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insécurité - Page 569

  • En train de filmer, il s’est fait tirer au niveau du visage au flashball

    En train de filmer, il s’est fait tirer au niveau du visage au flashball
  • GILETS JAUNES : CASTANER, C'EST LA GUERRE

  • « Et si on parlait des gilets jaunes au conseil de sécurité ? » suggère l’ambassadeur russe à l’ONU

    « Et si on parlait des +gilets jaunes+ au Conseil de sécurité ? » , a suggéré samedi l’ambassadeur russe à l’ONU Vassily Nebenzia à son homologue allemand Christoph Heusgen, qui venait d’assurer que discuter du Venezuela entrait dans le cadre d’une « diplomatie préventive ».

    L’échange aigre-doux entre les deux diplomates avait débuté par une adresse directe de l’ambassadeur allemand à son homologue russe, soulignant que la réunion du Conseil sur le Venezuela n’avait pas été demandée par les seuls Etats-Unis mais aussi par la Pérou et la République dominicaine, membres non permanents.

    Au Venezuela, il existe « une menace potentielle à la paix » il faut donc faire « de la diplomatie préventive » a souligné Christoph Heusgen en regardant fixement son homologue.

    « La diplomatie préventive, c’est très beau… » a répondu Vassily Nebenzia, pensif. Et d’ajouter: « Que penseriez-vous si la Russie demandait de discuter au Conseil de sécurité de la situation en France ? Et des +gilets jaunes+ qui sont descendus dans les rues par milliers encore ce week-end ? »

    () Orange actu

    http://www.fdesouche.com/1147695-et-si-on-parlait-des-gilets-jaunes-au-conseil-de-securite-suggere-lambassadeur-russe-a-lonu

  • Jérôme Rodrigues, le blessé de trop

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    La grave blessure à l’oeil de Jérôme Rodrigues, survenue à l’occasion de l’Acte 11 des gilets jaunes ce samedi à Paris, est-elle celle de trop ? Il est vrai qu’au fil des manifestations qui se succèdent depuis maintenant plusieurs semaines, le nombre des blessés graves, notamment de ceux qui risquent de demeurer, d’une façon ou d’une autre, handicapés à vie ne cesse d’augmenter. Et cette situation ne peut plus durer. Le tribut payé par nos concitoyens, au sein duquel il faut inclure les blessés parmi les forces de l’ordre, est en voie de devenir exorbitant et, en tout cas, largement disproportionné au regard des enjeux portés par un mouvement dont on sent bien aujourd’hui, qu’il perd tout sens de la mesure.

    Parti sur les bases de revendications citoyennes légitimes, le mouvement des gilets jaunes a d’abord reçu, dans la population, un large soutien. Nombreux étaient les Français qui, dans leur for intérieur, s’identifiaient à cette frange de la population qui n’en peut plus de travailler pour des salaires de misère. A ces retraités qui, ayant cotisé toute leur vie, voient leurs retraites fondre comme neige au soleil. A ces petits commerçants, artisans, agriculteurs qui n’arrivent pas à faire vivre leurs entreprises ou leurs exploitations, et qui, pour beaucoup d’entre-eux, n’arrivent pas à dégager un salaire décent de leur travail.

    Et puis, comme il fallait s’y attendre lorsqu’un conflit social s’enracine, est venu le temps de la violence. Chaque samedi qui passait, a vu les manifestations parisiennes ou provinciales se durcir. Les affrontements entre forces de l’ordre et manifestants dégénérer et provoquer de plus en plus de dégâts et de victimes. Bientôt, des dommages irréversibles pour le petit commerce se sont faits sentir, et la solidarité populaire n’a pas manqué de se distendre. Le gouvernement et le président de la République en tête, en répondant à minima aux revendications des gilets jaunes et en instaurant un « grand débat » de façade, n’ont pas manqué d’aggraver une situation déjà d’une exceptionnelle gravité.

