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Europe et Union européenne - Page 661

  • Pierre Lellouche : Du jamais-vu - une loi américaine transcrite dans le droit français !

    Pierre Lellouche, député de Paris, préside la mission d’information sur l’extraterritorialité du droit américain, mission créée en mars 2016 par les commissions des affaires étrangères et des finances de l’Assemblée nationale.

    Le rapport de cette mission a été présenté le 5 octobre dernier à ces deux commissions.

    Pierre Lellouche donne quelques exemples de cette instrumentalisation du droit au seul profit des intérêts des États-Unis et, évidemment, aux dépens des nôtres.

    http://www.bvoltaire.fr/pierrelellouche/du-jamais-vu-une-loi-americaine-transcrite-dans-le-droit-francais,289872

  • Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°448

  • La Bombe de Wikileaks dont vous n'avez jamais entendu parler (VF)

  • GPA : le gouvernement refuse de faire appel de la décision de la CEDH

    Huit heures après la fin du délai pour faire appel de la décision de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, les Gavroches dénonçaient ce matin, devant le Ministère des Affaires Sociales et de la Santé, l’inaction de notre GouverneMENT concernant la GPA.

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    Michel Janva

  • Le lobby de la haine et les vestiges historiques

    Bernard Plouvier

    La menace en était agitée depuis des années. C’est désormais officiel : le gouvernement autrichien veut exproprier les possesseurs de la vieille (et superbe) bâtisse où naquit, le samedi-saint 20 avril 1889, vers 17 heures, Adolf Hitler, soit le site de l’hôtel-auberge Zum Pommer (au Poméranien) de Braunau sur Inn.

    On comprendrait fort bien que des édiles veuillent démolir un bâtiment insalubre, menaçant ruine, gênant l’édification d’un beau projet d’urbanisme. Ce n’est absolument pas le cas. Officiellement, le but de cette destruction d’un monument historique, datant du XVIIIe siècle, est d’empêcher l’afflux de néo-nazis… soit un pèlerinage annuel d’une centaine d’individus sur une planète qui en compte plus de 7 milliards !

    Pourtant, viennent surtout visiter les sites fréquentés par Adolf Hitler, à Linz, Vienne, Munich ou Berlin, des historiens, en plus des inévitables badauds, ceux-là mêmes qui en font autant avec les lieux hantés par n’importe quelle célébrité du show-business.

    Depuis le début des années 1980, et de façon parallèle à une nouvelle campagne de réclamations tous azimuts d’indemnités-réparations-restitutions ou pour l’établissement (aux frais des contribuables) de multiples lieux de culte et d’entretien du devoir de mémoire, au titre de la Shoah, l’on constate une reprise d’activité du lobby de la haine.

    C’est bien sûr un lobby « qui n’existe pas ». Pas plus qu’il n’a existé de « syndicat dreyfusard », de « judéo-bolchevisme », ou qu’il n’existe de lobby sioniste orientant la politique étrangère des USA (du moins avant l’arrivée aux apparences du Pouvoir du crypto-islamiste Barack-Hussein Obama).

    On a donc relancé la campagne de haine vis-à-vis d’authentiques hommes de sciences qui furent des nazis, par l’effet de leur patriotisme : on pense à l’éthologue Konrad Lorenz, à l’épidémiologiste et infectiologue de grand talent Hans Reiter ou à l’anatomo-pathologiste mondialement connu en son temps Robert Roessle. La musique de Richard Strauss est toujours honnie en Israël et la mémoire de Karajan régulièrement insultée par des minables qui n’ont pas le quart du talent dont faisait preuve ce grand chef.      

    La haine se fait désormais destructrice. Après la maison natale du Führer, on en viendra à détruire l’aire des Congrès du NSDAP à Nuremberg, les brasseries munichoises où il a parlé, tel hôtel où il a séjourné.

