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immigration - Page 1274

  • Défends tes lois comme tu défends tes murailles

    Intervention de Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia.

    La manifestation contre la déferlante migratoire organisée par le SIEL devant l’ambassade d’Allemagne a été un grand succès : malgré une pluie incessante, plus de 1000 résistants se sont déplacés .

    La manifestation n’était pas dirigée contre l’Allemagne mais contre les oligarques européens qui trahissent les peuples.

    Il nous faut reprendre le contrôle de nos frontières et mettre en place la préférence nationale.

    Mais, au risque de choquer certains, permettez-moi de dire que la déferlante migratoire n’est pas une question franco-française mais une question européenne.

    Il ne faut pas opposer les pays européens les uns aux autres. Le vrai clivage oppose les peuples d’Europe aux oligarchies dirigeantes qui les trahissent : oligarchies financières, médiatiques et politiques.

    Il nous faut être solidaires du peuple allemand qui subit la dictature Merkel. Oui, le régime de Merkel est une dictature.

    La dictature Merkel veut imposer le changement du peuple allemand sans l’avoir consulté, ni consulté son Parlement ni les Etats fédérés.

    Ambassade d'Allemagne à Paris XVIe

    Ambassade d’Allemagne à Paris XVIe

    La dictature Merkel veut censurer Facebook et les réseaux sociaux.

    La dictature Merkel s’oppose aux manifestations contre sa politique migratoire.

    La dictature Merkel utilise les méthodes d’infiltration ou de provocation de la police politique.

    Vous croyez que j’exagère ?

    Non ! Au début des années 2000 les autorités allemandes ont demandé l’interdiction d’un parti politique nationaliste à la Cour constitutionnelle de Karlsruhe. Celle-ci a refusé car toutes les pièces à charge concernaient des déclarations ou des actes d’agents provocateurs infiltrés. Je parle bien de l’Allemagne fédérale, pas de la Corée du Nord !

    Alors soyons solidaires des Allemands qui ne peuvent s’exprimer librement sans risquer des persécutions politiques, économiques ou familiales.

    Soyons solidaires des peuples de l’Est, des Baltes, des Tchèques, des Polonais, des Slovaques, des Roumains, des Hongrois et des Croates.

    Saluons le courage de Viktor Orban, vilipendé alors qu’il applique les Accords de Schengen qui prévoient le contrôle aux frontières extérieures de l’Union européenne, ce que la Hongrie fait ! Orban applique les principes d’Héraclite : « Défends tes lois comme tu défends tes murailles ». Et Orban est dénoncé par ceux qui veulent abaisser nos murailles pour ceux qui violent nos lois.

    Disons les choses sans faux semblants : les peuples européens de l’Est sont moins décadents que ceux de l’Ouest.

    Et effectuons le bon diagnostic : si la dictature Merkel veut supprimer les frontières de l’Europe c’est parce que l’Allemagne est l’épicentre de la culpabilisation européenne.

    Ce qui nous ronge, nous Français, nous Européens, c’est cette ignoble culpabilisation, une culpabilisation de moins en moins supportable, 50 ans après la décolonisation, 70 ans après la fin de la seconde guerre mondiale, 2 siècles après l’abolition de l’esclavage – et alors que l’Europe a fait le monde !

    Finissons-en avec les heures prétendument les plus sombres de notre histoire ! Soignons l’âme européenne de ce mal qui la ronge !

    Ce qu’il nous faut ce n’est pas seulement un changement de cap politique, c’est un réveil de la conscience européenne.

    Retrouvons l’Être des peuples contre l’Avoir des marchands !

    Retrouvons le sens de la longue histoire contre les tenants de la rupture et les voleurs de mémoire !

    Retrouvons le sens de la communauté de destin contre les délires de l’individualisme roi !

    Retrouvons la fierté de notre passé et balayons les mauvais apôtres de la repentance !

    Retrouvons l’indépendance des Etats abandonnée par des gouvernements fantoches au service de puissances étrangères.

