du « ministère des capacités humaines », a dévoilé le nouveau questionnaire de Consultation Nationale qui va être envoyé aux foyers hongrois. Le titre : « Défense de la famille ». Chaque question est précédée d’un bref argumentaire donnant la position du gouvernement.
La première des dix questions a immédiatement suscité la colère de Bruxelles :
« Etes-vous d’accord qu’on ne doit pas remédier au déclin de la population par l’immigration, mais par un soutien accru aux familles ? »
L’argumentaire souligne que « les bureaucrates de Bruxelles » veulent résoudre le problème du déclin démographique par l’immigration, un « mécanisme permanent d’installation » et une « Agence européenne d’immigration ».
Parmi les autres questions :
- la maternité doit-elle être reconnue comme un emploi à plein temps pour les femmes élevant au moins quatre enfants,
- le droit de l’enfant à un père et à une mère doit-il être inscrit dans la Constitution,
- les jeunes qui fondent une famille, et les membres de la famille qui s’occupent de leur enfant malade, doivent-ils être davantage soutenus,
- la protection du développement intellectuel et physique des enfants est-elle une valeur que l’État doit défendre.
L’argumentaire de la dixième question dénonce les coupes du soutien aux familles par la coalition socialiste-libérale de 2002 et la question demande s’il faut garantir une « protection des deux tiers », à savoir inscrire dans la Constitution le soutien aux familles.
https://www.lesalonbeige.fr/hongrie-soutien-aux-familles-pas-a-limmigration/
Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, social 0 commentaire -
Éric Zemmour : “Salvini n’est pas Mussolini. Orban n’est pas Hitler”
Dans une interview donnée au journal Ouest-France, publiée mercredi 31 octobre, le président de la République s’est dit frappé par la ressemblance “entre le moment que nous vivons et celui de l’entre-deux-guerres”.
“Quand j’ai entendu ça, j’ai hésité entre deux réactions : d’abord, le côté dubitatif devant un coup tactique, que je voyais venir gros comme une maison, et en même temps, l’effarement devant tant d’ignorance“, explique Éric Zemmour.
“Il n’y a pas les méchants et il n’y a pas les gentils“, martèle Éric Zemmour.
Salvini n’est pas Mussolini. Orban n’est pas Hitler. On sait très bien ce que veut viser Macron. C’est faux. Ils sont élus démocratiquement. Hitler a fait 30% aux élections de 1932. Si la gauche s’était alliée, Hitler n’aurait pas été appelé chancelier par le président Hindenbourg. Mussolini non plus. Staline encore moins. Je ne vois pas la comparaison. Il y a d’autres problèmes, qui peuvent se référer à d’autres situations historiques mais pas aux années 30.
https://fr.novopress.info/212489/eric-zemmour-salvini-nest-pas-mussolini-orban-nest-pas-hitler/
-
L’Europe de Macron n’est pas celle de la paix, mais celle de la guerre qui vient
Emmanuel Macron veut faire campagne sur une intox :
L’Europe ou le « populisme » ! L’Europe ou la guerre. Voilà la cage dans laquelle Macron souhaite enfermer le débat de ces prochains mois. La méthode n’est pas de lui. Elle a l’âge de la construction européenne. Robert Schuman, un de ses « pères », déclarait alors : « Nous avons eu la guerre car nous n’avions pas fait l’Europe. » Quelques décennies plus tard, François Mitterrand ne disait pas autre chose que le jeune Macron ou le vieux Schuman lorsqu’il accusait les « nationalismes » de porter la guerre comme la nuée porte l’orage.
Pourtant, à bien y réfléchir, rien n’est plus faux que ces axiomes de bazar intellectuel. Ce n’est pas l’Europe et sa « construction » qui ont chassé la guerre, ce sont les guerres civiles européennes qui, ayant épuisé biologiquement l’Europe, l’ont amenée à être incapable d’en mener d’autres. Ce n’est pas l’Union européenne qui a permis que le continent vive en paix mais, dans un premier temps, l’équilibre entre la force américaine et la force soviétique, puis la sujétion de l’Europe à la pax americana. On peut s’en féliciter ou le déplorer, mais tels sont les faits.
Autre point fondamental : de quelle Europe parle Emmanuel Macron ? Dans son discours de la Sorbonne du 27 septembre 2017, il le dit clairement : « L’Europe est une idée. » Laquelle ? Celle d’un « équilibre de valeur, (d’un) rapport à la liberté, aux Droits de l’Homme, à la justice (qui) est inédit sur la planète. (Un) attachement à une économie de marché et à la justice sociale. » Il s’agit donc d’une conception clairement de gauche qui vient de loin, au moins du XVIIIe siècle. Les « populistes », quant à eux, voient et entendent défendre des choses concrètes, construites, définissables, bref, des déterminismes.
