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géopolitique - Page 537

  • Turquie : près de 6 000 arrestations après le coup d’Etat manqué

    Le président turc Recep Tayyip Erdogan a promis dimanche 17 juillet d’éliminer le « virus » dans l’Etat.



    Turquie : près de 6 000 arrestations après le… par lemondefr

    http://fr.novopress.info/202535/turquie-pres-de-6-000-arrestations-apres-coup-detat-manque/

  • Erdogan et son régime auraient été sauvés par l’aviation US

    La tentative de renversement du régime d’Erdogan à Ankara, aurait été menée, non par des islamistes plus radicaux encore que le Frère musulman qu’est Erdogan, -comme l’affaire est présentée en France-, mais par des soldats nationalistes-kémalistes, c’est-à-dire anti-islamistes. Ceux-ci ont annoncé vendredi la prise de pouvoir par l’armée. Leur but aurait été de dénoncer la dérive dictatoriale du frère musulman Erdogan et son alliance implicite avec les terroristes islamistes dont il recyclait le pétrole volé en Irak et en Syrie:

    « De nombreux Turcs sont sortis dans les rues pour manifester leur satisfaction de se débarrasser de leur tyran, alors que les affrontements faisaient rage entre les militaires nationalistes-kémalistes et les loyalistes aux Frères musulmans.

    Après 18 heures d’affrontement et d’incertitude, le basculement s’est produit avec l’intervention de l’aviation de l’OTAN qui a bombardé les positions des rebelles nationalistes. Au moins 100 personnes, dont 17 policiers à Ankara, ont été tuées durant ces affrontements. Des tirs depuis des hélicoptères ont été rapportés, et des bombes ont touché le Parlement.

    Des tirs et des explosions ont été également entendus dans la capitale Ankara durant toute la nuit du vendredi à samedi, alors que les grandes artères d’Istanbul et les ponts enjambant le Bosphore ont été bloqués par les militaires nationalistes.

    Un total de 1563 militaires ont été arrêtés en lien avec cette tentative de renversement du régime islamiste. En outre, cinq généraux et 29 colonels ont été démis de leurs fonctions. (…)

    Rassuré par ses amis Américains, Recep Tayyip Erdogan, qui était en vacance, a atterri à Istanbul juste avant l’aube et a déclaré que le gouvernement restait maître de la situation. 

    Le boucher d’Istanbul se savait menacé d’où sa récente tentative de rapprochement avec Poutine, son opération de charme à l’égard d’Israël et sa tentative de réconciliation avec l’Égypte à laquelle le président Abdelfattah Al-Sissi a répondu par une fin de non recevoir. Le renversement du régime islamiste que les Américains ont installé en Turquie il y a près de quinze ans a certes échoué. Mais le Frère musulman Erdogan est incontestablement fragilisé. » (Source)

    Une version diamétralement différente de celle présentée par Erdogan, –l’ami d’Angela Merkel–  et reprise en boucle par les gros médias français.

    http://www.medias-presse.info/erdogan-et-son-regime-auraient-ete-sauves-par-laviation-us/58098

  • L’histoire complète de Monsanto, « La société la plus maléfique au monde »

