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insécurité - Page 568

  • Géopôles – Moyen-Orient : risque de guerre imminent

    Les tensions dans le Golfe persique ont atteint en ce mois de septembre un niveau très élevé pouvant provoquer une guerre générale et une crise pétrolière, et par conséquent économique, mondiale.

    Depuis l’élection de Donald Trump et le changement de cap de la politique américaine vis-à-vis de l’Iran, les accrochages et incidents en tout genre n’ont cessé dans la région. Etouffée économiquement par un embargo très dur, l’Iran tente depuis un an de gesticuler par des représailles contre les intérêts occidentaux dans la région : mines contre des pétroliers, arrestations de ressortissants européens, détournement de navires britanniques… Au début du mois de septembre, ce sont des champs pétroliers et des raffineries d’Arabie saoudite, principale alliée des Etats-Unis dans la région, qui ont été attaqués par des drones et des missiles. Environs 50% des ressources pétrolières de la monarchie saoudienne sont anéanties, tout accuse l’Iran de cette attaque, les menaces de représailles n’ont pas tardé, l’envolée du prix du pétrole non plus.

    Allons-nous vers une nouvelle guerre dans la région, sommes-nous à la veille d’un nouveau choc pétrolier ? ou la montée en puissance de ce conflit débouchera-t-elle paradoxalement sur une négociation et une solution pacifique ?

    Richard Haddad reçoit Houchang Nahavandi, ancien ministre de la monarchie iranienne, ancien Recteur de l’Université de Téhéran, Lauréat de l’Académie Française et ancien professeur des universités de Paris, pour nous éclairer sur les dessous de cette crise, les rapports de force et la tactique des uns et des autres.

    https://www.tvlibertes.com/geopoles-moyen-orient-risque-de-guerre-imminent

     

  • L'affaire Harpon : de plus en plus inquiétant... Les informations de ses clés USB ont-elles été transmises aux terroristes ?

    Une découverte inquiétante : selon Le Parisien et Franceinfo, des clés USB ont été retrouvées au domicile de Mickaël Harpon.

    Elles contenaient des vidéos de propagande de Daech mais aussi - et surtout - des coordonnées et données personnelles de plusieurs dizaines de ses collègues travaillant à la préfecture de police. 

    Question : Harpon a-t-il "envoyé" ces dossiers, et à qui ?

    "Rétrospectivement, ça fait tout de même froid dans le dos, témoigne l’un des anciens collègues de Harpon auprès du Parisien. On savait qu’il disposait de l’un des plus hauts niveaux d’habilitation de la préfecture. Ça veut dire qu’il était en capacité de savoir tout ou presque des agents qu’il côtoyait au quotidien" : seulement des agents ?

    En somme, sans tomber dans le catastrophisme ni chercher à créer un climat anxiogène, on ne peut que redouter que le terrorisme soit au courant de plein de choses. Car, là et pour l'instant, on nous parle de "données personnelles" de policiers, ce qui est déjà gravissime : mais va-t-on apprendre demain que d'autres clés on été retrouvées qui contiennent des renseignements "confidentiels défense" sur la lutte anti-terroriste (lieux, installations, personnels, méthodes...)...

    Et Castaner qui continue à plastronner...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/08/l-affaire-harpon-de-plus-en-plus-inquietant-les-terroristes-6181310.html

  • Attaque à la préfecture : l’inquiétante clé USB retrouvée chez l’auteur de la tuerie

    Sur ce support informatique, les enquêteurs ont notamment identifié des vidéos de propagandes de l’Etat islamique, mais aussi les coordonnées de nombre de collègues de Mickaël Harpon.

    Selon nos informations, parmi les éléments trouvés à son domicile de Gonesse (Val-d’Oise), figure notamment une clé USB, contenant des fichiers informatiques avec de nombreuses vidéos de propagande de Daech.

    Plus inquiétant, Mickaël Harpon avait stocké sur le même périphérique USB des coordonnées et des données personnelles correspondant à plusieurs dizaines de ses collègues de la préfecture de police. Sans que l’on sache, pour l’instant, s’il les a extraites lui-même, ou s’il en disposait dans le cadre de ses fonctions habituelles. Les enquêteurs cherchent surtout à savoir s’il avait l’intention de les communiquer à des tiers, ou de s’en servir à d’autres fins.