    Osons les mots : la cause première de l’invasion migratoire c’est la trahison des élites, l’oubli de nos devoirs envers notre civilisation et notre culture.

    Et méditons cette phrase du géopoliticien Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères français : « Un recours à la force sera à un moment ou à un autre inévitable. »

    L’histoire ne fait pas de cadeau aux peuples faibles.

    Retrouvons le courage et le sens de l’histoire.

    Peuples d’Europe, levez-vous !

    Jean-Yves Le Gallou, 24/09/2015

    http://www.polemia.com/defends-tes-lois-comme-tu-defends-tes-murailles/

  • « Un discours de rejet, de haine et de peur »?

    Après le vote majoritaire du peuple grec  dimanche qui, en désespoir de cause,  a redonné carte blanche à Syriza qui l’a trahi, celui de  la Catalogne qui élira son parlement régional le 27 septembre est très attendu. La mouvance indépendantiste à le vent en chez de nombreux Catalans, dans une Espagne, cinquième puissance économique de l’Union européenne,  ravagée par la crise …et qui a vu  aux dernières élections l’émergence au niveau national  de Podemos, parti citoyen de gauche campant sur une position  favorable  à l’indépendance.  Bruno Gollnisch  rappelle à cette occasion qu’il ne pense  pas que cette séparation  serait bénéfique et qu’il condamne plus largement  tout ce qui contribue à affaiblir  les Etats nations pour le plus grand profit des tenants de l’euromondialisme ou de l’eurofédéralisme. Pour autant, la guerre psychologique, la propagande utilisée pour dissuader les Catalans de se séparer de l’Espagne est parfois  tellement grossière qu’on  se demande si elle ne vise pas le but inverse de celui affiché.   

    Javier Tebas, président de la ligue espagnole de football, affirmait ainsi  hier que les clubs de foot de Catalogne, dont  le fameux  FC Barcelone  cher au cœur de Manuel Valls, seraient privés de championnat d’Espagne qui, par définition,  n’est pas ouvert aux « clubs étrangers »…Or, une dérogation existe déjà, celle permettant à la principauté d’Andorre d’y évoluer comme c’est le  pour  Monaco en France. Même si le foot  est une religion pour beaucoup, la menace semble  donc  de peu d’effets.

    De son côté, le gouverneur de la Banque d’Espagne, par ailleurs membre du conseil des gouverneurs de la Banque Centrale Européenne (BCE) , Luis Maria Linde,  a indiqué qu’une indépendance de la Catalogne  signifierait qu’elle serait « automatiquement exclu de la zone euro , car ce processus implique la sortie de l’Union européenne. » « Les banques catalanes pourraient cesser d’avoir accès au refinancement de la BCE.  Les dépôts pourront alors être gelés, comme cela a été le cas en Amérique latine ou en Grèce. »

    Là aussi les indépendantistes   ne prennent pas cette menace au sérieux…parce qu’elle n’est pas crédible au vu du poids économique de la Catalogne qui représente 17% du PIB espagnol  ce qui  la rend donc incontournable. Indépendantistes  dont une large part  s’accommode très bien  de la tutelle d’une Europe bruxelloise qui se satisf(er)ait pleinement de régner sur des Etats croupions, affaiblis, aux exécutifs régionalisés, fédéralisés, landërisés. Penser qu’une  Catalogne indépendante  embarrasserait (tous) les technocrates  eurobruxellois est une idée fausse.  