    De toutes les méga-sociétés folles furieuses, Monsanto a largement surpassé ses rivales, remportant le titre glorieux de la « société la plus maléfique sur Terre » ! Non contente de siéger simplement sur son trône de mort au sommet d’une montagne de cadavres, elle continue de mettre au point de nouveaux moyens scientifiquement innovateurs pour nuire à la planète et à ses habitants. 
    Comme pour les vrais champions du mal, elles ne s’arrêteront pas avant…eh bien, qu’on les arrête ! Mais qu’est Monsanto et comment est-elle devenue si incroyablement maléfique ? Je pense que la meilleure manière de démarrer ce périple est de retourner vers les profonds et glauques égouts de son sinistre passé, alors munissez-vous d’un en-cas et de boissons sans OGM et allons-y. 
    1901 : La société est fondée par John Francis Queeny, membre des Chevaliers de Malte, avec derrière lui 30 ans d’expérience dans l’industrie pharmaceutique ; il épouse Olga Mendez Monsanto, dont le nom deviendra celui de la société,Monsanto Chemical Works. La société produit au début de la saccharine de synthèse, qui est vendue à Coca-Cola comme édulcorant artificiel
    Le gouvernement savait déjà que la saccharine était un poison et il lui fit un procès pour stopper sa fabrication mais le perdit en cour d’appel, ouvrant ainsi la Boîte de Pandore Monsanto qui commença à empoisonner le monde avec ce soda. Olga Mendez Monsanto, qui donna son nom à la société et son mari John Francis Queeny 
    Années 20 : Monsanto étend son activité aux produits chimiques industriels et aux médicaments, devenant le plus gros fabricant mondial d’aspirine, l’acide acétylsalicylique (toxique, bien sûr). C’est aussi l’époque où les choses commencent à se précipiter horriblement pour la planète avec l’introduction de leurs polychlorobiphéniles (les PCB). 
    « Les PCB étaient vus comme une merveille chimique par l’industrie, un liquide visqueux résistant aux fortes températures et à la dégradation et ayant des applications presque illimitées. Les PCB sont aujourd’hui considérés comme l’une des plus graves menaces chimiques pour la planète. Largement utilisés comme lubrifiants, fluides hydrauliques, huiles de coupe, revêtements imperméables et produits d’étanchéité, ce sont des carcinogènes potentiels et on les retrouve impliqués dans des maladies de la reproduction, de la croissance et du système immunitaire. Le centre mondial de fabrication des PCB était l’usine Monsanto aux abords de St Louis dans l’Illinois, qui possède le plus fort taux de morts fœtales et de naissances prématurées de l’état. »(1) 
    Bien que les PCB aient été finalement interdits après 50 ans de dégâts, ils existent toujours dans le sang et les cellules des animaux et de l’homme à travers le globe. Des documents présentés plus tard au tribunal ont montré que Monsanto était parfaitement conscient des effets meurtriers, mais l’a criminellement caché au public pour conserver le filon des PCB ! 
    Années 30 : Création de sa première semence de maïs hybride et extension de la fabrication de détergents, savons, produits de nettoyage industriels, caoutchouc synthétique et plastiques. Oh oui, tous toxiques bien sûr ! 
    Années 40 : Ils démarrent la recherche d’uranium, qui servira pour la première bombe atomique du Projet Manhattan, qui sera larguée ensuite sur Hiroshima et Nagasaki, tuant des centaines de milliers de japonais, coréens et militaires américains et en empoisonnant des millions d’autres. 

  • Coup d'Etat en Turquie

    qui semble être couronné de succès à l'heure où nous écrivons, et dont le motif est le suivant.

    "Les Forces armées turques ont pris le pouvoir dans le pays pour rétablir l'ordre constitutionnel, la démocratie, les droits et les libertés de l'homme et la suprématie du droit dans le pays. Tous les accords et engagements internationaux de la Turquie restent en vigueur. Nous sommes persuadé que nous aurons des relations amicales avec tous les pays", est-il indiqué dans le communiqué du commandement".

    Paula Corbulon

  • L’aviation russe bombarde l’EI en Syrie tandis que les autorités françaises viennent au secours des terroristes islamistes

    Moscou communique ce jeudi que deux bombardiers russes ont anéanti en Syrie un centre de commandent, un camp islamiste, deux raffineries de pétrole, éliminant par la même occasion un grand nombre de combattants et de matériel ennemi. La nouveauté de ces actions c’est qu’elles sont lancées à partir du territoire de la Fédération de Russie.

