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Europe et Union européenne - Page 596

  • La Pologne demande à Macron de « s’occuper de son pays », ravagé par le chômage et le terrorisme

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    Source Breiz Atao cliquez là

    Fidèle au comportement habituel des dirigeants français, Emmanuel Macron a fait montre d’une débauche d’arrogance à l’endroit du gouvernement polonais.

    Embourbé dans un chômage de masse sans précédent, le président français a cru bon d’accuser la Pologne d’être responsable de la situation économique de la France en pointant du doigt la question des travailleurs détachés. Un dossier qu’il sait largement symbolique mais utile en termes de communication pour rallier l’électorat FN voire mélenchoniste.

    Le nombre de ces travailleurs détachés s’élevait à 285.000 en 2015. Le nombre de chômeurs, toutes catégories confondues, se situe quant à lui à 6,6 millions et à 3,5 millions pour la catégorie « A » (cliquez ici). Autant dire que le rôle de ces Européens sur le marché du travail français est négligeable.

    Pour la présidente polonaise du Conseil des ministres Beata Szydlo, le président français fait preuve d’« arrogance », qu’elle a attribué à son « inexpérience »« Je lui conseille de se concentrer sur les problèmes de son propre pays », a-t-elle déclaré. Et d’ajouter « Il réussira alors peut être à avoir les mêmes résultats économiques et le même niveau de sécurité de ses citoyens que ceux garantis par la Pologne », faisant allusion à la menace terroriste.

    La diversion d’Emmanuel Macron est d’autant plus grossière que son gouvernement continue d’organiser une immigration de masse en provenance d’Afrique, notamment musulmane, malgré le coût net qu’elle engendre pour les contribuables français. Pire, il continue d’exiger des pays d’Europe Centrale qu’ils organisent la colonisation de peuplement afro-islamique chez eux.

    Tout porte donc à croire qu’il est plus aisé, en France, de cibler quelques dizaines de milliers de travailleurs polonais plutôt que les masses de clandestins africains qui servent de variable d’ajustement dans le bâtiment ou l’hôtellerie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • EMMANUEL MACRON, ARROGANT ET IDÉOLOGUE…

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    Le locataire de l’Élysée a fustigé le gouvernement légitime d’un autre État européen.

    La joute verbale entre le Président français et le Premier ministre polonais a atteint un degré d’hostilité rare dans les échanges entre exécutifs de pays membres de l’Union européenne. Au lieu de s’en tenir à la question des travailleurs détachés qui est pleinement justifiée, le locataire de l’Élysée a fustigé le gouvernement légitime d’un autre État européen en le mettant littéralement au ban de l’Europe sur l’ensemble de sa politique.

    Plus intelligemment, Mme Beata Szydło a donné, non sans ironie, une leçon quasi maternelle à un dirigeant dénué d’expérience et de modestie qu’elle a renvoyé aux affaires mal en point de son pays. On aurait pu se passer de cette passe d’armes.

    Elle ne risque pas de faire avancer un problème qui souligne les divergences d’intérêts des États européens. L’Allemagne et les pays du Nord en général tournent à plein régime et connaissent le plein-emploi. L’impact des travailleurs détachés sur le chômage est donc faible mais le dispositif favorise la compétitivité, notamment en pesant à la baisse sur le coût du travail. Mme Merkel est favorable à une révision en douceur, et n’a pas l’intention de braquer son ombrageux voisin de l’Est pour complaire à la cigale française. Les pays de l’Est estiment que l’Europe se doit de leur offrir les conditions du rattrapage et qu’avant de parler de convergence des règles, il faut assurer l’égalité des conditions de vie.

    Ces contradictions apparaissent également sur la question de l’immigration. L’Allemagne en a besoin en raison de son hiver démographique et est embarrassée, à ce sujet, par sa culpabilité historique. Le bloc de Visegrád, qui sert d’auxiliaire à la production germanique et veut brandir ses identités nationales sauvées du communisme, tient à préserver le système du travail détaché et s’oppose même à l’admission des migrants qui tentent de se faire passer pour des réfugiés.

    Comment expliquer l’attitude du chef d’État français dans un contexte aussi complexe ? Est-elle purement tactique dans le but d’isoler Varsovie, déjà en conflit avec Bruxelles ? Si cette interprétation était juste, elle se serait traduite par des soutiens fermes d’autres pays à la position française. Tel n’est pas le cas. Certains, comme l’Allemagne ou l’Autriche, soutiennent mollement. D’autres promettent, comme la République tchèque ou la Slovaquie… de convaincre les partenaires du groupe de Visegrád, c’est-à-dire la Hongrie et la Pologne, qui manifestent une opposition résolue. Une déclaration agressive à l’encontre de la Pologne formulée devant le président bulgare, socialiste jugé pro-russe, n’était pas la manœuvre la plus judicieuse pour obtenir le consensus.

