Europe et Union européenne - Page 661
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Zoom - Marek Jurek (député européen) : « Les Polonais ont décidé de rompre le système libéral »
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Marine Le Pen : l’Union européenne “est une passoire à gros trous” pour les produits comme pour l’immigration
Après François Fillon, Jean-Luc Mélenchon ou encore Benoît Hamon, Marine Le Pen était d’être l’invitée ce lundi de la matinale spéciale présidentielle de 7h30 à 9 heures.
Si Marine Le Pen est élue, elle proposera dans un délai de six mois un référendum sur le maintien dans la zone Euro. Avec un enjeu très clair. “Si c’est non, je partirai“, assure-t-elle.
Les Français auront choisi un modèle de gouvernance imposé par l’Union européenne et 70% de mon projet ne pourrait pas être mis en œuvre. Et je leur laisserai la possibilité de se choisir un nouveau président.
Pour Marine Le Pen, “il est évident que la France a un héritage chrétien. C’est une réalité. Et cet héritage appartient à tous les Français, quelle que soit leur croyance“, assure Marine Le Pen.
Il faut accepter l’intégralité de l’histoire de France. C’est l’héritage chrétien, romain, grec. C’est une structuration de notre pensée, de nos institutions. C’est refuser de faire le tri dans cette histoire. On ne trie pas, comme le font certains, comme M. Macron. C’est avoir des codes communs, se scandaliser pour les mêmes choses.
Par ailleurs, Marine Le Pen condamne avec fermeté les prières de rue de musulmans de Clichy-La-Garenne privés de lieux de culte.
Je trouve ça profondément scandaleux. C’est une violation de la loi et une provocation. On peut réclamer des choses, mais quand on ne les obtient pas, on n’organise pas des manifestations de ce type.
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Selon un sondage, une majorité d'Européens veulent une interdiction de l'immigration venant des pays musulmans
Un sondage mené par le think tank britannique Chatham House révèle que 55% des Européens veulent que l'immigration en provenance de pays musulmans soit stoppée.Une étude réalisée par le think tank britannique Chatham House, également connu sous le nom de Royal Institute of International Affairs, démontre que 55% des Européens veulent une interdiction de l'immigration venant des pays de confession musulmane, rapporte The Independent.Les Français favorables à une interdictionLe sondage, réalisé auprès de dix pays européens avant que le président américain Donald Trump ne signe son décret interdisant l'entrée sur le territoire des Etats-Unis aux ressortissants de sept pays musulmans, révèle en outre que huit sur dix des pays consultés sont opposés à cette immigration.Dans le détail, la Pologne est le pays où cette opposition est la plus forte, avec 71% des Polonais favorables à cette interdiction. Viennent ensuite l'Autriche (65%), la Hongrie (64%), la Belgique (64%) et la France (61%). Les Britanniques, eux, sont 47% à être favorables à ce genre de blocage.L'Espagne, plus fort taux de désapprobationA noter que seuls 16% des Français se disent opposés à une telle mesure, contre 32% des Espagnols. L'Espagne est le pays interrogé où l'idée d'une interdiction de l'immigration musulmane rencontre le plus faible taux d'approbation (41%).L'étude des résultats par catégorie d'âge démontre que les personnes les plus âgées sont les plus favorables à une interdiction de l'immigration des musulmans, tandis que les moins de 30 ans y sont les plus opposés. -
Succès de la Marche pour la vie à Bruxelles
3000 fleurs déposées pour défendre les fleurs coupées avant de naître, devant le palais de justice:
Stéphane Mercier, le philosophe fustigé par l'Université catholique de Louvain pour avoir osé dire la réalité de l'avortement témoigne :
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Marine Le Pen, François Fillon et la « clause Molière »
A la une du quotidien l’Opinion de ce matin, ce dessin de Kak, sur Marine Le Pen et François Fillon conversant de la « clause Molière ». Le journal publie une étude de l’Ifop pour la Fondation Jean-Jaurès indiquant que 43 % des ouvriers voteraient pour Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle !
