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international - Page 591

  • Conférence de Pierre-Antoine Plaquevent : comprendre Soros

    E&R Ariège a reçu Pierre-Antoine Plaquevent le 13 janvier 2019 au nord de l’Ariège pour une conférence de présentation de son ouvrage Soros et la société ouverte :métapolitique du globalisme.

    Georges Soros est l’une des personnalités les plus influentes de notre époque. L'activisme de George Soros, qui se considère lui-même comme « un chef d’État sans État », touche en fait tous les domaines et tous les continents.

    Durant les dernières décennies, peu de nations ont été épargnées par l’action ou l’influence de son ensemble de fondations : l’Open Society Foundations. Partout où la souveraineté politique et la stabilité sociale sont attaquées, on retrouve la trace de Georges Soros, de ses réseaux, de ses militants, de ses milliards. Que ce soit au travers de l'immigration de masse, de la dépénalisation des stupéfiants, des nouvelles normes sociétales, de la promotion des théories du genre ou des révolutions colorées. Dans chacun de ces domaines, Soros œuvre avec une étonnante constance à la réalisation d’un même objectif : l'avènement d'un nouvel ordre politique international fondé sur la notion de société ouverte et la fin des États-nations.

    L’auteur nous propose une radiographie détaillée de la méthodologie Soros et de ses divers champs d’action partout dans le monde. Au travers d’exemples très documentés, cette étude expose au grand jour les rouages internes des réseaux Soros. Une entreprise de décomposition des nations dotée d’une puissance et de moyens inédits dans l’Histoire.

    Au-delà d’un travail d’enquête inédit, ce livre se propose d’exposer la philosophie politique qui anime cette action et d’en tracer la généalogie profonde. Le lecteur y découvrira comment la notion de société ouverte se rattache aux courants les plus puissants et les plus actifs de la subversion politique contemporaine.

    Avant-propos de Xavier Moreau
    Post-face de Lucien Cerise

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  • À l’aube d’un cataclysme financier, les Bourses dans le monde d’Alice au pays des merveilles

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    L’anticipation de la baisse des taux d’intérêt par la Fed a pour conséquence une attitude plutôt sereine des Bourses. Portée par la Fed, celle de Paris a terminé en petite hausse de 0,38 %, ce vendredi 12 juillet. Mais si la Fed, poussée par Trump et les médias, diminue trop tôt ses taux d’intérêt déjà peu élevés, elle se retrouvera aussi dépourvue que la BCE lorsque la récession viendra. Les fondamentaux dicteront de nouveau leur loi aux marchés, plus tôt qu’ils ne le pensent.

    C’est ainsi que l’économiste Philippe Béchade, dans une excellente interview à Sputnik France, avec de nombreux arguments à l’appui, vient de déclarer que « nous sommes dans un monde financier à la Lewis Carroll », que la situation économique est ubuesque, que les Bourses ont perdu toute connexion avec la réalité, qu’on ne se relèvera même pas d’une crise économique équivalente à 2008, étant entendu que, comme l’estiment l’économiste Jean-Luc Ginder, l’ancien vice-président du New York Stock Exchange Georges Ugeux et Jean-Claude Trichet, ancien président non laxiste de la BCE, la prochaine crise sera infiniment plus violente.

    Aux États-Unis, sur le plan économique, Trump ne pourrait bien être qu’une gigantesque illusion. L’inflation, accélérée par des hausses supplémentaires de droits de douane, pourrait réapparaître, obligeant la Fed à augmenter ses taux alors que le choc fiscal de 2018 a dégradé structurellement les comptes publics avec un déficit de 5 %. Trump a soutenu artificiellement la croissance américaine en vidant les caisses de l’État. Le retournement inévitable à venir du cycle économique, de plus de dix ans déjà, laissera les États-Unis impuissants avec une contagion qui s’étendra au reste du monde.

    En Chine, les exportations ont connu, en juin, une forte baisse, tandis que les importations ont poursuivi leur dégringolade. Au premier semestre 2019, les ventes d’automobiles – un indicateur économique très important – ont chuté de 12,3 % alors qu’elles avaient déjà diminué de 3 % en 2018. La Chine, malgré une production d’or très importante, a acheté et ajouté dix tonnes d’or à ses réserves, en mai 2019, pour le septième mois d’affilée. La récession n’est pas très loin en Chine, alors que ce pays vise à long terme la dédollarisation des transactions commerciales et un yuan adossé à l’or.

    Le bouquet, c’est lorsque la BRI à Bâle, la banque centrale des banques centrales, vilipende le laxisme monétaire de ces dernières : « Ce qui est bon pour aujourd’hui ne le sera peut-être pas pour demain. Plus fondamentalement, les politiques monétaires ne peuvent être le moteur de la croissance. » La BRI s’inquiète du caractère de plus en plus risqué des actifs des caisses de retraite et autres institutions, qui peuvent engendrer des pertes massives et rapides lors de la prochaine récession.

