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insécurité - Page 567

  • Immigration : danger toujours immédiat

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    Notre société part à la dérive. N’en déplaise aux cœurs sensibles, aux amoureux d’utopiques droits de l’homme, à la fausse générosité d’une gauche méprisante autant que meurtrière, d’une droite irresponsable, mais l’immigration est responsable de la désagrégation de la société française. Par ses dommages collatéraux sur l’ensemble des acteurs sociaux : éducation, santé, religion, justice. Une grande partie des immigrés refusent les lois de la République, plus encore la culture française qu’elle ignore superbement. Cette haine de la France s’exprime aussi dans les moquées qu’on laisse pousser dans toutes les métropoles. Le fossé entre la France gauloise et les immigrés est culturelle. On ne pourra jamais combler le fossé des imaginaires dont la langue est l’expression majeure. Or, dans cette France en voie de déstructuration, les minorités conservent leur langue car elle demeure le lien communautaire par excellence.

     Il nous a paru révélateur de reproduire l’article suivant

     Les policiers, premiers témoins de la brutalité et de la haine

    Par Hugo Wintrebert

    Il suffit d’un regard. Deux individus se croisent, se toisent et c’est tout. Un coup d’œil ou une simple cigarette refusée : un motif parfois suffisant pour que se déchaîne une haine hors de toute proportion. Une violence sans cause, mais aux conséquences parfois tragiques. À Paris, au petit matin du 8 août, un homme monte dans un bus avec son vélo. Un voyageur lui fait une remarque. Quelques secondes après, le voilà gisant sur le trottoir, le cou transpercé par un coup de clef.

    Aux premières loges de ce spectacle sinistre, les policiers. Car derrière les chiffres démontrant la hausse des agressions, se cache un sentiment diffus au sein des forces de l’ordre : celui d’un recours toujours plus débridé à la violence par la population, d’une « radicalisation des rapports sociaux », voire d’un « ensauvagement de la société » pour reprendre les termes de Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie police.

    « L’utilisation de la violence ne fait que s’amplifier, relève Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat Alliance. La société ressemble de plus en plus à une rame de métro. C’est un monde du chacun pour soi, où les incivilités sont légion. Et en cas d’agression, les voyageurs préfèrent baisser les yeux, conscients que s’ils interviennent, ils seront forcément victimes. » Un constat partagé par Jérémie Dumont, secrétaire général adjoint du syndicat des commissaires de la police nationale, qui précise qu’« il ne s’agit pas nécessairement que d’individus venant de zones urbaines sensibles, mais d’un mouvement plus large de l’en- semble de la société ».

    Pour les policiers, cette recrudescence des violences gratuites s’explique par l’impunité dont profiteraient les auteurs de ces actes. « Les magistrats sont désormais accoutumés. Ils ne condamnent jamais de manière ferme les personnes qui commettent ces violences », s’agace Patrice Ribeiro. « On retrouve les délinquants dans la rue le jour même de leur arrestation, abonde Frédéric Lagache. Seule, la police est impuissante face à une hausse des incivilités. Elle ne peut pas combler les lacunes de l’école, du manque de civisme et d’une justice laxiste. »

    La banalisation des violences n’est pas nouvelle mais certains policiers notent un phénomène émergeant : l’exhibition de la haine. Sur les réseaux sociaux, certaines rixes sont désormais filmées et des compilations de bagarres deviennent virales. Témoins de ces violences, les forces de l’ordre en sont aussi parfois les victimes. Selon les intéressés, être policier en 2018, c’est avant tout être une cible. Le moindre contrôle d’identité est source de tension. « Il n’y a plus de routine. Quand il arrive au bureau, un agent ne sait pas ce qui va lui arriver dans la journée, s’inquiète Philippe Capon, secrétaire général Unsa police. Même un petit différend familial peut dégénérer. » Dernier exemple en date : le 10 août, des gendarmes landais interviennent pour une simple affaire de vol de vélo. Trois d’entre eux ont terminé leur mission blessés, deux par arme blanche et un au moyen d’une barre métallique.