A ces réalités, Emmanuel Macron, comme la gauche, oppose « une idée », c’est-à-dire la capacité à masquer le réel et à inverser le rapport des êtres avec celui-ci. La question identitaire en est la première victime. Fonder l’Europe sur une « idée », celle de la prospérité grâce à un grand marché mondial, c’est méconnaître les fondements de la vie des nations et des hommes, c’est, refusant le réel, livrer les Européens pieds et poings liés aux appétits des peuples du sud ou d’Orient.
L’Europe de Macron n’est donc pas celle de la paix, mais celle de la guerre qui vient et dont les tensions ethniques actuelles ne sont que les premières secousses. L’Europe de Macron est l’exact contraire de ce qu’a été l’Europe en 40 000 ans d’histoire. Cette Europe macronienne se caractérise par son refus de l’élan vital, par sa perte de substance biologique. C’est une Europe du grand suicide. Voilà donc l’enjeu de l’élection de mai 2019. Savoir quelle conception de l’Europe va (temporairement) gagner. Celle du réel, celle des peuples, ou bien celle du mondialisme affairiste et de l’utopie de gauche ?
-
Viols à Huddersfield : après l’omerta, le silence des médias imposé par la justice
Connaissez-vous Huddersfield ? Cette ville du nord de l’Angleterre fait plus parler d’elle par les résultats de son club de football que par des viols en série qui y ont eu lieu. Pourtant, l’affaire en question a défrayé la chronique outre-Manche. Tant en raison des faits eux-mêmes que de la censure qui a été exercée sur les médias.
À Huddersfield comme ailleurs
Ce qui s’est passé à Huddersfield n’est pas un cas isolé en Grande Bretagne. Comme le rappelle la chaine publique anglaise de radio-télévision BBC, les villes de Rotherham, Oxford, Rochdale, Derby, Banbury, Telford, Peterborough, Aylesbury, Bristol, Halifax, Keighley et Newcastle ont été le théâtre de viols en série. Les caractéristiques en sont communes : les victimes sont très majoritairement des jeunes femmes blanches de milieu populaire, les agresseurs sont des « asiatiques », terme utilisé en Grande Bretagne pour désigner des Pakistanais. La particularité des événements qui ont eu lieu à Huddersfield tient au fait que l’omerta, la loi du silence, a été imposée aux médias par décision de justice pendant le procès des agresseurs.
Dans des affaires similaires, de nombreux obstacles ont contribué à différer la révélation des faits. Valeurs actuelles présente ainsi en mars 2018 quelques éléments de l’enquête menée par le journal The Mirror concernant des viols de jeunes femmes blanches. Il en ressort en particulier à Telford et Rotherham que « les autorités locales étaient au courant, des médecins, des policiers, des assistantes sociales ainsi que des professeurs également. Et personne pour agir ou réagir. Pire encore, les journalistes précisent que certaines autorités « ont tenté d’entraver notre enquête ». Le journal anglais évalue à un millier le nombre de jeunes femmes victimes d’agressions sexuelles, sur une durée de …40 ans. La loi du silence a ainsi non seulement différé la révélation des faits, mais a également permis que les agressions se perpétuent et se multiplient.
Les faits à Huddersfield
L’Examiner nous informait en mars 2017 que l’enquête à Huddersfield a commencé à la fin de l’année 2013 quand une mère a accompagné sa fille à un commissariat de Police pour dénoncer les abus sexuels dont elle a été victime. A la suite de l’enquête de la Police, pas moins de 31 personnes ont selon l’Independant été inculpées pour viols et abus sexuels. Les trois procès qui ont été organisés à partir de la fin de l’année 2017 auront permis d’établir l’abus et le viol de 15 jeunes femmes entre 2005 et 2012, dont la plus jeune était âgée de 11 ans au moment des faits. Les agresseurs identifiés et condamnés sont au final au nombre de 20.
Loi du silence
À partir de novembre 2017, les autorités judiciaires ont interdit toute couverture par les médias du procès des violeurs présumés, afin d’« éviter tout préjudice et de protéger les auditions présentes et à venir », nous apprend le site de la BBC. Cette mesure, peu courante, a été prise en vertu d’une Loi adoptée en 1981 (« Contempt of Court Act »). Elle a fait l’objet de nombreuses critiques outre-Manche.
Bravant le black-out imposé aux médias, le leader de l’English Defence League a diffusé une vidéo en direct de l’extérieur du tribunal sur un compte Facebook, ce qui lui vaudra d’être incarcéré, incarcération elle-même sous le coup d’une censure imposée aux mêmes médias par la justice anglaise. Le site de Breitbart Europe nous apprend qu’il aura fallu qu’un groupe de médias anglais mène une action judiciaire pour que la censure soit enfin levée.