    La proportion, en 2010, des obligations les plus bassement notées dans les fonds spécialisés, de 22 % en Europe et de 25 % aux États-Unis, est passée à 45 % dans ces deux régions du monde. Les entreprises zombies – on pense à la holding Rallye, en France, du groupe Casino – sont, en moyenne, endettées de 40 % de plus que leurs pairs rentables. La rentabilité moyenne des banques, encouragées à accorder des crédits trop risqués, toujours selon la BRI, n’est pas brillante et plus basse que dans les années 2000.

    Même la Banque de France, dirigée par le très politique Villeroy de Galhau, ancien président de la BNP, est obligée de sortir du bois pour attirer l’attention sur la situation explosive actuelle : les risques liés à l’endettement qui croît plus rapidement que la croissance, les prix trop élevés de tous les actifs, les marges trop faibles des banques, les risques des mutations structurelles du secteur financier (fermetures d’agences, passage au numérique, concurrence accrue, cybersécurité, etc.).

    La France, avec sa dette publique de 2.358,9 milliards d’euros, court à la catastrophe. Macron ne fait pas d’économies, demande aux entreprises de faire des efforts (impôts sur les sociétés, crédit d’impôt recherche, etc.) et endette le pays non pas pour investir, mais pour régler des dépenses sociales, la gabegie de l’État, l’invasion migratoire, les contes de fées du C02 (gaz carbonique), oublieux qu’il faudra un jour rembourser le principal, même si les taux actuels sont très faibles ou négatifs.

    L’or continue sa montée et vient de passer la barre des 1.400 dollars l’once. Nous connaîtrons, dans un premier temps, un krach financier mondial face à la récession généralisée et, à terme, la perte de confiance dans la monnaie, l’hyperinflation ainsi que l’effondrement du Système.

    Marc Rousset

    https://www.bvoltaire.fr/a-laube-dun-cataclysme-financier-les-bourses-dans-le-monde-dalice-au-pays-des-merveilles/

  • Loin de chez nous en Afrique

    6a00d8341c715453ef0240a4badb91200b-320wi.jpgLe général Joseph Dunford, chef d'État-major des armées américaines, l'annonçait clairement dès 2017, la zone de guerre tend à se déplacer du Proche-Orient vers l'Afrique.

    Si l'on ne se place que du point de vue de Washington, du Département d'État et du Pentagone, cette prédiction peut sembler quelque peu contredite par la nouvelle distribution des cartes, des alliances et des hostilités régionales, entre Méditerranée et Iran.

    Si au contraire, on observe, depuis Paris, les engagements militaires très concrets dans lesquels on demande, de plus en plus, à une armée de Terre limitée à 114 000 hommes, à une Marine dont le budget est rogné depuis 60 ans, etc... alors, oui, c'est bien en Afrique que se pose à l'évidence le problème.

    Et, sur ce continent les forces françaises se trouvent, non moins franchement, engagées aux côtés des États-Unis.

    La ligne définie par le département d'État ne cultive pas l'ambiguïté. Appliquant sa doctrine, au Sahel, les États-Unis "aident les partenaires en Afrique de l'Ouest et du Nord à accroître leurs capacités immédiates et à long terme pour faire face aux menaces terroristes et empêcher la propagation de l'extrémisme violent".

    En juin[1], Florence Parly, ministre des Armées, le confirmait. Elle rendait hommage aux alliés, partenaires de nos soldats et de nos officiers sur le terrain. On comprend même que, sans eux, nos troupes ne seraient pas transportées.

    Or, sans que les médias français en avertissent l'opinion publique, le temps presse, et la menace territoriale s'aggrave, depuis maintenant au moins 4 ans.

    On peut considérer comme un événement décisif à cet égard le ralliement, apparemment insignifiant, en mai 2015, d'un Abu Walid al-Sahraoui ancien dirigeant du Mujao passé avec armes et bagages, de ce Mouvement pour l’Unicité [de Dieu[2]et le Jihad en Afrique de l’Ouest. Ceci équivaut à une montée en puissance du Califat.

    Depuis septembre 2001, on avait pris conscience d'un combat antiterroriste international. Une partie des responsables de nos pays avaient dès lors compris qu'ils se trouvent dans une lutte à mort commune contre la nébuleuse salafiste. Ceci requiert donc une volonté de coopération transfrontalière entre services de polices et de renseignement, y compris, à terme, en collaboration avec ceux de pays, imprévus jusque-là, comme l'Algérie, l'Inde etc.

    Avec l'apparition de Daech et la proclamation de son califat à Mossoul en juin 2014 on a affaire à une stratégie territoriale. Depuis la chute de Rakka en octobre 2017, cette pieuvre criminelle et fanatique a déplacé ses pions vers d'autres horizons d'un monde islamique qui s'étend jusqu'en Extrême Orient.