    Plusieurs semaines après le début des manifestations, la situation semble donc bloquée. Macron et Philippe sont partis en campagne, tentant par quelques tours de passe-passe oratoires dont ils sont friands de recoller les morceaux d’une majorité partie en quenouille. Et les gilets jaunes, pris par leurs contradictions internes, sont en train de se diviser et de se déchirer pour savoir quels bénéfices chacun pourra tirer du désordre qui s’est emparé de notre pays depuis le 17 novembre dernier. Cela donne, pour certains d’entre eux, une liste putative aux prochaines élections européennes, et, pour d’autres, la poursuite d’un mouvement contestataire qui entend faire de la rue le seul argument qui vaille. Dans ce contexte pour le moins délétère et porteur de tous les dangers, la justice par la voix des magistrats du tribunal administratif de Paris, vient de rendre une décision importante. En refusant de statuer, pour des raisons de fond et de forme peu contestables il est vrai, sur la suspension de l’utilisation du LBD 40 lors des manifestations, la justice administrative ne manquera pas de conforter de nombreux Français dans l’idée qu’ils se font d’un pouvoir corrompu qui n’est désormais plus soutenu que par des institutions judiciaires et policières aux ordres. A cela est venu s’ajouter l’appel au soulèvement d’un Eric Drouet.

    Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos. La crise des gilets jaunes, simple mouvement social et populaire à l’origine, pourrait donc bien devenir l’élément déclencheur de ce « grand soir » attendu par beaucoup.

    Olivier Damien

    http://www.bvoltaire.fr/jerome-rodrigues-le-blesse-de-trop/

  • GILETS JAUNES : UN EX DE LA DGSE DÉNONCE LA RÉPRESSION

  • AMERIQUE LATINE : LE COMMUNISME CONTINUE DE TUER !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Pendant que les « Gilets jaunes » et les tournées présidentielles du locataire de l’Elysée continuent de monopoliser l’actualité, le monde bouge, et pas seulement en Afrique, en Asie ou au Proche-Orient. En ce dernier tiers de janvier 2019, les projecteurs se braquent, à nouveau, sur l’Amérique « exotique ».

    Le communisme a tué et il  continue de tuer. En Colombie, en dépit des efforts entrepris par le gouvernement de Bogota pour régler le problème récurrent des guérillas marxistes, – accord a été trouvé avec les FARC malgré un refus référendaire, comme quoi il n’y a pas qu’en France que l’on s’assoit sur la volonté populaire -, l’ELN, l’armée de libération nationale, forte encore de 1800 combattants se réclamant du défunt criminel Ernesto Che Guevara, a frappé le pays : de stupeur et dans sa chair.

    Une bombe pour obliger à négocier ?

    Le jeudi 17 janvier, un attentat à la voiture piégée a fait 21 morts et 68 blessés, attaque la plus meurtrière depuis 2003. Une explosion rappelant aussi les années noires de la guerre menée au pays par les narcotrafiquants. Le kamikaze s’est fait exploser avec son véhicule à l’école des officiers de police : 80 kg de pentolite, un explosif puissant selon le procureur d’état. Aussitôt, le Président colombien Ivan Duque,  a décrété un deuil national de trois jours en hommage aux victimes, et a réactivé les mandats d’arrêt visant les négociateurs de l’ELN, l’éjercito de libéracionnacional,qui, pour l’instant, se trouvent à La Havane avec leur chef, Pablo Beltran. Ce dernier, bien à l’abri chez ses mentors communistes cubains, a eu le culot d’exiger des garanties pour ses négociateurs, alors même qu’il a approuvé l’attentat ! En effet, il a déclaré «  personne ne peut nous demander de rester les bras croisés si on nous attaque. Depuis l’arrivée du gouvernement Duque, nous avons reçu beaucoup d’attaques ». Il propose la conclusion d’un accord de paix bilatéral sur tous les fronts. Quand donc cessera ce conflit permanent qui ensanglante la Colombie depuis des décennies, après l’historique affrontement entre conservateurs et libéraux au siècle dernier, et qui a fait des millions de personnes mortes, déplacées  blessées ou captives des guérillas, on se souvient de celle, très médiatisée, de madame Bétancourt ?