    Cette maladresse peut être mise sur le compte du manque d’expérience et de l’arrogance naturelle de Macron. Elle trahit davantage, selon moi, une position idéologique. En tant que défenseur de l’intérêt national, il a raison de vouloir remettre en cause la directive sur les travailleurs détachés. Attaquer la Pologne en bloc, c’est-à-dire juger la politique nationale d’un État, lorsqu’on est soi-même à la tête d’un autre pays, au nom de la vision idéologique que l’on a de l’Europe, est une ingérence caractérisée qui ne défend pas l’intérêt de la France ni même celui de l’Europe, mais tend à diviser celle-ci. Lorsque Chirac reprochait à la Pologne d’acheter des avions aux États-Unis plutôt qu’à la France, il avait raison car il dénonçait un manque de solidarité continentale. Lorsque Macron, au lieu de s’en tenir aux travailleurs détachés, condamne globalement les orientations politiques de la Pologne, il soulève une tout autre question.

    Mêler à ce débat les questions de l’immigration extra-européenne ou des conceptions nationales en matière de droit et de justice révèle une dérive européenne qui consiste à s’immiscer dans ce qui relève du choix des peuples, en fonction de leur identité nationale. La Pologne ne souhaite pas que son identité catholique, essentielle dans son histoire, soit remise en cause. C’est la raison pour laquelle elle ne désire pas une immigration musulmane et entend sauvegarder une politique familiale fondée sur la différenciation des sexes.

    En élargissant le conflit à ces questions, le Président français est sorti de son rôle et a pris une posture idéologique qui ne peut échapper aux électeurs de droite distraits ou naïfs qu’il a pu séduire. On demande au chef d’État français de défendre l’intérêt national, non sa conception idéologique de l’Europe.

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-arrogant-ideologue/

  • Les mécanismes de l’immigration humanitaire [rediffusion]

    L’immigration humanitaire, Némésis d’une Europe compatissante. Colloque organisé par L’Institut géopolitique des populations le jeudi 3 avril 2014. Intervention de Françoise Monestier : “Les mécanismes de l’immigration humanitaire” ♦ À l’heure de la communication mondiale instantanée, les mécanismes de l’immigration humanitaire sont naturellement le bouche à oreille, mais aussi et surtout le téléphone satellitaire qui permet de communiquer instantanément avec n’importe quel point du vaste monde et, depuis quelques années, pour un coût mineur. Aussi est-il courant de voir, avachies sur nos trottoirs parisiens, des matrones roms en grande conversation avec leurs correspondants restés au pays… tout en jetant un œil sur une soucoupe qu’elles voudraient voir se remplir au fur et à mesure de la conversation. On peut parler également des images diffusées par Internet ou les chaînes télévisuelles du câble et qui projettent des images paradisiaques de la vie en Europe. Mais tout cela n’est rien comparé au rôle délétère des associations de soutien aux immigrés qui ont leurs relais en Afrique, en Asie et dans l’Europe orientale.

    Il convient également de rappeler le détestable appui apporté par les organisations internationales onusiennes confites dans la dévotion à la bien-pensance et à l’antiracisme de rigueur et qui font pression de toutes les manières possibles sur les gouvernements pour imposer leurs funestes diktats.

    Mais on ne saurait passer sous silence également les sermons et surtout directives de Bruxelles enjoignant aux gouvernements européens de boire le calice de l’immigration jusqu’à la lie. Viviane Reding, commissaire européenne, qui a fait débloquer la coquette somme de 50 milliards d’euros pour l’intégration des Roms, est exemplaire dans ce rôle de vigie, ou plutôt de naufrageur, en particulier quand elle menace la France de sanctions si cette dernière s’avisait d’entraver la libre circulation des Tsiganes.

    Le Traité de Schengen n’est pas en reste, grâce auquel la libre circulation sur tout le territoire européen a constitué un formidable appel d’air pour toutes les populations subsahariennes, arabes ou appartenant au monde balkanique et qui savent toutes que les aides aimablement fournies par notre pays sont légion.