    Plus largement, les forces de l’ordre se plaignent de ne plus jouir d’une certaine forme de respect. « On ne relève même plus les insultes par exemple, sinon on passerait encore plus de temps derrière un ordinateur plutôt que sur le terrain », assure Frédéric Lagache. Avant de conclure : « Aux États-Unis, si vous frappez un policier, vous allez directement en prison. En France, les forces de l’ordre ne sont pas respectées. Alors pour les personnes lambda, c’est encore pire. »

    (Source : Le Figaro 27/08/2018)

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Nicole Belloubet a le feu dans ses prisons, mais son souci, c’est la prise en charge des migrants !

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    En France, on ne compte plus les ras-le-bol : celui de l’armée, de la police, des pompiers, des enseignants, des personnels des hôpitaux, des ruraux, des automobilistes, des retraités, des cheminots, des maires des petites communes, des avocats, des notaires, des huissiers, des agriculteurs, des habitants des quartiers, des buralistes, des anti-migrants, etc. Plus ce gouvernement avance dans le temps, plus il se met à dos de nouveaux secteurs de la population.

    « The last but not the least » est celui des prisons car, depuis les grèves de cet hiver, non seulement rien n’a été réglé, mais les incidents se multiplient. Un chiffre résume le comportement des prisonniers : plus de 40.000 téléphones portables ont été saisis dans les prisons françaises en 2017, un chiffre huit fois supérieur à celui de 2007. Cette somme s’explique, certes, par la hausse du nombre de mobiles en circulation, mais aussi par la pugnacité des « taulards ».

    Dans un long article du Figaro, les surveillants pénitentiaires dépeignent leur quotidien de plus en plus violent et anxiogène. Nombreux sont les agents à avoir la boule au ventre en partant travailler. Aux crachats, menaces, invectives s’ajoutent les 4.000 agressions physiques par an dont sont victimes les gardiens de prison. Le 5 août, un détenu armé d’une lame de rasoir se jette sur un surveillant qui vient d’ouvrir la porte de sa cellule, à la maison d’arrêt de Nîmes ; une veine du cou est touchée, le gardien s’en tire avec onze points de suture. Cinq jours plus tard, un détenu de la prison de Liancourt (Oise), muni d’un bout tranchant découpé dans une canette, se jette au cou d’un surveillant qui parvient à esquiver le geste de justesse. À Nantes, dernièrement, cinq surveillants sont agressés en une semaine. Cela, sans compter les manifestations devant les prisons organisées par des proches ou des soutiens, comme ceux de Tariq Ramadan. Soyons clair : actuellement, ce ne sont plus les prisonniers qui ont peur des « matons » mais les « matons » qui ont peur des prisonniers.

    Vu le manque d’effectifs, les gardiens font trente à quarante heures supplémentaires par mois, les dépressions, arrêts maladie et absentéisme record se succèdent. Les personnels ne croient plus en l’utilité de leur métier, nombreux sont les jeunes qui, venant de passer le concours de l’École nationale d’administration pénitentiaire, démissionnent juste avant de prendre leur poste. Avec un surveillant pour 2,46 détenus en 2017, la France possède l’un des pires taux d’encadrement d’Europe. De plus, la vétusté de certaines prisons, comme à Colmar, rend également incompatible le respect des exigences de sécurité. Enfin, la surpopulation carcérale explose : selon Le Figaro« au 1er juillet, 70.710 personnes étaient détenues dans les prisons françaises, un record historique depuis la Libération. C’est 48 % de plus qu’en 2001, et ceci alors qu’aujourd’hui, ceux qui prennent moins de deux ans sont exemptés de prison. Résultat : le taux d’occupation des cellules atteint plus de 120 %. »

    Mais surtout, derrière cette multitude, se cache un phénomène bien connu : la prolifération des racailles de quartiers, surreprésentées en prison. Le quotidien américain Washington Post, pourtant classé à gauche, estimait dans un article d’avril 2015 que « 60 % à 70 % » des détenus en France sont musulmans alors qu’ils représentent « à peine 12 % de la population totale du pays ». Déjà, en 2014, en sa qualité de président de l’Institut du monde arabe, Jack Lang, qui n’est pas lepéniste, avait écrit que « près de deux tiers des prisonniers en France étaient musulmans ».

    Je vous laisse imaginer les chiffres actuels que, bien évidemment, l’administration ne communiquera jamais. On comprend mieux, alors, pourquoi les gardiens se sentent démunis et dépassés face aux détenus radicalisés !

    Pendant ce temps, Nicole Belloubet, toujours en pointe, déclarait : « La France sera au côté de l’Espagne pour prendre en charge les migrants. » Car, évidemment, ceci n’a rien à voir avec cela.