150 viols moins importants qu’une main sur un genouCe n’est que le 19 octobre 2018 que le juge Guy Kearl a selon The Independent autorisé les médias à évoquer l’affaire. Ce qui leur a permis de divulguer non seulement les identités des personnes condamnées, le quantum des peines, mais également le nombre d’agressions, 150, le nombre de victimes, 15, et le total des peines de prisons, 220 ans.
Ce qui ressort de cette affaire, c’est que la censure des médias anglais révèle une fois de plus l’incapacité d’une frange de la société anglaise à évoquer le moindre fait qui puisse ternir le multiculturalisme, qui est un véritable dogme en Grande Bretagne comme sur le continent. Les autorités ont ainsi été tétanisées à l’idée de mentionner des facteurs culturels – le patriarcat, la faible considération de femmes blanches – ayant favorisé les agressions. Le site d’information en ligne Spiked souligne que la main qu’un secrétaire d’État anglais a posée sur le genou de Kate Melby, une jeune femme issue de la classe moyenne, a causé plus d’émoi dans l’opinion publique que l’abus sexuel de jeunes femmes de la classe ouvrière par des hommes d’origine pakistanaise.
Selon l’éditorialiste de Spiked, le verdict confirme l’incapacité de la classe politique anglaise à se confronter au problème des gangs d’origine pakistanaise. A la censure des médias mise en place lors du procès des violeurs, s’ajoutent certaines réactions révélatrices : le secrétaire d’État à l’Intérieur a été vertement critiqué pour avoir mentionné l’origine des violeurs. On peut citer également une parlementaire travailliste écartée du « cabinet fantôme » de son parti pour avoir écrit un article dans le journal The Sun sur le problème des gangs d’hommes d’origine pakistanaise. Dans les articles des journaux comme dans l’expression publique, la liberté d’expression a ses limites.
Article paru sur le site OJIM daté du 5 novembre 2018
-
Européennes 2019 : Macron en marche arrière
La question n’était pas « si » mais « quand ». Nous y sommes : le sondage de La Lettre de l’Expansion rendue publique via tweeter aujourd’hui montre pour la première fois le Rassemblement National passer devant LREM dans les intentions de votes.
Extrême gauche : 15 %
– Lutte Ouvrière / Nouveau Parti Anticapitaliste : 2 %
– Parti communiste « français » : 2 %
– France Insoumise : 11 %
Gauche : 17 %
– Génération.s : 2,5 %
– Parti socialiste : 7,5 %
– Les Verts : 7 %
Centre : 22 %
– La République En Marche : 19 %
– Agir : 3 %
Droite : 13 %
– Les Républicains : 13 %
Droite eurosceptique : 29 %
– Debout la France : 7 %
– Les Patriotes : 1 %
– Rassemblement National : 21 %
Divers : 4 %
– Union Populaire Républicaine : 1 %
– Autres candidats : 3 %
Tendance :
– A la hausse : Parti socialiste, Agir, Debout la France, Rassemblement National, Union Populaire Républicaine
– Stable : Lutte Ouvrière / Nouveau Parti Anticapitaliste, Parti communiste « français », Les Patriotes
– A la baisse : France Insoumise, Génération.s, Les Verts, La République En Marche, Les Républicains.
Hristo XIEP
https://www.medias-presse.info/europeennes-2019-macron-en-marche-arriere/100497/
-
Petite médiocrité cathophobe de l’UE contre l’Italie
La justice européenne a enjoint mardi l’Etat italien de recouvrer la taxe municipale sur les biens immobiliers due par l’Eglise pour ses immeubles utilisés pour l’enseignement et l’hébergement.
Les juges de la Cour de Justice de l’Union européenne (dépendante de l’UE) ont jugé recevable un recours formé par l’établissement d’enseignement privé Montessori et le propriétaire d’un bed and breakfast contre l’exonération accordée à l’Eglise et ont annulé une décision de la Commission européenne considérant “impossible” le recouvrement des taxes dues par l’Eglise.
Les sommes en jeu sont évaluées à plusieurs milliards d’euros.
La Commission européenne avait jugé en décembre 2012 que l’exonération de l’ICI, la taxe municipale sur les biens immobiliers, accordée par l’Etat aux institutions religieuses pour des activités scolaires ou l’hébergement dans les immeubles leur appartenant constituait une aide d’Etat illégale. L’exécutif n’avait pas ordonné la récupération de cette taxe, jugeant l’entreprise impossible.
Les juges ont désavoué la Commission européenne.
https://www.lesalonbeige.fr/petite-mediocrite-cathophobe-de-lue-contre-litalie/
-
Élections Européennes : Le Rassemblement national en tête d’un sondage
Le dimanche 4 novembre un sondage IFOP indique que le parti de Marine Le Pen est en tête des intentions de vote pour les élections de mai.
