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Europe et Union européenne - Page 664

  • Sortir de l'euro ? Le débat doit s’ouvrir

    De François Billot de Lochner :

    "La question de l’euro est devenue dogmatique : y rester est une saine évidence qui ne se discute pas, en sortir est une aberration traduisant une déficience mentale, voire des tendances fascisantes. Les élites politico-médiatiques ferment ainsi la porte à toute discussion sereine sur le sujet. À l’exception de Marine Le Pen, tous les leaders des grands partis politiques affichent leur détermination sans faille : l’euro est un acquis définitif. Et pourtant…

    Si l’euro était la huitième merveille du monde, pourquoi tant de grands économistes, à peu près ignorés par le Système, démontrent-ils implacablement que la mise en place de l’euro fut une aberration économique, et que son maintien ne pourra durer ? Stiglitz, prix Nobel d’économie, économiste mondialement reconnu ; Sapir, grand économiste de gauche, unanimement respecté ; Gave, grand économiste de droite, non moins respecté ; Lauzun, économiste de renom, ex-Délégué général de l’Autorité des marchés financiers ; et tant d’autres…Ces économistes, qui savent de quoi ils parlent, sont formels : l’euro finira mal.

    Si l’euro était la huitième merveille de la France, pourquoi la totalité des indicateurs économiques de notre pays se sont-ils effondrés à partir du début du siècle, date de sa mise en place ? La croissance, la dette publique, le budget de l’état, le chômage, le commerce extérieur, l’industrie, l’agriculture : tout s’est écroulé à une vitesse inédite. Les journalistes économiques, qui sont souvent à l’économie ce que Macron est à la culture, ne voient aucun rapport entre cette situation calamiteuse et l’euro. L’idéologie, sur ce sujet comme sur tant d’autres, les aveugle.

    Les calculs du coût d’une sortie de l’euro, réalisés par le système politico-médiatique, sont généralement totalement erronés, et occultent totalement le second et si nécessaire calcul du coût du maintien de l’euro, coût véritablement pharaonique, que nous continuerons de payer à guichet ouvert.

    Le débat sur l’euro doit donc s’ouvrir dans la sérénité, sur les fondements d’analyses réelles, non faussées par l’idéologie. À cet égard, certains organismes influents, comme le Medef, ou certains journaux à fort tirage, comme Le Figaro ou les Echos, s’honoreraient s’ils faisaient preuve, sur ce sujet capital, de plus d’objectivité, et s’ils travaillaient plus à fond ce dossier. Car les candidats à la présidentielle ne peuvent être valorisés ou jetés aux orties, de façon définitive et non argumentée, selon qu’ils sont pour le maintien de l’euro ou pour son abandon. Le sujet mérite un traitement de meilleure qualité, puisque l’avenir de notre pays en dépend, d’une certaine façon."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Zoom - Massimo Magliaro : « L’epopée de la droite nationale italienne »

  • Au royaume de Norvège, on est fier d’expulser les délinquants étrangers !

    La Norvège expulse les délinquants étrangers et elle n’en a pas honte : elle en est fière, avec simplicité et sans aucun complexe ! Depuis octobre 2013, le royaume de Norvège est dirigé par un gouvernement de coalition entre le Parti conservateur et le Parti du progrès, ce dernier étant qualifié en France de « populiste ».

    Sylvi Listhaug, du Parti du progrès, y est ministre de l’Immigration et de l’Intégration, après avoir été ministre de l’Agriculture. Sa communication (ci-dessous) est d’une limpidité à ravir les honnêtes gens :

    « Une vie plus simple pour plus de gens. Presque 10 000 délinquants étrangers renvoyés à la maison »

    Sylvi Listhaug Norvège 2

    http://fr.novopress.info/

  • Pays-Bas : l’échec des populistes - Journal du jeudi 16 mars 2017

  • Combien vaudrait le nouveau franc en cas de sortie de l’euro ?