    Dans tout cela, qui s’intéresse aux générations futures ? Détruire des témoignages du passé, ce fut toujours et partout une absurdité. Les Talibans ont détruits les représentations géantes du Bouddha en Afghanistan.

    De nos jours, en Europe danubienne, on va détruire une vieille demeure, admirablement restaurée et solide (au point que les vandales veulent en conserver les fondations), pour assouvir une haine de représentants autoproclamé d'un peuple qui se croyait et se proclamait seul « élu d’un dieu », la haine d’un peuple qui se proclame de « race pure et sainte »… c’est le genre de délire que l’historien des années 1919-1945 connaît fort bien, trop bien même pour comprendre qu’on puisse encore enseigner de telles inepties. C’est pourtant ce que l’on apprend aux jeunes et aux moins jeunes qui fréquentent (en stricte séparation des sexes) les Yechivot ou écoles talmudiques.

    Le racisme débouche immanquablement sur l’endogamie et les génocides. N’importe quel lecteur de l’Ancien Testament peut aisément s’en rendre compte et nul ne doit l’ignorer. En revanche, détruire des vestiges historiques est pure absurdité. Ce n’est pas en vandalisant le patrimoine culturel de notre continent que l’on va lutter contre la bêtise, contre les conduites potentiellement criminelles.

    On annihile les errements du passé par la compréhension du contexte, la réflexion éthique, enfin par la modification des comportements individuels et collectifs. Dans tout cela, il n’y a aucune place logique et raisonnable pour le vandalisme architectural.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Camouflet polonais à l’Union européenne

    La chronique de Philippe Randa

    « Mais de qui se moque la Pologne en achetant des hélicoptères américains ? » titre La Tribune… Est-il besoin de préciser ? Oui, et donc, la réponse est : « Mais c’est… bien sûr ! de l’Union européenne ». De qui d’autre ?

    C’est bel et bien un magistral bras d’honneur des Polonais qui, non seulement annulent une commande d’hélicoptères à Airbus, mais annoncent surtout que c’est pour acheter désormais… du matériel américain !

    « Cette décision reflète d’abord la défiance de la Pologne, gouvernée depuis octobre 2015 par le Parti Droit et Justice (PiS), nationaliste et conservateur, à l’égard du couple franco-allemand. Ce n’est pas le premier point de divergence : la construction du gazoduc Nord Stream II ; l’accueil des réfugiés et leur répartition entre États membres ; ou encore les garanties apportées aux contre-pouvoirs en Pologne sont autant de sujets de tension… », explique Cyrille Bret, maître de conférences à Sciences Po et cofondateur du site EurAsia Prospectives.

    « Nous allons ouvrir des entretiens qui s’achèveront avant la fin de l’année », a ainsi déclaré le ministre polonais de la Défense Antoni Macierewicz qui enfonce le clou en ajoutant lors d’un point de presse à l’issue d’une rencontre avec la direction des usines PZL Mielec (sud-est) qui appartiennent à Lockheed Martin : « Cette année encore les premiers appareils de ce type seront livrés aux forces spéciales pour leur permettre de s’exercer… »

    « Décision inacceptable » pour notre ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, « Choix préoccupant par rapport à la conception de la défense européenne » s’étrangle Manuel Valls ou encore fureur de François Hollande qui alerte les pays européens sur les dangers de n’acheter que des armes américaines…

    Qu’à cela ne tienne, le camouflet est réel et, malgré mauvais cœur et mauvaise fortune, l’Union européenne est bien obligée de manger son chapeau (fabriqué à Taïwan ?).

    Lire aussi EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Union européenne : les gémissements du fantôme

    L’Union européenne pourrait s’auto-détruire et c’est inacceptable pour un certain nombre de responsables politiques, qui, selon l’expression du président du conseil européen Donald Tusk ont, décidé de « reprendre le contrôle ».

