Le Premier ministre belge Charles Michel a commencé les hostilités en affirmant que les pays d’Europe centrale seraient forcés d’accueillir des demandeurs d’asile.
Dans une entrevue accordée au quotidien Le Soir, Charles Michel a évoqué l’envoi d’un ultimatum aux pays refusant d’accepter des immigrants clandestins. En substance, si à l’issue du Conseil Européen de juin aucun accord a été trouvé entre l’Union Européenne et les pays d’Europe centrale alors ces derniers se verraient imposer de force les décisions adoptées lors du Conseil.
Le président hongrois Viktor Orbán a promis de faire passer les intérêts de la Hongrie avant les demandes de Bruxelles. C’est ainsi que via une vidéo postée sur Facebook il a déclaré :
Notre gouvernement a pris position. Pour nous la Hongrie passe avant. Nous nous battrons contre ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie ainsi que celle de l’Europe.
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, Europe et Union européenne, immigration, lobby, magouille et compagnie 0 commentaireUne crise agricole mise en sourdine - Journal du Lundi 12 Février 2018
Nouvelle campagne anti-Soros – La Hongrie ne veut pas devenir l’Afrique
Hongrie – Une nouvelle fois, le gouvernement lance une campagne nationale pour dénoncer les nuisances orchestrées par le milliardaire mondialiste George Soros que l’on retrouve derrière le financement de nombreuses ONG facilitant l’immigration vers l’Europe.
Cette campagne très présente dans les rues des grandes villes hongroises, se déroule au moment où le gouvernement prend également de nouvelles mesures pour contrer toute association ou fondation, établie et enregistrée en Hongrie, qui parraine l’entrée, la réinstallation ou la résidence illégales d’un ressortissant étranger.
#120db le Hashtag anti-migrants qui fait le buzz en Allemagne.
LA CHUTE DU DIRIGEANT SOCIAL-DÉMOCRATE ALLEMAND MARTIN SCHULZ
Alors que le Parti social-démocrate allemand SPD est arrivé à s’entendre avec les démocrates-chrétiens de la CDU d’Angela Merkel et les sociaux-chrétiens bavarois de la CSU en vue de former un gouvernement, le très européiste Martin Schulz, qui a conduit les négociations pour le SPD, annonce ce 9 février 2018 qu’il renonce finalement à exercer la fonction de ministre des Affaires étrangères.
Cet événement survient suite à des règlements de comptes au sein du parti. Sigmar Gabriel, vice-chancelier et ministre des Affaires étrangères sortant, reproche ouvertement à Martin Schulz de ne pas avoir respecté sa parole, sans préciser le sujet de la dispute.
En janvier 2017, Gabriel avait renoncé au profit de Schulz à la présidence du SPD et au fait de conduire la campagne électorale du parti lors des législatives. Le bruit court que Schulz avait promis à Gabriel que ce dernier resterait ministre des Affaires étrangères dans le cas d’un nouveau gouvernement de coalition.
Schulz avait annoncé, le 7 février 2018, devenir ministre des Affaires étrangères, alors qu’à l’issue des élections législatives du 24 septembre 2017, il avait exclu être ministre au sein d’un gouvernement dirigé par Angela Merkel.
Martin Schulz, président du Parlement européen durant cinq ans, avait quitté ses fonctions en 2017 et échoué électoralement à la tête du SPD lors des législatives, son parti enregistrant le plus mauvais score de son histoire depuis la Seconde Guerre mondiale, en obtenant 20,5 % des voix.
Née au XIXe siècle, la famille politique sociale-démocrate allemande, qui a fortement imprégné au fil des décennies la politique du pays, lutte désormais, à l’instar de partis similaires d’autres pays d’Europe occidentale, pour sa survie.
Un sondage INSA réalisé début février donne le parti à, désormais, 17 %.
Au sein du SPD, la campagne a débuté en vue de la consultation par écrit des membres du parti qui doivent décider, le 4 mars 2018, si leur formation prend part ou non au futur gouvernement.