    Compassion et connivence

    Les médias de l’oligarchie jouent un rôle désastreux dans ce soutien sans faille aux immigrés de tout poil qui déferlent sur le continent européen avant de s’abattre sur notre pays. Comme le rappelait en 2004 Serge Halimi dans Les nouveaux chiens de garde :

    « Les médias adorent relayer ces grandes causes associant tout et chacun sans déranger rien ni personne. Le consensus “humanitaire” a la même utilité que les “débats” entre journalistes. Ils brassent du vent pour détourner l’orage. »

    Et que dire des associations qui, régulièrement depuis plus d’un demi-siècle, et avec la complicité d’un certain clergé, catholique ou protestant, n’a eu de cesse de soutenir  les immigrés ? Dans un livre récent Les Yeux grands fermés, la démographe Michèle Tribalat dénonce les actions délétères du GISTI et de la CIMADE, véritables bras armés des clandestins dans notre pays :

    « Les ONG et les associations doivent assumer que leur idéal passe avant le bien-être des Français et plus largement avant celui des habitants de la France. Que la détresse qu’elles veulent secourir nécessite la mise de côté des intérêts de ces derniers, lesquels se trouveraient ainsi dessaisis de leur pouvoir d’influer et de décider de l’avenir de leur pays. Dans une telle utopie, l’État est supposé mettre sur un pied d’égalité ses propres citoyens et les étrangers auxquels il a apporté sa protection d’une part et tout candidat à l’immigration d’autre part. En somme, devenir un gestionnaire, parmi d’autres, de la population de la planète entière. »

    Tout n’est-il pas dit dans cette phrase ?

    Prenons le cas  de la CIMADE, « association de solidarité active avec les réfugiés et les demandeurs d’asile » et dont plus des trois quarts des ressources proviennent de l’argent public. En 2007, ses ressources s’élevaient  à près de 8 millions d’euros ! C’est dire… Grande donneuse de leçons devant l’Eternel, elle  vient d’adresser (avec le GISTI et la Ligue des droits de l’homme) un « courrier d’alerte » au Conseil de l’Europe afin de freiner les expulsions depuis les départements français d’outre-mer, et particulièrement depuis Mayotte, le cent unième département français qui vit au rythme de l’islam et de l’immigration clandestine incontrôlée, véritable Lampedusa français selon l’expression de Bernard Lugan.

    S’agissant du GISTI, Groupement d’information et de soutien des immigrés, très actif auprès des médias pour obtenir leur soutien dans la défense des immigrés et grand contributeur de la doxa antiraciste, il vient d’écrire à Marisol Touraine, ministre de la Santé. La raison de sa missive ? Une note présumée de la Caisse primaire d’assurance maladie de Seine-Saint-Denis demandant à ses services de ne pas traiter les demandes d’Aide médicale d’Etat (AME) non instruites au 6 décembre 2013. Pour le GISTI, cette « décision porte atteinte aux normes garantissant le droit fondamental à la santé ». Fermez le ban !

    Le GISTI – toujours lui – portait plainte en juin dernier, avec la Ligue des droits de l’homme et deux autres associations, contre la France et l’Espagne pour établir la responsabilité des deux pays après la dérive en Méditerranée d’un canot de migrants qui avait fait 63 morts en 2011. Faut-il préciser que deux rescapés du naufrage ont, eux aussi, porté plainte ?

    Pas plus tard que la semaine dernière, une vingtaine d’associations de soutien aux clandestins ont exigé le retrait d’une circulaire de Manuel Valls encourageant les préfets à lutter contre l’immigration irrégulière.

    Mais revenons sur le scandale des subventions d’Etat distribuées chaque année par le gouvernement et les différentes collectivités territoriales afin d’acheter la paix sociale, religieuse ou raciale et de se donner bonne conscience. La foire aux subventions et la distribution de la manne publique s’organisent à grands renforts de lobbying auprès des organisations antiracistes. C’est à qui sera le plus généreux, de l’Etat, des Régions ou des Départements quand ce ne sont pas les trois réunis qui financent le même « client » !

    Près de 35 milliards d’euros sont ainsi généreusement distribués à plus de 18.000 associations, dont de nombreuses structures étrangères depuis la loi Mauroy du 9 octobre 1981 qui ne soumet plus la constitution d’associations étrangères à l’autorisation du ministère de l’Intérieur. Cette désastreuse initiative a créé un véritable appel d’air et permis à des associations aussi bien turques que kurdes, burkinabées ou algériennes de toucher le gros lot.

    La distribution des subventions, qualifiée par la Cour des comptes de « machine sans compteur », progresse chaque année, selon que le gouvernement en place ne veut pas être taxé de « raciste » ou, au contraire, apporte une aide « politique » à ces relais des clandestins et de demandeurs d’asile en progression de 90% depuis 2006.

    Un appel d’air à l’immigration

    Les aides sociales font partie de ces pompes aspirantes qui, chaque année, attirent un nombre de plus en plus important de migrants, à commencer par les clandestins qui considèrent notre pays comme la patrie de l’assistanat, ce que démontrent nos amis de Contribuables associés dans un récent numéro consacré à ce thème.

