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Europe et Union européenne - Page 595

  • PARTOUT, ANGELA MERKEL EN CAMPAGNE ÉLECTORALE EST HUÉE ET SIFFLÉE !

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    Des opposants à la politique de la chancelière la huent et la sifflent, tout en tenant en main des panneaux portant des slogans contestant sa politique.

    La chancelière allemande chrétienne-démocrate Angela Merkel, quasi assurée malgré une chute de popularité de rester aux commandes du pays à l’issue des élections législatives du dimanche 24 septembre 2017, est en tournée électorale. Elle tient, au fil des jours, des meetings à différents endroits. Cette promenade ne se déroule cependant pas sous les meilleurs auspices. En effet, des opposants à la politique de la chancelière la huent et la sifflent, tout en tenant en main des panneaux portant des slogans contestant sa politique.

    Que ce soit à Bitterfeld-Wolfen, à Brandenbourg-sur-la-Havel, à Ludwigshafen ou à Erlangen, les opposants sont au rendez-vous et se font entendre.

    Ce mercredi 30 août, Angela Merkel débarquait, en fin de journée, à Ludwigshafen, la deuxième ville la plus peuplée de la Rhénanie-Palatinat. Au sein de cette cité de 160.000 habitants se trouve le siège originel et principal du géant de la chimie BASF. Pourtant, le centre-ville a fortement changé au cours des dernières années. Les commerces de pitas turcs, les magasins de produits à bon marché, les agences de paris sportifs et les bars à chicha y sont de plus en plus nombreux. Dans le centre piétonnier de la cité, le peuple allemand originel est devenu minoritaire.

    Le rassemblement électoral organisé par le parti d’Angela Merkel, la CDU, avait pour objet de permettre à la chef du gouvernement de tenir un discours durant trente minutes. À 17 h pile, celle-ci est apparue devant le public, sous haute protection policière. Immédiatement, les sifflements ont retenti et se sont prolongés durant une grande partie du discours. La chancelière a été copieusement huée.

    Les spectateurs étaient composés, pour un quart, de membres du parti, protégés par la police et des barrières. Derrière ceux-ci figuraient les autres personnes appartenant au public. Un quart étant venu pour écouter l’exposé, un autre quart étant composé de musulmans, certains d’entre eux applaudissant frénétiquement des paroles du discours et, le quart restant, d’opposants pour la plupart proches du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD).

    Les phrases creuses de la chancelière, telles que « Pour un pays au sein duquel nous vivons bien et volontiers » et « La CDU veut expulser immédiatement les criminels étrangers », n’ont pas pu, malgré l’installation audio mise en place par le parti, être plus audibles que les huées et sifflets des opposants.

    Les applaudissements des membres de la CDU ou des musulmans, parmi lesquels figuraient des femmes en tchador ou portant des voiles, n’ont pas pu non plus couvrir, par leurs applaudissements, les sifflets et les huées visant la politique d’asile pratiquée par la chancelière.

    Celle-ci a ensuite quitté les lieux par un passage situé derrière la scène, sans se mêler au public. Seule la présidente de la CDU de Rhénanie-Palatinat, Julia Klöckner, a osé sortir de la zone protégée derrière les barrières afin de se mêler aux électeurs.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • "La Pologne est et restera fidèle à son héritage chrétien"

    Dans le dernier numéro de La Nef, Yves Daoudal évoque la Pologne (article en accès libre) :

    6a00d83451619c69e201bb09beed42970d-250wi.jpg"[...] On ne comprend rien à la Pologne si l’on ne prend pas la mesure du « fait religieux ». Et si l’on ne prend pas la mesure du patriotisme irrigué par la foi. La Pologne avait été un grand pays d’Europe, et elle avait disparu de la carte politique pendant plus d’un siècle. C’est le clergé qui était le mieux à même de maintenir la flamme polonaise. Et quand la Pologne ressuscita, notamment par les efforts du grand pianiste Paderewski (cela aussi, c’est polonais…) elle fut bientôt soumise au joug soviétique, et c’est encore le clergé qui maintint la flamme. Cela culmina avec la célébration du millénaire du baptême de la Pologne, en 1966. Le pouvoir communiste avait lui aussi organisé des célébrations, et tout tenté pour réduire celles de l’Église. Peine perdue. Au milieu des innombrables manifestations, il apparut de façon spectaculaire que la personne qui représentait véritablement la nation polonaise était le primat de Pologne, le cardinal Wyszynski. D’ailleurs on ne le désigna plus, à partir de ce moment-là, que sous le titre de « Primat du Millénaire ».

