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insécurité - Page 567

  • Paris: Les "gilets jaunes "Jérôme Rodrigues et Éric Drouet attaqués par des ANTIFAS

    Capture.pngAprès presque trois mois de mobilisation, les « gilets jaunes » manifestent une nouvelle fois ce samedi 2 février, à l’occasion du 12e rendez-vous hebdomadaire du mouvement. 
    Le mot d’ordre de cet acte XII est de rendre hommage aux blessés depuis le début de la contestation, nombre d’entre eux ayant été touchés par les controversés lanceurs de balles de défense (LBD).
    Ailleurs en province, on recensait 2 000 « gilets jaunes » à Caen (Calvados) et autant à Strasbourg (Bas-Rhin), où la situation s’est légèrement tendue à la mi-journée après une matinée plutôt tranquille. Dans la plupart de ces cortèges ou rassemblements, une partie des manifestants a choisi de se grimer pour dénoncer les violences policières, en utilisant du faux sang ou un cache-œil.
    Le « gilet jaune » Jérôme Rodrigues, proche d’Éric Drouet et éborgné après avoir été, dit-il, victime d’un tir de LBD, était présent dans le cortège parisien, derrière une banderole réclamant « l’interdiction des grenades (de désencerclement, ndlr) et des LBD », acclamé par la foule. Quelques minutes auparavant, il aurait été, avec Éric Drouet, pris à partie par des militants antifascistes, avant d’être exfiltrés. 

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    Damien Rieu
     
    @DamienRieu

    Les casseurs « antifas » s’attaquent aux leaders des ... pourquoi la police n’intervient pas ?  

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    [...]
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    https://www.peupledefrance.com/2019/02/paris-gilets-jaunes-jerome-rodrigues-eric-drouet-attaques-par-des-antifas.html

  • Gilets jaunes : un acte 12 en hommage aux blessés et aux victimes

    Gilets jaunes : un acte 12 en hommage aux blessés et aux victimes (EN CONTINU)© Zakaria ABDELKAFI Source: AFP
    La mobilisation des Gilets jaunes à Paris, le 2 février.
    «Hommage aux blessés», c'est le mot d’ordre qui se dégage pour l’acte 12 de la mobilisation des Gilets jaunes, le 2 février. Comme chaque semaine, plusieurs rassemblements ont été annoncés dans toutes les grandes villes de France.
    • D'après un premier décompte du Nombre jaune – un collectif qui s'est assigné comme mission d'opérer un décompte du nombre de participants grâce à des référents présents sur le terrain – 73 367 personnes ont manifesté dans 132 localités en France pour l'acte 12 de la mobilisation. Le chiffre va certainement évoluer dans la soirée, en fonction des remontées des autres communes.

    • Selon le ministère de l'Intérieur à 19h, 58 600 Gilets jaunes ont manifesté dans toute la France pour l'acte 12.

      Les autorités avaient recensé 69 000 personnes mobilisées sur l'ensemble du territoire lors de l'acte 11, des chiffres régulièrement contestés par les Gilets jaunes qui accusent le gouvernement de minorer la mobilisation.

    • La place de la République à Paris se vide peu à peu.

    Lire la suite et fin 

  • Les violences faites aux femmes par la société de consommation (colloque)

  • “En matière d’ordre public, plus rien ne se passera comme avant”

    “En matière d’ordre public, plus rien ne se passera comme avant”

    Mercredi 30 janvier, Christophe Castaner s’exprimait lors de la cérémonie de vœux organisée à Paris par le syndicat Synergie officiers. Il a déclaré :

    En matière d’ordre public, plus rien ne se passera comme avant“.  “La violence sera systématisée, la non-déclaration sera automatique, la dispersion des actions [par les forces de l’ordre] sera courante“.

