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Europe et Union européenne - Page 721

  • À Bruxelles, on va parler turc !

    On assiste à l’ottomanisation insidieuse de l’Europe dans le dos des Européens.

    Et voilà ! C’est l’Europe comme on l’aime, l’Europe démocratique, généreuse, attentive aux souhaits de ses 500 millions de nationaux.

    Cette Europe vient de faire une stupéfiante proposition. Chypre – que je connais bien pour y avoir vécu deux ans – est un pays aimable, direct, nature, sympa. Les Chypriotes sont naturellement accueillants et amicaux. Par malchance, ils sont en guerre ! Depuis 1974 et la honteuse invasion de la partie nord de l’île par les troupes turques, le régime appliqué est celui du cessez-le-feu sous contrôle des Casques bleus de l’ONU. Le pays est sectionné par une sinistre balafre, la « green line » ou « ligne verte », qui isole un gros tiers de l’île : au sud, la République de Chypre, État indépendant depuis 1960 ; au nord, la RTCN – République turque de Chypre du Nord – faux État fondé sur la brutalité militaire, reconnu par aucun pays au monde, à l’exception de la Turquie. On a cru « régler » la question chypriote en faisant entrer Chypre dans l’Europe et en lui faisant accepter l’euro : quelle erreur !

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  • Vers une Allemagne communautarisée

    Philippe Delbauve

    Animateur du site Les villes contre l'islamisation cliquez ici

    C’est le 14 avril 2016 que les trois partis représentant la coalition au pouvoir ont présenté un texte de loi visant à favoriser l’accueil des immigrés en Allemagne. Il s’agit du fruit de plusieurs semaines de concertation visant à satisfaire les uns et les autres. Chacun des cadres dirigeants concernés voit dans cette loi une véritable opportunité pour l’Allemagne, considérant – un peu vite – que l’intégration allait nécessairement réussir, nonobstant les cruels exemples connus dans toute l’Europe.

    Deux aspects sont à prendre en considération au sujet de cette loi. Elle impliquerait pour chacun des migrants, un investissement personnel en matière d’intégration sous peine de sanctions économiques. C’est ainsi par exemple que les cours d’intégration se verront obligatoires pour chacun des migrants. Autre aspect, est aussi rendue obligatoire l’apprentissage de la langue allemande sauf à se voir retirer le permis de séjour. De façon similaire, chaque migrant verra la formation de son choix financée par l’État, sauf à voir l’intéressé l’abandonner, engendrant de facto la fin de l’allocation.

    Autre évolution, les emplois naguère réservés aux Allemands, mais aussi aux Européens, seront désormais ouverts aux migrants. Idem pour le – nouveau – droit au travail intérimaire. Autre aspect, les migrants n’auront pas le choix de s’installer où souhaité : ils se devront donc d’habiter là où le gouvernement leur imposera.

    Ces différentes mesures restrictives visent à ne pas favoriser la montée en puissance des populismes qui ont le vent en poupe (voir par exemple le dernier score obtenu par l’AfD).

    Même au sein de la CSU, aile droite de la CDU, la loi semble bien passer. Encore une fois donc, le distinguo gauche/droite n’est pas opérant.

    Il se pose cependant des problèmes majeurs.

    L’Allemagne fait le choix quantitatif du chiffre aux dépens d’une approche qualitative. Plutôt, grâce à une politique nataliste hardie – ce qu’elle eut du pratiquer depuis bien longtemps – l’Allemagne fait le choix d’un potentiel numérique qui n’a rien d’allemand. Et l’apprentissage de la langue allemande ne fera pas de ces migrants d’authentiques Allemands.

    Se profile donc à l’horizon des problèmes majeurs de communautarisme, aussi bien ethnique que religieux. Et chaque groupe communautaire, via un lobby concurrentiel, tentera de tirer la couverture à lui.

    Il est peut être utile de rappeler que le pays de l’immigration n’est autre que les États-Unis et que c’est à une américanisation de l’Allemagne à laquelle nous assistons.

    La politique du chiffre – un travailleur/consommateur en vaut un autre – montre une inféodation majeure à la pensée (?) économique, source de la plupart des maux dont souffrent les Européens. Il y aura changement majeur en Europe lorsque sera privilégiée une politique qualitative, célébrant la famille via une politique nataliste, dans le respect des ethnies et religions originelles.