    L’an 2016, c’était le 1050e anniversaire du baptême de la Pologne : l’occasion de parfaire, en quelque sorte, la célébration de 1966, en montrant, cette fois, l’union catholique de la nation polonaise, comme une sorte de revanche de l’histoire, en hommage au primat du millénaire. Cela fut facilité par le fait qu’en octobre 2015 les élections législatives avaient porté au pouvoir le PiS, le parti Droit et Justice qui, au fil du temps, est devenu le grand parti de droite, absorbant la plupart des mouvements patriotes catholiques (il ne reste que Droite de la République, de Marek Jurek, mais qui est électoralement associé au PiS). Élections qui, d’autre part, voyaient la disparition complète des députés de gauche… La seule grande formation d’opposition est la Plate-forme civique (PO), parti libéral qui, chez nous, serait qualifié de droite. Parti dont le chef était Donald Tusk, aujourd’hui président du Conseil européen...

    Du 14 au 16 avril 2016, la présidence, le gouvernement et l’Église ont ainsi organisé conjointement trois jours de célébrations. Au programme, une assemblée plénière de l’épiscopat polonais, une grand-messe solennelle dans la cathédrale de Gniezno, lieu du baptême du roi Mieszko, premier évêché de Pologne et toujours siège primatial, et à Poznan, la ville la plus proche, une session extraordinaire du Parlement polonais, avec le gouvernement, un légat apostolique, le nonce apostolique, le primat et les évêques, de nombreux prêtres, des représentants de Parlements étrangers, des ambassadeurs…

    Le président de la République, Andrzej Duda, prononça un discours qui, chez nous, serait tout simplement impensable. En voici les premiers mots :

    « Le baptême de Mieszko Ier est l'événement le plus important de toute l'histoire de l'État polonais et de la nation polonaise. Je ne dis pas : ce fut, je dis : c’est, car la décision prise par notre premier souverain historique a prédéterminé tout l'avenir de notre pays. Notre héritage chrétien continue de façonner les destinées de la Pologne et de chacun d'entre nous, nous le peuple polonais, jusqu'à ce jour. C’est ce que saint Jean-Paul II avait en tête quand il a observé : “Sans le Christ, on ne peut pas comprendre l'histoire de la Pologne.” »

    Il rappelait ensuite longuement les célébrations du millénaire et le rôle joué par le cardinal Wyszynski, puis il détaillait « les trois piliers de la civilisation chrétienne » : la philosophie grecque, le droit romain, le noyau de la pensée chrétienne : le Décalogue et l’Évangile, qui sont « devenus les piliers de l’identité et de la culture polonaises ». Ayant évoqué les épreuves que la Pologne a connues au cours des siècles, et les dernières d’entre elles, le nazisme puis le communisme, ainsi que les défis de notre temps, il concluait, après une citation de Jean-Paul II :

    « Voilà pourquoi, pour rendre hommage à nos prédécesseurs prévoyants d'il y a 1050 ans, je voudrais dire catégoriquement aujourd'hui que, conformément aux instructions de notre grand compatriote, la Pologne est et restera fidèle à son héritage chrétien. Car c’est dans cet héritage que nous avons une base solide et éprouvée pour l'avenir. »

    [...] Le 1050e anniversaire du baptême de la Pologne eut comme point d’orgue le 19 novembre l’« acte de réception de Jésus-Christ comme Roi et Seigneur », au sanctuaire de la Divine Miséricorde, près de Cracovie, par les évêques, le président de la République et des membres du gouvernement et du Parlement, en présence de dizaines de milliers de personnes, au cours d’une grand-messe. [...] Dans une lettre pastorale, les évêques ont expliqué qu’« il n’est pas nécessaire d’introniser le Christ au sens de le placer sur un trône et de lui donner le pouvoir ou de le proclamer. En effet, Il est le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs pour toujours ». Cependant, aujourd’hui « nous assistons à une tendance croissante de laisser Dieu en marge de la vie, ou même de s’éloigner de Dieu », ce qui Le prive du culte qui Lui est dû. Par conséquent « il est urgent d’introniser le Christ dans le cœur des fidèles, en ranimant la foi vivante et la vie de foi ». Dans son homélie, le cardinal Dziwisz, archevêque de Cracovie (et ancien secrétaire de Jean-Paul II), a déclaré : « Nous invitons Jésus dans nos cœurs, nos familles, nos communautés, notre environnement, et dans tout ce qui constitue la Pologne. » Ajoutant que personne ne devrait avoir peur de proclamer cela. Et Mgr Czaja, le président des comités pour l’intronisation, a ajouté : « Il est nécessaire de respecter clairement la loi de Dieu, afin que la loi de l'homme ne prime pas sur elle. » Les évêques proclamèrent l’Acte de réception de Jésus-Christ comme Roi et Seigneur, acte qui dès le lendemain, dimanche, fut également proclamé dans toutes les paroisses du pays. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Propagande de l'UE pour soutenir l'adhésion de la Serbie et du Kosovo