« La gauche, écrit Béatrice Houchard, qui atteignait 66 % des suffrages en 1981 lors de l’élection de François Mitterrand, a bel et bien perdu les ouvriers au profit du Front national : en 2017, près d’un ouvrier sur deux (43 %, selon les études de l’Ifop) est tenté par un vote en faveur de Marine Le Pen. Environ 17 % se tourneraient vers Emmanuel Macron, 15,5 % vers Jean-Luc Mélenchon, 12 % vers Benoît Hamon et seulement 8 % vers François Fillon. En 2012, l’année de sa défaite, Nicolas Sarkozy avait tout de même atteint 14 % au sein de cet électorat. »
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Orly, Londres, Anvers : La logique terroriste de l'islam
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Le Freespeechbus, contre l'idéologie du gender, dérange les extrémistes LGBT
Depuis début mars, un bus de l’association HazteOir parcourt les routes d’Espagne en rappelant les simples caractéristiques physiques d’un garçon et d’une fille. Une façon comme une autre de lutter contre l’idéologie du genre… mais l’association est accusée d’homophobie et d’incitation à la haine – le bus a été violemment caillassé à Pampelune mardi.
Le même bus, mis en place par le National Organization for Marriage, a été vandalisé à New York :
Brian Brown explique dans cette vidéo en anglais l'intérêt de cette campagne (à laquelle Le Salon Beige participe).
Ou comment un simple bus parvient à déranger les militants LGBT. Toute la presse étrangère en parle.
Ignacio Arsuaga, président de l’association HazteOir, (« Fais-toi entendre », en espagnol), explique à Anne Isbeth dans Présent :
"Notre campagne, « The Bus of Freedom » (Le bus de la liberté), fait référence à l’existence, dans dix communautés autonomes ou régions d’Espagne, de lois faisant la promotion d’un modèle affectif et sexuel particulier, spécifiquement de l’idéologie du genre, pour tous les élèves de toutes les écoles. Il est évident que ces lois violent le droit fondamental des parents à éduquer leurs enfants conformément à leurs convictions et leurs valeurs.
Pourquoi faire cette campagne maintenant ?
La campagne a débuté en novembre avec la sortie du livre Savez-vous ce qu’ils veulent enseigner à votre enfant à l’école ? Les lois d’endoctrinement sexuel en font partie. Début mars nous avons lancé « The Bus of Freedom » parce que ces lois dont nous parlons vont être renforcées l’an prochain. Donc, ces mois sont décisifs pour informer la société espagnole de ce problème, spécialement les parents."
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La Commission européenne cherche à créer en Pologne un précédent dangereux
Un conflit et un projet de réforme où le commissaire Timmermans prend parti pour l’opposition sans être citoyen du pays ni même en connaître la langue.
Le socialiste hollandais Frans Timmermans ne baisse toujours pas les bras. Comparaissant mercredi devant la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures du Parlement européen, il a affirmé vouloir que le Conseil de l’Union européenne, et donc les ministres des nations membres de l’UE, s’occupent de la situation de la démocratie et de l’État de droit en Pologne.
Parmi les domaines dans lesquels Timmermans souhaite exercer des pressions sur Varsovie, il y a notamment le conflit autour du Tribunal constitutionnel polonais entre la majorité parlementaire du parti conservateur Droit et Justice (PiS) et son opposition libérale. Il y a aussi le projet de réforme du Conseil national du pouvoir judiciaire (Krajowa Rada Sądownictwa), selon lequel ce sera désormais le Parlement, et non plus les juges, qui en choisira les membres. Un conflit et un projet de réforme où le commissaire Timmermans prend parti pour l’opposition sans être citoyen du pays ni même en connaître la langue.
Certes, Timmermans a aussi affirmé ne pas vouloir dès maintenant engager une procédure de sanction au titre de l’article 7 du traité de l’Union européenne (qui suspendrait, entre autres, les droits de vote de la Pologne au sein des institutions européennes), dont il estime qu’elle serait contre-productive pour le moment. Bien évidemment, car pour engager une telle procédure, il faut l’unanimité (hormis le pays incriminé) et la Commission sait déjà que la Hongrie s’y opposera, et sans doute aussi plusieurs autres pays.
Mais le commissaire voudrait que les États membres de l’Union l’assistent dans ses pressions et fassent fléchir le gouvernement polonais.
Les traités européens ne prévoient l’application de la Charte des droits fondamentaux que dans le domaine d’action des institutions de l’Union européenne ? Qu’à cela ne tienne, M. Timmermans nous explique que, sans respect de l’État de droit dans un pays membre, ces traités de l’Union européenne ne peuvent pas s’appliquer correctement et que, donc, toute atteinte supposée à l’État de droit à l’intérieur d’un des pays de l’Union européenne entre dans sa sphère de compétence. Par le biais du Hollandais Frans Timmermans, la Commission européenne cherche donc à créer un dangereux précédent qui lui permettrait de décréter en toute occasion et de manière arbitraire quels sont les gouvernements nationaux qui respectent leur propre État de droit et quels sont ceux qui ne le respectent pas. Une manière, pour la Commission européenne, de se transformer en une sorte de Cour constitutionnelle suprême dont les verdicts, s’ils sont appuyés par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), pourront s’imposer aux législateurs nationaux.
