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Europe et Union européenne - Page 777

  • Déferlement migratoire : Le Figaro livre le nom des villes qui y participent

    LE FIGARO : "Quelles sont les villes favorables ou hostiles à l’accueil des réfugiés

    CARTE INTERACTIVE - Lundi 7 septembre, François Hollande a annoncé que la France allait accueillir 24.000 réfugiés supplémentaires dans les deux prochaines années.

     

    Après cette annonce, de nombreuses communes de France ont manifesté leur intention de soutenir, ou non, cette initiative. D’autres ont posé leurs conditions. Dans notre carte, retrouvez les prises de position des uns et des autres. […]"

    La suite sur Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Deferlement-migratoire-Le-Figaro

  • Quotas : le Danemark refuse le plan Juncker

    ILe Danemark a décidé de ne pas participer au plan proposé par le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker pour répartir entre les Etats membres de l'UE quelque 160 000 réfugiés.

    Le ministre danois de l'Intégration Inger Stojberg (photo) rappelle que son pays, ainsi que l'Irlande et la Grande-Bretagne, sont exemptés du plan Juncker.

    Michel Janva

  • Flanby ou Porcinet ?

    Une journaliste du Monde vient de consacrer à M. Hollande un livre suggérant que son stage d'homme d'État, métier qu'il n'avait jamais exercé jusqu'en 2012, toucherait à sa fin. Les sondages d'opinion nous prouvent que, du point de vue essentiel pour les politiciens, la conclusion de l'expérience semble s'imposer : il ne devrait pas être réembauché.

    Son insignifiance et son incompétence me paraissant totales, j'ai quand même voulu en avoir le cœur net en suivant attentivement le compte rendu de sa conférence de presse de ce 7 septembre. Un genre auquel il s'adonne trop souvent, mais qu'il maîtrise très mal. On y verra sans doute le déclin, de titulaire en titulaire, de cette aura présidentielle conférée par la réforme de 1962 : car la communication télévisuelle du chef de l'État est devenue le contraire absolu de ce que le fondateur de notre république plébiscitaire avait alors inauguré. Au caractère dramaturgique de l'exercice, aux textes maîtrisés, aux orientations chirurgicales, ont succédé, copiant le mentor Mitterrand, mais en le copiant mal, une sorte de style pot-au-feu, un jet discontinu de petites phrases n'expliquant rien sérieusement, une impression de flou décourageant tout commentaire.

    Au total, outre ce que l'on savait déjà sur la quadrature du cercle du candidat de 2017, outre la très mauvaise note de fin de stage, il s'en sort une dérision supplémentaire, celle du surnom qu'il conviendra désormais de lui attribuer.

    Car voilà le vrai débat du jour : doit-on l'appeler "Flanby", à raison de son absence manifeste de volonté personnelle ferme, ou "Porcinet", pour son allure et sa boulimie de moins en moins discrète de dépense publique ? J'avoue hésiter entre les deux sobriquets. L'un et l'autre se justifient à peu près également.

    Il existe en effet est une distorsion frappante du même personnage entre ce qui paraît être "sa" politique étrangère et européenne, y compris sur la question des réfugiés, et les questions intérieures, économiques, sociales, ou éducatives puisque l'École publique monopoliste demeure une espèce de mythe national, sur lequel il n'a rien dit, malgré l'urgence.

    Sur les premières, à l'international, son action semble presque cohérente : des décisions sont prises, en partie mauvaises mais aussi en partie compréhensibles. Elles sont prises, oui, mais elles prises par les autres.

    Pour être plus précis, la ligne directrice de l'activité internationale de François Hollande est fixée par une sorte de compromis entre, d'une part, les volontés de la chancelière Angela Merkel et, d'autre part, celles du département d'État américain plus ou moins communiquées par un président Obama en fin de mandat. Comme il s'agit de deux gouvernements relativement convergents, il s'en suit une sorte de cohérence dont les actuels responsables parisiens ne sauraient être crédités qu'à titre de suiveurs dociles.

    L'apport personnel de François Hollande relève ici de "Flanby". Même l'erreur qui consiste à prétendre pouvoir se cantonner, comme en Libye en 2011, à des frappes aériennes, est voulue par d'autres. Ajoutons que les moyens dont l'armée française dispose sur place, et que l'on exclut d'augmenter, 700 hommes je crois, quelques aéronefs dont 6 excellents Rafale, sauf erreur, excluent d'aller beaucoup plus loin.