    Lu ici :

    "Bruxelles a décidé d'allouer plus de deux millions d'euros pour une campagne d'information en Serbie et au Kosovo, qui aura pour but de sensibiliser la population à l'intégration au sein de l'UE, selon une information exclusive de RT.

    [...] Le projet prévoit une variété d'activités axées sur l'information et la communication : la publication d'articles dans les langues des deux pays sur internet et les réseaux sociaux, l'organisation d'événements publics de divertissement et de journées thématiques pour les citoyens, ainsi que la production de produits dérivés faisant la promotion de l'intégration européenne. [...]

    Interrogé par RT en russe, le politologue russe Vladimir Bruther estime qu'en finançant une telle campagne d'information, l'UE tente en réalité de résoudre un problème crucial, celui du statut du Kosovo. Depuis 2008, une trentaine de pays ne reconnaissent pas l'indépendance de cet Etat, dont la Serbie et la Russie pour qui le Kosovo reste partie intégrante de l'Etat serbe."

    Michel Janva

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  • Cent fois sur l’occupation, remettez votre évacuation !

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    La chronique de Philippe Randa

    Ils sont (re)venus/Ils sont tous là /Avec des demandes d’asiles plein les bras…

    Où ? Porte de la Chapelle, à Paris, en ce mois d’août, bien sûr ! 2 500 migrants s’étaient réinstallés pour le plus grand déplaisir des riverains jusqu’à leur évacuation, par 350 policiers à la veille du week-end : « 2 376 hommes, 60 femmes, et 23 mineurs », a précisé Didier Leschi, directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII).

    Cent fois sur l’occupation, remettez votre évacuation ! dirait un Nicolas Boileau contemporain.

    Un peu de toutes les nationalités, comme d’habitude : de l’Afghans, du Soudanais, du Somalien et de l’Érythréen « dont la plupart, clandestins, ne sont même pas éligibles au droit d’asile », tempête Philippe Goujon, qui en a hérité de 450 dans le XVe arrondissement, pour la plus grande joie de ses administrés, on n’en doute pas.

    « C’est la troisième fois qu’un gymnase du 15e est choisi, sans que j’en sois informé, pour être transformé en campement de migrants », ajoute-t-il, taclant au passage le nouveau locataire de l’Élysée : « Je regrette que le nouveau président de la République suive la même politique d’absence de maîtrise de l’immigration que son prédécesseur… »

    Regrette-t-il désormais d’avoir repris, dans l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle, le communiqué de presse des Républicains mentionnant que « l’abstention ne peut être un choix » et qu’il fallait faire barrage à Marine Le Pen ?

    Sans doute pas, un élu Les Républicains, ça ne regrette jamais rien… C’est même à ça qu’on les reconnaît !

    Source EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’ENTRÉE DE TERRORISTES ISLAMISTES PARMI LES « MIGRANTS » SE CONFIRME

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    Il n’est plus possible – aujourd’hui – d’avoir une politique migratoire qui ne tienne pas compte de la sécurité des Français.

    Salah Abdeslam, survivant du commando ayant commis les attentats du 13 novembre 2015 et qui croupit en prison à Fleury-Mérogis, aurait convoyé, en 2015, treize terroristes, formés par l’État islamique, depuis la Hongrie, nous apprend, le 14 août, le journal hongrois Magyar Idök. Ce fut, notamment, le cas pour trois membres du commando du Bataclan – Ismaël Omar Mostefaï, Foued Mohamed-Aggad et Samy Amimour -, récupérés par Abdeslam, le 17 septembre 2015. Ils s’étaient infiltrés dans la zone Schengen par la frontière entre la Hongrie et la Serbie, dissimulés parmi les flots de migrants.