    La semaine dernière deux pilotes russes ont trouvé la mort suite à la destruction en vol par l’EI, d’un hélicoptère de combat syrien dans lequel se trouvaient deux pilotes russes. La Russie ne pouvait évidemment pas laisser passer ces deux morts sans réagir. Sans doute est-ce la raison de son regain d’activité en Syrie puisque ces derniers jours elle a frappé très durement le groupe islamiste. Le ministère de la Défense russe précise dans un communiqué:

    « Ce matin, six bombardiers à long rayon d’action Tu-22M3 ont décollé de bases aériennes situées sur le territoire de la Fédération de Russie pour porter la deuxième frappe concentrée contre des objectifs de l’État islamique nouvellement identifiés dans les régions est de Palmyre, ainsi que dans les villes d’Es-Suhne et d’Arak et contre la station de pompage de pétrole T-3 dans la province de Homs ».

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  • La vérité se fraye un chemin

    Interrogé dernièrement sur les dangers de l’arme nucléaire, Bruno Gollnisch confiait son inquiétude sur les menaces bien réelles que représentent des pays qui possèdent la bombe comme le Pakistan (instable et travaillé en profondeur par le fondamentalisme islamique) ou un Etat-prison comme la Corée du Nord dans les griffes d’un « monarque » communiste dont l’équilibre psychique est sujet à caution. Le dictateur Kim Jong Un vient ainsi une nouvelle fois vendredi de menacer la Corée du Sud et les Etats-Unis d’une « frappe offensive » en réplique à la volonté de Washington et de Séoul de déployer un bouclier antimissiles perfectionné, le système THAAD. C’est pourtant l’Iran qui est (encore) aujourd’hui présenté comme susceptible de déclencher l’Armageddon du fait de ses velléités de développer un programme de nucléaire civil, tout comme hier l’Irak de Saddam Hussein était désigné comme le grand Satan à abattre par le camp du bien, car abritant supposément  non pas le feu atomique mais des armes de destruction massive.

    Dans une tribune publiée avant-hier par le Sunday Mirror, John Prescott, membre de la Chambre des Lords, vice Premier ministre de Tony Blair lorsque Britanniques et Américains ont déclenché en 2003 l’invasion de l’Irak, a confessé que cette  guerre d’agression fut une erreur. Qui en effet aujourd’hui ne constate pas les apocalyptiques et sanglantes réactions en chaîne générées par la destruction de l’Etat Baas irakien?  Au moins 150 000 irakiens sont morts dans les cinq années qui ont suivi l’invasion et  M. Prescott a présenté pour sa part  ses excuses aux familles des 179 soldats britanniques tombés  pendant la guerre en Irak : « Je vivrai le restant de mes jours avec la décision d’entrer en guerre et ses conséquences catastrophiques ».

    Quelques  jours auparavant,  la publication du  rapport Chilcot  révélait  un sévère réquisitoire  sur  l’intervention du Royaume-Uni, au nom du soutien sans recul de Tony Blair  aux  Etats-Unis. Une invasion qui fut le point d’orgue d’un terrible blocus  dans les années 90 (alimentaire, technologique…), qui débuta après la première guerre du Golfe,  à peine adouci par l’accord « pétrole contre nourriture » de 1996,  et qui  tua plus d’un million d’Irakiens  dont de très nombreux enfants. Il s’agissait   d’affaiblir méthodiquement, de mettre à genoux cet Etat laïque. L’ex Premier ministre Britannique  a exprimé il y a quatre jours à l’ occasion du rapport Chilcot  « peine, regrets et excuses » … de façade car il a réitéré les mêmes justifications contredites par les faits, à savoir que cette guerre était légitime,  que le monde était plus sûr sans  Saddam Hussein. M. Blair avouait pourtant au début du conflit en Syrie que  « la guerre en Irak a contribué à créer l’Etat islamique »

    L’intervention dans l’hémicycle du Parlement européen, au tout début de cette seconde guerre d’Irak, le  22 mars 2003,  de Bruno Gollnisch, dénonçant un conflit programmé dès le début,   permet de juger que le FN une nouvelle fois avait vu juste,  prenait le parti de la vérité  et de la justice:  » L’Irak disposait, paraît-il, d’armes de destruction massive. Tout a été dit à ce sujet, des bobards les plus sinistres aux plus ridicules, comme ceux de Tony Blair, qui s’est déshonoré en présentant un rapport justifiant l’agression, dont 11 pages sur 19 émanaient d’un mémoire d’étudiant datant d’une dizaine d’années. À ce jour, les seules armes de destruction massive sont les milliers de bombes et de missiles sophistiqués de l’empire anglo-saxon qui écrasent les villes irakiennes. »