    C'est au contraire "Porcinet" qui se révèle dans ses grognements incohérents et inaudibles en politique intérieure. "Porcinet" s'ébroue dans son auge et croit faire le beau en agitant sa petite queue en tire-bouchon, si caractéristique de l'espèce laïque et obligatoire : je dépense donc je suis, je débloque des fonds qui n'existent pas, j'annonce des choses qui ne se produiront pas, je formule des résolutions pour un avenir que je suis incapable de garantir. Ces gens avaient formulé leur doctrine à la grande époque des radicaux-socialistes : appuyons-nous bien sur les principes ils finiront par céder.

    On commence à le comprendre quand il parle des économies budgétaires, du train de vie de l'État, des tours de vis imposées aux collectivités locales, accessoirement passées à droite etc.

    On jongle, de façon rhétorique, avec des milliards improbables mais on se garde bien de dire sur quels points on pourrait réduire les dépenses. On se propose à peine de ralentir leurs hausses, mais toutes les politiques mises en place dans le quinquennat précédent, bien timides pourtant, largement insuffisantes, ont été annulées.

    À la fin du quinquennat, s'il y parvient, Hollande aura vu le nombre de Français assujettis à l'impôt sur le revenu passer de quelque 50 %, aujourd'hui 56 % à pratiquement 60 % des citoyens.

    Cette donnée engendre une déresponsabilisation majoritaire des citoyens face à la dépense publique, que le prélèvement à la source se propose d'aggraver encore, pénalise les pauvres autant que les vrais riches ou les classes moyennes, car en France c'est tout le monde qui paye trop d'impôts et trop de charges sociales.

    Ne pensons pas dès lors que le socialisme recule parce que le socialisme recule à mesure que le parti qui s'en réclame officiellement s'effondre.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Serbie : une Syrienne rappelle quelques vérités sur l’invasion de réfugiés en Europe

    Trouvé sur NDF : Voici un discours percutant à faire circuler. Une  prend la parole à Belgrade pour dénoncer les faux réfugiés et l’Occident lors de la manifestation organisée par le Mouvement national serbe « Obraz » de dimanche dernier.

    Extraits : Les personnes que vous voyez dans les rues de Belgrade en route pour l’Allemagne ou la Hollande, ne sont pas de vrais Syriens.

    Laissez-moi vous poser cette question : si l’Occident ne veut pas que ces réfugiés périssent en mer, pourquoi ne lèvent-t-il pas les sanctions qui pèsent sur le peuple Syrien qui ont déjà coûté 143 milliards de dollars à la Syrie ?

    Si ce n’est pas dans l’agenda de l’Occident, pourquoi n’aide-t-il pas les Syriens à rester [chez eux] en aidant l’armée syrienne à se débarrasser des terroristes et faire de la Syrie un pays sûr de nouveau ?

    Pourquoi le reste des Syriens reste et résiste ?

    Il dépouille la Syrie des gens qui peuvent reconstruire le pays. Il veut briser la Syrie et le peuple Syrien. D’un côté, il veut voler les docteurs syriens et leurs meilleurs étudiants et cela entraînera une fuite des cerveaux. Et d’un autre côté, les multinationales veulent une main d’œuvre bon marché de façon à baisser les salaires.

    Jusqu’à maintenant, nous avons perdu cent mille soldats qui se battaient contre les extrémistes. Je n’ai pas entendu l’Occident pleurer sur ceux qui ont donné leur vie pour défendre la nation et laissant derrière eux des familles éplorées qui ont besoin d’aide.

    Et d’un autre côté il s’efforce d’aider des personnes qui fuient leur pays. Beaucoup d’entre eux sont des djihadistes et, qui plus est, ils sont payés des milliers d’euros pour cela.

    Laissez-moi vous dire que l’argent qu’ils dépensent pour venir est suffisant pour acheter une maison dans un endroit sûr en Syrie pour une famille de cinq personnes, et entreprendre un petit boulot et bien vivre.

    Ce ne sont pas des réfugiés. Ce sont des migrants économiques.

