A l’appel d’une large intersyndicale, des milliers de policiers ont défilé mercredi à Paris, entre la place de la Bastille et celle de la République, lors d’une manifestation baptisée « marche de la colère » sur fond de malaise de l’institution, de hausse des suicides, de manque de moyens et de réforme des retraites.
insécurité - Page 570
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Manifestation de policiers : « Ce n’est pas le boulot que je conseillerais à mes enfants »
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Drame de la préfecture de police, la France de l’ensauvagement – Journal du vendredi 4 octobre 2019
1) Drame de la préfecture de police, la France de l’ensauvagement
Une attaque au couteau par un individu aux motivations possiblement islamistes a fait quatre morts jeudi à la préfecture de Paris. Une actualité qui rappelle la menace permanente qui pèse sur les Français.
2) Consommation : enfin une lutte contre l’obsolescence programmée ?
Le Sénat et la Commission européenne ont adopté une batterie de mesures contre l’obsolescence programmée. Une volonté politique, au moins de façade, qui met en lumière la complexité que constituerait un changement des modes de production et de nos modes de consommation.
3) FIFA : escroc… mais pas trop !
Alors que les montants des transferts atteignent des sommets, la Fifa tente de réguler le marché. L’instance internationale du football va limiter les commissions des agents et les prêts de joueurs. De quoi limiter l’appétit financier de certains acteurs du ballon rond.
4) L’actualité en bref
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Assange en danger de mort
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La capitaine du Sea Watch, Carola Rackete, a amené des meurtriers, des violeurs et des bourreaux en Italie
Carola Rackete, l'infâme capitaine du navire de transport de migrants Sea-Watch 3, une ONG, a amené trois hommes qui dirigeaient un centre de détention pour migrants en Libye, où des migrants ont été violés, torturés et assassinés.Selon Il Giornale, trois des 40 migrants qui ont été accueillis par le bateau de Rackete sont des hommes accusés de viol, de torture et d’assassinat de personnes en Libye.
Les suspects auraient été arrêtés au centre d'accueil de Messine, en Italie.
La police avait initialement dissimulé les arrestations qui auraient eu lieu le jour même où les migrants ont débarqué du navire.
«Le capitaine a transporté trois immigrés accusés d'avoir torturé Sea Watch», écrit Franco Grilli, de Il Giornale.
"Nous ne pouvons pas l'exclure, mais nous n'avons aucune information précise", a déclaré le porte-parole de Sea Watch, Ruben Neugebauer, à l'agence de presse allemande DPA.
Les trois hommes ont été officiellement accusés d ’« association de malfaiteurs dédiée à la gestion d’un centre pénitentiaire illégal », de torture, de viols, d’enlèvements et même de meurtres.
En réponse à cette nouvelle, Matteo Salvini, homme politique et dirigeant du parti populiste national Lega en Italie, a écrit: «Non seulement elle a violé les lois et a percuté un bateau de patrouille de la Guardia di Finanza; le 29 juin, Carola Rackete du Sea Watch 3 aurait débarqué trois immigrants accusés de violence, de viol, d'enlèvement et de meurtre en Italie.
Les parlementaires du Parti démocratique (PD) ont exigé le débarquement de tous les immigrants, y compris ceux qui sont maintenant soupçonnés d'être des criminels féroces.
" Selon Chiara Giannini, qui cite des "sources fiables", la nouvelle ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese, avait demandé que les nouvelles embarrassantes ne soient pas publiées. Mais au lieu de cela, des membres de la vraie presse ont rendu publiques les arrestations, ainsi que les noms des trois suspects - Mohammed Condè, 27 ans, Hameda Ahmed, 26 ans et Mahmoud Ashuia, 24 ans.voiceofeurope traduction Google -
Attaque au couteau à la Préfecture de Paris : selon BFMTV, l’assaillant était converti à l’islam depuis 18 mois
20h30 – Toutes les pistes sont étudiées ce soir, indique une source policière, notamment la piste terroriste. Par ailleurs, la fonctionnaire gravement blessée et conduite à l’hôpital lors de l’attaque serait hors de danger.