Si le « Non » l’emporte, le retour aux urnes deviendra quasi inévitable, l’avènement d’un gouvernement minoritaire étant peu probable.
L’ouverture des frontières à une immigration de masse réalisée au cours de l’été 2015 par le gouvernement CDU/CSU/SPD dirigé par Angela Merkel a conduit, au fil du temps, à un retournement progressif d’une partie de l’opinion publique allemande, qui est de plus en plus sceptique vis-à-vis des partis en place, et à la percée lors des législatives du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD), qui siège désormais au sein de la Chambre des députés.
L’entrée d’un parti de ce type au sein de cette institution a constitué un séisme politique, cette famille politique n’y étant plus représentée depuis 1961 et l’élimination, de cette assemblée des élus, du Deutsche Partei (Parti allemand).
Le parti libéral centriste FDP, autrefois en déroute, a réussi un retour en force lors des législatives de 2017 en se refondant politiquement sur une ligne plus patriotique et en proposant de renvoyer les réfugiés vers leur pays et d’expulser la Grèce de la zone euro.
Lionel Baland Écrivain et journaliste belge francophone Son blogItalie – les associations catholiques, collaboratrices de l’invasion
Elles sont « catholiques » de nom mais elles sont immigrationnistes de fait ! Elles se disent « catholiques » pour mieux imposer le nouvel Évangile du migrante, cher au pape François. En prêchant un « christianisme » pseudo-humanitariste et solidaire, pseudo-catholique aux vertus chrétiennes devenues folles, elles sont le cheval de Troie de l’invasion migratoire et du Grand Remplacement.
Elles sévissent depuis des décennies dans les pays européens submergés par l’immigration, grâce bien trop souvent l’aide d’évêques modernistes et progressistes déconnectés de leur mission première qui consiste à prêcher, à temps et à contretemps, la foi en Jésus-Christ, seul et unique Sauveur du monde, mais branchés à l’altruisme socialo-marxisant de l’establishment mondialiste.
A quelques semaines des futures élections législatives en Italie, ces associations prétendument catholiques ou ecclésiastiques ont fait sept propositions soi-disant pour sortir de l’urgence migratoire, des insuffisances et de la lenteur du système d’accueil. Sept propositions pour « démontrer que gouverner le phénomène migratoire c’est possible, en garantissant les droits et les devoirs de tous et en s’opposant à l’actuelle vague de racisme et de xénophobie. »
Parmi les requêtes avancées on trouve l’éternelle revendication de la gauche internationaliste : « le droit de vote pour les étrangers qui travaillent en Italie ». Pareillement ces associations, telles la Communauté Saint’Egidio, le mouvement des Focolari, l’Action catholique, le Centre jésuite Astalli pour les réfugiés, militent pour « une réforme des lois sur la citoyenneté pour imposer à la place du droit du sans le fameux droit du sol rejeté pourtant par les Italiens au cours de l’année 2017. Elles demandent également la mise en place de nouvelles modalités d’entrée plus libérales qu’elles ne le sont déjà. Et elles aspirent à développer les couloirs humanitaires, pour permettre une entrée par des voies légales aux ‘migrants’.
Bien entendu toutes ces belles consciences morales donnent des leçons d’économie aux Italiens en prétendant cette main-d’œuvre indispensable au tissu industriel de la péninsule et donc n’enlevant pas de travail aux autochtones.
Simplifier et unifier le système d’accueil, toujours dans un sens qui ne peut qu’encourager les arrivées illégales, est un autre de leur dada.