    Bon. Voilà une question que vous êtes très nombreux à me poser. De plus en plus nombreux à me poser même. Et plus nous allons avancer vers les élections, plus cette question sera vraisemblablement prégnante.

    Combien, donc, un éventuel nouveau franc vaudrait-il ?

    Aurions-nous à faire à un cataclysme financier ?

    La France s’effondrerait-elle ?

    Entrerions-nous dans un indescriptible chaos monétaire ?

    Essayons, à défaut d’avoir raison et de certitudes, de réfléchir un peu à tout cela ensemble.

    Premièrement… la valeur du nouveau franc par rapport à quoi ?

    Oui, par rapport au dollar ? Au franc suisse ? Ou par rapport à l’euro ? Par rapport à l’euro me diriez-vous, car notre dette est libellée en euros.

    Comme je l’ai déjà expliqué, 97 % de notre dette est soumise au principe de la « Lex Monetae ». En clair, nous remboursons notre dette dans notre monnaie. Aujourd’hui, l’euro ; demain, le nouveau franc.

    Revenons à nos moutons.

    Croyez-vous un seul instant que si un pays comme la France sort de l’euro, l’Allemagne va poursuivre une union monétaire avec des pays encore plus pauvres et encore plus endettés comme la Grèce, l’Italie, ou le Portugal ?

    La probabilité que l’union monétaire survive à une sortie de la deuxième économie est très faible, pour ne pas dire inexistante !

    Dans une telle hypothèse, le nouveau franc ne serait donc plus coté face à un euro qui n’existerait plus, il ne risquerait donc pas de baisser ! Enfin, notre dette ne pourrait plus être exigible dans une monnaie qui elle non plus n’existe plus !

    Le nouveau franc trouverait donc un cours d’équilibre par rapport à d’autres devises. D’abord européennes évidemment mais aussi étrangères, comme le dollar américain… ou le yuan chinois !

    Est-ce que notre monnaie baisserait beaucoup par rapport à ces deux devises ?

    Sans doute pas trop pour la simple et bonne raison que les Américains, comme les Chinois, jouent tous à déprécier leur devise à intervalle régulier.

    Plus clairement dit, ni les Américains ni les Chinois ne laisseraient leur devise trop s’apprécier, ce qui viendrait réduire leurs exportations et donc leur croissance. Pour preuve, ils le font déjà tous ! Des Japonais aux Américains, tout le monde joue à baisser la valeur des devises pour tenter de se créer un avantage concurrentiel.

    Deuxièmement… imaginons que l’euro survive à la sortie de la France !

    L’Allemagne et les Pays-Bas (qui rêvent de sortir de l’euro) tirent la valeur de l’euro vers le haut. Le très haut même.

    La Grèce et Chypre vers les abysses !

    L’Italie, l’Espagne et le Portugal tirent, eux, l’euro vers le bas.

    La France, traditionnellement, a toujours eu la valeur de son franc entre les pays du Sud et ceux du Nord.

    Une zone euro sans la France, qui est la deuxième économie tout de même, mais avec tous les pays du Sud pourrait paradoxalement voir la valeur de sa monnaie euro baisser un peu face à un nouveau franc qui, lui, serait :
    – d’une part débarrassé du carcan de l’euro et le spectre de la faillite pourrait s’éloigner car nous pourrions à nouveau battre monnaie ;
    – d’autre part, la France étant sortie, il y aurait une énorme prime de risque sur l’euro dont personne ne voudrait car finalement il serait en train de se décomposer !

    Au bout du compte, dans un tel scénario, les investisseurs risquent de préférer du nouveau franc d’une France déjà sortie de l’euro, ce qui donne de la visibilité, au risque de détenir une monnaie dont on ne sait pas quel sera le prochain déserteur le lendemain et qui risque d’exploser et de ne plus rien valoir d’un instant à l’autre !

    Logiquement, le franc devrait donc… contre toute attente et à rebours de toute la propagande… s’apprécier !