    La rentrée est bien délicate pour les dirigeants européens : rien ne va plus au sein de l'Union, et cette construction européenne, si ardemment désirée par certains au point d'avoir autorisé toutes les compromissions, tous les mensonges, toutes les tricheries, paraît aujourd'hui dans l'impasse. Pire ! Ils n'avaient pas fière allure, en cette mi-septembre, en se retrouvant pour le sommet de Bratislava. Pensez ! le Brexit, la présidentielle autrichienne, l'opposition qui gronde et progresse un peu partout, à commencer par l'Allemagne ; la construction européenne paraît se déliter plus vite que ne se démaillait la toile de Pénélope ! Alors, contre mauvaise fortune, nos politiques s'essayaient à faire bonne figure. L'inénarrable François Hollande, qui n'en peut manifestement plus d'accumuler les casseroles alors qu'il ambitionne de moins en moins secrètement de se succéder à lui-même, affirmait à la veille dudit sommet que le choix qui se posait à eux était « soit la dislocation, soit la dilution, soit c'est au contraire la volonté commune de donner un projet à l'Europe »...

    La question nationale

    Angela Merkel, quant à elle, n'a pas hésité à souligner que l'Union européenne était dans une « situation critique », en l'appelant à « mieux faire ». Et pour cela, elle a en quelque sorte, parmi d'autres idées, enterré la question européenne des quotas de migrants. Il est loin le temps où Bruxelles devait être l'inspiratrice des États-membres. C'est bien la question nationale, il est vrai multipliée par autant de pays qu'en compte l'Union, qui prévaut désormais.

    Mais détricoter ce qui a été fait n'a jamais constitué une politique, mais plutôt signé son échec. Jean-Claude Juncker en a bien conscience qui a voulu prononcer un « discours sur l'état de l'Union » offensif.

    Le président de la Commission européenne ne manquait pas de courage en cela. Car, à défaut d'une vision qui paraît manquer étrangement à tous ces responsables politiques, il faut une forte dose d'imagination et de bonne volonté pour évoquer, sans trembler, l'état européen actuel.

    Un plan B pour Juncker

    Car, pour satisfaire d'abord les États-membres de l'est, il faut convenir que leur situation, en première ligne migratoire, est loin d'être facile. Et accepter donc d'entendre leurs objurgations qui paraissent rimer avec Europe des nations. Même si la rime doit s'avérer pauvre...

    La Hongrie vient d'ailleurs de confirmer cette démarche, quelque critique que se permettent d'aucuns du scrutin, en votant contre la politique migratoire de Bruxelles. Ses voisins du groupe de Visegrad font depuis des mois chorus. Et Angela Merkel lâche donc du lest.

    La tâche de Jean-Claude Juncker n'était donc pas aisé, d'autant que le ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, Jean Asselborn, envisage tout bonnement d'exclure la Hongrie de l'Union européenne. On n'est jamais trahi que par les siens...

    Le président de la Commission européenne nous a donc proposé, en quelque sorte, un plan B, jusqu'ici décrété inexistant. Mais ce plan B, à la façon du traité de Lisbonne succédant au projet de Constitution européenne, ressemble furieusement au plan A, saupoudré de quelques formules destinées à calmer les ardeurs colériques, voire belliqueuses de certains.

    De ce point de vue, le discours catastrophiste d'Angela Merkel va dans le même sens - jusque dans l'expression. Quand Donald Tusk évoque faiblesse et chaos, Jean-Claude Juncker parle de menace. En clair, tout trois s'entendent sur la situation critique de l'Union européenne.

    Il faudrait être naïf pour croire que cette dramatisation tendait à satisfaire certains esprits eux aussi critiques. Le discours, rodé depuis des décennies, et manifestement emprunté à certaine logorrhée soviétique, ne varie guère : si l'Union européenne va mal, c'est qu'il faut davantage d'Union européenne. Et tant pis pour les Britanniques. Et, songe sans doute François Hollande, pour Nicolas Sarkozy...