    J.-P. Fabre Bernadac

    http://www.bvoltaire.fr/nicole-belloubet-a-le-feu-dans-ses-prisons-mais-son-souci-cest-la-prise-en-charge-des-migrants/

  • Poutine remet les pendules à l'heure : c'est l'OTAN qui se rapproche de la Russie et non l'inverse

    6a00d83451619c69e2022ad365bb38200c-300wi.jpgLa carte ci-contre se suffirait à elle-même si le mauvais esprit anti-russe n'était pas de mise : 

    Moscou n’avance pas ses contingents militaires vers les frontières des pays de l’Otan, bien au contraire, c’est infrastructure de l’Alliance qui se rapproche des frontières de la Russie, a souligné Vladimir Poutine.

    Intervenant à l’issue de sa rencontre avec le Président finnois Sauli Niinistö, Vladimir Poutine a évalué le rapprochement de l’infrastructure de l’Otan et des boucliers antimissiles américains des frontières russes.

    Nous n’avançons pas nos contingents militaires loin de nos frontières vers les pays de l'Otan, c’est l'infrastructure militaire de l'Otan qui approche nos frontières, le nombre d’effectifs et de matériels militaires à proximité de nos frontières augmente, des exercices militaires se tiennent de plus en plus fréquemment», a-t-il indiqué.

    Ces actions de l’Alliance et des États-Unis obligent la Russie à réagir d’une manière adéquate et à renforcer ses frontières.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/poutine-remet-les-pendules-%C3%A0-lheure-cest-lotan-qui-se-rapproche-de-la-russie-et-non-linverse.html

  • Attentat de Trappes par un employé de la RATP : des langues se délient

    L'anarchie règne aussi dans les transports en commun parisiens. On le sait, mais ça va mieux en le disant : 

    ""J’ai été chauffeur de bus pendant 37 ans, dont 10 ans sur le N22, le Noctilien qui va de Juvisy, dans le 91, à Châtelet. Après avoir vu et subi trop d’agressions, j’ai pris ma retraite en août 2016. Les violences faisaient partie du quotidien, et allaient d’une simple insulte jusqu’à la tentative de viol. Lorsque je demandais aux usagers de valider leurs titres de transport, certains me répondaient que je n’avais qu’à 'fermer ma gueule'. Si j’insistais, ça se finissait mal. 

    L’agression de trop, qui m’a fait prendre ma retraite, s’est passée cet été, lorsque j’ai justement demandé à un voyageur de me présenter son titre de transport. Il m’a regardé, et avec sa main, il a mimé le geste de me tuer. J’ai voulu porter plainte pour menace de mort. Les policiers ont regardé la vidéo et ont bien vu la personne faire ce geste. Mais la direction n’a pas souhaité que j’aille au bout, elle préfère défendre le voyageur. Le manque de soutien envers le chauffeur de bus est un véritable problème. Quand on essaie de faire respecter les règles, on nous demande de nous taire".

    L'islamisme rampant s'est infiltré par leur pseudo diversité dans le recrutement des agents de la régie : 

    "Kamel Salhi a tué par le couteau sa mère et sa sœur et grièvement blessé une passante, ce jeudi à Trappes, en hurlant « Allah akbar » avant de se retrancher dans la maison et d’être abattu par les forces de l’ordre.

    L’attaque a été revendiquée par l’État islamique en ces termes : « L’auteur de l’attaque dans la ville de Trappes […] est l’un des combattants [du groupe] État islamique et a perpétré cette attaque à la faveur des appels à cibler des ressortissants des pays de la coalition ».

    Bien évidemment, le sinistre de l’Intérieur, Gérard Collomb, préfère le qualifier de déséquilibré plutôt que de terroriste, évoquant des troubles psychologiques importants. On connaît la chanson…

    Première surprise… condamné et connu des services de police pour apologie du terrorisme depuis 2016, fiché FSPRT pour radicalisation, j’apprends qu’il avait été chauffeur de bus de la RATP. Je me dis : « tiens ? comme Samy Amimour ! celui qui avait été, le 13 novembre 2015, un des assassins de masse du Bataclan. »

    Deuxième surprise… j’apprends, à la lecture des différents articles des journaux mainstream, qu’il a été licencié par la RATP en 2016 pour avoir arrêté son bus d’une ligne de Puteaux et proféré en hurlant ces propos à des usagers : « Par Allah, vous allez tous mourir ».