    Et sa marche vers l'Afrique impacte dès lors la nécessité accrue de la projection des Français dans un espace continental dont on aurait pu croire que nos gouvernants le considèrent comme secondaire depuis 1962.

    Ainsi, de graves affrontements viennent de se produire au Niger. À l'origine, en 2012[3], quelques jeunes Nigériens avaient été embrigadés par le Mujao. Au lendemain de l’opération Serval menée par l'armée française dans le Nord du Mali, et notamment après la libération de Tombouctou en janvier 2013 par les parachutistes et les légionnaires, ces jeunes djihadistes se sont retrouvés démobilisés puis ils ont formé Al-Mourabitoun[4]. Opérant sous la direction du sinistre borgne Mokhtar Belmokhtar, ils se situaient dans l'orbite d'al-Qaïda. Le groupe s'est rendu responsable notamment de l’attaque de l'hôtel Radisson Blue à Bamako, capitale du Mali, en novembre 2015. Au cours de cette agression sanglante 20 personnes ont été tuées. Leur nouveau chef Saharaoui les fit quitter Mokhtar Belmokhtar pour Daech.

    Les mêmes hommes dirigés désormais par Al-Sahraoui se sont encore illustrés par une opération militaire en février 2017 à Tiwa, au Niger, qui avait tué une douzaine au moins de soldats nigériens.

    C'est donc bien une ramification locale de l'organisation État islamique qui, le 1er juillet, a attaqué le camp d'Inates, à la frontière avec le Mali, qui a coûté la vie à 18 soldats nigériens.

    "Les soldats du Califat ont attaqué la base militaire d'Inates il y a deux jours", se félicite leur communiqué qui parle de dizaines de morts et de blessés au sein des troupes nigériennes. Il cite le groupe ISWAP, État islamique en Afrique de l'Ouest, ayant fusionné avec l'État islamique dans le grand Sahara (EIGS).

    Le ministère nigérien de la Défense évoque de son côté une riposte avec l'appui aérien des partenaires, c'est-à-dire des Français et des Américains, qui ont donc permis de mettre l'ennemi islamo-terroriste en déroute hors des frontières de ce pays.

    De tels événements ne font que continuer ceux apparus crescendo les années précédentes. Au-delà du Niger, ils frappent toute la zone. Pays très pauvre, le Niger, également confronté aux raids de Boko haram au sud-est de son territoire, fait face dans l'Ouest, comme ses voisins sahéliens, le Mali et le Burkina, à des attaques récurrentes des groupes djihadistes.

    Aucun de ces États ne dispose des moyens de lutter sans l'appui de la France. Or, celle-ci doit se savoir tributaire, non seulement d'une sanctuarisation, et même à l'avenir d'une augmentation de son effort budgétaire dans les domaines régaliens[5], mais aussi de la solidarité, qu'on espère sans failles, de ses alliés.

    JG Malliarakis  
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    Apostilles

    [1] cf. le 13 juin Figaro avec AFP.
    [2] Au sens islamique de ce concept, en opposition explicite, et guerrière, au Dieu trinitaire des chrétiens. Lire à ce sujet "L'islam, croyances et institutions" par Henri Lammens.
    [3] cf. à ce sujet sur le site Est-et-Ouest. [4] Ce groupe reprenait à son compte l'appellation arabe des Almoravides du XIe siècle.
    [5] Lire à ce sujet mon petit livre bleu "Pour une Libération fiscale".

    https://www.insolent.fr/2019/07/loin-de-chez-nous-en-afrique.html

  • Une étude scientifique finlandaise conclut que le GIEC se trompe : il n’y a pas de preuves que le changement climatique est dû à l’homme

     Résultat de recherche d'images pour "activité soleil"
    Une nouvelle étude menée par une équipe de recherche finlandaise a trouvé qu’il n’existe pas de preuves à l’appui de l’idée d’un changement climatique dû à l’homme. Les résultats de l’étude ont été corroborés par des chercheurs japonais.
    Dans un article publié à la fin du mois dernier, intitulé « Aucune preuve expérimentale de l’importance du changement climatique anthropique », une équipe de scientifiques de l’Université de Turku en Finlande a déterminé que les modèles climatiques actuels ne tiennent pas compte des effets des nuages sur les températures, et c’est pourquoi ils surestiment à tort l’impact des gaz à effet de serre générés par l’homme.

    Pourquoi le GIEC se trompe

    Les modèles utilisés par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) « ne peuvent pas calculer correctement la composante naturelle incluse dans la température globale » car « une forte rétroaction négative des nuages fait défaut dans leurs modèles ».
    Autrement dit, ils ne tiennent pas compte de l’impact naturel des nuages sur la température.
    En tenant compte du facteur de couverture nuageuse et des émissions de gaz à effet de serre, les chercheurs ont constaté que l’homme n’a tout simplement pas beaucoup d’effet sur la température de la Terre.