Immigrationnistes et immigrophiles convaincues, ces associations se donnent le beau rôle face aux médias et à la pensée unique en reliant leur combat en faveur des migrants au combat antiraciste :
« Chaque type de discrimination envers quelqu’un est un affront à la dignité de ces personnes qui ont fui leurs terres parce qu’elles étaient déjà discriminées. Nous prenons donc une position nette par rapport à celui qui fait du racisme un élément de la propre campagne électorale »
a expliqué le Père Ripamonti, du Centre Astalli à Vatican Insider. Dans un raccourci parfaitement injuste et discriminatoire mais si politiquement correct, le père jésuite compare toute défense de l’identité nationale et civilisationnelle des pays du Vieux Continent par certains partis politiques à de la xénophobie :
« je me sens comme chrétien capable d’assumer mes responsabilités dans ce contexte historique où certaines forces politiques, les forces racistes et xénophobes, rehaussent la tête : alors il faut dire non, que ceci ne fait pas partie de notre appartenance chrétienne et de notre appartenance citoyenne. »
En Italie, comme en France d’ailleurs, les associations ecclésiales et ‘catholiques’ sont des alliées de l’immigration-invasion. Leur attitude multi-culturelle et mondialiste est une autre conséquence du dialogue inter-religieux promu par l’Église conciliaire. Le principe de suppression des frontières religieuses et spirituelles s’imposent à la nature… D’ailleurs ce sont ces mêmes associations qui prônent l’accueil à tout va qui prêchent l’union œcuménique et inter-religieuse « dans la diversité » !
Francesca de Villasmundo
L’UNION EUROPÉENNE FINANCE LE TERRORISME AU KOSOVO
Il y a à peine moins de deux ans, le 9 mai 2015, plusieurs dizaines d’hommes armés, essentiellement venus du Kosovo, rentraient dans la ville de Kumanovo, dans l’Ancienne République yougoslave de Macédoine, pour attaquer la ville au nom du nationalisme albanais. Durant quasiment deux jours, les terroristes vont s’opposer aux forces armées macédoniennes dans un combat apocalyptique au feu nourri, en plein milieu de cette municipalité majoritairement slave et orthodoxe, qui est la deuxième la plus peuplée du pays.
Au bout de 48 heures, les terroristes vont se rendre après un bain de sang où quatorze des leurs vont périr, ainsi que huit policiers macédoniens. Cette attaque surprise, d’ampleur inédite dans le sud des Balkans depuis les guerres de 1998 à 2001, se produisit comme par hasard le jour où le président macédonien Gjorge Ivanov avait bravé les ukases des atlantistes et osé se rendre à Moscou aux côtés de Vladimir Poutine pour célébrer le 70e anniversaire de la victoire sur la nazisme en 1945. Au Kosovo, les assaillants tués vont avoir droit à des funérailles en grande pompe et vont être considérés comme de véritables héros du nationalisme albanais.
Les 37 terroristes survivants arrêtés, quant à eux, vont quasiment tous être condamnés à de lourdes peines de prison. En réaction à cette décision, le gouvernement autoproclamé du Kosovo a promis, fin 2017, de débloquer un fonds d’urgence de 219.000 € pour venir en aide aux familles des terroristes tués ou incarcérés. Saluons, au passage, le travail réalisé par le journaliste albanais Parim Olluri qui a largement médiatisé et condamné cette incroyable affaire de soutien au terrorisme et qui s’est fait beaucoup d’ennemis dans sa propre communauté. Outre le scandale, il est important de souligner que cette somme est considérable pour une petite région où le salaire mensuel moyen est de 365 €, 60 % des jeunes sont au chômage et 10 % de la population vit avec moins d’un euro par jour.
Cela est d’autant plus ahurissant que le Kosovo ne doit sa survie qu’au soutien militaire et financier de Bruxelles et de Washington. Depuis 1999, le Kosovo a reçu de ses mentors 4,5 milliards d’euros, soit plus d’argent par tête d’habitant que l’Europe avec le plan Marshall, et l’Union européenne s’est d’ailleurs engagée sur un plan de subvention de 645,5 millions d’euros du Kosovo entre 2014 et 2020. L’accord de stabilisation et d’association signé entre l’Union européenne et le Kosovo stipule que « l’Union européenne continuera à aider le Kosovo à avancer sur la voie européenne grâce au processus de stabilisation et d’association, politique conçue par l’UE pour stimuler à la fois la coopération avec les pays des Balkans occidentaux et la coopération régionale ». Les contribuables français et européens seront heureux de savoir que cela signifie également que leurs impôts serviront à soutenir l’extrémisme albanais qui continue de tuer et de déstabiliser la région qui, aujourd’hui, plus que jamais, peut retomber dans la guerre.