    Et tout d’un coup, je réalise" (suite).

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Fiché S car "lié aux groupes islamistes armés algériens", il est LREM et a participé à la campagne électorale

    Expulsable maIs jamais expulsé, lié aux groupes islamistes armés algériens et faisant l'objet d'un arrêté de reconduite à la frontière mais devenu citoyen français, fiché S mais candidat aux législatives de 2012, il a finalement pris part en 2017 à la campagne législative du secrétaire d'État au numérique Mounir Mahjoubi, candidat dans le 19ème arrondissement de Paris.

    Voici un homme du "nouveau monde".

    "Plus tard, dans Le Journal du dimanche, une source présentée comme un haut fonctionnaire du ministère de l'Intérieur avait affirmé que la fiche S de ce militant avait été désactivée avant la campagne électorale.

    En réalité, il n'en est rien. Ce militant fiché S fait régulièrement l'objet d'un contrôle minutieux lors de son passage au filtre police des aéroports. Néanmoins, sur le profil Facebook de cet homme, de nombreuses photos sont publiées où il apparaît aux côtés du secrétaire d'État en campagne. On le voit, par exemple, distribuer des tracts en faveur de son candidat".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/fich%C3%A9-s-car-li%C3%A9-aux-groupes-islamistes-arm%C3%A9s-alg%C3%A9riens-il-est-lrem-et-a-particip%C3%A9-%C3%A0-la-campagne-%C3%A9lec.html

  • Insécurité : pour le maire de Villeneuve-sur-Lot, c’est la faute « aux téléfilms américains » !

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    L’événement n’est pas commun : que des commerçants et des habitants d’une petite sous-préfecture du Sud-Ouest, excédés par l’insécurité, se rendent un lundi matin d’août à la mairie pour demander des comptes à leur premier magistrat a peu de précédents. M. Cassany, en difficulté, a préféré faire le dos rond et renvoyer tout le monde à une réunion ultérieure. Mais, poussé dans ses retranchements, et avec pour boussole le vieil adage « la meilleure défense, etc. », il a décidé de contre-attaquer. Par une lettre publiée par la presse locale.

    Sa défense tient en trois points. Je ne vous ferai pas languir : elle est pitoyable…

    Premier axe : d’accord, c’est pas beau chez moi, mais c’est pas mieux ailleurs :

    « Les chiffres, qui n’émanent pas de la mairie, mais de la police nationale, du parquet et de la préfecture, montrent qu’il y a en réalité moins de délinquance à Villeneuve que dans la plupart des villes de la même taille, moins qu’à Agen, par exemple. »

    Heureux Villeneuvois, de quoi vous plaignez-vous !

    Deuxième salve : toute cette histoire, c’est de la « récupération politique ».

    « Nous assistons ces derniers jours à une tentative grossière de récupération politique sur ce sujet que je dénonce aussi… Par le canal des réseaux sociaux, qui sont souvent de véritables petits égouts à ciel ouvert, des agitateurs du Web ont utilisé cette décision pour tenter de faire de la récupération sur le sujet de la délinquance et de mettre en cause la municipalité, appelant même à une manifestation, comme par hasard, devant la mairie. Personne n’est dupe de la manœuvre… »

    Je ne pourrais pas vous dire quel est le parti ou la personnalité politique à l’origine de cette « récupération ». M. Cassany appartenant au PS canal historique, il a face à lui un député LREM, un peu de cette droite qui ne sait pas trop où elle est et un Rassemblement national, fort dans les urnes, mais sans leader. Quant aux réseaux sociaux, pourquoi ne pas évoquer un coup des Russes ?

    Eh bien, non, M. Cassany n’est pas allé jusqu’à incriminer des comptes Twitter russes dans cette mobilisation citoyenne qui lui déplaît. Il a trouvé bien mieux : les feuilletons américains !