    Près de 6 millions de personnes, en comptant les clandestins, figurent parmi les principaux bénéficiaires des aides sociales largement distribuées dans notre pays. Un réseau, dirigé par un Egyptien, a récemment été démantelé. Il profitait d’une largesse de notre système de santé consistant à délivrer des titres de séjour pour les étrangers dont les pathologies ne sont pas prises en charge dans leur pays d’origine. Le gang trouvait des étrangers réellement malades, leur faisait passer des examens médicaux et revendait ensuite les permis de séjour ainsi délivrés – sans oublier d’écouler contre espèces sonnantes et trébuchantes les médicaments délivrés. L’histoire ne dit pas ce que sont devenus les vrais malades !

    Mais revenons à nos clandestins dont le nombre a progressé de 48% dans l’Union européenne en 2013. Ces derniers, qu’ils viennent de l’Afrique sub-saharienne, des anciennes républiques d’Asie Centrale, de Roumanie ou de Bulgarie, connaissent le mot-clef en arrivant chez nous : AME, comme Aide médicale d’urgence, véritable exception française créée par Lionel Jospin et Martine Aubry en 1999. En effet, nos voisins sont moins généreux que nous envers les étrangers en situation irrégulière, qu’il s’agisse de l’Autriche qui n’accorde pas aux clandestins l’accès gratuit aux soins, de la Grande-Bretagne qui, depuis 2004, limite la gratuité de ces mêmes soins, ou de la Suède qui n’accorde aux étrangers en situation irrégulière aucun droit aux prestations de santé.

    Ce système diabolique et démagogique inclut aussi bien une intervention chirurgicale, des implants dentaires que, tenez-vous bien, un traitement contre la stérilité masculine pris officiellement en charge par la Sécurité sociale. En constituant le dossier médical le plus lourd possible, les étrangers en situation irrégulière doublent leurs chances de réussir à se faire régulariser.

    Avec de tels avantages, auxquels il convient d’ajouter l’école gratuite pour tous les enfants de clandestins grâce aux démagogues du Réseau éducation sans frontières, artisans principaux de la pitoyable Affaire Léonarda, ils sont nombreux à se donner le mot.

    Invité de la dernière Université d’été du Parti socialiste, le Réseau éducation sans frontières aide les clandestins à tromper les préfectures en leur fournissant les questionnaires linguistiques qu’ils doivent remplir pour obtenir leur titre de séjour et soutiennent plus particulièrement les clandestins chinois dans leurs démêlés avec l’administration. Il utilise volontairement le terme de « rafles » pour qualifier les arrestations de parents clandestins d’enfants clandestins et recourt à la thématique des « heures les plus sombres de notre histoire » pour frapper les esprits. Créé en 2004 par des militants de Lutte ouvrière et de la LCR, il fonctionne de manière quasi clandestine et se définit comme, je cite : « l’insurrection des braves gens ».

    Une économie souterraine florissante

    Ils sont nombreux à se donner le mot, les immigrés et autres clandestins qui savent que les banlieues de non-droit largement arrosées par l’Etat sont  favorables, je cite, à une « économie souterraine puissante et beaucoup plus attractive pour certains qu’un emploi de Smicard. La protection de ces activités très lucratives est une nécessité pour ceux qui en profitent ; elle est à l’origine d’une montée des rivalités entre bandes »… et donc de la mortalité dont on feint de s’affliger. Ainsi s’exprime le géographe Christophe Guilluy dans son remarquable Fractures françaises publié en 2010.

    Soucieux de ne pas déplaire aux lobbies de l’immigration, les différents gouvernements – et celui de François Fillon n’a pas été en reste – ont mis en place une politique de discrimination positive et intégré les émeutes du Ramadan de 2005 comme un mouvement social structuré, sans tenir compte de la dimension délinquante et insurrectionnelle de ces émeutes.

    Sûrs de pouvoir se fondre dans l’anonymat des banlieues de l’immigration, les clandestins ou les immigrés en situation régulière affluent dans des zones où le chômage est déjà élevé et se coulent dans le système.

    Contrairement à l’image complaisante qu’en donnent les médias, les quartiers et communes sensibles sont attractifs pour ces primo-arrivants qui vont se livrer aux joies de l’économie souterraine, profiter de la manne déversée dans ces quartiers ou tout simplement retrouver leurs semblables dont ils partagent l’ethnie, la langue, la religion, la nourriture. Dans son ouvrage, Christophe Guilluy cite le cas de Grigny, mise sous tutelle de l’Etat, gangrenée par les trafics et dont plus de 15% des élèves sont des enfants de clandestins.

    61 milliards d’euros ont été dépensés en dix ans dans les banlieues de 2003 à 2013 et la « générosité publique profite aux zones de droit islamique ». Dès 2006, le chercheur Dominique Lorrain avait dénoncé les disparités de traitement  entre un quartier sensible des Hautes-Noues à Villiers-sur-Marne et la ville de Verdun : alors que le revenu par habitant y est de 20% supérieur à celui de Verdun, le programme de réhabilitation dont bénéficiait ce quartier prévoyait  une dotation par habitant de 12.450€, alors que celui mis en place dans les quartiers de Verdun allouait seulement 12€ par habitant. Cherchez  l’erreur !