http://www.bvoltaire.fr/lunion-europeenne-finance-terrorisme-kosovo/
Le réveil d’une activiste gauchiste pro-réfugiés : « pour l’Allemagne, c’est déjà trop tard »
Rebecca Sommer a fondé en 2012 l’association d’aide aux réfugiés Arbeitsgruppe Flucht + Menschen-Rechte (AG F+M). A la fin de l’été 2015, cette artiste, photographe et journaliste auteur de documentaires applaudissait la décision d’Angela Merkel d’ouvrir en grand les frontières de l’Allemagne aux « réfugiés » bloqués en Hongrie, malgré l’effet de pompe aspirante que cela devait créer.
« A ce moment-là, je voulais aider chaque personne et je croyais vraiment que tous ces gens fuyaient un enfer et se trouvaient dans la détresse la plus absolue », a expliqué l’activiste allemande dans une interview publiée par l’hebdomadaire conservateur polonais Do Rzeczy le 15 janvier dernier à qui elle à parlé de son réveil face à la réalité.
En 2015, son ONG comptait près de 300 bénévoles qui donnaient des cours d’allemand aux nouveaux arrivants. Si elle dit aujourd’hui n’avoir jamais été en faveur d’une immigration illimitée, avant sa prise de conscience la militante des droits de l’homme Rebecca Sommer n’en était pas moins très attirée par l’apport multiculturel de cette immigration de masse, comme le montre cet article publié en décembre 2015 par un journal berlinois et repris sur le site de l’ONG AG F+M.
Les agressions sexuelles de Cologne ont marqué le début du réveil des bénévoles
La prise de conscience de cette représentante typique des activistes droits-de-l’hommistes bien ancrés à gauche date de la Saint-Sylvestre 2015 à Cologne. Elle a bien dû reconnaître à ce moment-là, ainsi qu’elle l’avoue sans détour au site anti-islamisation polonais euroislam.pl, que les comportements des agresseurs nord-africains et moyen-orientaux de Cologne s’inscrivaient tout à fait dans la culture musulmane des nouveaux arrivants qu’elle avait elle-même rencontrés jusqu’ici : « C’est le moment où je me suis dit : “Rebecca, tu dois maintenant mettre le holà, ne serait-ce qu’en tant que militante pour les droits des femmes.” »
Auparavant, se justifie Rebecca Sommer, « Je croyais que [leur] vision moyenâgeuse allait changer avec le temps […] mais après avoir vu ces situations se répéter et avoir observé ce qui se passait autour de moi, bénévole, j’ai dû reconnaître que pour ce qui est des réfugiés musulmans, ils ont grandi avec des valeurs totalement différentes, ils ont subi un lavage de cerveau depuis l’enfance et sont endoctrinés par l’islam et n’ont absolument pas l’intention d’adopter nos valeurs. Pire encore, ils nous regardent, nous les infidèles, avec dédain et arrogance. »
Des réfugiés « arrogants » selon Rebecca Sommer
Dans son interview pour le site euroislam.pl, l’activiste pro-réfugiés précise que le mépris pour les modes de vie occidentaux et pour les femmes ne concerne pas que les musulmans pratiquants, mais la majorité de ceux qui ont grandi au sein de la culture musulmane. Elle parle aussi de sa grande déception quand elle s’est aperçue comment un groupe de « réfugiés » qu’elle avait personnellement aidés et qu’elle croyait être ses amis pratiquaient avec elle la taqqiya. « Je me suis brutalement aperçue que ces gens que j’avais aidés, qui mangeaient, buvaient, dansaient et riaient avec moi, qui ne priaient pas, qui n’allaient pas à la mosquée, qui ne respectaient pas le ramadan, qui se moquaient de la religion et des personnes profondément religieuses, ne m’appelaient pas autrement que « la stupide putain allemande » quand ils mangeaient ma nourriture et se reposaient dans mon jardin. » Elle reconnaît toutefois qu’elle avait été prévenue par des Arabes et des Kurdes arrivés eux aussi récemment en Allemagne justement pour fuir l’oppression musulmane.