Pourtant, si les électeurs polonais décident, comme Timmermans, que le gouvernement du PiS a bien violé l’État de droit, ils pourront le sanctionner dans les urnes. S’ils estiment que l’actuelle majorité parlementaire menace la démocratie en cherchant, conformément à ses promesses électorales, à réformer l’institution judiciaire polonaise dans son ensemble, ils se choisiront une autre majorité en 2019. Mais que pourront-ils faire s’ils estiment majoritairement que c’est la Commission européenne qui a eu tort dans ce dossier ? Rien. Et c’est là toute la différence entre une démocratie et une dictature.
http://www.bvoltaire.fr/commission-europeenne-cherche-a-creer-pologne-precedent-dangereux/
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La Vérité sur les Attaques Terroristes de Londres (VOSTFR)
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ANORMAUX ? FOUS ? DESEQUILIBRES ?…MAIS BARBUS !
Pieter Kerstens
Ceux qui gouvernent les pays d’Europe et les médias à leurs ordres tentent depuis des années de nous convaincre que les émules de Kaled Kelkal, de Mohammed Merah ou Medhi Nemmouche n’ont pas tout leur esprit et seraient des « dérangés mentaux ». Ceci évidemment pour esquiver l’origine des problèmes et réfuter ce que tout le monde a bien compris depuis belle lurette.
Ces erreurs de diagnostic de la part des ministres et responsables de la sécurité de nos concitoyens ont conduit à des centaines de morts et des milliers de blessés, victimes d’agressions et d’attentats barbares ; responsables qui se sont réfugiés derrière la société citoyenne, le « Padamalgam », le « Vivre ensemble » et le « Cépalislam ».
Déjà dans un précédent article du 3/10/2014, intitulé « Djihadistes calibre 2014, version brigadistes 1936 », analysant les conséquences des révolutions de « jasmin » et l’intervention européenne en Irak et en Syrie, je concluais de la manière suivante :
« Maintenant, il est légitime de s’inquiéter en conséquence de ce qui pourrait se produire à l’avenir dans nos banlieues. Ces 751 Zones Urbaines Sensibles et ces 64 Zones de Sécurité Prioritaires, en France, où des dizaines de milliards d’euros ont été déversés depuis 20 ans, au nom de la « Politique de la Ville » ou du « Vivre Ensemble » par des ministres imbéciles qui, de Bernard Tapie à Najat Vallaud-Belkacem, pensaient acheter la paix sociale dans les quartiers…Mais qu’en sera-t-il, lorsque quelques « têtes brûlées » décideront d’imiter Merah ou Nemmouche, pour la plus grande gloire d’Allah ?
Quand on n’est pas capable chez nous, de maintenir l’ordre dans les quartiers, on ne va pas là-bas, bombarder les barbus, chez eux !
Et pour ceux (ou celles) qui croient encore aux étrennes apportées par Saint-Nicolas ou par le Père Noël, voici un message de paix, d’amour et de tolérance en provenance directe des islamistes :
« La meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés », a déclaré Abou Mohamed al-Adnani, dans un message audio, diffusé le lundi 22 septembre 2014.
« Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif, ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le » poursuit-il.
C’est pourquoi et dès aujourd’hui, vous regarderez 3 fois avant de traverser la rue ! »
Depuis, les évènements se sont enchaînés : tuerie de « Charlie hebdo », fusillades du vendredi « noir » 13 novembre 2015 à Paris, attentats à Bruxelles en mars 2016, carnage à Nice, tuerie avec un camion à Berlin, etc. jusqu’à ces derniers jours avec l’agression à Orly, ensuite à Londres et hier à Anvers où là aussi, un « ivrogne illuminé » a essayé d’écraser des piétons avec sa voiture.
Les faits sont incontestables et cela fait des années que nos politicards s’obstinent à ignorer une évidence qui crève les yeux :
Tous les immigrés ne sont pas musulmans.
Tous les musulmans ne sont pas des terroristes.
Mais tous les terroristes sont musulmans.
Ces attaques répétitives sont commises par des fanatiques religieux au nom d’Allah le Tout Puissant et Très Miséricordieux. Ces guerriers du Djihad doivent être éliminés par tous les moyens et il serait opportun que les responsables politiques et ceux en charge de la Loi et l’Ordre prennent des mesures radicales pour faire face à ce constat irréfutable : l’Islam est incompatible avec notre civilisation européenne, comme en témoigne l’Histoire tout au long des siècles !
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