    “Il m’est insupportable de voir certains aujourd’hui mettre sur un pied d’égalité les violences légitimes – celles des forces de l’ordre qui, pour protéger la République, sont les seules à avoir le droit d’utiliser la force – et les violences de ceux qui veulent détruire, casser, lyncher”.

    https://www.lesalonbeige.fr/en-matiere-dordre-public-plus-rien-ne-se-passera-comme-avant/

  • Gilets jaunes : un acte 12 en hommage aux blessés et aux victimes (EN CONTINU)

    Gilets jaunes : un acte 12 en hommage aux blessés et aux victimes (EN CONTINU)
    © Bertrand Guay Source: AFP
    Jérôme Rodrigues et Eric Drouet, figures médiatiques des Gilets jaunes.

    «Hommage aux blessés», c'est le mot d’ordre qui se dégage pour l’acte 12 de la mobilisation des Gilets jaunes, le 2 février. Comme chaque semaine, plusieurs rassemblements ont été annoncés dans toutes les grandes villes de France.

    Mise à jour automatique

    Jérôme Rodrigues, figure très populaire au sein des Gilets jaunes, grièvement blessé à l'œil lors de l'acte 11, est présent à Paris pour l'acte 12.

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  • Gilets jaunes : acte XII, au nom des gueules cassées – Journal du vendredi 1er février 2019

    Gilets jaunes : acte XII, au nom des gueules cassées

    Une semaine après la blessure à l’oeil de Jérôme Rodrigues, les Gilets Jaunes vont de nouveau battre le pavé samedi. Un acte XII dédié aux blessés alors que le gouvernement intensifie sa chasse aux manifestants.

    Benalla : des enregistrements relancent l’affaire

    Nouveau rebondissement dans l’affaire Benalla. Après l’épisode des passeports diplomatiques, de nouvelles révélations viennent mettre à mal la défense de l’ancien chargé de mission de l’Elysée mettant à mal par la même occasion l’intégrité d’Emmanuel Macron.

    L’UNESCO lance l’année mondiale des langues autochtones

    2019, année des langues autochtones pour l’UNESCO ! 2300 langues seraient ainsi en danger de disparition dans le monde. Un risque qui touchent des pays qui nous sont lointains mais aussi… la France.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-acte-xii-au-nom-des-gueules-cassees-journal-du-vendredi-1er-fevrier-2019

  • Les gendarmes mobiles face aux gilets jaunes : une culture différente ?

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    Un policier rattaché à la compagnie de sécurisation et d’intervention (CSI) des Hauts-de-Seine vient de reconnaître avoir fait usage d’un lanceur de balle de défense (LBD) dans le créneau horaire où Jérôme Rodrigues, figure des gilets jaunes, a été blessé à l’œil, samedi dernier, place de la Bastille à Paris. Une information qui figure dans un rapport transmis mardi à l’IGPN, la police des polices, selon une information du Parisien. Au total, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie à 81 reprises, selon le ministre de l’Intérieur, depuis le début du mouvement. Quatre dossiers concernent des personnes gravement blessées à l’œil par des lanceurs de balle de défense, un décompte officiel inférieur à celui de dix-sept, avancé par le collectif Désarmons-les !

    Or, les gendarmes restent, pour le moment, épargnés par ces enquêtes sur d’éventuelles violences illégitimes commises face aux gilets jaunes depuis deux mois. Au dernier décompte, la gendarmerie a enregistré seulement vingt-six signalements et aucune saisine judiciaire de l’inspection générale de la gendarmerie nationale (IGPN). Un des signalements transmis à l’institution a même eu pour but de féliciter les gendarmes pour leur travail (Essor du 23 janvier) ! Une information instructive à l’heure où, au contraire, les actions des policiers sont vivement contestées. Et ce dire est corroboré par nombres de gilets jaunes qui, reconnaissant parfaitement les diverses unités qui leur font face, avouent faire davantage confiance aux mobiles qu’aux CRS et surtout aux DAR (détachement d’action rapide) constitués souvent de gens de la BAC (brigade anticriminalité).

    L’absence de saisines de l’inspection des gendarmes serait-elle symptomatique d’une différence de perception, entre la police et la gendarmerie, du maintien de l’ordre ?