    Le Venezuela au bord de la guerre civile ?

    Le pays voisin, le Venezuela, lui, est en crise, en crise permanente depuis que Chavez, colonel putschiste qui avait instauré un régime « socialiste bolivarien », mort d’un cancer, a été remplacé par un ancien chauffeur d’autobus, le sieur Maduro. Le bougre, en dépit d’une misère incroyable dans ce pays qui fut le plus riche d’Amérique latine grâce à son pétrole, - le Venezuela, est comme l’Algérie qui va bientôt importer son sable pour le Sahara, importe de l’essence raffinée, un comble ! - se cramponne au pouvoir. Il s’organise des élections sur mesure, embastille son opposition à tour de bras et fait élire une constituante pour doubler l’Assemblée nationale. Cette dernière est majoritairement favorable à l’opposition. Des victimes par milliers, un exode massif de populations affamées vers la Colombie voisine, une monnaie dévaluée, une inflation à huit chiffres (!), et des militaires isolés qui commencent, timidement, isolés, à gronder.

    Quel bilan désastreux pour cette révolution socialiste et bolivarienne, un régime marxiste de fait, qui a tenté de faire des petits en Equateur et en Bolivie ! Le précurseur dans la région, après Cuba, fut le Nicaragua où la révolution populaire du Front Sandiniste de Libération Nationale, fut dénaturée, trahie par sa composante marxiste. A un point tel qu’une guérilla contre-révolutionnaire, les Contras, soutenue en partie par les Etats-Unis, était composée d’éléments du FSLN d’origine. On sait ce que les élections ont donné : tout d’abord un régime libéral, assez corrompu et mal habile pour redonner sa chance au FSLN. Depuis, le commandante Daniel Ortega et son épouse de Vice-présidente, surnommée « la sorcière », ont repris les choses en main et réprimé violement, - Castaner, à côté, est un gamin ! -, les manifestants qui réclamaient justice pour les retraites.

    Outre Cuba, il y a encore des foyers « roses/rouges en Amérique du Sud

    Cuba, Nicaragua, Venezuela, - Bolivie et Equateur présidé par Lénin Boltaire Moreno, ce dernier un peu en retrait par rapport à son prédécesseur socialiste Corréa -, on voit que le communisme et ses avatars progressistes, continuent d’étaler leur tache rouge sur le continent latino-américain. A noter toutefois que le Président bolivien, l’indigéniste Evo Morales, a extradé vers Rome qui le réclamait, le tueur César Battisti,  issu des groupes armés prolétariens, qui s’était illustré pendant « les années de plomb » dans la botte italienne. Une rupture de la solidarité marxiste ? En tout cas, l’homme fort à La Paz, le leader du Mouvement vers le Socialisme, qui n’hésite pas à passer par-dessus la volonté populaire pour  briguer un quatrième mandat cette année, a fait ce que Paris s’était toujours refusé de faire, au nom d’un prétendu et  fallacieux droit d’asile qui protège, parfois,  des assassins.

    Combien de Présidents ?

    Une bonne nouvelle à Caracas, Juan Guaido, président de l’Assemblée nationale, s’est autoproclamé Président provisoire. Il a aussitôt été reconnu par ses pairs américain et brésilien, tandis que le groupe de Lima ne reconnait pas la validité du mandat de Maduro. Il a déclaré que les putschistes militaires de la semaine dernière, bénéficieraient de l’amnistie. Façon de dire à l’immense majorité des troupiers qui soutiennent encore Maduro, qu’ils peuvent le lâcher, voir le renverser, ils ne seront pas poursuivis. Mais les colonels et autres généraux d’une riche armée, bien dotée en matériel, ont été gavés par le régime. Les officiers subalternes, les sous-officiers et la troupe continueront-ils d’obéir a un pouvoir qui n’a jamais hésité à faire tirer sur le peuple ? Mais Nicolas Maduro, en dépit des quelques 2,5 millions d’exilés qui vont bientôt être rejoints par cinq autres millions si les pénuries continuent d’assombrir le quotidien, des « réfugiés de la faim », a encore des partisans, tous ceux qui sont redevables d’avantages et de prébendes de la part du régime. Un effarant  désastre humanitaire dans un état qui détient les plus grandes réserves mondiales d’or noir, estimées à 300 milliards de barils, près d’un tiers de plus que l’autre recordman, l’Arabie saoudite, le double de celles de l’Iran.