    Le Parisien

    https://www.tvlibertes.com/actus/attaque-a-la-prefecture-linquietante-cle-usb-retrouvee-chez-lauteur-de-la-tuerie

  • Clément Martin : « La société multiethnique est un échec et les attentats djihadistes ne sont que les prémices du chaos généralisé »

    En 2012, des militants de Génération identitaire étaient montés sur le toit de la mosquée de Poitiers en construction pour y déployer une banderole et dénoncer la montée de l’islamisation, cinq d’entre eux avaient été condamnés.

    En 2012, Génération identitaire était montée sur le toit de la mosquée de Poitiers en chantier. Sept ans après, regrettez-vous ?

    Aucun regret, mais une immense fierté. Car cette action symbolique avait permis de placer la question de l’islamisation au cœur du débat public. Une islamisation visible et revendicative qui passe notamment par la construction de mosquées géantes avec minaret, comme celle de Poitiers. Signal de reconquête, notre opération avait également connu un grand retentissement dans toute l’Europe au point de susciter la création de fédérations identitaires dans différents pays (Autriche, Allemagne, Italie, etc.).

    On vient d’apprendre que cette mosquée avait été financée à hauteur de 400.000 euros par le Qatar. Comment avez-vous réagi en apprenant cela ?

    Ce n’est pas vraiment une surprise. Cette mosquée est en effet affiliée à l’UOIF (émanation des Frères musulmans en France) dont la proximité avec le Qatar est largement documentée. Cela confirme les velléités d’influence de cet État islamiste dans la vie politique française. Et, par ricochet, la lâcheté de nos élites qui ont laissé faire, par ignorance ou complaisance.

    Cette mosquée qui, rappelons-le, s’appelle Balat-al-Chouhada (mosquée Pavé des martyrs) en référence à la bataille de Poitiers. Vous aviez fait référence à cette bataille à l’époque et cela vous avait été reproché. Comment expliquez-vous cette dichotomie ?

    Pour le tribunal de Poitiers, la simple référence à la victoire de Charles Martel constituait une « provocation à la haine » de notre part. Or, le véritable nom de cette mosquée (Pavé des martyrs) témoigne lui-même d’un esprit de revanche évident car, contrairement aux Européens amnésiques, les musulmans cultivent la longue mémoire. Malheureusement, ce qui est permis, encouragé et valorisé pour les étrangers est interdit ou censuré pour les Français. Seul l’Autre peut revendiquer la fierté de ses origines et de son histoire. Pour nous, elle est forcément synonyme de scandale. Pourtant, la « provocation » consiste davantage à humilier notre peuple avec un tel édifice qu’à proclamer le droit à vivre sur notre terre selon notre identité.

    En ce moment, une campagne de boycott frappe Éric Zemmour. Vous reconnaissez-vous dans ses propos à la Convention de la droite ?

    Une nouvelle fois, les propos d’Éric Zemmour choquent les journalistes et l’entre-soi parisien alors qu’il ne fait que décrire fidèlement la réalité. L’islam et la mémoire d’affrontements séculaires nourrissent une volonté de conquête. La société multiethnique est un échec et les attentats djihadistes ne sont que les prémices du chaos généralisé (partition du territoire, reconquête et/ou affrontements sanglants) qui se profile si aucune mesure radicale n’est prise. Conclusion : la sécurité et la prospérité de notre pays passent nécessairement par un arrêt de l’invasion migratoire et de l’islamisation. Ce diagnostic est le nôtre en tout point.

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Rouen explose – Les Reportages de Vincent Lapierre

    L'explosion de l'usine Lubrizol a produit autant de pollution que de questions. Les Rouennais demandent toute la vérité sur cette affaire.

    L'usine de pétro-chimie Lubrizol située à Rouen a explosé au matin du jeudi 26 septembre, provoquant un nuage de fumée toxique qui a survolé la ville durant de longues heures. A quels produits ont été exposés les Rouennais ? Pourquoi les autorités ne donnent aucune information concernant la procédure à suivre pour se protéger ? Pourquoi disent-elles qu'il n'y a aucun risque alors que tout indique le contraire ? C'est ce que sont allés demander les Rouennais à une réunion d'élus locaux avec le préfet.

    Vincent Lapierre et l'équipe du Média pour Tous étaient également sur place.