    Source EuroLibertés cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/04/22/vers-une-allemagne-communautarisee-5791917.html

  • Béglé - Houellebecq avait raison !

    L'écrivain était attaqué pour sa description dans "Soumission" d'une France défaitiste, l'actualité récente lui donne malheureusement raison...
    PAR JÉRÔME BÉGLÉ
    Des enseignes internationales comme Marks&Spencer, H&M ou Uniqlo mettent en vente des hidjabs ou des maillots de bain couvrant l'intégralité du corps, excepté le visage et les mains. La griffe italienne Dolce & Gabbana a créé une ligne de voiles et de tuniques longues destinée spécialement aux femmes musulmanes. Pierre Bergé, cofondateur d'Yves Saint Laurent, s'est indigné contre ces marchands du temple, mais cette bassesse mercantile n'a pas été accueillie avec les cris d'orfraie qu'elle mérite. Lorsqu'il a publié Soumission, Michel Houellebecq fut l'objet de toutes les critiques. Dans son livre, il prédisait la réélection de François Hollande et surtout la lente progression et acceptation des idées des fondamentalistes musulmans dans une France qui oublie ses racines judéo-chrétiennes et s'adonne à une laïcité à géométrie variable... Résultats de cette paresse intellectuelle et de nos lâchetés : en 2022, le leader du parti musulman accède à l'Élysée... Beaucoup de critiques ont trouvé le raccourci excessif voire d'un goût douteux. Quinze mois plus tard - le livre est sorti le 7 janvier 2015 -, le constat est accablant : Houellebecq avait raison !
    Menteur ou oiseau de mauvais augure
    Deuxième renoncement que nous offre l'actualité : les réactions que suscitent les déclarations de Patrick Kanner, ministre de la Jeunesse et des Sports – "il y a une centaine de Molenbeek en France" –, Samia Ghali sénatrice de Marseille – "il y a des camps d'entrainement dans les quartiers" – et Malek Boutih qui dénonce la lâcheté des élus et les petits arrangements avec des associations douteuses ne suscitent plus guère de réactions. Ou plutôt si, celles de leurs amis politiques qui raillent leurs excès de langage, fustigent ces "pompiers pyromanes" et jurent leurs grands dieux qu'ils sont des oiseaux de malheur...
    Troisième symptôme, les travaux de Farhad Khosrokhavar, et de quelques autres chercheurs ou sociologues qui démontrent chiffres et études à l'appui que les prisons françaises sont le principal foyer de la radicalisation religieuse. Leurs travaux sont mis sous le boisseau quant ils ne sont pas purement et simplement censurés ou déconsidérés pour le seul motif qu'ils sont repris par Éric Zemmour et Ivan Rioufol dans leurs livres et leurs articles.
    Dernière alerte (dernière en date !), cette demande d'Air France qui souhaite que les hôtesses de la liaison Paris-Téhéran descendent voilées de l'avion. La classe politique fut, une fois encore, lente à monter au créneau. Après 36 heures de polémique, la compagnie a annoncé qu'elle allait instaurer "un dispositif d'exception" pour remplacer les femmes pilotes et hôtesses qui ne voudront pas être contraintes à ce régime d'exception. Il faut donc comprendre que seules les volontaires couvriront leurs cheveux... Encore heureux !
    Demain on parlera d'autre chose
    Tout cela se passe dans une résignation quasi généralisée. Comme si le plus sage était de ne rien dire, de faire comme si on ne voyait pas, de se concentrer sur autre chose... Les médias, comme dans Soumission, n'accordent qu'une importance relative à ces événements. Ils les rangent entre les malheurs de l'OM, le voyage aux Antilles d'Alain Juppé, les révélations du scandale Panama Papers ou le troisième opus des Visiteurs... Nous sommes dans l'épicentre du livre de l'écrivain. Notre confort matériel et intellectuel nous incite à n'accorder aucune importance à ces renoncements qui deviennent nos lâchetés collectives. Mais la facture arrivera tôt ou tard.

  • La Crimée fait des émules: L’Ossétie du Sud organise un référendum pour son rattachement à la Russie

    Le président de l’Ossétie du Sud, Leonid Tibilov, a annoncé l’organisation d’un référendum pour le rattachement de son pays à la Russie prévu avant le mois d’août 2016.  Vladimir Poutine a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de s’opposer à la volonté qui sera exprimée, tout en émettant certaines réserves.