    Et dire qu’il y a en France des leaders politiques comme un Mélanchon, pour soutenir pareil régime. Que ses électeurs potentiels ouvrent les yeux : les Robespierre couleur caraïbes sont aussi néfastes que leur illustre ancêtre guillotineur !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pas de commission d’enquête pour les groupes d’extrême-gauche, en collusion avec le régime

    Pas de commission d’enquête pour les groupes d’extrême-gauche, en collusion avec le régime

    Pendant que le régime de Macron crée une commission chargée d’enquêter sur les groupuscules d’extrême-droite, étaient re-publiés sur Twitter des échanges de courriels entre Aurélien Taché, député LREM ex-PS encourageant des jeunes militants antifascistes à faire des actions contre le FN. Le courriel se nomme “action Anti-fn”. Cela date de 2012 quand Aurélien Taché était encore au PS, conseiller au ministère du Logement, mais cela montre la collusion entre ces groupuscules d’extrême-gauche et le pouvoir et pourquoi ils sont tant protégés… Eux n’ont pas une commission d’enquête sur le dos.

    Ils discutent sur la façon de bloquer et harceler le FN. L’un dit qu’il va contacter No Parasan, un groupe antifasciste ultra radical pour le défilé de Jeanne d’Arc du FN; Ils proposent de mettre pression sur les élus pour qu’il n’accordent pas leur parrainage à Marine Le Pen.

    Autres personnes échangeant dans cette conversation:

    • Maxence Barré, ancien MJS, chez LREM maintenant
    • Jade Dousselin, avocate en droit pénal, des affaires et de la presse

    Thibault Delaye, élu PS et Guillaume Chiche, maintenant député LREMcomplotaient avec des milices de gauche pour empêcher la venue de Marine Le Pen à une conférence de l’université Paris Dauphine en 2011. Marine Le Pen avait dû annuler sa venue.

    https://www.lesalonbeige.fr/pas-de-commission-denquete-pour-les-groupes-dextreme-gauche-en-collusion-avec-le-regime/

  • Selon le renseignement italien, des passeurs chercheraient à couler volontairement des bateaux de migrants pour émouvoir l’Occident

    Italie – Les services secrets italiens auraient averti que les passeurs de migrants en Méditerranée chercheraient à organiser des noyades afin de gagner la sympathie de l’Occident et d’accélérer les flux migratoires.

    Le renseignement italien met en garde contre la possibilité que les trafiquants d’êtres humains provoquent délibérément des catastrophes en mer afin d’obtenir une vague de sympathie et de reprendre leur commerce illicite, qui a diminué au cours de l’année dernière.

    Une telle manoeuvre pourrait être une répétition d’autres catastrophes humanitaires majeures telles que le naufrage qui a causé la mort d’environ 700 migrants le 18 avril 2015 et qui a conduit au lancement de l’Opération Sophia.

    Selon certains des migrants qui ont survécu au naufrage, les passeurs les avaient forcés à partir en sachant très bien que le bateau allait couler, ce qui a conduit certains à penser que la catastrophe avait été attendue ou même causée intentionnellement par les passeurs.

    (…) Il Giornale

    http://www.fdesouche.com/1147087-selon-le-renseignement-italien-des-passeurs-chercheraient-a-couler-volontairement-des-bateaux-de-migrants-afin-demouvoir-loccident

  • Tribune libre : BERNANOS, VIDEO STAR

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    Christian Rol, écrivain

    Antonin Bernanos, descendant dégénéré du "grand écrivain catholique" Georges Bernanos, vient une fois de plus défrayer la chronique des manifs parisiennes ; à ses dépends.