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  • Attaque à la préfecture de police : des renseignements aux abois – journal du lundi 7 octobre 2019

    1) Attaque à la préfecture de police : des renseignements aux abois

    4 jours après l’attaque terroriste à la préfecture de police de Paris, un rapport de service atteste des multiples signaux de radicalisation de l’assaillant. L’Etat se retrouve donc confronté à son propre échec et Christophe Castaner est en première ligne.

    2) Pari réussi pour les opposants à la PMA

    Dimanche, à l’appel d’un collectif d’une vingtaine d’associations dont La Manif Pour tous, une grande manifestation a défilé dans les rues de Paris. Un pari réussi qui prouve que la mobilisation pro-famille n’a pas pris une ride depuis 2013.

    3) Immigration : faux débat et vrai manœuvre politique

    L’immigration est de retour dans le débat politique français ! Une volonté du président de la République qui s’inscrit dans une démarche électorale à quelques mois seulement des prochaines élections municipales.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/attaque-a-la-prefecture-de-police-des-renseignements-aux-abois-journal-du-lundi-7-octobre-2019

  • Rouen : de 5.253 tonnes de produits chimiques incendiés on passe à 9.050 ! Etonnez-vous qu'on soit inquiet...

    La Préfecture de Seine maritime avait bien publié une liste de produits chimiques incendiés, évalués à 5.253 tonnes.

    Voilà que, vendredi soir, ce chiffre était augmenté de... 9.050 tonnes (excusez du peu !), car on s'est rendu compte, après coup, que l'usine Lubrizol stockait des marchandises chimiques "type Seveso" dans trois hangars de l'entreprise voisine, Normandie Logistique.

    Sur ces trois hangars, un a été détruit intégralement, un deuxième à soixante pour cent environ, le troisième à environ vingt pour cent...

    La Préfecture a manifestement mal géré l'information : elle a soit parlé trop vite, soit dit trop peu... Résultat : l'inquiétude, et plus, persiste et s'accroît...

    (lire ou relire notre note du 5 octobre dernier : envoi de lecteur rouennais)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/07/rouen-de-5-253-tonnes-de-produits-chimiques-incendies-on-pas-6180881.html

  • Attentat de la préfecture de police : souvenons-nous des promesses de l’État islamique

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    Le profil de l’assassin de la préfecture de police de Paris se précise : islam radical, accointances avec une organisation terroriste, opération préméditée. L’assassinat est désormais un attentat. Le terroriste une taupe ?

    Souvenons-nous des promesses de l’État islamique. C’était encore l’époque où on l’appelait par son nom : État islamique en Irak et au Levant. Ce n’était pas encore le Califat, et on n’utilisait pas encore l’acronyme arabe de Daech pour rendre moins évident à l’oreille française son caractère religieux et prophétique. À cette époque, l’État islamique inondait Twitter, Facebook et YouTube de ses clips de propagande, de ses visuels imitant les jeux vidéo, de ses citations coraniques et des numéros de sa revue, Dabiq, qui a, depuis, changé de titre et de format.

    Alors qu’il consolidait ses conquêtes en Irak et en Syrie, l’État islamique avait un slogan principal : « Dawlat-al-Islam baqiya ! » ou, plus simplement, « Baqiya ! » (« L’État islamique restera ! »). Il avait un slogan secondaire abondamment relayé sur les réseaux sociaux : « We are coming, o Rome! » Il promettait l’accomplissement de la prophétie sunnite selon laquelle les cavaliers aux étendards noirs prendraient le Levant et soumettraient la capitale de la chrétienté, établissant la domination de l’islam sur le monde.

    Mais pour conquérir Rome, il faut d’abord passer sur le corps de la France, protectrice de la papauté depuis le règne de Pépin le Bref et considérée comme telle par l’État islamique. Le numéro 15 de Dabiq, publié à la suite des attentats de Paris en 2015, illustrait son dossier « Pourquoi nous vous haïssons » par une photographie de la messe traditionnelle ad orientem.

    Attentats des marchés de Noël, attentat de Charlie Hebdo, attentats de Paris, attentat de Nice, attentat des Champs-Élysées… L’État islamique l’a promis, l’État islamique l’a fait. L’État islamique avait appelé ses fidèles à tuer les Français partout, tout le temps, au couteau, par le poison, sous les roues des voitures… et les égorgements, renommés « coups de couteau à la gorge », partout ont fleuri.

    À cette époque, l’État islamique avait aussi promis de déstabiliser l’Europe en la submergeant sous une vague de millions de réfugiés, parmi lesquels ses fidèles se cacheraient comme des loups au milieu du troupeau. L’État islamique l’a promis, l’État islamique l’a fait.