    Prenons un exemple qui a fait la une de l’actualité. Lors de l’acte VIII, Christophe Dettinger, habillé de noir et portant des gants, frappait à coups de poing, sur la passerelle Léopold-Sédar-Senghor, un gendarme mobile en tenue de maintien de l’ordre et donnait des coups de pied à un autre à terre. Je ne reviendrai pas sur cet incident mais ce qui apparaît, en regardant les images, est que les quatre gendarmes qui reculent face au « boxeur » et à une foule déchaînée refluent en ligne. L’ordre était d’effectuer un barrage face aux manifestants ; celui-ci a cédé face à la pression, mais ces militaires n’en continuent pas moins à se replier tout en faisant face. Autre point important : aucun ne sortira son arme, leur retenue est à la hauteur de leur abnégation. Rappelons que ces deux gendarmes se sont vus prescrire respectivement quinze jours et deux jours d’ITT.

    Le plus condamnable n’est pas le boxeur mais la préfecture de police qui a entériné le parcours du rassemblement sur les quais de Seine alors que la réglementation stipule que le maintien de l’ordre à proximité d’une étendue d’eau est à proscrire. De plus, pourquoi avoir bloqué à hauteur du musée d’Orsay la manifestation, transformant ainsi la passerelle en véritable guêpier face à des centaines de manifestants furieux d’être stoppés ?

    Le général (2S) Bertrand Cavallier, grand spécialiste du maintien de l’ordre, ancien commandant du Centre national d’entraînement des forces de la gendarmerie mobile de Saint-Astier (Dordogne), a dernièrement souligné :

    « Face aux manifestations actuelles des gilets jaunes, il y a un problème d’encadrement des détachements d’action rapide et de culture du maintien de l’ordre. »

    Espérons que, lors des prochaines actions, les gendarmes mobiles continueront à témoigner de la même mesure et de leur implication différente, face à des citoyens que nombre de ceux-ci comprennent, même si, par discipline, ils s’y opposent.

    J.-P. Fabre Bernadac

    http://www.bvoltaire.fr/les-gendarmes-mobiles-face-aux-gilets-jaunes-une-culture-differente/

  • Les djihadistes ne doivent pas être rapatriés mais déchus de leur nationalité ! (Les Identitaires)

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    « Ce sont des Français avant d’être des djihadistes. » En prononçant ces mots ce mardi sur BFMTV, le ministre de l’Intérieur trahit une nouvelle fois la France. Christophe Castaner envisage en effet le rapatriement de 130 djihadistes détenus en Syrie qui devraient être libérés sous peu après le retrait des troupes américaines. Et ce, alors même qu’il y a un an, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux affirmait que les Kurdes « présentaient toutes les conditions pour les juger sur place».

    Ces djihadistes de nationalité française (mais dans leur écrasante majorité d’origine extra-européenne) ont pris les armes au nom de l’islam contre la France et commis les pires atrocités. Les identitaires avaient été les premiers à réclamer la déchéance de nationalité pour les islamistes binationaux partis faire le djihad en Syrie. Reprise d’abord par le Front national puis par une partie des Républicains, cette proposition avait failli être adoptée à la suite des attentats du 13 novembre, avant que le Président François Hollande ne fasse machine arrière.

    À l’époque, un certain Christophe Castaner (alors député PS) avait même affirmé sur Europe 1 (janvier 2016) « dans l’absolu, il faudrait pouvoir déchoir tout auteur d’un crime terroriste de la nationalité française, qu’il soit binational ou non ».

    Cette volonté de la part du gouvernement de faire revenir en France des djihadistes est irresponsable. Ces individus n’ont évidemment aucune perspective de réinsertion et seront des dangers publics à leur sortie de prison. Durant leur séjour carcéral, il est à craindre qu’ils contaminent idéologiquement de nombreux détenus.

    Les identitaires réclament la déchéance de nationalité pour tous ces djihadistes : aucun d’entre eux ne doit poser le pied chez nous !