    Pas de changement climatique anthropique

    Au cours des cent dernières années, la température a augmenté d’environ 0,1 degré Celsius à cause du dioxyde de carbone, et la contribution humaine était d’environ 0,01 degré Celsius, » notent les chercheurs.

    Vous avez bien lu… 0,01°.
    L’étude poursuit :

    Comme la part anthropique de l’augmentation du dioxyde de carbone est inférieure à 10 pour cent, nous n’avons pratiquement aucun changement climatique anthropique. 
    Si nous tenons compte du fait que seule une petite partie de la concentration accrue de CO2 est anthropique, nous devons reconnaître que le changement climatique anthropique n’existe pas dans la pratique.

    Un centre de recherche scientifique japonais confirme
    Le professeur Masayuki Hyodo, chercheur principal à l’université Kobe au Japon, confirme :

    Cette étude [finnoise] est l’occasion de repenser l’impact des nuages sur le climat. 
    Lorsque les rayons cosmiques galactiques augmentent, les nuages bas augmentent aussi, et lorsque les rayons cosmiques diminuent, les nuages diminuent aussi, de sorte que le réchauffement climatique peut être causé par un effet opposé — « l’effet parapluie ». 
    L’effet parapluie causé par les rayons cosmiques galactiques est important lorsqu’on pense au réchauffement climatique actuel ainsi qu’à la période chaude de l’ère médiévale.
    Selon Hyodo, les modèles climatiques politiques — y compris le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies — ne tiennent pas compte de cela dans leurs calculs.

    Il existe d’autres sons de cloches
    Il existe d’autres sons de cloche que ceux que les médias veulent bien vous laisser entendre. 
    Et pour que vous ne vous renseigniez pas auprès de sources d’informations multiples, Dreuz a encore récemment été accusé par Le Monde de diffuser des thèses conspirationnistes et des Fake News, une façon de ne pas argumenter et de dire : ne croyez pas ce que vous lisez sur Dreuz.

    • Les températures sur Terre vont baisser jusqu’en l’an 2100 pour atteindre les niveaux d’un petit âge glaciaire, prédit Horst-Joachim Lüdecke, un scientifique de l’Université allemande de la Sarre, en Allemagne (Source : HuffPost)
    • Les températures vont baisser jusqu’en 2060, affirme Habibullo Abdussamatov, directeur de l’Observatoire russe de Pulkovo.
    • Le refroidissement a déjà commencé, et il pourrait se terminer dès 2030, annonceAnastasios Tsonis, directeur du Atmospheric Sciences Group à l’Université du Wisconsin.
    • « Le soleil, et non l’homme, réchauffe la terre », rappelait Lüdecke en 2011, exprimant de manière concise l’opinion émergente selon laquelle l’homme joue un rôle sans conséquence dans le changement climatique.
    • Une étude produite par un géoscientifique de l’Université du Wisconsin-Madison et astrophysicien présente une explication des fluctuations des températures de la Terre qui met en lumière la complexité des forces à l’œuvre sur le climat de la Terre et tout ce qu’il nous reste à en apprendre. L’étude soutient que le cycle des changements climatiques au cours des millénaires est en grande partie le résultat des changements dans la quantité de rayonnement solaire, en partie causés par de petits changements dans les orbites de la Terre et de Mars.
    • Il y a deux ans, des chercheurs australiens ont conclu que la période de réchauffement actuelle de la planète était probablement attribuable aux tendances naturelles de la température qui ont précédé l’industrialisation humaine. « Après avoir appliqué la plus récente technique de grandes données à six séries de températures approximatives de 2000 ans, nous ne pouvons pas confirmer que le réchauffement récent est tout sauf naturel — ce qui aurait pu se produire de toute façon, même s’il n’y avait pas eu de révolution industrielle, » a noté l’équipe australienne.

     » Notre nouveau document technique… sera probablement ignoré », avait écrit l’un des chercheurs. Il avait raison…
    Le pot aux roses du GIEC
    Notez bien ceci, c’est probablement la révélation la plus intéressante. 
    Elle a été faite en 2014 dans le Huffington Post par Lawrence Solomon.