D’après BFMTV, l’auteur présumé de l’attaque au couteau qui a fait quatre morts à la Préfecture de police de Paris ce jeudi était converti à l’islam depuis 18 mois. Les raisons de son acte meurtrier ne sont pour le moment pas connues.
Le site Actu17 va plus loin et affirme la piste terroriste est désormais privilégiée, en précisant que l’auteur devait être prochainement convoqué par sa cheffe afin de s’expliquer sur le fait qu’il ne saluait plus les femmes.
La femme du meurtrier a été placée en garde à vue, selon le parquet de Paris.
RT – « Selon une source policière contactée par RT France, l’assaillant s’était converti à l’islam il y a 18 mois. L’informaticien aurait été en entretien ce 3 octobre avec sa supérieure hiérarchique qui souhaitait le questionner sur son comportement envers les femmes de la préfecture. La fonctionnaire aurait été tuée par l’assaillant avant qu’il ne s’en prenne à d’autres collègues ».
Source : BFMTV / Actu17 : voir la video du tweet
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Nantes : un migrant arrêté pour viol et plusieurs agressions sexuelles… Reste libre !
Les agressions physiques et sexuelles deviennent endémiques dans cette ville, naguère tranquille, qui continue sa politique suicidaire d’accueil d’étrangers subsahariens. Cette fois il ne faut pas s’attendre à de mobilisation numérique, de hashtag #BalanceTonMigrant ou de protestations de féministes. Cette fois, tout est normal.
Un adolescent de 17 ans a été arrêté pour un viol et plusieurs agressions sexuelles à Nantes, rapporte la police. La première affaire s’est déroulée cet été, au petit matin sur l’île de Nantes
[…]
Quelques jours plus tard, un jeune homme avait été interpellé dans le cadre d’une procédure d’agression sexuelle commise sur les bords de Sèvre. Selon la police, il a été mis en cause dans plusieurs autres affaires.
[…]
Il a été placé sous contrôle judiciaire et remis à son éducateur.
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Un autre site classé Seveso touché par un incendie à Toulouse
Un incendie s'est déclaré lundi 30 septembre à Toulouse sur un site classé Seveso. Le service de sécurité interne de l'entreprise a rapidement maîtrisé le sinistre.
Quatre jours après l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen, un feu s'est déclaré lundi soir dans un hangar de la Société de traitement chimique des métaux (STCM) classée Seveso au nord de Toulouse.D'après les informations de la préfecture de Haute-Garonne, ce sont des batteries qui ont pris feu dans un hangar de l'usine située dans la zone industrielle de Fondeyre, à Toulouse. C'est le service de sécurité interne de l'entreprise qui a rapidement maîtrisé l'incendie. Il n'existe aucun risque pour la population, a rassuré la préfecture. -
Lubrizol : le flou derrière la fumée – journal du mercredi 2 octobre
1) Lubrizol : le flou derrière la fumée
Après avoir martelé pendant cinq jours qu’il n’y avait pas de risque pour la santé, le gouvernement semble bien en peine d’évaluer les véritables conséquences de l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen. Un flou qui laisse la place à tous les commentaires et les fake news. Le professeur, André Picot, chimiste spécialisé en toxicologie, nous apportera des précisions dans cette édition.2) La police descend dans la rue
Manque de moyens, nombre de suicides record, violences au quotidien, les policiers tirent la sonnette d’alarme. Réunies à Paris, les forces de l’ordre font entendre leur colère au milieu d’une séquence où le ministère les met à contribution depuis des mois.3) Urgences : des “stars ” ruent dans les brancards
Après plus de 7 mois de grève aux urgences en France, c’est au tour d’une centaine de personnalités d’adresser une lettre ouverte au président pour l’alerter sur la situation. Un geste solidaire qui dénote également que les services d’urgences se dégradent partout et pour tout le monde.4) L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/lubrizol-le-flou-derriere-la-fumee-journal-du-mercredi-2-octobre
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Lubrizol : le flou derrière la fumée
Les incertitudes se multiplient autour de l’affaire Lubrizol. Mardi, la préfecture de Seine-Maritime a dévoilé l’inventaire des substances entreposées dans les bâtiments de l’usine de Rouen au moment de l’incendie. Des éléments loin de faire la lumière sur les conséquences réelles de la catastrophe.