Rebecca Sommer affirme ne pas être un cas isolé, que de nombreux autres bénévoles ont aussi eu cette même prise de conscience tardive et qu’il y a beaucoup moins de bénévoles prêts à travailler avec les nouveaux arrivants aujourd’hui en Allemagne. Elle reconnaît aussi que, par leur nombre, ces immigrants musulmans sont une menace pour le mode de vie des Allemands, et que cela va empirer avec le regroupement familial.
L’activiste Rebecca Sommer connaît personnellement des personnes qui s’apprêtent à émigrer d’Allemagne vers la Pologne pour fuir l’insécurité
Elle a d’ailleurs confié à l’hebdomadaire polonais Do Rzeczy connaître personnellement des Allemands qui s’apprêtent à émigrer en Pologne parce qu’ils en ont assez, et elle a ajouté : « Si la Pologne et la Hongrie ne cèdent pas sur cette question, vous pouvez devenir des pays vers lesquels s’enfuiront certains Allemands et Français. Vous pouvez devenir des îlots de stabilité en Europe. »
Des îlots de stabilité mais aussi de démocratie, car Rebecca Sommer constate aussi que la démocratie n’existe plus vraiment en Allemagne. Son réveil sur ce plan date également de l’épisode de Cologne, quand les médias n’ont pas pris la défense de la société allemande mais sont au contraire devenus partie intégrante d’un système malade, et quand la police, sous la pression des dirigeants politiques, a cessé d’informer les citoyens. Et la nouvelle loi allemande qui oblige les réseaux sociaux à bloquer les contenus prétendument haineux a accentué la censure. C’est ainsi que, quand la militante des droits de l’homme a voulu dénoncer des conversions forcées à l’islam en Indonésie, son compte a été bloqué. Ce n’est d’ailleurs sans doute pas un hasard si c’est à des médias polonais qu’elle se confie aujourd’hui, car quel média allemand accepterait-il de publier de tels propos ?
Le réveil d’une gauchiste pro-réfugiés face à l’islam
Le problème, pour Rebecca Sommer, c’est aussi que les Allemands ne cherchent pas du tout à imposer leurs propres normes aux nouveaux arrivants. « Nous avons un énorme problème avec la gauche et les Verts » pour qui « il n’y a pas de culture allemande ». Cette Berlinoise n’ose plus sortir seule pour la Saint-Sylvestre et elle a déjà été agressée cinq fois par des hommes parlant l’arabe !
Elle pense que pour l’Allemagne, c’est déjà trop tard, et elle compte émigrer pour sa retraite. L’islam politique est déjà présent partout, y compris au gouvernement, dans les partis politiques, dans la police et dans les écoles, et avec le regroupement familial des millions d’immigrants musulmans supplémentaires vont venir. Dans la capitale allemande où elle réside, des quartiers entiers sont déjà dominés par la communauté musulmane qui forme une société parallèle.
« Tous ceux qui vivent à Berlin et s’occupent des immigrants voient ce problème. La seule exception, ce sont ceux qui ne veulent tout simplement pas le voir parce qu’ils sont adeptes d’une idéologie et sont aveugles et sourds à la réalité », conclut Rebecca Sommer dans son entretien avec Do Rzeczy.
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http://grandfacho.com/reveil-dune-activiste-gauchiste-pro-refugies-lallemagne-cest-deja-tard/
Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, insécurité, lobby 0 commentaire« Réfugiés » musulmans, il s’agit bien d’une invasion
Le rapport Europe’s Growing Muslim Population édité par le Pew Research Center le 29 novembre 2018 montre l’évolution supposée de la population musulmane d’Europe selon plusieurs perspectives, notamment avec afflux de réfugiés.
Voici quelle est la situation en 2016 selon l’étude :
- Plus de 20 % de musulmans : Chypre (25,4 %).