    Nos côtes sont très bien gardées, et pas un seul bateau de migrants ne part d’ici. Un autre motif est de faire sortir les chrétiens de Syrie, historiquement, l’une des premières terres chrétiennes. Ce que nous avons aujourd’hui en Syrie est similaire à ce que vous aviez en Serbie avant. Leur but : notre identité, notre unité et notre souveraineté.

    http://www.contre-info.com/serbie-une-syrienne-rappelle-quelques-verites-sur-linvasion-de-refugies-en-europe#more-39195

  • Farage : nous devons être fous de prendre le risque de voir des djihadistes sur notre sol

  • Zoom : Jean-Yves Le Gallou - les sociétés multiculturelles sont multiconflictuelles (10-09-2015)

  • Le Parlement Européen impose l’idéologie du genre dans les écoles

    Communiqué d'Europe for Family :

    E"Le rapport de la socialiste Liliana Rodrigues intituléL'émancipation des jeunes filles par l'éducation dans l'Union Européennea été adopté hier, sans aucune base juridique légale et en contradiction totale avec les traités internationaux et européens [voir ici pages 18 à 20NDMJ].

    Sous un titre à priori séduisant, ce rapport porte atteinte à la liberté de pensée, à la liberté d'expression, à la vie privée. De plus, ce rapport dénie le fait que les parents sont les éducateurs de leurs enfants et veut promouvoir l’idéologie du genre dans toutes les écoles de l’Union Européenne.

    Une fois de plus est passé en séance plénière du Parlement européen un texte qui viole le principe fondamental de subsidiarité de l'Union Européenne, la Déclaration universelle des droits l'Homme et le Pacte International des Droits civils et politiques.

    Europe for Family condamne ce rapport Rodrigues, d’autant plus que de nombreux autres sujets sur l’égalité homme-femme pourraient faire l’objet d’études et de recommandations pertinentes et utiles à la construction et aux habitants de l’Europe.

    Europe for Family avait fait parvenir à la Présidence du Parlement Européen une lettre signée par 10 associations représentant une grande partie de la société civile européenne pour contester ce rapport et en avait demandé le rejet au parlement ce 8 septembre. Malgré cette lettre et plus des 160 000 signatures de citoyens européens contestant ce rapport, aucune réponse n'a été apportée."

    Michel Janva

  • Pour Le Monde, les réfugiés migrants sont une nouvelle chance pour notre économie

    Alors que l’Union Européenne apporte la preuve flagrante de son incapacité à faire face à une vague migratoire sans précédent et que les sondages montrent que les autochtones sont de moins en moins disposés à accueillir toujours plus deréfugiés , le Système a décidé de faire donner l’artillerie médiatique dans deux registres principaux : le registre compassionnel d’abord qui se sert cyniquement de la mort par noyade du petit Aylan Kurdi , intervenue à point nommé pour faire accepter les quotas de réfugiés que réclamait Mme Merkel . Le registre positif ensuite, porté principalement par le patronat, destiné à nous faire croire que les réfugiés migrants sont une nouvelle chance pour nous.

    Bref l’émotion pour le bon peuple et le calcul économique pour les bobos.

    Les quatre commandements

    Le discours oligarchique et donc médiatique relatif aux immigrants doit en effet obéir à quatre commandements  de correction politique :

    Il doit d’abord toujours être compassionnel : les immigrants sont toujours des victimes : dans leur pays d’origine et bien sûr chez nous, puisqu’ils sont en butte au « racisme » et aux « discriminations » de toutes sortes. D’ailleurs le mot immigrant ou immigré tend pour cette raison à disparaître du vocabulaire officiel au profit de celui , plus neutre , de migrant et ceux ,plus compassionnels, de réfugié ou de naufragé. Comme un rom devient par la magie des médias, un pauvre ittinérant.

    Ainsi il ne s’agit plus de faire face à un afflux incontrôlé d’immigrants qui veulent s’installer de force en Europe, mais seulement d’accueillir des réfugiés en danger. Ce qui permet de transformer l’impuissance européenne à protéger ses frontières , en vertu charitable.

    Le discours à l’égard des immigrés doit ensuite toujours être lénifiant : les immigrés sont de braves gens qui viennent chez nous à la recherche d’une vie meilleure et pour travailler . Cela se traduit dans le fameux mot d’ordre pas d’amalgame ! Par principe les immigrés notamment ceux de religion musulmane ne font jamais rien de mal. Il n’y a aucun rapport entre délinquance et immigration, comme il n’y a aucun rapport entre islam et terrorisme et comme il n’y a aucun rapport entre immigration , déficits publics et chômage . Et si une personne d’origine immigrée commet un délit ou un crime , ce qui est bien sûr extrêmement rare, ce ne peut-être que par accident ou par suite d’un coup de folie. On nous décrit alors toujours le délinquant sous les traits d’un gentil garçon, un peu paumé, jusque-là sans histoires, même s’il avait commis de menus larcinsauparavant.