    Comble de l’ineptie, Salah Abdeslam aurait même profité de l’assistance involontaire des nombreux bénévoles qui venaient en aide aux migrants à Budapest ! Il a même séjourné, à deux reprises, dans l’appartement du membre d’une organisation humanitaire. Pour compléter le tableau, il faut se souvenir qu’un Irakien, Ammar Ramadan Mansour Mohamad al Sabaawi, l’un des terroristes du Stade de France, avait aussi pris la route des Balkans. L’un de ses frères, Ahmad, inquiète toujours les services de renseignement qui estiment plausible qu’il ait aussi gagné l’Europe en vue d’y conduire des attaques.

    Le premier enseignement de cette information, c’est que nous avons la preuve que d’autres terroristes que ceux du Bataclan se sont mêlés et se mêlent encore sans doute aux « migrants », malgré tout ce que peuvent dire les thuriféraires des bienfaits liés à l’immigration massive, en premier lieu notre Président, Emmanuel Macron. Et nous continuons à faire fi de cette situation, quitte à dégrader le niveau de sécurité des Français. Souvenons-nous, aussi, que la branche libyenne de l’État islamique avait menacé, dès février 2015, d’envoyer 500.000 migrants sur les côtes italiennes afin de créer un désastre humanitaire si se précisait une intervention militaire internationale en Libye. 

    Combien sont rentrés par la Libye ? Je crois que personne ne le sait vraiment, pas même Europol qui annonçait, en 2016, de manière intempestive entre 3.000 et 5.000 terroristes infiltrés en Europe. Mais ce qui est sûr, c’est que l’État islamique revendique toujours ce qu’il fait. Si le flot d’immigration par la Libye a diminué actuellement grâce à l’action des gardes-côtes libyens, la situation d’insécurité qui y règne ne garantit absolument pas l’avenir. Circonstance aggravante : une nouvelle voie d’immigration par le Maroc semble s’ouvrir.

    Le second enseignement, c’est qu’après les attentats du 13 novembre 2015, nous sommes toujours incapables de remettre en cause le dysfonctionnement des accords de Schengen sur le contrôle des frontières extérieures de l’Union européenne et de reprendre le contrôle de nos propres frontières, alors que le Belge Abdelhamid Abaaoud – la tête du réseau des attentats du 13 novembre 2015 – s’était confié à une de ses proches en indiquant que la France était une vraie passoire et qu’il avait lui-même introduit quatre-vingt-dix terroristes !

    Le troisième enseignement, c’est que nous ne tenons pas compte des deux premiers enseignements et restons béats devant ce flot continu de migrants. Macron a un amour immodéré pour l’immigration qu’il veut mieux accueillir, particulièrement la migration algérienne qu’il veut accélérer.

    Les centres d’identification (hubs) au Niger, au Tchad et en Libye proposés par notre Président ne sont que des leurres et ne fonctionneront pas car ils seront fuis par les nouveaux migrants transitant par ces pays. D’ailleurs, les chefs d’État africains lui ont dit, lundi, que seul l’argent consacré au développement pouvait inverser la tendance ! Une fin de non-recevoir polie. Il n’est plus possible, aujourd’hui, d’avoir une politique migratoire qui ne tienne pas compte de la sécurité des Français.

    http://www.bvoltaire.fr/lentree-de-terroristes-islamistes-parmi-migrants-se-confirme/

  • Travailleurs détachés : le plombier polonais se rebiffe

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LAXISME DE LA JUSTICE ALLEMANDE FACE AUX VIOLS COMMIS PAR LES MIGRANTS

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    La justice accorde des circonstances atténuantes aux agresseurs qui se voient frappés de peines très légères.

    Alors que les agressions sexuelles perpétrées par les migrants sur les Allemandes se poursuivent, la justice accorde des circonstances atténuantes aux agresseurs, qui se voient frappés de peines très légères.