    « Qui est chargé en France de la lutte contre la délinquance ? C’est l’État avec la police nationale placée sous l’autorité du procureur de la République et du préfet. J’ai souvent l’impression, et j’ai pu le constater lundi matin, qu’il y a chez plusieurs de nos concitoyens une profonde méconnaissance du fonctionnement de nos institutions, que les téléfilms américains ont fait des ravages dans les esprits. »

    Les esprits ravagés concernés, certainement plus nombreux que les manifestants de lundi, apprécieront. Et l’on peut s’attendre, dans les prochains mois, à de sérieux changements dans les programmes télé : plus de feuilletons américains, allez, les Bisounours, Candy, Barbapapa et Calimero pour tous, à toute heure du jour et de la nuit, en boucle. M. Cassany a trouvé le moyen de faire baisser le niveau d’insécurité. Pardon : le « sentiment » d’insécurité. M. Cassany devrait contacter d’urgence le CSA.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/insecurite-pour-le-maire-de-villeneuve-sur-lot-cest-la-faute-aux-telefilms-americains/

  • 80 km/h : la guerre est bien entamée. Premières victimes : les radars.

    6a00d83451619c69e2022ad36562c6200c-200wi.jpgA suivre : 

    'Avec l'explosion des dégradations des radars enregistrée cet été, les Français disent leur rejet du 80 km/h, une mesure destinée à multiplier les recettes des PV. La question est finalement simple : l'implantation des radars contribue-t-elle à abaisser la mortalité routière ou, tout simplement, à bombarder de PV de bons citoyens ?

    La détestation des radars, déjà aiguë auparavant, s'est amplifiée depuis l'instauration du 80 km/h, le 1er juillet, et les premières semaines de « l'expérience » font déjà ressortir une multiplication des dégradations et des actes de vandalisme de ces appareils.

    Le magazine Autoplus estimait le 1er août à 400 le nombre des radars vandalisés ou sévèrement tagués, un mouvement qui rappelle la fronde de l'écotaxe avec des Bonnets rouges tronçonnant les installations ou y mettant le feu".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/80-kmh-la-guerre-est-bien-entam%C3%A9e-premi%C3%A8res-victimes-les-radars-.html

  • Chômeurs et « déséquilibrés » : l’apport le plus évident de l’immigration-invasion

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    Bernard Plouvier

    Un fou furieux poignarde et tue deux personnes (de sa famille) et en blesse une autre à Trappes, en gueulant la ritournelle : "allahou akbar", et notre chenu ministre de l’Intérieur – l’homme qui a si bien manœuvré dans l’affaire Benalla – nous apprend que l’assassin est un « déséquilibré mental ».

    Que nous voilà bien informés ! On peut difficilement imaginer qu’un terroriste, qu’un meurtrier mû par le fanatisme politique ou religieux, ou encore par la haine raciale (car, n’en déplaise à nos maîtres, il existe des crimes à motivation raciste), soit autre chose qu’un paranoïaque délirant, un halluciné, déséquilibré par une psychose ou une drogue modifiant le bon fonctionnement du cerveau.

    Bref, notre génie de la Place Beauvau fait dans le lieu commun, la platitude, l’évidence la plus criante. Il nous prend pour des demeurés. Et il n’a pas tort : la majorité de l’opinion publique est composée de veaux, s’il faut en croire un connaisseur gaullien. La Nation peut donc ruminer la phrase du bon ministre, puisqu’aussi bien un bovin, c’est « bête à manger du foin ».  

    Si chaque semaine nous amène son lot d’attentats et de crimes en Europe occidentale et scandinave, c’est que nous en sommes responsables. Nous avons accepté, par notre passivité et par l’élection des nervis de l’économie mondiale, ce très stupide et très inutile brassage des races et des cultures au sein de notre Europe.

    Nous avons introduit en masse des mahométans, d’autant plus violents qu’un nombre étonnant d’imams militants les persuadent qu’ils vont gagner leur paradis en implantant la charî’a sur notre sol, qui sera « domaine de guerre » (dâr al-Harb) tant que l’islam n’y règnera pas en maître exclusif. Sauf pour les soufis, ces franciscains éthérés de l’islam, le djihâd est une réalité guerrière rendue obligatoire à tout croyant, robuste et en bonne santé, par une douzaine de sourates coraniques.

    On nous a persuadés qu’il fallait introduire des millions d’extra-européens parce que nous étions en pénurie de travailleurs et qu’il fallait du sang neuf pour payer les trop nombreux retraités. Or, les statistiques nous prouvent que nous avons surtout importé des chômeurs, dépourvus de toute qualification professionnelle.