    « Comme juriste poursuivait-il, je constate la cynique violation de toutes les règles de droit que les anglo-américains eux-mêmes avaient mises en place pour prévenir les guerres. Comme Européen, je déplore les haines, hélas justifiées, que les bombes de l’empire accumulent contre le monde occidental. Comme chrétien, je suis horrifié qu’une telle guerre, qui ne remplit aucune des conditions de justice, puisse se faire au nom de Dieu. J’appelle un chat un chat et Tony Blair un meurtrier mondain. Quant à George Bush, qu’il cesse d’invoquer Dieu ou seulement pour le prier: que le sang des Irakiens innocents ne retombe pas sur le peuple américain ! » Le FN lui fut alors déclaré coupable  une nouvelle fois d’avoir eu raison trop tôt. Jacques Chirac restera au moins comme le président qui a dit non à cette forfaiture en refusant d’entraîner la France dans ce conflit, mais cela ne fut pas indolore.

    Nous le rapportions sur ce blogue, le journaliste Vincent Nouzille, dans son livre intitulé « Dans le secret des présidents »,   détaillait comment  le gouvernement américain a mis  la France  à l’amende, pour la punir d’avoir refusé de participer à  cette guerre. Au détour d’un traitement de la dette irakienne, en l’occurrence au terme de l’accord  officialisé par le Club de Paris le 21 novembre 2004, les contribuables français ont  été contraints, sous la pression réussie de l’Oncle Sam sur Chirac , de  lâcher  un gros chèque de  plus de 4 milliards d’euros.

    Cette parenthèse étant fermée, Bruno Gollnisch  constate  pareillement que le travailliste  Blair, figure  de cette  seconde gauche euro atlantiste, dite justement « blairiste »,  dont feu Michel Rocard,  un Valls ou un Macron sont les pendants en France,   fut comme de bien entendu une fanatique soutien de la Constitution européenne… et très opposé ces derniers mois à l’ idée de David Cameron de consulter les britanniques par référendum sur le Brexit.

    Dans un entretien au Figaro Vox, Jean-Pierre Le Goff,  philosophe de formation, écrivain et sociologue au CNRS, analysait au lendemain du Brexit  les raisons de cette crise de l’Europe , du divorce des peuples européens avec leurs dirigeants bruxellois: « La primauté donnée au libéralisme économique accompagné d’un discours général et généreux sur les valeurs qui s’apparentent à de bons sentiments me paraît symptomatique de la difficulté des pays européens à se réinsérer dans l’histoire et à peser significativement dans les affaires du monde. Aujourd’hui, pour une partie de la population, l’Europe n’est pas perçue comme une protection et une chance, mais comme une sorte de cheval de Troie de la mondialisation débridée, animée par une bureaucratie tatillonne émettant des directives et des règlements à n’en plus finir et des discours idéologiques correspondant au nouvel air du temps, notamment dans les domaines culturel et des mœurs (…). »

    « Je ne crois pas que l’Europe puisse prendre sens pour les différents peuples si on leur demande d’emblée d’oublier leur appartenance nationale ou de se considérer en position de surplomb vis-à-vis d’elle, comme tend à le faire une partie des élites et des administrateurs de l’Union européenne. Qu’on le veuille ou non, la nation demeure une référence identitaire centrale et le cadre premier de l’expression démocratique ; l’histoire n’avance pas sans les peuples. Un projet politique national me paraît inséparable d’une certaine vision de l’Europe et toute décision importante doit associer pas à pas les peuples et leurs représentants élus. C’est une des leçons qu’il est grand temps de tirer de la crise grecque. »