    Idées fausses qui seraient l’apanage du FN si l’on en croit  les leaders d’opinion alors  que ce sont les  thèmes frontistes   qui sont au centre du débat  et qui obligent détracteurs et adversaires  politiques à se positionner par rapport à eux .  L’Obs convoquait ainsi aujourd’hui sur son site   Henri Labayle, professeur de droit à l’université de Pau et spécialiste de l’immigration pour expliquer que le Front National  a tout  « faux » de dire que l’espace « Schengen » est « mort. »

    Au détour   de longues circonvolutions  il est tout de même écrit que « des printemps arabes aux guerres du Proche-Orient et à la multiplication des conflits régionaux auxquels les États européens ne sont pas toujours étrangers, rien ne ressemble plus à ce monde où les VoPos est-allemands et Mouammar Kadhafi, sans parler de l’armée turque, étaient nos garde-frontières objectifs ». « Conçu pour un temps calme, Schengen ne supporte pas la tempête. »

      M. Labayle  souligne aussi  les tares, les défauts de «cohésion» de cette construction européenne en affirmant  qu’au-delà même des limites de  «Schengen», «il semble n’être venu à l’esprit de personne que construire un espace commun reposait sur la capacité de chacun à garantir la sécurité de tous et que la levée des contrôles intérieurs exigeait en retour une cohésion forte dans les législations nationales, par un effet de vases communicants facile à prévoir. »

    Il s’agir surtout de bien comprendre que la question  de la matérialité des frontières n’est qu’une des données du problème.  Bruno Gollnisch  rappelait dans un  entretien accordé le 15 septembre  au parlement de Bruxelles à Alain Escada  (mis en ligne sur Media-Presse-Info) que c’est par le rétablissement de la préférence nationale que l’on dissuadera les  immigrés  de venir s’installer cheez nous en leur faisant  comprendre que «la France n’est pas un eldorado.» 

    Tout cela le FN l’avait prévu, mais quand le FN met en garde nos compatriotes  il tiendrait lui  un discours malsain, anxiogène, voire antirépublicain.  Exemple parmi d’autres, le journal des Hautes-Alpes sur internet, l’E-media 05,  rappelait hier  que Christian Estrosi, tête de liste Les Républicains-UDI-MoDem pour les élections régionales de PACA , ne se contente pas  de tenir un discours droitier, musclé,   pour draguer l’ électeur. Soucieux  de jouer sur les  deux tableaux, il utilise aussi  les mêmes slogans que MM. Mélenchon, Valls ou  Cambadélis, les mêmes  diatribes que Mme Taubira en répétant partout qu’il «désigne le Front National comme son principal adversaire». «C’est à lui qu’il réserve ses principales attaques, en visant  ceux qui se revendiquent de Vichy, de Pétain  ou en demandant aux électeurs  d’éviter que la honte et la haine ne tombent sur notre région ».

    Même son de cloche de Ghislaine Ottenheimer, rédactrice en chef de Challenges, qui, sur le site de délits d’opinion ,  note que les républicains  «doivent composer avec un discours de rejet, de haine et de peur porté par Marine Le Pen. Revenue aux fondamentaux du FN, elle joue sur les  passions tristes  face à une opinion publique dépressive (…).  L’absence de perspectives ne peut que conduire à la montée en puissance de Marine Le Pen ».

    Et Mme Ottenheimer de s’inquiéter de la stratégie de «Nicolas Sarkozy (qui)  reste persuadé que la capacité à faire voter des électeurs passés au FN est forte et c’est pourquoi le candidat multiplie les prises de parole en direction de cette frange de l’électorat. Ce calcul est risqué et dans le contexte actuel j’ai du mal à penser que cela puisse fonctionner. En quelques années, les déçus du sarkozysme sont devenus, pour certains, des vrais soutiens du FN ».

    En quelques années les prédictions du FN, ses analyses et  ses avertissements se sont aussi   tragiquement confirmés. Mais cela Mme Ottenheimer,  comme beaucoup de se confrères  ne veut ou ne peut le dire. C’est pourtant  aussi ce choc du réel et les solutions portées par l’opposition nationale pour y faire face  affirme Bruno Gollnisch, qui explique l’attraction grandissante des idées frontistes  dans  le corps électoral. 

    http://gollnisch.com/2015/09/22/un-discours-de-rejet-de-haine-et-de-peur/

  • PEGIDA : « Merkel en Sibérie, Poutine à Berlin » !