Un inventaire qui manque de clarté
C’était la première revendication des habitants de Rouen : connaître la liste des produits qu’ils respirent depuis l’incendie de l’usine Lubrizol. Cinq jours après la catastrophe, le gouvernement a donc répondu à la requête. Ainsi, mardi en début de soirée, la préfecture de Seine-Maritime a publié sur son site internet l’ensemble des produits entreposés dans l’usine au moment de l’incendie. 5 253 tonnes de produits chimiques ont été détruits par les flammes dont plus de 60% d' »additifs multi-usages » mais aussi 13% d’améliorant de viscosité. Le reste inclut du détergent, de l’huile vierge ou encore du dispersant, tous trois aux alentours de 4%. Des termes techniques totalement incompréhensibles pour le commun des mortels.
Source Selon le professeur André Picot, chimiste expert en toxicologie que vous pourrez retrouver pour un interview dans notre JT dece mercredi, il s’agit pourtant bien de composés potentiellement dangereux. Pourtant, les autorités publiques poursuivent leur stratégie du « tout est sous contrôle ». En effet, dans la foulée, la préfecture a précisé que tous les produits n’étaient pas dangereux, la dangerosité dépendant de la quantité présente, du devenir des molécules après avoir brûlé et de l’exposition aux produits. Comprendre : il n’y a pas de risque mais un petit peu quand même. Une nouvelle tentative du gouvernement pour rassurer la population.
On nous cache tout ?
Le ministre de la Santé, Agnès Buzyn a affirmé ce mercredi matin que les autorités sanitaires n’avaient aucun intérêt à cacher quoi que ce soit. En réalité, le gouvernement n’a pas besoin de cacher les informations puisqu’Agnès Buzyn le concède elle-même, personne ne sait exactement ce que donnent ces produits mélangés lorsqu’ils brûlent. En effet, si la liste des produits a été dévoilée, et que l’effet de leur combustion peut être à peu près évalué, les interactions entre les différentes substances restent quant à elles peu prévisibles. Sur ces points cruciaux, l’Etat n’est effectivement pas en mesure d’apporter de réelles réponses. Un terrible aveu après avoir martelé pendant cinq jours que l’air était « parfaitement respirable ».
Si d’un côté, le gouvernement, en quête de paix sociale, tente de minimiser le potentiel impact sanitaire de l’incendie, de l’autre, c’est la course au scénario catastrophe donnant lieu parfois à une prolifération de fausses nouvelles. Une prolifération qui résulte également d’un manque de confiance envers le gouvernement et les autorités publiques. De quoi laisser planer un immense flou après l’épais nuage noir.
https://www.tvlibertes.com/actus/lubrizol-le-flou-derriere-la-fumee
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Lubrizol : le gouvernement joue avec le feu – Journal du mardi 1er Octobre 2019
1) Lubrizol : le gouvernement joue avec le feu
Cinq jours après l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, le gouvernement multiplie les déclarations pour rassurer la population. Mais la défiance semble prendre le pas et la vérité se fait toujours attendre.
2) Brexit : Boris Johnson présente un nouveau plan
En difficulté sur le plan national, le premier ministre britannique Boris Johnson s’engage vers de nouvelles négociations sur le Brexit avec Bruxelles. Un nouveau rendez-vous crucial à moins d’un mois de la date butoir.
3) Quand les banques mettent au chômage
Licenciements en pagaille dans le domaine de la banque. Alors que la conjoncture se tend et qu’une nouvelle crise financière est annoncée par de nombreux observateurs, le secteur banquier enchaîne les plans de licenciement. Une tendance qui pourrait avoir des répercussions sur toute l’économie.
4) L’actualité en bref