    Et quid du Plateau de Clichy-Montfermeil rénové pour plus de 600 millions d’euros en 2003 par Borloo, soit 40.000€ par habitant et dont rien ou presque ne subsiste aujourd’hui dans une zone où les habitants jettent ordures et frigidaires par les fenêtres de leur HLM ?

    Les budgets affectés à la politique de la Ville ne connaissent pas la crise. On en veut pour preuve l’augmentation de 50% de la Dotation de développement urbain pour les 100 communes les plus pauvres suite à la grève de la faim entamée par l’écolo-communiste Gatignon.

    En fait, la politique de la Ville traîne derrière elle trente années de mauvaise gouvernance et d’illusions. Dans un rapport publié en 2012, la Cour des comptes a recensé 751 ZUS (Zones urbaines sensibles) dont 461 en ZRU (Zone de redynamisation urbaine) et 100 en ZFU (Zone franche urbaine) – sans oublier 2493 quartiers ciblés par des Contrats urbains de cohésion sociale (CUCS) dont plus des deux tiers ne sont pas classés en ZUS.

    C’est dans ce mille-feuilles administratif et ce maquis touffu, objet de toutes les attentions gouvernementales sous la pression des organisations dites humanitaires, que prospèrent combines et familles clandestines et tous les flux migratoires possibles avec l’aide d’associations favorisant leur isolement linguistique, culturel et religieux – et pour le plus grand bonheur de ces gangs qui écument notre pays.

    Schengen accélérateur de la criminalité

    Dans un rapport récent, le SIRASCO (Service d’information, de renseignement et d’analyse stratégique sur la criminalité organisée) montre comment les groupes criminels étrangers s’implantent sur le territoire français en profitant de l’ouverture des frontières. Il confirme que les chefs de ces différentes mafias (albanaise, turque, géorgienne, russe ou africaine) savent tirer parti des failles juridiques de l’Union européenne. Il ajoute, je cite, que « la suppression des contrôles aux frontières dans un ensemble de plus en plus vaste et les exemptions de visa au bénéfice de certains Etats » a favorisé la criminalité balkanique, les ressortissants de cette région n’ayant plus besoin de visa pour entrer dans l’espace Schengen. Et pour les Kosovars ayant, eux, besoin de visa ? Pas de problème : alors même qu’ils sont protégés par la KFOR, ils brandissent la carte de réfugié politique !

    Le SIRASCO rappelle que la disparition des frontières favorise les trafics dont la traite humaine. Il met également en évidence le rôle que jouent les « diasporas » tranquillement installées dans des cités sensibles, et qui fournissent aux groupes mafieux de même ethnie l’appui logistique nécessaire au développement de leurs activités illicites : un phénomène constaté en matière de narcotrafic, je cite :

    • « En France, la majeure partie des importations et des ventes de produits stupéfiants est le fait de groupes criminels (…) dont les membres, parfois des fratries entières, ont des liens ethnolinguistiques avec les producteurs marocains, facilitant les transactions commerciales et les investissements (blanchiment) au Maroc ou dans d’autres pays du Maghreb. »

    Rappelons qu’en 2010 la Turquie a supprimé les visas pour les ressortissants iraniens, yéménites, libyens, syriens, marocains et tunisiens, révolutionnant ainsi les flux migratoires à destination de l’Europe et faisant de la Grèce le nouvel homme malade de notre continent.

    Mais la date-clef demeure celle du 14 juin 1985, lorsque la France, l’Allemagne, la Belgique et les Pays-Bas signaient, à Schengen, la suppression à partir du 1er janvier 1990 des frontières physiques entre ces pays. Le Parlement français attendait 1991 pour ratifier les Accords de Schengen devenus Traité. En 1997, le Traité d’Amsterdam étendait les dispositions de Schengen à tous les pays de l’Union (sauf le Royaume-Uni et l’Irlande) et supprimait la clause de sauvegarde nationale permettant à un Etat de rétablir des frontières en cas de crise grave. Le piège se refermait. Quatre ans plus tard, le livre de Jean Raspail Le Camp des saints devenait malheureusement réalité avec l’échouage volontaire sur les côtes varoises, le 23 février 2001, d’un cargo transportant un millier de Kurdes bien décidés à rester… ce qu’ils ont d’ailleurs fait. Cette affaire n’était qu’un avant-goût des mouvements de population qui nous submergent aujourd’hui. Tout le reste est littérature…

    Françoise Monestier 03/04/2014

    https://www.polemia.com/les-mecanismes-de-limmigration-humanitaire/

  • Dans "Présent" de cette fin de semaine : un grand entretien avec Jean-Claude Rolinat sur son livre "La Hongrie sentinelle de l'Europe" (Les Bouquins de Synthèse nationale)

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  • Emmanuel Macron remis à sa place par le Premier ministre polonais

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    Pour qui se prend Emmanuel Macron ? Il peut bien s’imaginer en Jupiter lorsqu’il prend sa douche mais il n’impressionne guère les gouvernements des pays d’Europe centrale.