    « Merkel nach Sibirien, Putin nach Berlin! » « Merkel en Sibérie, Poutine à Berlin », chantent les patriotes Allemands pendant un défilé anti immigration à Dresde.

    Loin de l’image de bonheur affiché par les médias officiels, les Allemands ses sentent de plus en plus trahis par leurs dirigeants qui leur imposent cette invasion brutale d’immigrants musulmans.
    Lundi le mouvement PEGIDA a défilé à Dresde en critiquant directement la politique d’Angela Merkel.

    http://fr.novopress.info/

  • Marine Le Pen devant le tribunal correctionnel : qui en sortira perdant ?

    Le spectacle de la rue Myrrha dans le 18e arrondissement de Paris suffit à comprendre ce que veut dire Marine Le Pen. Une rue totalement bloquée chaque vendredi par des musulmans en prière, la présence de la police pour éviter les affrontements ou les conséquences tragiques d’une automobile conduite par un « déséquilibré ».

    Pour la seconde fois de sa carrière politique, Marine Le Pen est citée à comparaître devant le tribunal correctionnel. Sauf erreur, elle n’y a comparu qu’une fois, pour diffamation à l’encontre d’un ancien membre du FN, en 2011. De quoi faire pâlir son père, qui a multiplié les comparutions. Le prétexte du procès est connu : ses déclarations à propos des prières de rue, courant 2010, qui lui ont valu les applaudissements silencieux de bien des Français, et l’habituelle complainte du chœur des vierges effarouchées.

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  • Manifestation contre la déferlante migratoire

    A l'appel du SIEL (Souveraineté, indépendance et libertés), proche du FN, près de 500 personnes (selon l'AFP) se sont rassemblées hier soir à proximité du consulat d'Allemagne à Paris pour dénoncer "la déferlante migratoire sur l'Europe". Le SIEL avait déployé deux grandes banderoles :

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    Plusieurs intervenants se sont succédé, devant des drapeaux français, allemand, ou hongrois, en hommage aux positions du Premier ministre hongrois radical Viktor Orban. Parmi eux, Jean-Yves Le Gallou, Renaud Camus, une porte-parole du mouvement allemand Pegida (Patriotes européens contre l'islamisation de l'Occident), Melanie Dittmer, qui a brûlé un drapeau européen. 

    Voici le discours de Karim Ouchikh, président du SIEL, ancien militant socialisteet ex-musulman converti (mention du Salon Beige vers 6mn25) :

    Capture d’écran 2015-09-25 à 07.29.26

    Michel Janva

  • Victoire de la liberté d’expression : Zemmour relaxé

    Traîné en justice pour « provocation à la haine raciale » en raison d’une chronique dans laquelle il décrivait la réalité, l’essayiste Eric Zemmour a finalement été relaxé.

    Bonne nouvelle pour la liberté d’expression : il est encore (parfois) possible de décrire le réel. Ainsi, Eric Zemmour a-t-il été relaxé par le tribunal correctionnel de Paris, ce mardi 22 septembre. Le polémiste était poursuivi pour provocation à la haine après une chronique sur RTL, en mai 2014 dans laquelle il déclarait :

    Les Normands, les Huns, les Arabes… les grandes invasions d’après la chute de Rome sont désormais remplacées par les bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d’Africains qui dévalisent, violentent ou dépouillent.

    La radio était, elle, poursuivie pour avoir diffusé ladite chronique. Elle a logiquement été également relaxée.
    « Aussi excessifs, choquants ou provocants que ces propos puissent paraître », ces propos ne s’appliquent « qu’à une fraction des communautés visées et non à celles-ci dans leur ensemble », a finalement jugé le tribunal correctionnel de Paris.

    L’avocat du polémiste pour qui ces poursuites avaient « peut-être un sens politique » et Éric Zemmour lui-même, se disant « victime d’un procès profondément politique » mettent le doigt sur le fond de l’affaire : décrire le quotidien de tant de Français n’est pas politiquement correct.