    Troisièmement… c’est le retour à chaque monnaie nationale !

    C’est le dernier grand cas, imaginons que l’Espagne retrouve sa nouvelle « peseta », l’Italie sa nouvelle « lire », le Portugal son nouvel « escudo » etc., etc., que vaudrait le franc ?

    Assez simple !

    Comme autrefois !

    Le franc vaudrait plus que les monnaies espagnoles, italiennes, grecques, chypriotes ou encore portugaises.

    Il vaudrait, comme jadis, moins que le franc suisse, que le nouveau mark allemand ou la future monnaie des Pays-Bas.

    Nous aurions vraisemblablement la 3e ou 4e plus forte monnaie d’Europe !

    Alors ce ne serait pas le chaos ?

    Eh bien il se peut même que contre toute attente, le futur franc, au lieu de voir sa valeur s’effondrer, voit sa valeur augmenter.

    Ho, rassurez-vous, cette appréciation serait à mon avis de courte durée, car notre « classe » politique, bien peu élégante, risque de se mettre à aimer immodérément sa nouvelle planche à billets de la Banque de France et risque d’en abuser évidemment.

    Pourquoi ? Parce qu’il faudra bien payer la dette.

    Et pour payer la dette il n’y aucun secret !

    Soit vous imprimez de la monnaie autant que nécessaire, soit vous ruinez les épargnants ! Politiquement parlant, ruiner les épargnants a toujours été moins risqué !

    Source

    http://www.voxnr.com/8656/combien-vaudrait-le-nouveau-franc-en-cas-de-sortie-de-leuro

  • Pays-Bas : la droite populiste continue sa progression électorale

    Aux Pays-Bas avaient lieu hier des élections législatives. A l’issue du scrutin, les libéraux de droite du Premier ministre restent en tête, avec environ 30 sièges. Mais ils en perdent une dizaine. Le parti du populiste Geert Wilders continue sa progression vers le pouvoir, avec 19 sièges, soit 4 de plus qu’aujourd’hui. Au grand soulagement pour les médias et pour les élites oligarchiques !

    Ces résultats clôturent une campagne électrique lors de laquelle les thèmes de l’islam, de l’immigration, de l’identité ont été mis au centre du débat. Une campagne qui reflète l’esprit des Néerlandais, qui placent clairement l’immigration, la défense de l’Etat néerlandais et la question de la place de l’islam dans leur société au cœur de leurs préoccupations.

    D’où le succès de Geert Wilders, qui exprime une révolte populaire occidentale plus large contre la globalisation, les frontières ouvertes et le multiculturalisme.

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  • Interdiction du financement des ONG pro-avortement : le député FN Arnautu défend Trump

    Marie-Christine Arnautu est intervenue en séance plénière du Parlement européen au sujet du rétablissement de la politique de Mexico adoptée par les présidents républicains depuis Reagan et interdisant le financement des ONG pro-avortement.

    C’est une bonne nouvelle : les États-Unis ne chercheront plus à imposer plus au reste du monde, par le biais d’ONG comme le Planning familial international, des normes politiques héritées de la révolution culturelle de Mai 68. C’est le droit le plus strict des États-Unis de choisir leurs propres critères de financement des ONG.

    Les instances européennes, de concert avec les médias et associations politisés, n’ont pas à instrumentaliser cette affaire pour nuire au président américain, démocratiquement élu. Elle dénonce aussi ceux qui sans cesse invoquent le droit international pour forcer les États à se soumettre aux dogmes libertaires et qui, ici, ignorent superbement à la fois la souveraineté des États et les engagements internationaux.