    En quelques jours, la politique diplomatique  de la France avec la Roumanie et avec la Pologne a viré au cauchemar par la faute de l’arrogance d’Emmanuel Macron.

    Ce fut d’abord un premier échec en Roumanie sur les travailleurs détachés, puis un deuxième échec cinglant en Pologne à la suite des déclarations du président français, vendredi à Varna, affirmant que Varsovie faisait “une nouvelle erreur” en refusant de s’aligner sur la position française de durcir les accords sur les travailleurs détachés, ajoutant que la Pologne se “mettait en marge de l’Europe sur de nombreux sujets”.

    Et Macron de déclarer avec mépris “La Pologne n’est en rien ce qui définit le cap de l’Europe” avant de conclure, condescendant, que “le peuple polonais mérite mieux que cela”.

    Emmanuel Macron renouait ainsi avec son discours du 21 juin critiquant ceux qui voient dans l’Europe un « supermarché », c’est-à-dire les pays d’Europe centrale qui voudraient avoir les avantages de l’UE sans s’encombrer de la solidarité, notamment sur l’accueil des réfugiés.

    La réplique de Beata Szydlo, premier ministre de Pologne, a été cinglante :

    « Peut-être ces déclarations arrogantes sont-elles dues à son manque d’expérience et de pratique politique, ce que j’observe avec compréhension, mais j’attends qu’il rattrape rapidement ces lacunes et qu’il soit à l’avenir plus réservé »

    « Je conseille à M. le président de s’occuper des affaires de son pays, il réussira alors peut-être à avoir les mêmes résultats économiques et le même niveau de sécurité de ses citoyens que ceux garantis par la Pologne. »

    « Ce n’est ni le président de la France ni aucun autre dirigeant qui décidera personnellement de l’avenir de l’Europe, mais l’ensemble des membres de la communauté. (…) Nous avons les mêmes droits que la France, que les autres pays membres. »

    http://www.medias-presse.info/emmanuel-macron-remis-a-sa-place-par-le-premier-ministre-polonais/79289/0

  • UE : Projet d’un gel préventif des dépôts pour parer aux ruées, Infos Forex

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    Des pays membres de l’Union européenne envisagent des mesures qui les autoriseraient à geler provisoirement les comptes bancaires pour éviter toute ruée aux guichets, montre un document européen dont Reuters a pris connaissance.

    Le projet, à l’étude depuis le début de l’année, intervient moins de deux mois après une telle ruée aux guichets de la banque espagnole Banco Popular, qui a contribué à son effondrement.

    Donner aux autorités le pouvoir de bloquer les comptes momentanément est un « choix envisageable », suivant le document élaboré par la présidence estonienne de l’UE, laquelle admet que le sujet divise les Etats membres.

    Ceux qui ont déjà prévu un moratoire sur les versements bancaires lors d’une procédure de dépôt de bilan, comme l’Allemagne, sont favorables à cette initiative, ont déclaré des responsables.

    Pour couvrir les besoins financiers immédiats des déposants, le document estonien daté du 10 juillet préconise un mécanisme qui leur permette de retirer « au moins un montant limité ».

    Les banques voient au contraire dans ce projet une entrave à l’épargne. « Nous croyons fermement que cela inciterait les déposants à retirer leurs fonds au plus vite », dit Charlie Bannister, de l’Association des marchés financiers en Europe (AFME), un groupe de pression bancaire.

    La proposition estonienne a fait l’objet d’un premier examen le 13 juillet sans qu’une décision soit prise, a dit un haut fonctionnaire européen. Les discussions doivent se poursuivre en septembre. Toute décision définitive devra faire l’objet d’une approbation du Parlement européen.

    L’initiative tranche avec les propositions faites en novembre par la Commission européenne (CE), qui prévoient elles aussi un gel temporaire des dépôts mais à l’exclusion des dépôts garantis, c’est-à-dire ceux inférieurs à 100.000 euros, l’exécutif européen craignant un « impact négatif sur la confiance du marché ».

    La CE s’est abstenu de tout commentaire sur la discussion en cours.

    La proposition estonienne prévoit une suspension de cinq jours ouvrés, prolongeable à 20 jours dans des circonstances exceptionnelles.