    Je ne suis pas assistante sociale, mon métier n’est pas de savoir si je vais faire de la peine à untel ou untel. Mon métier, c’est dire la vérité.

    conclut Zemmour.

    http://fr.novopress.info/

  • L’invasion n’avance pas au hasard. Le général Gomart patron du renseignement militaire, l’explique.

    Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire. Le général 4 étoiles a expliqué,  en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français. 
    La DRM, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de renseignement géospatial interarmées). Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.).C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter aux dirigeants français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des passeurs de migrants. Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en Méditerranée Eunavfor Med, lancée en mai dernier.
    Le général Gomart a ainsi pu confier lors du colloque que les militaires français ont repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte). Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. (Source)
    Avant tout départ en mer les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, explique-t-il, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses immigratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…
    le Geoint est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géolocalisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques », précise le général. (Source)
    L’invasion est donc une affaire qui n’avance pas au hasard. 
    Voilà, il n’y a aucun mystère. Lorsque les passeurs vont acheter un zodiac au siège du Consulat honoraire de Bodrum, chez Madame le consul Françoise Olcay, les renseignements français le savent… Sans le reportage de France 2, le consul serait toujours en poste. Il est à noter que Madame Olcay a perdu son poste de consul,  mais qu’elle continue d’alimenter le trafic vers la France en poursuivant son commerce illégal et que les autorités françaises le savent, de même qu’elles savent que la Turquie délivre de faux passeports, que les capitaineries ferment les yeux etc. etc.
    Et si le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, comment ne pourrait-il pas le voir en Europe et plus encore en France ? Mais qui sait sur qui la surveillance s’exerce en France ? Sur les opposants à l’immigration ?
    Cette invasion est voulue.

  • En quoi cela est-il rassurant ?

    Quelques médias se gaussent d'une erreur commise par Mylène Troszczynski, eurodéputée et conseillère régionale Front national. Son erreur est d'avoir repris et diffusé sur son compte twitter un photomontage de femmes en voile intégral devant une agence de la CAF alors que la photo d'origine a été prise en Grande-Bretagne. Et cela grâce au travail acharné de journalistes-policiers du Monde, qui, au passage sous-entend malhonnêtement dans son titre que le photomontage est de son fait...

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    Personnellement, il faudrait qu'on m'explique en quoi cela change la situation. Ne rencontre-t-on pas ce genre d'accoutrement en France comme sur cette photo (AFP) prise au Bourget le 6 avril 2012  ?  

    Sans-titre

    Marine Le Pen a d'ailleurs défendu son élue sur BFMTV car le sujet semblait de la plus haute importance pour Jean-Jacques Bourdin :

    "On sait très bien que la précipitation sur internet fait qu'on ne vérifie pas toujours les sources. Elle aurait dû le faire mais l'erreur est humaine (...)Tous les jours, je reçois des photos de femmes qui sont intégralement voilées, dans le métro, dans le train, dans la rue (...) Cette photo qui traine sur internet est peut-être une erreur mais cette réalité-là, elle existe."

    Philippe Carhon

  • Ces maires qui disent non ! Julien Sanchez : «J’ai été le caillou dans la chaussure de cette opération de propagande»

    Source : Minute mercredi 16 septembre 2015 • n°2737 • suite du dossier « Migrants : ces maires qui disent non !» 
    Julien Sanchez

    La même hystérie qu’après le 21 avril 2002

    Maire (FN) de Beaucaire, dans le Gard, Julien Sanchez était présent, samedi à la Maison de la chimie, à Paris, à la réunion organisée par le ministère de l’Intérieur pour convaincre les maires de recevoir des « réfugiés ». Le moins qu’on puisse dire est qu’il n’y a pas été bien accueilli…

    Minute : Vous vous êtes rendu, samedi dernier, à la réunion organisée par le ministre de l’Intérieur pour les élus qui souhaitent accueillir des migrants. Alors, combien avez-vous accueilli de migrants à Beaucaire ?
    Julien Sanchez : Pas un seul ! Comme tous les maires de France, j’ai été invité par le ministre de l’Intérieur. J’ai donc répondu à cette invitation. Mais je suis surtout venu pour expliquer pourquoi, à Beaucaire, nous ne voulions pas accueillir de nouveaux immigrés.