    Lorsque l’ONU a créé le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat en 1988, il a reçu le mandat d’examiner les causes du réchauffement d’origine humaine. 
    Ce mandat prévoit donc que le GIEC doit ignorer l’influence du soleil sur le climat de la Terre.
    C’est ce qu’ont appris les scientifiques lors d’une réunion du GIEC en 1992 : 
    À la surprise d’Eigil Friis-Christensen, chef de la division géophysique de l’Institut météorologique danois, il n’a pas été autorisé à présenter les résultats d’un article qu’il avait co-écrit dans le magazine Science et qui mettait en corrélation les taches solaires et les températures mondiales.Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/une-etude-scientifique-finlandaise.html

  • CAN : quand la France prend des airs d’Algérie – Journal du vendredi 12 juillet 2019

    1) CAN : quand la France prend des airs d’Algérie

    VO: Quatre jours après avoir envahi les Champs-Elysées, les supporters algériens ont remis ça jeudi soir lors de la qualification de l’Algérie pour la demi-finale de la Coupe d’Afrique des Nations. Des scènes de liesse qui ont laissé place aux violences, aux pillages et à la mort d’une mère de famille à Montpellier.

    2) Loi bioéthique : ce que prévoit la majorité

    VO : Le projet de loi bioéthique qui sera présenté à l’Assemblée Nationale en septembre a fuité… un texte qui prévoit presque tous les gadgets sociétaux envisagés par le passé.

    3) Sommet du G7 à Biarritz : vers un coup de force basque ?

    VO: Du 24 au 26 août, la ville de Biarritz dans les Pyrénées-Atlantiques accueillera le sommet du G7. Un événement placé sous haute sécurité qui bouleverse la ville balnéaire et inquiète les commerçants.

    https://www.tvlibertes.com/can-quand-la-france-prend-des-airs-dalgerie-journal-du-vendredi-12-juillet-2019

  • Affaire de Rugy, l’indécence d’un élu – Journal du jeudi 11 juillet 2019

     

    Affaire de Rugy, l’indécence d’un élu

    La République toujours plus loin dans l’indécence. Alors que l’ancien président de l’Assemblée National et actuel ministre de l’environnement, François de Rugy, faisait de la rigueur et de la transparence des maîtres mots de son action politique, il est rattrapé par ses dépenses fastueuses.

    Vincent Lambert : la fin d’un long calvaire

    Vincent Lambert est mort. Après un feuilleton macabre de près de 10 ans, cet homme de 42 ans a vu son destin bouleversé une première fois par un accident de la route puis par l’acharnement étatique a vouloir l’éliminer.

    Yémen : les Emirats Arabes Unis quittent leur Vietnam

    En pleine crise régionale avec l’Iran, les Emirats Arabes Unis quittent le bourbier yéménites où ils ne sont pas parvenu à prendre le dessus avec le reste de la coalition arabe pire ils ont fait du pays un véritable charnier. Un départ qui pourrait laisser entrevoir un espoir de paix mais aussi une volonté pour Abou Dabi de recentrer sa stratégie militaire sur la Défense en cas de conflit ouvert avec Téhéran.

    L’actualité en bref

    https://chaine.tvlibertes.com/widget/affaire-de-rugy-l-039-indecence-dun-elu-journal-du-jeudi-11-juillet-2019

  • Bipolarisation et cinquième république

    6a00d8341c715453ef0240a469b82e200c-320wi.jpgLe 18 juin, dans la ville texane d'Orlando, Donald Trump a lancé sa propre campagne et celle des républicains en vue des élections de novembre 2020. Candidat improbable en 2015, il était parvenu à l'emporter au gré de primaires d'un type sans doute nouveau, inaugurant un nouveau cours de la politique des États-Unis.

    Dans les jours prochains débutera, chez ses adversaires, une autre bataille. Elle sera destinée à choisir au sein du parti démocrate parmi 20 possibles candidats, après élimination de 4 autres au-dessous de 1 % dans les sondages.

    De tels mécanismes reposent sur une bipolarisation quasi institutionnelle aux États-Unis, mais que de nombreuses voix contestent de plus en plus.

    Or, nos dirigeants hexagonaux et nos commentateurs agréés, dans tous leurs calculs, leurs stratégies et leurs raisonnements, en transposent désormais mentalement les hypothèses[1], comme si, contrairement au reste de l’Europe, nous ne pouvions concevoir nos institutions et notre mode de représentation autrement.

    La chose mérite qu'on s'attarde à en examiner les effets.

    Ainsi, s’agissant de la constitution actuelle, un ami lecteur me demande si je crois, d'une manière absolue, à la bipolarisation droite/gauche, et si je pense qu'elle résulte de nos institutions. Pour tenter de répondre à cette question, il faut commencer par souligner, avant tout, que ce genre d'exercice politologique ne relève pas d'une science exacte.

    C'est en effet seulement à partir des élections législatives de 1967 que l’on a commencé à penser franchement, en France, de façon dominante, la vie politique en termes de bipolarisation. L'adoption d'un système direct d'élection du chef de l'État au suffrage universel allait en modifier profondément le fonctionnement. Elle résultait de la réforme [en 1962] de l'article 7 de la constitution.