    «Un choix historique», selon Leonid Tibilov, rendu possible par les «réalités politiques actuelles». En rejoignant «ce pays frère qu’est la Russie, [il s’agit] d’assurer pour les siècles à venir la sécurité et la prospérité de l’Ossétie du Sud et de son peuple»« Je suis certain à 100 % que le peuple dira oui ».

    Le président de Russie avait évoqué ce référendum le 14 avril dernier: « Nous ne pouvons pas nous y opposer. Rien ne nous retient, outre les intérêts du peuple sud-ossète lui-même, a déclaré le président russe. Simplement, nous ne savons pas encore ce qui reposera à la base de ce référendum, comment les questions seront formulées définitivement – en fonction de cela, nous y réfléchirons de plus près. » (Source Kremlin.ru)

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  • L'Europe a besoin de la Pologne et la Pologne a besoin de l'Europe

    Le discours d’Andrzej Duda, président de la République de Pologne, le 15 avril dernier, à l’occasion du 1050ème anniversaire du baptême de Mieszko Ier, le premier souverain polonais est à lire en intégralité sur le blog d'Yves DaoudalCela a autrement plus d'allure et de grandeur d'âme que la farce de François Hollande sur France 2. Extrait du discours  :

    "Le baptême de Mieszko Ier est l'événement le plus important de toute l'histoire de l'Etat polonais et de la nation polonaise. Je ne dis pas : ce fut, je dis : c’est, car la décision prise par notre premier souverain historique a prédéterminé tout l'avenir de notre pays. Notre héritage chrétien continue de façonner les destinées de la Pologne et de chacun d'entre nous, nous le peuple polonais, jusqu'à ce jour. C’est ce que le Saint-Père Jean-Paul II avait en tête quand il a observé : « Sans le Christ, on ne peut pas comprendre l'histoire de la Pologne. »

    La tradition veut que le baptême du chef des Polanes eut lieu le samedi saint 14 avril 966. Et c’est alors, à ce moment-là, que la Pologne est née. Elle a émergé des eaux baptismales pour une nouvelle vie chrétienne (…)

    En se faisant baptiser, nos ancêtres ont défini le noyau autour duquel la magnifique nation polonaise se formerait. Et aux moments les plus sombres, quand nos ennemis essayaient de détruire l'Église pour que s’effondrent les bases de notre identité polonaise, le peuple polonais défiait cet objectif et se massait dans les temples, poursuivant dans son sens de la communauté, et témoignant ainsi de la sagesse éternelle de la décision prise jadis par nos ancêtres.

    C’est pourquoi l’année 966 est le point de repère le plus important de notre histoire. Par notre cérémonie solennelle de ce jour, nous célébrons le 1050e anniversaire de la naissance de notre nation et notre patrie. C’est un honneur insigne et une grande joie que nous soyons tous réunis ici à Poznań, le siège du premier évêché sur le sol polonais ; avec les plus hautes autorités de la République, l'épiscopat et le clergé de l'Église catholique et les autres communautés chrétienne (…)

    Nous, le peuple polonais, avons lutté pendant 27 ans, d'abord sous un régime imposé par les forces d'occupation allemandes, puis par les communistes après la guerre. Le premier et le second ont travaillé de la même façon à affaiblir et à briser le lien entre notre nation et l'Église.Ils comprenaient que de cette façon, ils ébranleraient les fondements mêmes de notre communauté, qu'une nation privée de son ancrage spirituel serait facilement remodelée en masses asservies. À cette fin, les nazis ont mis en œuvre une terreur sanglante. Les communistes au pouvoir après la guerre ont cherché à ce que le peuple polonais se détourne du christianisme. Ils ont promu une idéologie athée, ont persécuté les prêtres et les fidèles. Ils sont même allés aussi loin que d'emprisonner le Primat de Pologne. Et en ces jours, le cardinal Stefan Wyszynski eut l’inspiration de protéger l'identité polonaise et chrétienne de la nation contre l'endoctrinement et la répression en organisant une grande retraite nationale (…) On peut affirmer avec certitude que, grâce à l'initiative du Primat du Millénaire, l'ensemble de la nation polonaise a renforcé ses liens avec son héritage chrétien (…)

    Voilà pourquoi rejoindre le domaine de la civilisation chrétienne, dans son rite latin, représentait une véritable avancée pour nous. Les trois piliers de cette civilisation sont également devenus les piliers de l'identité et de la culture polonaises.