    Qui était présent à cette réunion ? 
    À part moi, la salle était pro-migrants à 1 000 % ! Tous, de gauche ou du centre (il y avait Jean-Christophe Lagarde et Valérie Létard, de l’UDI, François Bayrou du Modem), étaient unanimes. La presse a annoncé que 700 maires étaient présents. Honnêtement, il n’y avait que 400 personnes et toutes n’étaient certainement pas maires… Pour remplir la salle, on a raclé les fonds de tiroirs.
    Pour le ministre de l’Intérieur, c’est un échec total : 400 maires sur 36 000 ! Le gouvernement voulait donner la preuve que les maires étaient unis pour accueillir les migrants… C’est raté !

    Vous avez pu vous exprimer ? 
    Oui… 40 secondes… Le reste de mes propos a été couvert par des cris et des vociférations. Un homme devant moi a même cherché à m’arracher mon intervention des mains. C’était Pierre Bousquet de Florian, le préfet de région du Languedoc-Roussillon !
    « Dehors les fachos », « Nazi », « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté »… J’ai eu le droit à toutes les insultes possibles. En quittant l’événement, on m’a bousculé ; j’ai même reçu des coups de pieds… Pas très Charlie tout ça ! J’ai été le caillou dans la chaussure de cette opération de propagande.
    Tout cela me rappelle l’hystérie qu’on avait vécue et subie au lendemain du 21 avril 2002, quand Jean-Marie Le Pen était au deuxième tour de la présidentielle. C’est exactement le même schéma : les opposants n’ont pas le droit à la parole.

    Qu’est-ce qui n’a pas plu dans votre discours ? 
    Les sifflets ont commencé quand j’ai dénoncé la double peine que veut nous imposer le gouvernement : après avoir déclenché une guerre, nous devrions en subir les conséquences et accepter, sans rien dire, l’invasion migratoire de notre pays ? J’ai ajouté que tout cela est criminel pour notre pays.
    Bref, j’ai essayé d’être la voix des 35 500 maires qui n’étaient pas présents à cette réunion et des 70 ou 80 % de Français qui sont contre cette invasion, contrairement à ce que disent les sondages pipeau.

    Manuel Valls vous a-t-il répondu ? 
    Un peu plus tard, dans son intervention, il m’a accusé, sans me nommer, d’être venu faire de la politique et de faire peur aux Français. Pourtant, c’est moi qui suis inquiet. Pour l’instant, le gouvernement fait appel aux volontaires. Mais je me méfie. Les préfets ont reçu comme consigne de lancer des schémas départementaux d’installation des migrants comme il en existe pour les gens du voyage : à telle ville une aire de grand passage, à telle autre dix places, etc. Et bien, le gouvernement va faire pareil pour les migrants : il finira par les imposer à chaque commune.

    http://fr.novopress.info/

  • Invasion choisie, désinformation et guerre psychologique

    Analyse de Carl Lang, trouvée ici. A ceci près qu'elle se termine par un appel à rejoindre un nième parti, le sien. Or la France meurt du régime des partis...

    "La politique de colonisation de la France et de l’Europe occidentale engagée depuis les années 1970 avec la complicité active des dirigeants politiques et économiques européens s’accélère ces dernières semaines avec la ruée vers l’Europe de populations du proche et Moyen Orient.

    Il est utile de rappeler que le chaos en Syrie est largement le fruit des politiques occidentales de soutien aux milices armées qui ont engagé une guerre civile et religieuse contre le régime de Bachar el Hassad.

    Il y a peu, le président de la République dite française souhaitait un engagement armé de la France et de l’OTAN contre les armées du gouvernement légal syrien, alors que l’unique obstacle sur le terrain à une victoire totale de l’Etat islamique en Syrie est justement l’armée de Bachar el Hassad. François Hollande n’est donc pas simplement un incapable reconnu en politique intérieure mais il est de surcroît un irresponsable potentiellement dangereux en politique étrangère.