    L'idée de rassemblement caractérisait, depuis le discours de Bayeux de 1947, la doctrine gaulliste. Au-dessus des partis, le président était supposé s'accorder avec le peuple dans ses profondeurs, et l'incarner d'un point de vue historique. En vertu de cette logique, certains ont pu croire que son intention tendait à instaurer une monarchie constitutionnelle.[2]

    En 1962, la coalition des partis qui avaient gouverné la Quatrième république s'était employée, avec l'appui du PCF écarté du gouvernement depuis 1947 mais toujours très puissant, à enrayer l'évolution du système. Les démocrates chrétiens du MRP, les insubmersibles radicaux-socialistes, les socialistes SFIO et les indépendants paysans du CNI tentèrent de s'opposer à la réforme de l'article 7 et au référendum. Ce cartel des non fut balayé aux élections législatives qui suivirent. À ce stade, non seulement il ne s'agissait pas d'un clivage droite/gauche, mais on ne parlait pas non plus encore de "droite" : le mot avait pratiquement disparu des références officielles depuis la victoire des radicaux en 1902.

    Le scrutin présidentiel de 1965, premier du genre depuis l'élection de Louis-Napoléon Bonaparte en décembre 1848, introduisit une nouvelle étape : son mécanisme même allait diviser la France en deux. D'un côté les forces de gauche s'investissaient dans leur candidat unique en la personne de François Mitterrand, soutenu aussi bien par les socialistes SFIO que par les radicaux et le parti communiste. De l'autre le pouvoir en place. À noter que c'est aussi à cette époque qu'apparaît le choix binaire "moi ou le chaos".

    La surprise et la déception [pour les gaullistes] se mesurèrent doublement. D'une part, De Gaulle fut mis en ballottage, ce qui l'irrita fortement. D'autre part, au second tour il ne l'emporte que par 55,2 % des suffrages contre 44,8 %. Autrement dit plus de rassemblement mais une majorité.

    Et à partir des législatives suivantes ce concept alimente la propagande du gouvernement conduit depuis 1962 par Georges Pompidou, lequel prend une importance grandissante : d'un côté cette "majorité" qui se veut à la fois présidentielle et parlementaire. Nouvelle surprise aux élections législatives de 1967 la victoire gouvernementale se révèle très courte : le bloc gaulliste et giscardien n'obtient que 42,8 % des voix au 1er tour contre 43,7 aux partis de gauche. Encore isolé, le centre démocrate de Lecanuet obtient 12,5, en recul par rapport à son pourcentage présidentiel de 15,6, réalisé 3 ans plus tôt.

    À partir de cette date, commencera la satellisation des centristes par les gaullistes et les giscardiens, et leur coalition face à la gauche. Mais on ne parlera vraiment de "la" droite, comme d'un bloc unique, incluant des libéraux et des étatistes, des eurofédéralistes et des souverainistes, etc. qu'avec Sarkozy, 40 ans plus tard.

    Le scrutin d'arrondissement, à deux tours, avait prévalu sous la troisième république. Il pourrissait sans doute la vie parlementaire, mais il laissait encore une marge de manœuvre aux élus locaux et à leur relative représentativité. Les deux modes actuels de désignation mécanique, celui du président et celui de l'assemblée nationale, caractérisent le fonctionnement dégénéré de la cinquième république. Ils instituent, certes, une bipolarisation : mais celle-ci ne laisse guère de place aux débats d'idées, encore moins aux libres choix dont se prévaut la démocratie. Ils renforcent le poids des états-majors centralisés et des stratégies, fermées et manipulées, au sein d'un jeu bi partisan artificiel.

    Sans aucune relation avec les idées plurielles dites de droite, ces jeux ne font que s'éloigner du pays réel.

    JG Malliarakis 
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    Apostilles

    [1] cf. L'Insolent du 24 janvier 2017 "Faut-il applaudir aux primaires de la gauche ?"
    [2] Il semble même que, de 1954 à 1966, cette idée ait discrètement cheminé entre le comte de Paris et le général. Ce dernier n'aurait levé l'ambiguïté, à la déception du Prétendant, qu'au lendemain des élections présidentielles de 1965.

    https://www.insolent.fr

  • Brexit : Donald Trump prêt à négocier avec le Royaume-Uni l’accord de libre-échange le plus rapide de l’Histoire

    Brexit : Donald Trump prêt à négocier avec le Royaume-Uni l’accord de libre-échange le plus rapide de l’Histoire

    A force de tergiverser, à force de voir les élites du Royaume-Uni et de l’UE empêcher la volonté du peuple britannique de se réaliser, ce sont les Etats-Unis qui vont profiter du Brexit. Sans doute au détriment de la France et des autres pays de l’UE. Et après nos ministres et commissaires européens viendront pleurer et nous dire que le Royaume-Uni et les USA sont très méchants avec nos pécheurs, nos agriculteurs et nos industries alors qu’ils auraient négocier au lieu de vouloir punir le Royaume-Uni :

    Pour le dirigeant américain, pourfendeur de l’UE, le futur successeur de Theresa May à la tête du gouvernement britannique devrait tout simplement arrêter de discuter et claquer la porte du club européen sans payer la facture du divorce convenue dans l’accord conclu avec Bruxelles en novembre.