    Un individu de nationalité gambienne, entré illégalement en Allemagne en 2014 et vivant, depuis lors, en tant que réfugié à Fribourg-en-Brisgau, au Bade-Wurtemberg, avait été condamné en première instance à huit mois d’emprisonnement pour avoir tenté, durant une demi-heure, de violer une Allemande de 17 ans, l’acte ayant été évité au dernier moment suite à l’intervention de colocataires de la victime alertés par les cris de celle-ci. Le Gambien est allé en appel et la justice a réduit fortement la peine : il est seulement frappé, ce 23 août 2017, de cinquante heures de prestations sociales (et contraint à trois entretiens au sein de l’association de conseils pour le planning familial, la pédagogie sexuelle et les conseils sexuels Pro Familia), son avocat, payé aux frais du contribuable, ayant plaidé le fait que son client présente de bonnes possibilités d’intégration. L’agresseur a décidé, devant le tribunal, de ne pas s’excuser auprès de sa victime.

    Un Irakien de 23 ans ayant violé, le 6 août 2017, une Munichoise de 22 ans a, par contre, ce même jour, accepté devant un tribunal de lui présenter des excuses. La victime avait dansé toute la nuit lors d’une soirée organisée au bord du lac de Starnberg, dans les environs de Munich. Elle s’était ensuite rendue à la station de train local où l’Irakien, ayant lui aussi pris part à cette soirée, l’avait abordée en lui faisant croire qu’il connaissait un chemin plus court, l’avait entraînée vers une prairie, l’avait jetée à terre, lui avait tenu la bouche fermée et l’avait violée.

    Le 23 août 2017, à 2 h du matin, au sein de l’ancien jardin botanique à Munich, des passants ont été alertés par des cris. Ils ont vu une étudiante allemande de 17 ans en train d’être violée par un Afghan de 18 ans. La police, prévenue, a été contrainte de tirer un coup de feu en l’air afin de pouvoir capturer l’individu alors en fuite.

    Ce 20 août 2017, à Dortmund, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, une Allemande a été violée dans les toilettes de la discothèque Maquina par un Africain demandeur d’asile.

    Les hôpitaux ne sont pas épargnés. Mojtaba H., un Afghan demandeur d’asile de 30 ans, est jugé à Hambourg pour avoir pénétré par une fenêtre au sein d’une clinique durant la nuit afin de commettre une agression sexuelle, le viol étant évité suite à l’intervention d’une infirmière, malgré le fait que l’agresseur ait eu le culot de lui prétendre être le petit ami de la victime.

    Pendant ce temps, le journaliste anti-islamisation Michael Stürzenberger a été condamné, ce 18 août 2017, à Munich, à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social pour avoir publié sur Facebook une photo historique montrant les collusions ayant existé entre un pan de l’islam et le national-socialisme, la juge estimant, entre autres, qu’il a ainsi stigmatisé les musulmans.

    La justice allemande est devenue une institution de république bananière où les peines les plus légères frappent les migrants coupables des pires délits pendant que certains patriotes se voient condamnés pour délit d’opinion.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • ZOOM - Nigel Farage : "Le Brexit est le début de la fin pour l'Union Européenne"

  • Première grève patriotique en Finlande (face à la politique de colonisation)

    Pour la première fois en Occident, une grève est organisée par la résistance patriotique contre la politique gouvernementale en ce qui concerne l’accueil des colons.

    L’information est publiée par le quotidien économique finnois Kauppalehti (de tendance droite indépendante) dans son numéro du 21 août  : plus d’une centaine d’entrepreneurs et au moins deux sociétés de construction à Turku vont s’organiser pour arrêter le travail le même jour afin de s’opposer à la politique de collaboration du gouvernement. Jani Väkeväinen, entrepreneur dans la construction a déclaré :

    « Nous devons vivre dans la peur dans notre propre pays appelé la Finlande ». Il écrit que le gouvernement finlandais a échoué dans sa politique d’asile. Nous voulons également respecter les victimes de l’attentat de Turku de notre propre manière et accélérer les efforts du gouvernement finlandais en donnant également une pression économique aux décisions. Nous ne faisons pas notre travail toute la journée, et nous ne faisons pas non plus un paiement d’impôt à l’état finlandais. »

    La manifestation – décidée conjointement avec le personnel de la société – aura lieu le 18 septembre.  Rappelons que le 18 août, Abderrahmane Mechkah, un colon marocain de 18 ans a poignardé de nombreuses personnes, en scandant le cri de guerre des impérialistes musulmans (« Allah akbar »). Deux personnes ont ainsi été assassinées et six autres blessées avant que le tueur ne soit neutralisé par la police qui lui tira dans la jambe. Les deux victimes sont Finlandaises et parmi les blessés figurent un Italien et deux Suédois.