    Le premier des trois piliers fut et reste la philosophie grecque, ou l'amour de la sagesse (...) Le deuxième pilier fut et reste la pensée juridique romaine et le concept de gouvernement. L'idée de la primauté du droit. L'idée d'une république, à savoir un Etat qui est un bien commun des citoyens qui le régissent (...) Le troisième pilier fut et reste le noyau de la pensée chrétienne : l'Ancien et le Nouveau Testament, le Décalogue et l'Evangile (...)

    A la veille de l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne, le Pape Jean-Paul II a souligné que c’était une excellente occasion pour notre nation d'enrichir spirituellement l'Occident, le même Occident qui jadis nous avait apporté la foi chrétienne. L'Europe a besoin la Pologne, et la Pologne a besoin de l'Europe, a déclaré le Saint-Père. Voilà pourquoi, pour rendre hommage à nos prédécesseurs prévoyants d'il y a 1050 ans, je voudrais dire catégoriquement aujourd'hui que, conformément aux instructions de notre grand compatriote, la Pologne est et restera fidèle à son héritage chrétien. Car c’est dans cet héritage que nous avons une base solide et éprouvée pour l'avenir.

    Philippe Carhon

  • UE, Euro et Otan : Un effondrement inéluctable lourd de conséquence

    Si l’on en juge par l’état des discussions politiques en France – mais aussi à Bruxelles – nombreux sont ceux qui raisonnent selon des schémas devenus largement obsolètes.

    Le débat sur le souverainisme est à la fois “pertinent” et “dépassé”. Pertinent en ce sens qu’il intègre une réalité qui est déjà là : les états de l’UE n’agissent plus de manière collective. “Dépassé”, pour cette même raison.

    Pourquoi “débattre” de l’opportunité d’une “sortie de l’Union Européenne” ou de la zone euro quand les deux ont largement franchi le stade de l’implosion ?

    Bien sûr, il restera une structure nommée “Union Européenne” comme il existe une ONU ou une Ligue Arabe. Elle servira essentiellement à coordonner des coopérations très générales et à garantir des traités d’ordre économique. Rien de plus.

    L’UE et l’Eurozone ont été virtuellement détruites en Grèce où la crise de la monnaie unique et celle des migrants se sont conjuguées. Lorsque la chancelière allemande, Angela Merkel, a annoncé que son pays accueillerait les millions de musulmans candidats à la colonisation du continent, elle a détruit instantanément la zone de libre-échange et la monnaie lui étant liée.

    Avec l’effondrement de la zone euro, l’énorme industrie allemande – qui exporte près de 50% du PIB national chaque année – va se retrouver en état de surcapacité colossale, faute de débouchés continentaux. Il faut comprendre ici qu’une chute de 25% de ses commandes se traduit par un déficit instantané de 12,5% de son PIB. Compte tenu des contraintes budgétaires allemandes, notamment conditionnées pour garantir un système de pensions de retraite plus que précaire, le sort de l’Allemagne est scellé.

    Rajoutons que l’Europe de l’Ouest n’est plus au centre du jeu mondial mais précisément en train devenir une périphérie sans grande importance. Le PIB européen compte pour 19% de celui de la planète (Parité par Pouvoir d’Achat) actuellement. Une étude de Citigroup estime qu’il pourrait atteindre 11% en 2030 et de 7% en 2050 (source).  L’Asie totaliserait 49% du PIB mondial, avec 25% pour la Chine et 15% pour l’Inde. Les USA lutteront pour se maintenir autour de 15% du PIB de la planète.

    Effondrement de l’état-providence français

    J’entends déjà certains “souverainistes français” se réjouir. Ce serait oublier que le premier partenaire commercial de la France est l’Allemagne, à 67 milliards d’euros. Inversement, la France est le troisième marché pour l’Allemagne, à 103 milliards d’euros (source).