    “Si vous n’obtenez pas l’accord que vous voulez, je quitterais” la table des négociations, a dit Donald Trump dans un entretien avec le Sunday Times. “Si j’étais eux, je ne paierais pas 50 milliards de dollars“, a-t-il ajouté en référence au règlement des engagements pris par le Royaume-Uni dans le cadre du budget pluriannuel européen en cours (2014-2020), dont le montant est estimé entre 40 et 45 milliards d’euros par Londres (…)

    La relation commerciale avec les États-Unis sera cruciale pour le Royaume-Uni post-Brexit et occupera sans doute une grande partie des discussions entre Theresa May et Donald Trump à Downing Street, même si certains au Royaume-Uni craignent qu’elle ne tourne à leur désavantage.

    Nous avons le potentiel d’être un partenaire commercial incroyable pour le Royaume-Uni. On fait peu par rapport à ce que l’on pourrait faire avec le Royaume-Uni… Je pense bien plus qu’avec l’Union européenne”, a promis Donald Trump dimanche, affirmant être prêt à négocier un accord de libre-échange rapidement.

    L’ambassadeur américain au Royaume-Uni Woody Johnson a lui affirmé sur la BBC que Washington préparait déjà un accord et qu’il serait “plus rapide qu’aucun autre accord que nous n’ayons jamais eu”. Il a dit s’attendre à voir Londres ouvrir ses portes aux produits agricoles américains et affirmé que “tout ce qui est commercialisable serait sur la table” des négociations, en réponse à une question sur les vues des entreprises américaines sur le système de santé public britannique.”

    https://www.lesalonbeige.fr/brexit-donald-trump-pret-a-negocier-avec-le-royaume-uni-laccord-de-libre-echange-le-plus-rapide-de-lhistoire/

  • Wikileaks : Julien Assange hospitalisé en prison, “sa santé se détériore”

    Alors que devait se tenir une audience hier jeudi 30 mai, concernant une possible extradition aux États-Unis, Julian Assange n’a pas pu comparaître pour des raisons de santé, ont indiqué ses avocats. L’audience est donc reportée à la semaine du 12 juin.  Le lanceur d’alerte, Julien Assange, vient d’être transféré dans le service hospitalisé de la prison de Belmarsh, au Royaume-Uni, où il est détenu depuis le mois dernier.

    L’information a été donné par l’organisation Wikileaks qui a exprimé sa préoccupation quand à la santé de son fondateur. Dans un communiqué, WikiLeaks a annoncé que l’état de santé de l’accusé « s’était gravement détérioré après ces sept années passées à l’ambassade équatorienne » où il avait été accueilli en tant que réfugié pour échapper à la justice britannique.

    « Au cours des sept semaines passées à Belmarsh, sa santé a continué à se détériorer, il a fortement maigri. La décision des autorités de la prison de le transférer à l’hôpital en dit long », a ajouté WikiLeaks.

    Vendredi dernier, son avocat Per Samuelson avait déclaré que l’Australien dont l’état de santé s’est fortement dégradé, à tel point qu’il était « impossible de mener avec lui une conversation normale ».

    La justice américaine réclame son extradition en vertu des lois anti-espionnage. Il lui est reproché d’avoir mis en danger la sécurité nationale américaine et certaines sources qui ont été révélées par WikiLeaks lors de la publication d’environ 500.000 documents confidentiels et de 250.000 câbles diplomatiques, tous sur les activités de l’armée américaine en Irak et en Afghanistan.

    Julian Assange est emprisonné en Grande-Bretagne après son arrestation le 11 avril. Il a été condamné à 50 semaines de prison le 1er mai pour avoir violé ses conditions de liberté provisoire.

    Pour l’instant aucun gouvernement occidental ne lui propose ce fameux droit d’asile dont les immigrationnistes rêvent pour tous les clandestins !

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/wikileaks-julien-assange-hospitalise-en-prison-sa-sante-se-deteriore/109037/

  • Dossier Trump : La preuve que Mueller est une ordure

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    Prenant la parole pour la première fois en deux ans, le procureur spécial Robert Mueller a affirmé mercredi que « Si nous avions eu la conviction que le président n’avait clairement pas commis de délit, nous l’aurions dit ». En d’autres mots, Mueller refuse d’exonérer le président en dépit de l’absence de preuves qu’il a, en vain, mis deux ans à chercher.