    A l’heure où près de 50 millions d’avortement sont pratiqués chaque année à travers le monde, la réduction du recours à l’avortement devrait réellement devenir un objectif de santé publique comme le stipulent les engagements internationaux pris lors Conférence du Caire de 1994.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Clause Molière: C’est pas français que tu me causes, c’est de la peine

    La clause Molière,  ce« stratagème inventé par un élu d’Angoulême (Vincent You), pour contourner la directive Bolkestein » sur les travailleurs détachés fait débat au sein de la classe politique et à l’intérieur même des partis constate Eugénie Bastié dans Le Figaro. « Il s’agit d’un ajout dans les contrats de chantiers publics stipulant que les travailleurs doivent maîtriser le français, pour des raisons de sécurité, à moins de payer un interprète. Cela permet d’éviter le recours aux travailleurs détachés, sans subir l’accusation de discrimination ». « Elle est soutenue désormais par cinq régions de droite ( Pays de la Loire, Hauts-de-France, Normandie, Auvergne-Rhône-Alpes et Ile-de-France), une région de gauche (Centre Val-de-Loire), cinq départements et de nombreuses villes. (…) François Fillon va devoir faire un choix : Valérie Pécresse, Bruno Retailleau, Hervé Morin, Laurent Wauquiez et Xavier Bertrand  l’ont appliqué au niveau local. » Mais le député européen « Elisabeth Morin-Chartier somme François Fillon de ne pas l’intégrer dans son programme (…), elle lui demande de ne pas tomber dans le piège du repli nationaliste dans lequel le Front National veut enferrer notre pays. La France doit continuer à rayonner par son ouverture (sic), affirme cette proche de Raffarin.»

    Dans Les Echos, le très européiste éditorialiste Jean-Françis Pécresse s’inquiète lui aussi de cette exigence linguistique. Il est vrai que celui-ci expliquait très sérieusement dans un précédent éditorial malignement  titré (« Quand Le Pen ment à la terre », kolossale finesse…)  que les agriculteurs paupérisés, martyrisés, ruinés par nos gouvernements soumis à la politique bruxelloise seraient des abrutis finis de «suivre les prescriptions nationalistes de Marine Le Pen, laquelle a franchi une étape, hier, dans l’europhobie en promettant de  franciser  les aides versées dans le cadre de la politique agricole commune (PAC) ». M. Pécresse ferait bien de quitter son bureau, de franchir le périphérique et d’aller parler avec nos paysans, agriculteurs, éleveurs qui crèvent du fait de la politique antinationale menée par ses amis idéologiques plutôt  que de relayer poussivement  une vieille propagande déconnectée de la réalité.

    Pareillement, Jean-Françis Pécresse est vent debout contre la clause Molière qu’il baptise « clause Tartuffe » en ce qu’elle serait, horresco referens, « l’avatar d’un protectionnisme honteux qui gagne la droite aujourd’hui, comme hier la gauche de gouvernement, l’une et l’autre paraissant ainsi céder à ce populisme antieuropéen sur lequel prospère, pour sa part sans aucun complexe, l’extrême droite (…). Car ce qui se joue dans cette préférence nationale déguisée, que ne renierait pas Donald Trump, c’est bien le sort des libertés fondamentales sur lesquelles l’Europe s’est construite (sic), la liberté de circuler et de travailler dans cet espace commun que l’on appelle l’Union européenne (…). » Et l’éditorialiste d'évoquer de vieilles lunes : « plutôt que de participer au jeu de massacre européen, nos dirigeants politiques feraient mieux de prôner une solution européenne aux excès du travail détaché : c’est le but de la révision de la directive que de bannir (sic) le dumping social en égalisant les rémunérations, primes comprises. Améliorer l’Europe plutôt que de la rejeter, c’est ce qui doit toujours séparer la droite de l’extrême droite.»