    L’État islamique a été fondé par d’anciens cadres des renseignements irakiens qui ont mis leurs compétences au service de cette organisation. Pour faire tomber la Syrie, ils avaient placé ou retourné des hommes dans chaque ville et chaque village. Au moment opportun, ceux-ci avaient su indiquer sur qui s’appuyer, qui arrêter, qui exécuter.

    Le terroriste de la préfecture de police de Paris avait accès, par son accréditation secret défense, à des données sensibles du renseignement antiterroriste. On ne sait pas encore s’il a prêté allégeance à l’État islamique, s’il a été retourné pour devenir une source de renseignement… Étant donné le profil des fondateurs de cette organisation, c’est possible et il pourrait ne pas être le seul.

    Souvenons-nous que l’État islamique tient ses promesses. Sous-estimer un ennemi peut faire du bien au moral, mais cela ne fait pas gagner la guerre.

    Guillemette Pâris

    https://www.bvoltaire.fr/attentat-de-la-prefecture-de-police-souvenons-nous-des-promesses-de-letat-islamique/

  • Enseignants : voyage au bout de la nuit

    On sait que les suicides sont, hélas ! voués à de fatales imitations, parfois inexplicables quand elles sont simultanées.
    Il y a une semaine, la directrice d’une école maternelle de Pantin, Christine Renon, se donnait la mort. Elle était en fin de carrière, et son épuisement extrême, aggravé par l’incompréhension totale de ce qui se passe sur le terrain, de la part d’une hiérarchie caparaçonnée dans son mode de gestion bureaucratique, l’avait enfermée, emmurée, dans sa solitude, son désespoir, sa révolte ultime.
    Frédéric Boulé était, lui aussi, en bout de carrière.
    À bout de souffle.
    À bout de vie.
    Professeur de SVT au lycée international de Valbonne (Alpes-Maritimes), il a été écrasé par une logique mortelle, celle d’un face-à-face avec un système scolaire absurde, impitoyable. Lui n’a pas écrit de lettre pathétique. Il a préféré en finir dans le silence, le même jour que sa collègue de Saint-Denis. Cinq jours avant sa mort, il avait rencontré le médecin de prévention du rectorat.
    Que s’étaient-ils dits ?
    Les professionnels de santé, dans ce milieu pathogène qu’est l’Éducation nationale, dont la schizophrénie crée des conditions de dérives mentales parmi élèves et enseignants, sont confrontés massivement à des problèmes souvent insolubles.
    Combien de professeurs se sentent-ils pris au piège, comme des rats, la boule au ventre, le noir de la désespérance submergeant leur esprit, sans lumière qui point dans un horizon bouché comme un ciel ravagé ?
    Combien ont-ils vu leur idéal brisé par la démagogie des pédagogues irresponsables, par une administration tatillonne et aveugle, par l’indifférence du système aux épreuves qu’ils subissent pour tenter de délivrer leur savoir à des populations de plus en plus déséquilibrées, déstabilisées par une sous-culture mortifère, hostiles à la culture, à l’effort intellectuel, au livre, au savoir scientifique, historique ?
    Il est des lieux où cinq minutes de silence approximatif constituent le summum de l’ambition. Mais, plus généralement, une force surhumaine est nécessaire pour se faire, tout simplement, écouter. Et pas seulement par les élèves allogènes !
    La peste de l’inculture agressive frappe tout le monde, y compris les enfants « de souche ». C’est une pandémie barbare, que les idéologues ne veulent pas voir, quand ils ne la cautionnent pas par des préceptes égalitaristes, laxistes et « bienveillants » ineptes. C’est un ver tenace qui ronge, qui a rongé les fondements d’un édifice vermoulu, autrefois prestigieux.
    Qui se souvient que l’École française était la meilleure du monde ?
    Et ce n’est pas un remède somatique psychosomatique, à base de « communication », de réunions entre « spécialistes », de « stages de gestion de classe », de trucs pédagogistes, qui guérira cette plaie, de plus en plus virulente.
    Il faut de l’autorité, il faut rétablir la sélection, il faut sanctionner vraiment, il faut réformer, voire révolutionner, l’institution scolaire.
    Claude Bourrinet

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/enseignants-voyage-au-bout-de-la-nuit.html#more