    La colère des Italiens

    Dans cette atmosphère quasi médicale, beaucoup n'auront sans doute pas prêté attention aux protestations de Matteo Renzi. Le président du Conseil n'a pas caché sa déception de voir que ce nouveau sommet n'avait, en définitive, et une fois de plus, rien changé. Et refusé, pour ce motif, de participer à la conférence de presse que donnaient Angela Merkel et François Hollande.

    « Je ne peux pas prendre part à la conférence de presse conjointe avec le chancelier allemand et le président français, parce que je ne partage pas leurs évaluations », a-t-il déclaré. « S'ils sont satisfaits des résultats, je suis heureux pour eux. » Devant la satisfaction manifestée par ses collègues, il ajoute : « Dire que le document d'aujourd'hui est un pas en avant sur la question des migrants relèverait de l'imagination ou de l’acrobatie verbale. » Et d'ajouter : « Je ne sais pas à quoi Angela Merkel se réfère quand elle parle de "l'esprit de Bratislava". »

    « Si les choses continuent ainsi, conclut-il auprès de nos confrères du Corriere della Sera, au lieu de l'esprit de Bratislava, nous parlerons du fantôme de l'Europe. »

    Hugues Dalric monde&vie 12 octobre 2016

  • Signez la pétition "Mum, Dad & Kids" !

    http://www.mumdadandkids.eu/fr

  • Allemagne : des migrants ont pris le contrôle d’une petite ville

    La maire de Garmisch-Partenkirchen, une petite station de ski bavaroise, a demandé de l’aide à l’État de Bavière pour gérer une« situation explosive » créée par une recrudescence de criminalité de la part des migrants. Elle expose la situation de la ville dans une lettre qui a fuité dans la presse.

    En effet, la maire, issue du parti social-démocrate SPD, se plaint de « très graves problèmes » et écrit que « l’ordre public et la sécurité » sont mis en danger s’il n’y a pas d’action rapide. Dans la ville, le Centre Abrams, anciennement une caserne de l’armée américaine, héberge aujourd’hui environ 250 demandeurs d’asile. Si l’année dernière la plupart d’entre eux étaient des familles syriennes, aujourd’hui environ 150 sont d’origine africaine, et 80% sont des jeunes hommes seuls. « La situation s’empire de plus en plus depuis plusieurs semaines autour du centre d’enregistrement Abrams », écrit-elle. Les occupants actuels de l’installation sont devenus« problématiques » et posent des problèmes à « l’ordre public ».

    La presse locale a rapporté des affrontements, des agressions contre les biens et les personnes, ainsi que des agressions sexuelles, notamment au sein du centre. Les plaintes des riverains se multiplient, et la maire précise qu’elles ne viennent pas de groupes d’extrême-droite. « Ils nous expriment leurs difficultés. Il y a de très graves problèmes avec les réfugiés à Garmisch-Partenkirchen. »

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • L’Europe est une prison dont on ne sort pas sans en payer le prix

    De quel endroit ne peut-on sortir sans en payer le prix ? Demandez à un Tchèque ou à un Polonais, il vous répondra, ils ont déjà vécu ça.

    « Si je commence à faire des concessions sur la liberté de circulation, alors un autre État membre, demain, viendra dire « Moi aussi, je ne veux pas autant de travailleurs bulgares et roumains », et puis un deuxième, et puis un troisième, cette fois un pilier de la construction européenne, et nous fermerons tous nos frontières et il n’y aura plus d’Europe. »

    Cette phrase prononcée le week-end dernier par Angela Merkel à l’adresse de Theresa May mérite notre attention.

    L’emploi du « Je » indique clairement que c’est la chancelière allemande qui, désormais, est à la baguette, c’est clair et net. Était-ce prévu dans les traités ? Avons-nous voté pour ça ? Bien évidemment non. Comme il est loin, le temps où Mitterrand et Helmut Kohl marchaient main dans la main. Premier enseignement, donc : aujourd’hui, le couple franco-allemand n’existe plus, c’est pour la France un échec terrible.

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