    Symétriquement le discours relatif à l’immigration doit toujours culpabiliser les autochtones : les Français notamment, toujours coupables de ne jamais assez bien accueillir nos hôtes et l’Europe de vouloirfermer ses frontières ou devenir une forteresse . Les Français sont coupables de ne jamais intégrer les étrangers de façon suffisante. De ne pas les aider à vivre leurs différences. De ne jamais en accueillir assez comme viennent de nous y inviter les 222 « personnalités du monde de la culture » qui ont signé un appel en ce sens dans Télérama[1].

    Enfin le discours relatif à l’immigration doit toujours rester positif : l’immigration est bien sûr une chance pour nous , une chance pour l’Europe et pour la France . On nous explique ainsi depuis 30 ans [2] que l’immigration va doper notre démographie , qu’elle va sauver nos retraites et l’équilibre de nos régimes sociaux et qu’elle va dynamiser notre économie grâce en particulier aux nombreux talents qu’elle nous apporte. Alors que bien sûr si nous nous privions de ce formidable apport, la France ne pourrait que décliner irrémédiablement.

    Exemple pratique

    L’article que vient ainsi de signer Jean-Baptiste Jacquin dans Le Monde du 4 septembre dernier et intitulé « les migrants une chance et non un danger pour l’économie » présente un condensé saisissant de la façon dont est mise en œuvre la communication positive autour de l’immigration. Cet article donne le ton de la campagne actuellement relancée sur ce thème [3] dans les différents médias, avec un bel ensemble.

    Sans revenir en détail sur son contenu, cet article illustre les techniques de désinformation utilisées pour ce faire.

    C’est vrai puisque ce sont les experts qui nous le disent

    D’abord le recours aux fameux experts , économistes et autres chercheurs du CNRS que le journaliste cite à profusion.

    Ils ont en effet pour fonction de nous asséner la doxa : « aucun économiste n’a jamais réussi à démontrer un lien évident entre immigration et chômage et quand il y a un lien , il est positif pour le marché de l’emploi » , « la contribution des immigrés à l’économie est supérieure à ce qu’ils reçoivent en termes de prestations sociales ou de dépenses publiques » , « les économistes balayent cette crainte de voir l’immigration tirer vers le bas les salaires ou prendre des emplois » etc…

    Il s’agit du recours à l’argument d’autorité car comme Le Monde se veut un journal de référence , l’avis des prétendus experts importe. Même si le journaliste ne cite curieusement aucune référence précise et même s’il passe sous silence les analyses contraires.

    Notre journaliste se garde bien en effet de faire preuve du moindre esprit critique même lorsque ces expertstiennent des propos pour le moins étonnants , sinon loufoques . Ainsi par exemple si les réfugiés érythréens peinent à s’intégrer sur le marché du travail c’est notamment parce qu’ils … n’auraient pas eu le temps d’emporter leur diplômes avec eux . Ou bien encore l’affirmation selon laquelle « en accordant le statut de réfugié plus rapidement cela permet de passer plus vite à la phase d’intégration » : imparable !

     

    C’est vrai puisque c’est le MEDEF qui nous le dit

    Ensuite le journaliste s’empresse de donner la parole au patronat , par la bouche de L. Arnaud président de l’Oréal France et de la Commission Europe du Medef , ce qui constitue à n’en point douter , un gage de sérieux dans l’analyse de l’immigration.

    Notre expert du MEDEF affirme (le journaliste écrit qu’il tempête , sans doute pour donner plus de poids aux dires d’icelui ) qu’on ne peut pas empêcher les migrations. Mais pourquoi au fait ? Parce que pour L. Arnaud , nous sommes insupportablement riches alors que l’Afrique n’est pas assez développée .

    Vous avez compris : c’est donc encore de notre faute. Les smicards apprécieront . Mais il est vrai qu’ils ne lisent pas forcément Le Monde tous les jours.

     

    Les migrants viennent nous aider

    Par contre bien sûr , comme ils sont gentils , les réfugiés migrants vont beaucoup nous aider. C’est cette fois un chercheur du CNRS[4] que Jean-Baptiste Jacquin appelle en renfort.