    Face au présent chaos créé par le flux ininterrompu de centaines de milliers de migrants sur les frontières grecques et européennes, la France, l’Allemagne et le président de la Commission européenne ont fait le choix public et proclamé d’une politique d’ouverture et d’accueil, une politique dite de quotas qui a été entendue en Syrie, en Irak et ailleurs comme un véritable appel à venir en Europe : vous serez chez nous chez vous et vous y trouverez logement, protection sociale, allocations et emploi.Cette politique a un nom : celle de l’invasion choisie.

    Cette capitulation politique s’accompagne du vacarme habituel des grosses caisses médiatiques de la désinformation : on explique ainsi aux téléspectateurs hébétés qu’il ne s’agirait que de 160 000 réfugiés à se répartir dans toute l’Europe et que 24 000  réfugiés pour la France, ce n’est pas grand-chose. Les faits sont pourtant impitoyables et démonstratifs : en une seule semaine 22500 clandestins sont arrivés sur la seule île grecque de Lesbos. L’appel public à l’accueil de certains Etats européens a d’ores et déjà enclenché un processus migratoire massif et supplémentaire de plusieurs centaines de milliers de personnes qui se précipitent vers les frontières européennes. Le nombre des populations candidates potentielles au déplacement est probablement aujourd’hui de 4 à 5 millions de personnes. [...]"

    Paula CorbulonAnalyse de Carl Lang, trouvée ici. A ceci près qu'elle se termine par un appel à rejoindre un nième parti, le sien. Or la France meurt du régime des partis...

    "La politique de colonisation de la France et de l’Europe occidentale engagée depuis les années 1970 avec la complicité active des dirigeants politiques et économiques européens s’accélère ces dernières semaines avec la ruée vers l’Europe de populations du proche et Moyen Orient.

    Il est utile de rappeler que le chaos en Syrie est largement le fruit des politiques occidentales de soutien aux milices armées qui ont engagé une guerre civile et religieuse contre le régime de Bachar el Hassad.

    Il y a peu, le président de la République dite française souhaitait un engagement armé de la France et de l’OTAN contre les armées du gouvernement légal syrien, alors que l’unique obstacle sur le terrain à une victoire totale de l’Etat islamique en Syrie est justement l’armée de Bachar el Hassad. François Hollande n’est donc pas simplement un incapable reconnu en politique intérieure mais il est de surcroît un irresponsable potentiellement dangereux en politique étrangère.

    Face au présent chaos créé par le flux ininterrompu de centaines de milliers de migrants sur les frontières grecques et européennes, la France, l’Allemagne et le président de la Commission européenne ont fait le choix public et proclamé d’une politique d’ouverture et d’accueil, une politique dite de quotas qui a été entendue en Syrie, en Irak et ailleurs comme un véritable appel à venir en Europe : vous serez chez nous chez vous et vous y trouverez logement, protection sociale, allocations et emploi.Cette politique a un nom : celle de l’invasion choisie.

    Cette capitulation politique s’accompagne du vacarme habituel des grosses caisses médiatiques de la désinformation : on explique ainsi aux téléspectateurs hébétés qu’il ne s’agirait que de 160 000 réfugiés à se répartir dans toute l’Europe et que 24 000  réfugiés pour la France, ce n’est pas grand-chose. Les faits sont pourtant impitoyables et démonstratifs : en une seule semaine 22500 clandestins sont arrivés sur la seule île grecque de Lesbos. L’appel public à l’accueil de certains Etats européens a d’ores et déjà enclenché un processus migratoire massif et supplémentaire de plusieurs centaines de milliers de personnes qui se précipitent vers les frontières européennes. Le nombre des populations candidates potentielles au déplacement est probablement aujourd’hui de 4 à 5 millions de personnes. [...]"

    Paula Corbulon