    Veut-on prendre l’exemple de Trappes ? Il est démonstratif. Mais la réalité est la même partout : à Roubaix ou à Marseille, à Toulouse ou dans la région lyonnaise, à Rouen ou à Saint-Étienne. Elle l’est aussi en Allemagne, en Belgique, en Norvège et en Suède. Chez nos voisins, plus ou moins proches, les statistiques ethniques démontrent à l’évidence un fort taux de chômage chez les immigrés, bien supérieur à celui des autochtones.

    Sur les 32 000 habitants de Trappes, on dénombre officiellement 28% d’immigrés (INSEE, données de 2014), soit 20% d’étrangers et 8% de naturalisés. En pratique, cette estimation est parfaitement inexacte puisque les nombreux enfants issus d’immigrés sont automatiquement déclarés de « nationalité française » par l’effet du droit du sol et comptabilisés dans la rubrique des autochtones.

    Le taux de chômage est de 20% de la population en âge de travailler. Au conseil municipal, même les « étrangers » sont sûrs d’être écoutés : sur 35 membres, 10 sont des citoyens français d’origine africaine (noire ou maghrébine) et turque, ou apparentés par mariage. 28% de la population, 28% d’élus : la représentation démocratique est parfaite.  

    Une grave question se pose. Quand le peuple souverain a-t-il été consulté sur le bien-fondé de cette immigration massive d’origine extra-européenne ?

    Avec en corollaire une question subsidiaire. Quand aurons-nous droit aux véritables statistiques ethniques, à la fois générales et catégorielles : les statistiques ethniques des chômeurs, des criminels et délinquants, des incarcérés, des « fichés » par la police ?

    Grand Président, qui est en pleine forme, puisque revenu de vacances fort médiatisées, va très certainement consulter bientôt la Nation, seule titulaire légitime du Pouvoir, et, bien sûr, l’informer aussi complètement que possible. Il va le faire, puisque c’est un grand donneur de leçons de Démocratie… du moins pour l’étranger.    

  • Pendant que des Français sont assassinés, qu'un fiché S tue à coup de couteau, "on" libère "par erreur" un homme suspecté de djihadisme

    Incroyable : 

    Un juge d'instruction a oublié de renouveler sa détention provisoire. Il a été relâché en avril dernier et se trouve actuellement en liberté. Le porte-parole du gouvernement évoque un «dysfonctionnement grave».

    L'histoire, aberrante, laisse interrogatif quant à l'efficacité du système judiciaire. Un homme soupçonné de djihadisme, prénommé Oualid, a été relâché à la suite d'un oubli d'un juge d'instruction qui n'a pas renouvelé sa détention provisoire, relate ce jour Le Canard enchaîné. Le ministère de la Justice, qui a confirmé les faits, a évoqué une «une erreur grave».

    Oualid B. doit être jugé en novembre, à Paris, devant la cour d'assises spéciale, qui traite des dossiers terroristes. À ses côtés doivent comparaître Reda Bekhaled et de ses frères, soupçonnés d'être impliqués dans un projet d'attentat en 2014 dans la métropole lyonnaise et dans une filière d'acheminement de combattants en Syrie. Il était en détention depuis le mois d'août 2016. Il est sorti de prison le 3 avril dernier à la suite de l'erreur du juge.

    Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a parlé mercredi matin de «dysfonctionnement grave». Il a également déclaré que «la priorité est de retrouver cet individu».

    Et pas bien sûr la priorité n'est pas de régler ce "dysfonctionnement grave"...

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attentat familial à Trappes – Journal du jeudi 23 août 2018

    Terrorisme / Attentat familial à Trappes
    Ce jeudi, un islamiste a tué sa mère et sa soeur et blessé une troisième personne à Trappes dans les Yvelines. Malgré la revendication de Daesh, la thèse de l’attentat terroriste n’a pas encore été retenue.

    Politique / Partis politiques : Les universités d’été à la peine
    Les universités d’été des partis à la peine. Devenu une institution depuis bientôt un demi-siècle, ce rendez-vous estival des formations politiques ne fait plus recette… pire après un an de présidence Macron, seule la France Insoumise organise un événement de grande ampleur.

    Agriculture / Le bio en manque de PAC
    Les agriculteurs bio plombés par l’Etat. Alors que les difficultés financières s’accumulent dans le secteur agricole, une grande majorité des paysans bio n’a toujours pas vu la couleur des aides de la Pac.

    L’actualité en bref

    Voir la vidéo sur daylimotion :