    En effet , selon ce chercheur, les migrations « accélèrent la promotion sociale des natifs », car « alors que les natifs délaissent la formation et l’orientation vers les filières sans perspectives , ce sont les étrangers qui viennent répondre aux besoins du marché de l’emploi » . Au moment où les inégalités sociales augmentent , où la classe moyenne décline et où l’ascenseur social ne fonctionne plus on appréciera la profondeur de cette analyse.

    Il ne vient pas en tout cas à l’idée du journaliste qu’il pourrait au contraire se produire un effet d’éviction au dépens des natifs du fait même de l’arrivée des migrants . Ni que les « filières sans perspectives » , auraient pu devenir plus attrayantes si le patronat avait mené une politique salariale adéquate. Non il faut s’en tenir à l’antienne du MEDEF : les immigrés répondent aux besoins du « marché de l’emploi », ce qui est essentiel en effet. Surtout si l’on traduit l’expression marché de l’emploi par intérêt du patronat.

    Enfin on appréciera l’affirmation finale d’un autre expert ,cette fois de l’OCDE , selon laquelle c’est la …..rigidité du marché du travail français qui ne faciliterait pas l’intégration de nos braves migrants. Affirmation qui par un heureux hasard entre en résonnance avec le débat actuellement lancé sur l’allègement du Code du Travail.

    M.Jean-Baptiste Jacquin , on le voit, est un excellent journaliste : respectueux des lois du conformisme politiquement correct , il a bien mérité du MEDEF .

    Michel Geoffroy

     

    [1] Le 9 juillet 2015

    [2] Depuis la parution en 1985 du livre de Bernard Stasi , « l’immigration une chance pour la France »

    [3] Voir aussi l’article d’Eric le Boucher dans les Echos du 4 septembre 2015 « l’immigration sera la chance de nos économies »

    [4] Thibaud Gadjos

    http://www.polemia.com/pour-le-monde-les-refugies-migrants-sont-une-nouvelle-chance-pour-notre-economie/

  • Intervention de Bruno Gollnisch au sujet de l'immigration et de l'accueil des réfugiés en Europe

  • Les socialistes français s’alarment du risque de « déconstruction européenne »

    Crise économique, crise grecque, crise des réfugiés… La tournure que prend l’Europe inquiète les socialistes français.

     

    Pour toute une génération de dirigeants socialistes, la crise à multiples facettes que vit actuellement l’Union européenne est plus qu’un sujet d’inquiétude. Elle leur fait peur. « Nous sommes au moment où la construction européenne pourrait disparaître », a averti l’euro députée Pervenche Bérès, à l’occasion d’une table ronde consacrée à l’Europe lors de l’université d’été du PS à La Rochelle. Entre la crise économique qui sévit depuis 2008, la menace d’exclusion de la Grèce au début de l’été, la sécurité avec la montée du terrorisme et aujourd’hui le drame humanitaire des réfugiés politiques qui viennent s’échouer en Europe, les motifs d’inquiétude ne manquent pas. Avec, en possible ligne de mire, une dislocation de l’Europe politique devant tant d’enjeux qu’elle ne pourrait surmonter. « Le risque est que les générations qui vont suivre subissent la déconstruction européenne », a ajouté le député français Guillaume Bachelay.

    Refuser l’émiettement de l’Europe

    La crise grecque reste dans les esprits. Le fait que des pays, comme l’Allemagne, aient plaidé pour l’éviction de la Grèce de la zone euro est une plaie encore vive. Sans surprise, le camp socialiste ne tarit pas d’éloges pour François Hollande, qui a su maintenir une position ferme pour que la Grèce reste dans l’euro. « Si la France a joué et réussi ce rôle, ce n’est pas au nom d’une monnaie ou de l’intérêt des Grecs, de l’Europe ou de la France. C’est au nom d’une idée politique. Quand l’Europe avance, elle ne peut plus reculer. Nous avons refusé l’émiettement de l’Europe », a estimé Michel Sapin, ministre français des Finances et proche de François Hollande.

    Mais d’autres signes de l’absence de solidarité européenne préoccupent. La Grèce en a été un exemple, la crise des réfugiés en est un autre. Quand l’Allemagne annonce son intention d’accueillir 800.000 migrants, soit 1% de sa population, la décision de la Slovaquie de n’accueillir que des migrants chrétiens ou celle d’autres pays comme la Hongrie ou la Tchéquie de fermer leurs frontières pour contrer les vagues de réfugiés jette un froid.

    Lire la suite sur EuroActiv

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-socialistes-francais-s