    Notons que le régime a encore eu une fois recours aux fakes news en prétendant que le tueur avait été neutralisés par deux autres colons, l’Afghan Ahmad Hosseini et le Marocain Hassan Zubier. Or, on voit bien que sur les photos, il pose passivement à côté d’une femme poignardée qui reçoit les premiers soins… de la part d’un militant d’extrême droite, reconnaissable par son tee-shirt très prisé des nouveaux nationaux-socialistes allemands…

    Voir ici : http://www.medias-presse.info/lauteur-de-lattaque-au-couteau-en-finlande-est-un-demandeur-dasile-marocain-et-sen-prenait-par-priorite-aux-femmes/78943/

    Voir ici : http://www.medias-presse.info/une-attaque-au-poignard-fait-plusieurs-victimes-en-finlande/78910/

    http://www.medias-presse.info/premiere-greve-patriotique-en-finlande/79323/

  • C’EST VRAI, ÇA, ON N’A PAS ENTENDU PARLER D’ATTENTATS À VARSOVIE…

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    Les Polonaises se font moins violer que les Allemandes… On se demande vraiment pourquoi, non ?

    Les Grecs anciens appelaient hybris la démesure inspirée par l’orgueil à certains hommes, ce qui leur valait généralement de terribles punitions de la part des dieux. On pourrait craindre que notre Jupiter national ne s’en approche dangereusement par ses mots à l’encontre du gouvernement de Varsovie : « Le peuple polonais mérite mieux que cela […] »

    Apparemment, ses conseillers ont oublié de lui rappeler que ce même peuple a porté au pouvoir le parti de madame Szydło avec deux fois plus de voix que lui au premier tour de nos présidentielles… Ce langage diplomatique est assez nouveau mais on le sait, désormais, la France fait de la politique autrement. Elle aurait pu toutefois commencer par « Le peuple zimbabwéen mérite mieux que M. Mugabe » (qui incite au massacre des Blancs) ou « Le peuple vénézuélien mérite mieux que M. Maduro », qui a ruiné son pays en cinq sec. Mais non, c’est sur la Pologne que ça tombe. On ne le savait pas mais, selon l’Union européenne, c’est une terrible dictature. Pensez donc, leur ministre de la Justice a le pouvoir de prolonger le mandat des juges ayant atteint l’âge de la retraite ! Pour mémoire, la France a repoussé l’âge de la retraite des médecins hospitaliers à 72 ans. Un qui doit se bidonner dans sa tombe, c’est Paul Vergès, décédé doyen du Sénat à 91 ans… 

    Pis encore, la Pologne entend maintenir des âges différents de départ à la retraite pour les hommes et les femmes… Ils n’ont peut-être pas de pétroleuses féministes là-bas, mais en tout cas, ils ont une femme Premier ministre. Et pas rancunière, avec ça. Elle espère qu’avec le temps, Macron « réussira peut-être à avoir les mêmes résultats économiques et le même niveau de sécurité de ses citoyens que ceux garantis par la Pologne ».

    C’est vrai, ça, on n’a pas entendu parler d’attentats à Varsovie ! Même que les Polonaises se font moins violer que les Allemandes… On se demande vraiment pourquoi, non ? En réalité, le vrai défaut des Polonais, c’est qu’ils sont catholiques. Mais alors, vraiment très catholiques ! Ils nous ont même donné un pape qui (avec un petit coup de pouce de Reagan) a abattu du même coup le mur de Berlin et les espérances de nos intellectuels médiatiques. Tout le contraire de notre jésuite de pontife actuel, « migrantophile » et fils de migrants, qui contemple nos salafistes comme on contemple les étoiles : de très loin…

    Alors quand on a choisi, comme notre Président, de recevoir les saintes huiles républicaines au pied d’une pyramide, ça fait comme de l’ail sur un vampire ! Les Polonais en ont bavé trop longtemps sous le joug communiste, alors Europe ou pas Europe, ils n’ont pas l’intention de se faire imposer une nouvelle invasion. Et croyez-le ou pas, leurs dirigeants à eux suivent leur avis…

    http://www.bvoltaire.fr/cest-vrai-ca-on-na-entendu-parler-dattentats-a-varsovie/