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  • L’enfouissement des chrétiens en Occident, un crime contre l’humanité

    Une très belle tribune de Cyril Brun, à lire en entier sur Riposte catholique :

    [...] "Refoulé toujours plus dans une sphère privée de plus en plus étroite, ce qui a trait au religieux tousse çà et là et secoue de spasmes incontrôlés la vieille carcasse humaine que la camisole idéologique et doctrinale ne sait plus comment contenir ni maîtriser. Le sentiment religieux est une donnée naturelle de l’homme que l’athéisme, pas plus que la laïcité ne peuvent comprendre et moins encore admettre. Ce sentiment, cette religiosité n’est pas une donnée facultative de l’équation humaine, ni une variable d’ajustement d’un vivre ensemble rendu impossible par le relativisme même qu’impose la camisole athée.[...]

    Voilà bien une chose que ne peuvent admettre les tenants de l’humanisme athée et leurs corolaires, moins humanistes et plus athées, l’homme ne peut être heureux sans Dieu. Et c’est de cette privation dont le monde étouffe, se noie et se suicide collectivement. Partout pourtant, c’est pour les hérauts de la laïcité que le glas s’est mis à sonner.  Marquant le pas lent et serein de la marche inexorable vers la fosse, la cloche funeste vibre de tous côtés, car de leurs tombeaux sortent les moribonds affamés de Dieu, privés de leur quête la plus précieuse. Les hommes, de plus en plus, hurlent leur besoin de Dieu. Distinctement ou non, directement ou non, consciemment ou pas, volontairement ou malgré eux, les créatures déshumanisées par des décennies, voire des siècles de privation de la présence divine, s’arrachent aux perfusions anesthésiantes des apprentis sorciers de tous crins.

    Oui, bon gré mal gré, l’humanité secoue cette chape idéologique qui l’a dressée des années durant contre Dieu. Partout nous voyons se multiplier les revendications religieuses qu’elles soient catholiques, bouddhistes, musulmanes, protestantes ou encore shintoïstes. Le désir de Dieu refait surface et jusque dans la violence intégriste ou la simple quête intérieure. La laïcité n’a plus pour se défendre que des lois rigides, des gardes-chiourmes idéologiques du système carcéral post moderniste. C’est un fait, la laïcité a perdu. L’homme religieux s’en émancipe chaque jour davantage.

    Les attentats du 13 novembre ne sont qu’une des éructations de ce soubresaut religieux. Les Manifs pour tous sont une douce démonstration de cette émancipation. La préoccupation des DRH quant au « fait religieux en entreprise » est un signe fort en miroir des couperets maçonniques anti-crèches.  Oui le monde, jusque-là anesthésié, se réveille petit à petit et cherche de plus en plus à respirer l’air divin.[...]

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    Marie Bethanie

  • Un tiers des détenus des prisons italiennes sont des étrangers

    ROME (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Le journal Il Giornale publie  les données du rapport annuel de l’association italienne Antigone, une ONG qui se préoccupe de la population carcérale. Le pourcentage de détenus étrangers dans les prisons italiennes est de 33,4 %. Sur 53 000 détenus, 18 000 sont des étrangers. Ces chiffres prennent en compte la nationalité des délinquants et criminels. Les Italiens d’origine étrangère et naturalisés ne sont donc pas comptabilisés dans ces statistiques.

    Les premiers pays à remplir les prisons italiennes sont le Maroc (16,9 % du total des étrangers incarcérés), la Roumanie (15,9 %), l’Albanie (13,8 %) et la Tunisie (11 %).

    L’association Antigone établit notamment que ces étrangers ont commis 8 192 crimes contre les biens et 6 599 crimes contre les personnes.

    http://fr.novopress.info/

  • Jusqu'à 2000 personnes pour la 7e Marche pour la Vie à Bruxelles

    Dimanche 17 avril, c'était la Marche pour la Vie, qui a rassemblé plusieurs centaines de personnes à Bruxelles, jusqu'à 2000 participants pour certains, malgré un black-out total de la part de la presse, qui a mentionné la Marche pour la Vie seulement pour signaler la trentaine de contre-manifestants ayant tenté de perturber l'évènement. Un lâcher de ballon a été effectué pour clôturer la 7e édition de la Marche pour la Vie à Bruxelles.

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    Deux autres articles à lire ici et ici.

    Marie Bethanie