    « Reste une question essentielle qui déborde le champ de compétences des politiques: celui de l’héritage culturel qui nous spécifie par rapport au reste du monde. La construction de l’Union européenne repose sur un paradoxe: elle intervient dans un moment où des sociétés démocratiques européennes ne savent plus d’où elles viennent ni où elles vont. Après des années d’histoire pénitentielle qui nous désarment face à ceux qui veulent nous détruire, il importe de faire valoir clairement nos acquis civilisationnels qui ne se limitent pas à la liberté et aux droits individuels. Faute de ces deux conditions, politiques et culturelles, l’Europe demeurera une sorte de grand marché et de démocratie providentielle plutôt mal en point, avec en prime le statut d’un territoire de villégiature pour touristes du monde entier, admirant le patrimoine d’une civilisation moribonde. » Si M. Le Goff se met à parler quasiment  comme Jean Raspail…

    http://gollnisch.com/2016/07/12/verite-se-fraye-chemin/

  • La vérité sur le mouvement Black Lives Matter financé par Georges Soros

    Pour infowars.com, Paul Joseph Watson revient sur la polémique actuelle sur les violences policières aux Etats-Unis, et notamment le retour au devant de la scène du mouvement Black Lives Matter, financé par le milliardaire cosmopolite George Soros…

  • Syrie : et si Damas et Moscou parvenaient à libérer Alep ?

    Dans une certaine indifférence médiatique, l’Armé syrienne vient de couper la dernière route qui reliait les bases de la rébellion islamiste à Alep. Pour Hadrien Desuin, c’est une victoire stratégique pour le régime de Damas et pour Moscou.

    Alep outragé, Alep brisé, Alep martyrisé, mais Alep bientôt libéré ? C’est dans l’indifférence générale que l’armée syrienne vient de couper la dernière route qui reliait la rébellion islamiste de ses bases. Pour la première fois depuis le début de l’insurrection, les factions djihadistes qui ceinturent la seconde ville du pays sont prises à leur propre piège. Par un mouvement enveloppant venu du nord, les positions syriennes ont retourné le siège contre leurs assaillants. De geôliers en 2012, les rebelles islamistes se retrouvent aujourd’hui détenus dans leurs quartiers.

    Malgré le silence de cathédrale et la clameur du stade qui ont couvert la nouvelle en Europe, c’est un nouveau tournant dans la guerre civile syrienne qui frappe le pays depuis cinq ans. Une victoire tactique mais aussi stratégique. Alep est la seconde ville de Syrie ; elle domine tout le nord du pays et rivalisait autrefois avec Damas. Après Homs et Hama, c’est une nouvelle avancée symbolique pour les forces loyalistes. Désormais la Syrie utile, celle qui concentre les 80% de la population du pays est sous contrôle. [....]

    Hadrien Desuin

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Syrie-et-si-Damas-et-Moscou

  • Dans la famille Ben Laden, on a oublié de buter le fils

    Dans la famille Ben Laden, voici que l’un des fils, Hamza, se fait entendre dans un enregistrement audio d’une vingtaine de minutes, dans lequel il appelle à poursuivre le combat contre les Etats-Unis et leurs alliés : « Hamza Ben Laden menace les Américains de les attaquer chez eux et à l’étranger. […] il déclare vouloir venger les musulmans des actions menées en Palestine, en Afghanistan, en Syrie, en Irak en Somalie et dans le reste des pays arabes. »

    Ce n’est pas la première fois que cet Hamza rappelle le nom de Ben Laden à notre mauvais souvenir. Dans une vidéo diffusée en mai dernier, il en appelait à l’unité de tous les moudjahidines et à leur levée en Syrie, en Palestine et ailleurs, « y compris en perpétrant des attentats en “loup solitaire“ pour “tuer les Juifs et attaquer leurs intérêts partout“.

    En août 2015 déjà, il avait appelé à « déplacer les guerres de Kaboul et de Gaza à Bagdad, Washington, Londres, Paris et Tel Aviv ».

    Hamza Ben Laden, qui se pose ainsi en héritier de son père, est l’un des vingt enfants – au moins – d’Oussama Ben Laden, tué le 2 mai 2011 par un commando américain au Pakistan. Il aurait autour de 25 ans.

    http://fr.novopress.info/