- Plus de 10 % de musulmans : Bulgarie (11,1 %).
- Plus de 6 % de musulmans : France (8,8 %), Suède (8,1 %), Belgique (7,6 %), Pays-Bas (7,1 %), Autriche (6,9 %), Royaume-Uni (6,3 %), Allemagne (6,1 %), Suisse (6,1 %).
- Plus de 3 % de musulmans : Norvège (5,7 %), Grèce (5,7 %), Danemark (5,4 %), Italie (4,8 %), Slovénie (3,8 %), Luxembourg (3,2 %).
- Moins de 3 % de musulmans : Finlande (2,7 %), Espagne (2,6 %), Malte (2,6 %), Croatie (1,6 %), Irlande (1,4 %), Portugal (0,4 %), Hongrie (0,4 %), Roumanie (0,4 %), Estonie (0,2 %), Lettonie (0,2 %), Tchéquie (0,2 %), Lituanie (0,1 %), Slovaquie (0,1 %).
- Pas de musulmans :
Voici selon l’étude l’hypothèse du pourcentage de musulmans en 2050, perspective basse (frontières fermées sans re-migration) :
- Plus de 20 % de musulmans: Chypre (25,5 %).
- Plus de 10 % de musulmans : France (12,7 %), Bulgarie (12,5 %), Suède (11,1 %), Belgique (11,1 %).
- Plus de 6 % de musulmans: Royaume-Uni (9,7 %), Autriche (9,3 %), Pays-Bas (9,1 %), Allemagne (8,7 %), Italie (8,3 %), Suisse (8,2 %), Danemark (7,6 %), Norvège (7,2 %), Grèce (6,3 %).
- Plus de 3 % de musulmans : Espagne (4,6 %), Slovénie (4,3 %), Finlande (4,2 %), Luxembourg (3,4 %), Malte (3,2 %).
- Moins de 3 % de musulmans : Croatie (1,8 %), Irlande (1,6 %), Portugal (0,5 %), Hongrie (0,4 %), Roumanie (0,4 %), Estonie (0,2 %), Lettonie (0,2 %), Tchéquie (0,2 %), Lituanie (0,1 %), Slovaquie (0,1 %).
- Pas de musulmans :
Deuxième scénario étudié, hypothèse du nombre de musulmans dans une perspective moyenne en 2050 :
- Plus de 20 % de musulmans: Chypre (26,6 %), Suède (20,6 %).
- Plus de 10 % de musulmans : France (17,4 %), Royaume-Uni (16,7 %), Belgique (15,1 %), Norvège (13,4%), Italie (12,4 %), Danemark (11,9 %), Finlande (11,4 %), Allemagne (10,8 %), Autriche (10,6 %), Suisse (10,3 %).
- Plus de 6 % de musulmans: Malte (9,3 %), Bulgarie (9,2 %), Grèce (8,1 %), Luxembourg (6,7 %).
- Plus de 3 % de musulmans : Slovénie (5 %), Irlande (4,3 %).
- Moins de 3 % de musulmans : Portugal (2,5 %), Croatie (2 %), Hongrie (1,3%), Tchéquie (1,1 %), Roumanie (0,8 %), Estonie (0,8 %), Slovaquie (0,6 %), Lettonie (0,2 %), Pologne (0,2 %), Lituanie (0,1 %).
Troisième scénario étudié, déstabilisation des derniers pays musulmans stables (en particulier Algérie et Egypte), annonçant un flot de réfugiés :
- Plus de 30 % de musulmans : Suède (30,6 %).
- Plus de 18 % de musulmans : Chypre (28,3 %), Autriche (19,9 %), Allemagne (19,7 %), Belgique (18,2 %), France (18 %).
- Plus de 12 % de musulmans : Royaume-Uni (17,2 %), Norvège (17 %), Malte (16,2 %), Danemark (16 %), Pays-Bas (15,2 %), Finlande (15 %), Italie (14,1 %), Suisse (12,9 %).