Le Rassemblement national recueille 21% des estimations (soit 4 point de plus par rapport à la précédente enquête) et devance La République en marche avec 19%.
De leurs cotés, Les Républicains et La France insoumise perdent du terrain. Cependant, le parti de Nicolas Dupont-Aignan Debout la France marque une progression, s’élevant dans les sondages à 7%. N’en déplaise aux autorités, le Rassemblement national est bien parti pour arriver en tête des élections européennes en France.
-
Jours décisifs
Le chef de l'État français accomplit en ce moment, dans l’est et le nord du pays. Il appelle ce parcours, de façon fort maladroite, son itinérance mémorielle. Il entend ainsi célébrer le centenaire de l'armistice de 1918. Ses galanteries et ses pédanteries ne manqueront pas d'aggraver la chute de sa popularité. Elles alimentent de façon constante un contexte d’irritation profonde des Français face aux érosions de leur pouvoir d'achat, en relation notamment avec le prix monstrueusement surtaxé de l'essence.
À l'échelle du monde, ces jours-ci revêtent pourtant une importance décisive. Une force politique, plus intelligente que la petite camarilla précieuse et technocratique de l’Élysée, pourrait en tirer parti. Reste à savoir, certes, où se situe une telle hypothèse, certainement pas du côté de Mélenchon. Pas sûr qu'elle existe dès maintenant dans le paysage visible de l'État central jacobin.
Ainsi, pour le 5 novembre était annoncée la reprise des sanctions américaines contre l'Iran. L’effet prévisible sur le cours du pétrole brut se présente de manière contre intuitive. Le prix au 5 novembre de la qualité brent qui fait référence se situe à 72,86 dollars le baril, en relatif recul par rapport à son niveau record de 86 dollars. Les anticipations sur le retrait de l'offre iranienne ont été faites et l'on s'attend plutôt maintenant à une surproduction et à des baisses de prix pour 2019.
Le même jour on prenait connaissance à Londres d'un sondage très significatif quant au retournement de l'opinion britannique sur le Brexit et on pense qu'un nouveau référendum donnerait 54 % pour le maintien dans l'Union européenne contre 52 % ayant voté la sortie le 23 juin 2016. Au moment où les négociations de sortie prennent un tour décisif cette évolution sensible de l'opinion outre-Manche risque d'entraver les prises de décision elles-mêmes, dans un contexte d'affaiblissement du gouvernement et de la majorité de Mrs May.
Enfin ce 6 novembre se déroulent les élections américaines de mi-mandat. On ne connaîtra leur résultat qu’avec un certain décalage mais chacun s’accorde à y voir une forme de plébiscite pour ou contre Trump. L'occupant actuel de la Maison Blanche n'a pas hésité à s'investir personnellement et entièrement dans la campagne du parti républicain.
D’étranges maîtres à ne pas penser nous étaient imposés dans notre jeunesse. Il s'agissait alors aussi bien d'un philosophe putride comme Jean-Paul Sartre que d'un politologue spécieux comme Maurice Duverger. Ce dernier se comportait comme un véritable envahisseur des colonnes du quotidien de référence Le Monde.
Ces gens ont formaté des générations conformistes, plus anesthésiantes encore pour le pays, que les soixante huitards proprement dits, parfois pertinents en dépit de leur imposture intrinsèque. Il en est résulté une vision entièrement fausse de la politique américaine. Or, il se trouve que celle-ci pèse très fort sur l’ensemble des orientations de l'Europe institutionnelle.
En particulier, nos désinformateurs se sont toujours employés à nier la distinction très forte entre républicains et démocrates, conservateurs et "libéraux", ce dernier terme désignant aux États-Unis les gens de gauche. Et lorsqu'un personnage haut en couleur comme Trump, homme d'affaires américain typique, accentue ce clivage on nous le présente comme un accident de parcours, entièrement hors normes, appelé à se trouver rapidement balayé. Or, sur plus de 200 décisions importantes de son gouvernement[1], beaucoup resteront quoiqu'il advienne. L'extrapolation faussée des médias parisiens, tous acquis au parti démocrate, les conduit à l'aveuglement de l'opinion, y compris celle qui se croit éclairée.
Ces nouveaux aveuglements de la classe médiatico-politique renversent l'image du tableau de Brueghel qui date certes de 1568. Autant dire l'ancien monde : dans le nouveau monde macronien, 450 ans plus pard, les aveugles guident les paralytiques. On n'arrête pas le progrès.
JG Malliarakis
Pour soutenir L'Insolent et souscrire un abonnement payant cliquer sur ce lien.
Apostilles
[1] Le mot américain "administration" est ce qu'on appelle un faux ami. Il désigne le gouvernement.