    Les Identitaires

    Communiqué de presse repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/213447/les-djihadistes-ne-doivent-pas-etre-rapatries-mais-dechus-de-leur-nationalite-les-identitaires/

  • Le Conseil de l'Europe s'inquiète de la répression des manifestations de gilets jaunes

    Flashball.pngLe gouvernement français est à nouveau pointé pour la répression du mouvement des gilets jaunes et, cette fois, l'avertissement vient du Conseil de l'Europe, chargé de promouvoir les droits de l'homme dans ses 47 Etats membres. 
    Ce mardi, et avant la publication d'un rapport complet, sa commissaire aux droits de l'homme, Dunja Mijatović, dit ainsi

    «s'inquiéter en particulier du grand nombre de personnes blessées, certaines très gravement, dans les manifestations ou en marge de celles-ci, notamment par des projectiles d'armes dites de défense intermédiaire telles que le lanceur de balles de défense». 

    [...]
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  • Djihadistes – Ils reviennent !, par Etienne Defay

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    130 djihadistes français vont être rapatriés en France dans les semaines à venir. C’est le type de nouvelles dont on se serait bien passé. Conséquence directe du rapatriement des troupes américaines, les autres forces occidentales entament, elles aussi, un retrait progressif.

    Les 130 combattants terroristes sont en effet détenus dans des camps de prisonniers en Syrie en zone contrôlée par les Kurdes. Leur rapatriement serait dû à la crainte de perdre définitivement leurs traces. Ces 130 combattants seront « écroués dès leur arrivée » précise Christophe Castaner le ministre de l’Intérieur. Mis en difficulté par le retrait des troupes américaines surtout sur le plan logistique, les services français craignent davantage un jugement expéditif de la part des Kurdes qu’une potentielle évasion dans la nature des prisonniers islamistes, précise à Boulevard Voltaire le criminologue Xavier Raufer. Il est vrai que les Kurdes ne partagent pas spécialement la préoccupation tout à fait française des Droits de l’homme.

    Le média Courrier International avait dressé début 2018 la carte des arrivées et des départs des djihadistes. Ainsi, on apprend que si la France en avait fait revenir 302, on s’aperçoit que le Royaume-Uni en a fait revenir 425, l’Allemagne 300, la Suède 102, la Belgique 123 etc… De quoi monter une sympathique armée privée capable de mettre à feu et à sang les capitales européennes. Quand on voit ce que Cherif Chekkat a pu faire seul à Strasbourg, on ne peut que trembler. Quand on voit la réaction de Castaner aussi d’un autre coté. On se rappelle le ministre de l’Intérieur écarter la piste de l’allégeance à Daesh, mettre en avant la piste du déséquilibré et nous apprenons ce mercredi que cinq personnes soupçonnées d’avoir aidé le terroriste ont été arrêtées. On s’aperçoit également que le reste avait été largement prémédité des mois auparavant. De quoi s’inquiéter à juste titre car les peines de prison de certains d’entre eux se terminent et leur départ est aussitôt remplacé par d’autres. Tous ces terroristes sortent donc au fur et à mesure de prison comme une litanie sans fin dont le peuple aura à subir les conséquences.

    Quant aux 130 concernés depuis la Syrie, ces profils sont extrêmement radicalisés et dangereux estiment unanimement les experts de la zone. Ils sont en Syrie depuis quatre ou cinq ans et ont survécu à toutes les batailles. « Ce sont des Français avant d’être des djihadistes » estime le ministre de l’Intérieur. Une phrase qui a immédiatement enflammé l’opposition. Nicolas Dupont-Aignan a proposé de les envoyer aux îles Kerguelen tandis que le député LR Pierre-Henri Dumont privilégie l’assassinat ciblé. Piste qui était largement privilégiée par le dernier gouvernement du mandat de François Hollande.

    Dans un contexte national tendu, dans un pays dont les fondements semblent minés par une poudrière géante, on peut dire que nous n’avions pas besoin de cela. On attendra de Christophe Castaner et des forces de l’ordre une intransigeance au moins aussi importante envers les terroristes qu’envers les Gilets jaunes. Un vœu pieu.

    Etienne Defay

    Article paru dans Présent daté du 30 janvier 2019