    En croisant la route de nos amis les « Zouaves », ce rejeton de la grande bourgeoisie du VIème arrondissement, a résolument découvert le retour du concret dans sa gueule puisque la poignée de militants nationalistes qui lui faisait face, ainsi qu’à ses nombreux amis, a remis les pendules à l’heure de manière expéditive.

    Nous ne parlons pas là de « grande politique » mais de sport de rue, un registre dans lequel notre camp a toujours excellé, et auquel la nouvelle génération de natios redonne une certaine vigueur (y compris à Lyon).

    A mon âge canonique, ces gamineries devraient me laisser indifférent mais, comme pas mal d’entre nous, je ne vois jamais sans déplaisir la permanence d’une certaine tradition consistant à faire mordre la poussière aux fils à papas « antifas » qui brandissent le drapeau rouge avant de rentrer dans l’appartement familial à 1 million d’Euros où officie une femme de ménage philippine payée au lance-pierre.

    Je caricature à peine puisque, le sieur Bernanos, déjà connu défavorablement de nos services, s’est fait connaître il y a quelques années pour avoir mis, avec ses amis, le feu à une voiture de flics lors d’une manif. Je n’ai rien contre le principe mais le fait que sa propre mère, prof de gauche à Nanterre ou quasiment, ait rameuté tout le ban et l’arrière ban de ses relations et réseaux pour soustraire le « rebelle » aux foudres de la Justice prouve assez bien dans quel sens pèse la balance. Quand le boxeur Christophe Dettinger fait reculer à lui seul trois hommes armés et casqués, il risque 7 ans ferme ; quand un fils à papa nommé Bernanos incendie une voiture de flics et attaque à dix contre un tel représentant de l’ordre, c’est à peine un peu de préventive. En échange de ce service, le révolutionnaire, fera un très bon indicateur de police...

    Sur la vidéo qui rend compte de l’échauffourée entre nos cadets et les fiottes antifas, on s’aperçoit de la veulerie, celle physique et morale, du personnage. « Retenez-moi ! » semble implorer l’Antonin auprès de ses copains qui scandent « Wesh ! » à la manière de ces racailles qui les fascinent tant. Mais, rien ne viendra de ces révolutionnaires de la rue des Ecoles puisqu’ils n’ont ni les épaules, ni les tripes pour cela. Normal, puisque leur « combat » est une illusion virtuelle, une lutte sans ennemis.

    Leur plus sûr ennemi, ainsi que, probablement, le leur suggèrent leurs psys, c’est eux-mêmes. Ils aimeraient bien être virils, avoir de belles nanas, savoir se battre, être intellectuellement courageux. Mais, les hasards de l’hérédité, de la sociologie et de la génétique sont cruels qui les ont fait naître riches, laids et lâches. C'est Georges qui doit se retourner dans sa tombe.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/01/23/tribune-libre-bernanos-video-star-6123122.html

  • Castaner : policiers équipés de caméras… une mesure en trompe l’oeil – Journal du mercredi 23 janvier 2019

     

    Castaner : policiers équipés de caméras… une mesure en trompe l’oeil

    Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, équipe ses policiers de caméras pour éviter les bavures… une mesure artificielle alors que le gouvernement ment ouvertement sur le nombre de blessés lors des manifestations.

    Parcoursup’, une deuxième édition qui angoisse toujours

    VO: Après une première expérience ratée en 2018, la plateforme Parcoursup a officiellement rouvert ses portes, mardi. Une nouvelle formule corrigée qui n’efface pas les inquiétudes des futurs bacheliers.

    Les GAFAs font tanguer l’UE

    Alors que Bruxelles ne parvient pas à trancher sur la question de la taxation des géants du numérique, la Commission a laissé entendre que le principe d’unanimité pour les votes concernant la fiscalité pourrait être abandonné… Un tournant qui en dit long.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/castaner-policiers-cameras-journal-du-mercredi-23-janvier-2019