    Bruno Gollnisch le notait il y a déjà plusieurs années, « après la concurrence avec le reste du monde, la concurrence entre entreprises, l’Europe consacre maintenant la concurrence entre travailleurs européens, indépendants ou salariés, et donc la concurrence entre systèmes sociaux. Elle va dans le mur. La véritable révolution consisterait, entre autres, à affirmer explicitement la primauté de l’application sur le territoire d’un État membre de son droit national, notamment de son droit du travail national, de ses droits social, pénal, fiscal nationaux. C’est-à-dire le principe du pays de destination, par opposition au principe du pays d’origine.. La révolution consisterait également à accepter que les États puissent poser des conditions à l’accès à certaines activités, comme la situation du marché de l’emploi ou des raisons d’aménagement du territoire. Ils n’ont pas cette possibilité. »

    Enfin, n'en déplaise au syndicat de faillite qui berce nos compatriotes avec sa longue plainte sur l’effacement inéluctable de la France dans le magma eurofédéraste, nous souhaitons nous aussi améliorer  l’Europe. Ce qui passe par la remise à plat de l’aberrante usine à gaz bruxelloise, une prison des peuples qui a mise à mal notre prospérité, notre sécurité, notre identité, notre souveraineté. Une Europe bruxelloise foncièrement, essentiellement antieuropéenne, étrangère à son génie. Alors oui, nous entendons refonder une Europe des patries, de la libre coopération, c’est en effet cela qui nous sépare d’un personnel politicien pusillanime, frileux, soumis, par renoncement ou consentement, aux oukases euromondialistes.

    Invité hier après-midi sur France Inter de l’émission des bobos occupant cette tranche horaire, Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek, Bernard Pivot a accepté de bonne grâce de fustiger lui aussi, par grégarisme (?), cette clause Molière  dont la langue est aussi celle de  275 millions de francophones de par  le monde. L’ancien animateur d’Apostrophes  n’a pas eu d’autre choix que de dénoncer cette odieux cache-sexe de la « préférence nationale », rebaptisé « clause Pétain » par M. Vizorek, « clause Louis-Ferdinand Céline » par Mme Vanhoenacker. Tant de conformisme idiot, de bêtise crasse laisse sans voix. Deux journalistes certes assez caricaturaux de ce « goût du faux, du bidon, de la farcie connerie » que Céline dénonçait chez ses contemporains,  dans les foules modernes, mais qui est répandue, ô combien,  chez les prescripteurs d’opinions souvent assez incultes,  qui ingurgitent  la doxa officielle pour mieux la recracher; « ce sont les surfaces les plus lisses qui prennent le mieux la peinture » notait aussi l’écrivain-docteur Destouches…

    https://gollnisch.com/2017/03/15/clause-moliere-cest-francais-me-causes-cest-de-peine/

  • Vive l'Europe - Yvan Benedetti et Daniel Conversano, le nationalisme et la Tradition

  • Avant de traiter de nazis les peuples, Erdogan devrait d’abord reconnaître le génocide arménien perpétré par la Turquie

    Communiqué de Bernard Antony :

    "Avec toute l’impudence orgueilleuse et dominatrice qui le caractérise, l’autocrate dictateur turco-musulman Erdogan traite de nazis les peuples qui ne veulent pas chez eux de ses meetings électoraux pour ses partisans parmi les populations ottomanes en Europe. 

    Mais c’est une nouvelle honte pour la France que l’acceptation par notre indigne gouvernement d’un pareil rassemblement chez nous. Faut-il en effet rappeler que s’il y a bien eu un pays précurseur du nazisme, c’est la Turquie avec ses diverses phases de massacres des Arméniens au XIX° siècle et début du XX° sous le sultan Abdul Hamid II, puis le génocide perpétré par les Jeunes-Turcs, des Arméniens, Assyro-Chaldéens et autres chrétiens ?

    Rappelons ici que les officiers allemands qui encadraient l’armée truque furent souvent des précurseurs du nazisme et Hitler, manigançant le génocide des Juifs, ne déclara-t-il pas : « Qui se souvient des Arméniens ? ». Avant de traiter de nazis les peuples non soumis à ses ukases, l’État du dictateur Erdogan devrait donc d’abord reconnaître le génocide perpétré par la Turquie, modèle pour les nazis."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html