- Plus de 6 % de musulmans: Bulgarie (11,6 %), Luxembourg (9,9 %), Grèce (9,7 %), Espagne (7,2 %).
- Plus de 3 % de musulmans : Slovénie (5,2 %), Hongrie (4,5 %), Irlande (4,4 %).
- Moins de 3 % de musulmans: Portugal (2,5 %), Croatie (2,1 %), Tchéquie (1,2 %), Estonie (1 %), Roumanie (0,9 %), Slovaquie (0,7 %), Lettonie (0,4 %), Lituanie (0,2 %), Pologne (0,2 %).
Hristo XIEP
http://www.medias-presse.info/refugies-musulmans-il-sagit-bien-dune-invasion/87412/
La Hongrie veut taxer les ONG soutenant l’immigration illégale
Hongrie – Le gouvernement hongrois a annoncé sa volonté d’introduire un ensemble de lois visant à taxer les ONG soutenant l’immigration illégale et à utiliser cet argent pour renforcer la protection des frontières. Cette nouvelle étape fait suite aux bons résultats de la consultation nationale sur le plan Soros, sur laquelle 2,3 millions de citoyens hongrois ont donné leur point de vue, quasi-unanimement favorable au gouvernement dans sa lutte contre l’influence des réseaux mondialistes de George Soros.
Voici la note publiée par le Bureau international de la communication du gouvernement hongrois :
« Le point de vue du gouvernement hongrois est que l’immigration de masse illégale est un problème qui affecte l’Europe dans son ensemble, ce qui pose de sérieux risques pour la sécurité et peut aussi affecter l’avenir du continent pendant plusieurs décennies.
Étant en première ligne, la Hongrie est particulièrement exposée aux effets de l’immigration de masse : le nombre d’immigrants entrant dans l’Union européenne à travers le pays avait atteint quatre cent mille en un an.
Le gouvernement hongrois s’oppose à l’immigration illégale par tous les moyens possibles. Nous devons renforcer la sécurité des citoyens. Notre objectif est que l’Europe continue d’être le meilleur endroit sur Terre pour vivre. Dans l’esprit de cette vision, le gouvernement a présenté un ensemble de projets de loi au Parlement.
Les dispositions les plus importantes sont les suivantes :
– Toute organisation qui soutient l’immigration illégale en utilisant des ressources financières étrangères sera enregistrée et obligée de rendre compte de son activité.
– Une taxe sera imposée sur le financement étranger des organisations soutenant l’immigration clandestine. Ce revenu public sera investi dans la protection des frontières.
– Il sera possible d’émettre des injonctions contre ceux qui participent à l’organisation de l’immigration clandestine. En substance, de telles injonctions s’appliqueront dans toute zone située à moins de 8 kilomètres de la frontière Schengen. Dans des cas spéciaux, un citoyen de pays tiers pourra être soumis à une injonction restrictive n’importe où en Hongrie. Cette mesure restera en vigueur jusqu’à la fin de la crise migratoire.
Les consultations nationales de l’année dernière ont montré l’opinion presque unanime des citoyens hongrois, légitimant ainsi le gouvernement pour agir en ce sens : 1,7 million de personnes ont pris part et exprimé leur avis lors d’une consultation nationale au printemps dernier, alors que 2,3 millions l’ont fait l’automne dernier. D’après les résultats, les Hongrois veulent que l’immigration clandestine soit traitée une fois pour toutes. Ils demandent une protection renforcée des frontières au lieu de la relocalisation de migrants. Le gouvernement est également soutenu par les 3,3 millions de personnes qui ont rejeté la réinstallation par quotas des immigrants illégaux lors d’un référendum national en octobre 2016.
Le gouvernement hongrois est prêt à participer à des discussions ouvertes sur les projets de loi. Il remplit ses obligations internationales, tout en adoptant des mesures démocratiques pour contrer les activités dommageables des réseaux internationaux qui menacent la sécurité de la Hongrie en organisant l’immigration illégale. »
http://www.medias-presse.info/la-hongrie-veut-taxer-les-ong-soutenant-limmigration-illegale/87394/