    Le droit européen prévoit actuellement une suspension de deux jours de certains versements dans le cas d’un établissement en situation de faillite mais le moratoire n’englobe pas les dépôts.

    Beaucoup d’Etat sont favorables à une suspension des paiements seulement durant la période de liquidation (résolution) d’une banque faillie, soit la procédure qui impose des pertes aux investisseurs et peut-être aussi aux dépôts non garantis, tout en préservant la continuité de l’exploitation, lit-on dans le document.

    La plupart des pays sont opposés à une initiative plus volontariste, imposant un moratoire aux tout premiers stades de la procédure. (Wilfrid Exbrayat pour le service français, édité par Marc Joanny)

    Source

    http://www.voxnr.com/12751/ue-projet-dun-gel-preventif-des-depots-pour-parer-aux-ruees-infos-forex

  • Histoire & Actualité • Regards sur les rapports Islam-Europe depuis treize siècles [1]

    Il s’agit ici - l'actualité nous y invite - de réfléchir, avec un certain recul et de façon, bien-sûr, non exhaustive, sur ce que sont, au fond, les rapports entre l'Islam et l'Europe (la Chrétienté, l'Occident) depuis treize siècles. 

    Ce que nous vivons aujourd'hui n'est pas inédit

    On a souvent tendance, en effet, à s'imaginer que ce que l'on vit est inédit ; que l'on est la première génération à être confrontée à tel ou tel problème... qui se poserait pour la première fois.

    C'est, très souvent, une grossière erreur. Les générations passées ont presque toujours été confrontées aux mêmes difficultés et ce que nous vivons, d'autres l'ont vécu avant nous. La forme, les apparences extérieures, l'habillage, changent, mais, en ce qui concerne le cœur des problèmes, comme le dit le vieil adage, il n'y a rien de nouveau sous le soleil.

    Ainsi en est-il des rapports entre le monde européen et l'Islam, que ces rapports soient conflictuels ou non. Certains voient une grande nouveauté dans l'irruption de l'Islam, d'un certain Islam en Europe. Et, certes, si l'on ne se réfère qu'au temps court de l'Histoire, il y a bel et bien une irruption de l'Islam dans notre quotidien et c'est bel et bien une nouveauté : nos parents et nos grands-parents n'ont jamais vu les rues que nous voyons, c'est clair. Mais, si l'on remonte plus loin dans le temps, force est de constater que l'Europe a été confrontée deux fois déjà à une invasion musulmane. Ce que nous voyons, subissons aujourd'hui n'étant, en somme, qu'une troisième tentative.

    Si nous sommes - car il faut l'être - extrêmement inquiets de ce qui se passe, de ce à quoi nous assistons, il faut bien se dire que l'Europe en a vu d'autres ! Donc, pessimistes actifs, oui (et le plus actifs possible, mieux vaut agir que geindre), découragés et battus d'avance, certainement pas...

    Voyons quelques points d’Histoire, ici aux premiers siècles de l’Islam.

    L'Europe a été conquise militairement - en partie du moins – déjà deux fois par l'Islam.

    La première invasion, par le sud-ouest et l'Espagne

    3981673676.jpgA partir de 711, ne rencontrant qu'une monarchie wisigothique très affaiblie par toutes sortes de dissensions internes, les Maures envahirent en effet sans peine la péninsule ibérique, qu'ils conquirent presque entièrement, avant de passer en France, où ils suivirent en gros deux routes très différentes : l'une vers le sud-est et la Provence, l'autre plein Nord / Nord-Ouest, vers Poitiers. 

    En Provence, leur souvenir reste dans la toponymie de certains lieux, comme La Garde Freinet, ou le Massif des Maures, et dans certaines légendes locales, comme celle de la Chèvre d'or (la Cabro d'or), dans la région des Baux-de-Provence. Mais ils ne laissèrent aucune trace durable ni profonde, d'aucune sorte.

    Leur incursion dans le Nord, dans le but de piller le riche monastère de Saint Martin de Tours, ne leur sera pas bénéfique : ils seront défaits à Poitiers par Charles Martel, en 731 ou 732. Et là non plus, ils ne laissèrent aucune trace.

    Il ne s'agissait pas d'Arabes, comme on le croit souvent, (les Arabes n'ont jamais envahi l'Espagne, encore moins la France) mais de guerriers musulmans venus des anciennes provinces romaines de l'Afrique et de la Mauritanie (en gros, l'actuel Maroc), conquises par l'Islam à partir du VII° siècle. Ce qui est vrai, par contre, c'est que ces tribus de guerriers - la masse des envahisseurs -  avaient bien à leur tête des Émirs arabes, chassés de Syrie lors d'une révolution de palais, ayant mis fin au califat de la tribu des Omeyades. Ceux-ci, pour sauver leur tête, partirent se réfugier aux extrémités de leur ex-empire, le plus loin possible de ceux qui les avaient chassés, et souhaitaient les exterminer : au Maroc, là où le soleil se couche (c'est l'origine du mot Maghreb). D'où la confusion fréquente, dans l'imaginaire collectif.  