    Honte à Robert Mueller d’avoir abusé de son rôle

    La déclaration du procureur spécial, Robert Mueller, lors d’une conférence de presse mercredi (29 mai), selon laquelle « si nous étions confiants que le président n’a manifestement pas commis de crime, nous l’aurions dit », est pire que la déclaration faite par James Comey, alors directeur du FBI, concernant Hillary Clinton pendant la campagne présidentielle de 2016.

    Comey avait déclaré lors de sa conférence de presse de juillet 2016 :

    « Bien que nous n’ayons pas trouvé de preuves claires que la secrétaire d’État Clinton ou ses collègues avaient l’intention de violer les lois régissant le traitement des informations classifiées, il est prouvé qu’ils ont été extrêmement négligents dans leur traitement des informations hautement confidentielles très sensibles ».

    Comey a été universellement critiqué pour avoir outrepassé sa responsabilité en se prononçant sur le fait qu’il y avait suffisamment de preuves pour inculper Clinton.

    Mueller, cependant, a fait pire. Il est allé au-delà de la conclusion de son rapport et a fait un cadeau politique aux Démocrates du Congrès qui cherchent à entamer des procédures de destitution contre le président Trump.

    En laissant entendre que le président Trump aurait pu faire obstruction à la justice, Mueller a effectivement invité les Démocrates à engager une procédure de destitution. L’entrave à la justice est un « crime grave avec méfait » qui, en vertu de la Constitution, autorise la destitution du président.

    Jusqu’à aujourd’hui, j’ai défendu Mueller contre les accusations selon lesquelles il est un partisan anti-Trump. Je ne pensais pas qu’il favorisait les Démocrates ou les Républicains, ni qu’il avait un point de vue personnel sur la question de savoir si le président Trump devait être destitué.

    Mais j’ai changé d’avis.

    En mettant son pouce, voire son coude, sur l’échelle de la justice en faveur de la destitution fondée sur l’obstruction à la justice, Mueller a révélé son parti pris partisan.

    Il a également perverti le rôle crucial que doit jouer un procureur dans notre système de justice.

    Pratiquement tout le monde convient que, dans une affaire normale, un procureur ne doit jamais aller au-delà de la divulgation publique du fait qu’il n’y a pas suffisamment de preuves pour porter des accusations. Aucun procureur responsable ne devrait jamais laisser entendre que la personne faisant l’objet de son enquête pourrait effectivement être coupable même s’il n’y a pas suffisamment de preuves ou d’autres raisons de ne pas l’inculper.

    Les partisans de Mueller soutiendront qu’il ne s’agit pas d’une affaire ordinaire, qu’il ne s’agit pas d’un procureur ordinaire et que le président Trump n’est pas un sujet ordinaire d’une enquête. Ils ont tort. Les règles ne devraient pas être différentes.

    N’oubliez pas que les enquêtes fédérales menées par les procureurs, y compris les avocats spéciaux, sont, de par leur nature même, partiales. Ils n’entendent que des preuves de culpabilité et non des preuves à décharge. Leurs témoins ne sont pas soumis au processus accusatoire. Il n’y a pas de contre-interrogatoire. Les preuves sont recueillies en secret derrière les portes closes d’un grand jury.

    Pour cette raison même, les procureurs ne peuvent que conclure s’il y a ou non suffisamment de preuves pour intenter une poursuite. Ils ne sont pas en mesure de décider si la personne faisant l’objet de l’enquête est coupable ou non d’un crime.

    La détermination de culpabilité ou d’innocence exige un procès contradictoire complet avec un avocat de la défense zélé, un contre-interrogatoire vigoureux, des règles d’exclusion de la preuve et d’autres garanties d’une procédure régulière. De telles mesures de protection n’étaient pas présentes dans cette enquête, de sorte que la suggestion de Mueller selon laquelle Trump pourrait bien être coupable n’a aucune crédibilité.

    Sa déclaration, si incompatible avec sa longue histoire (sic), sera utilisée à des fins partisanes par les Démocrates, en particulier par tous les radicaux qui cherchent à faire destituer le Président.

    Aucun procureur ne devrait jamais dire ou faire quoi que ce soit dans le but d’aider l’une ou l’autre partie.

    Je ne peux imaginer une raison plausible pour laquelle Mueller est allé au-delà de son rapport et a suggéré gratuitement que le président Trump pourrait être coupable, sauf s’il vise à aider les Démocrates au Congrès et cherche à encourager le discours et l’action de destitution.

    Honte à Mueller d’avoir abusé de sa position de confiance et d’autoriser qu’on se serve de lui pour un avantage partisan.

    * Alan M. Dershowitz est professeur émérite de droit à la Harvard Law School. Son nouveau livre s’intitule « The Case Against the Democratic House Impeaching Trump. » (L’argument contre la mise en accusation de Trump par la Chambre des Représentants majoritairement démocrate).

    © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

    Sources :

    https://www.alterinfo.ch/2019/05/31/dossier-trump-la-preuve-que-mueller-est-une-ordure/