    3475409540.jpgLes troupes que commandaient ces Émirs arabes, venus donc de Syrie, étaient essentiellement les tribus des Almoravides (ci-contre) - contre lesquelles lutta le Cid - puis celles des Almohades - contre lesquels la chrétienté européenne, unie face au danger - remporta la victoire décisive de Las Navas de Tolosa, en 1212, un an avant Muret (Croisade des Albigeois), et deux ans avant Bouvines. 

    Ces troupes musulmanes firent donc chuter en moins de dix ans la monarchie wisigothique, et toute la péninsule se retrouva sous la botte musulmane. Toute, sauf précisément le « rincon sagrado » du Pays Basque et des Asturies. Protégé par ses montagnes (« Haut sont les monts, et ténébreux et grands » lit-on dans la Chanson de Roland) et par l'énergie farouche de ses guerriers (Charlemagne en fit l'expérience, à Roncevaux), le nord montagneux de l'Espagne, la Cordillère Cantabrique ne connut pas - du moins pas d'une façon durable et effective - la domination du Croissant. (A suivre) 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/08/25/histoire-e-actualite-regards-sur-les-rapports-islam-europe-5973755.html

  • Emmanuel Macron insulte la Pologne

    Emmanuel Macron a effectué une « mini-tournée » en Europe de l’Est pour tenter de rallier les gouvernements de ces pays à son projet de réforme de la directive européenne sur les « travailleurs détachés ». En Bulgarie, lors de sa conférence de presse conjointe avec le Premier ministre bulgare, il s’est permis, en parfait goujat, une critique virulente du gouvernement polonais… Le fait que la Pologne ne veuille pas modifier la directive c’est une « nouvelle erreur » de ce gouvernement qui « foule aux pieds les valeurs européennes », « la Pologne se met en marge et décide d'aller à l'encontre des intérêts européens sur de nombreux sujets. Le peuple polonais mérite mieux que cela et la première ministre aura beaucoup de mal à expliquer qu'il est bon de mal payer les Polonais », « la Pologne n'est en rien ce qui définit le cap de l'Europe », « l'Europe s'est construite sur des libertés publiques qu'enfreint aujourd'hui la Pologne », « cet Etat a décidé de s’isoler », etc.

    Réaction immédiate de Beata Szydło :

    « Peut-être, ses déclarations arrogantes sont-elles dues à son manque d'expérience et de pratique politique, ce que j'observe avec compréhension, mais j'attends qu'il rattrape rapidement ces lacunes et qu'il soit à l'avenir plus réservé. Je conseille au président de se concentrer sur les affaires de son pays; il réussira alors peut être à avoir les mêmes résultats économiques et le même degré de sécurité pour les citoyens que ceux qui sont garantis en Pologne. »

    Non sans rappeler que la Pologne est membre de l’UE « au même titre que la France ».

    Quant au ministre polonais des Affaires étrangères Witold Waszczykowski, qui s’exprimait à Varsovie en compagnie de ses homologues roumain et turc et du secrétaire général de l'Otan, il a déclaré :

    « La Pologne n'est pas isolée. Nous accueillons aujourd'hui une réunion importante, le président Macron ne suit donc pas attentivement les informations. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’euro va mal, merci pour lui!

    En une semaine, les mauvaises nouvelles se sont accumulées pour l’euro. Ces nouvelles sont essentiellement politiques. On ne reviendra pas ici sur les problèmes économiques de la monnaie unique, qui ont été décrits et analysés, sur mon blog, dans plusieurs notes1.

    Ces nouvelles viennent pour certaines d’Italie, ce qui n’étonnera personne vu la situation dans ce pays, que l’euro étrangle véritablement. Mais, le point important est aussi que ces nouvelles nous viennent d’Allemagne. Cela est plus intrigant, et mérite explication.

    Les mesures de la BCE anticonstitutionnelles?

    La cour constitutionnelle de Karlsruhe, qui est en réalité l’équivalent de la Cour constitutionnelle, a reconnu que les mesures de la Banque centrale européenne (BCE) que l’on appelle le PSPP (ou Public Sector Purchase Program) pourraient constituer une violation de la Constitution allemande. La Cour de Karlsruhe a déclaré, dans ses attendus, que des « raisons significatives existaient pour que l’on considère que la BCE a outrepassé son mandat ».

    Lire la suite sur Causeur