En savoir plus sur l'éolienne de Bouin cliquez là
Lisez le livre d'Alban d'Arguin cliquez ici
Bulletin de commande cliquez là
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
En savoir plus sur l'éolienne de Bouin cliquez là
Lisez le livre d'Alban d'Arguin cliquez ici
Bulletin de commande cliquez là
RT France, qui semble visée par la loi anti Fake News de Macron, et qui n'était pas non-invitée à ses voeux à la presse lui répond lors d’une émission spéciale de 25 minutes :
Le Parisien, 20 Minutes, France Info, Sud-Ouest, France Soir, France Bleue, … Ça se déchaîne contre le groupe des Brigandes depuis le jour de l’an ! Et c’est sans compter Europe1 qui tourne en ce jour dans le village, avec en plus les propositions de reportage de la part de France2 et M6, etc. Nous opposons à cette invasion médiatique une fin de non recevoir. Ils repartent bredouilles et comme d’habitude se citent les uns les autres à partir d’une base journalistique ancienne.
Le motif de cette campagne ? Un habitant de La-Salvetat-sur-Agout, où réside notre groupe, aurait été insulté par un de nos membres… Ce trublion local du nom de Thierry Canals avait écrit des infamies contre nous et nos femmes, nous traînant dans la boue ! En réponse, il aurait reçu des insultes sur la place publique du village, ce qui est devenu une affaire nationale. Les journalistes toujours prompts à nous attaquer feraient mieux de s’intéresser aux cas mille fois plus nombreux de « dérapages verbaux » dans les cités.
Bernard Plouvier
Par son nouvel effet d’annonce, notre Super-Président veut pourfendre les Fake News d’Internet (en français courant : les fausses nouvelles des réseaux sociaux). Comme disait le général De Gaulle : « Vaste problème ! ».
Et l’on ne s’attendait pas à un enfant chéri des media sophistiqués, un chevalier du Tweet, un pur produit de la publicité politique, si l’on préfère de la communication pré-électorale de 2017, se muer, à l’occasion des vœux de nouvel An, en Saint Michel ou en Saint Georges désireux de terrasser le dragon des media modernes, aussi menteurs que les anciens, mais avec une efficience multipliée par les réseaux sociaux, omniprésents et – sans jeu de mots – immédiats, soit instantanés.
En 2017, Super-Macron est élu chef de l’État grâce à un marketing politico-médiatique d’une ampleur exceptionnelle et dont on ne sait ce qu’il a coûté aux sponsors... et l’on se doute bien quels ils sont, par le discours du Président russophobe et Poutinophobe enragé.
En 2018, Saint-Georges Macron veut interdire les « fausses nouvelles », alors même que les promesses électorales sont, par essence et sauf exception populiste, mensongères autant que démagogiques, soit d’authentiques faux en matière d’information.
Faut-il croire que notre Hercule veut nettoyer les écuries de la Ve Ripoublique agonisante ? On serait heureux, sur ce plan, de le voir à l’œuvre.
Car, plutôt que de se mêler de ce qui se passe en Russie ou de tenter d’aider une nouvelle-née, l’insurrection iranienne fomentée par les maîtres de Washington–New York-Jérusalem (le trio infernal qui menace la sécurité planétaire, bien plus que le fou furieux de Corée du Nord, dépourvu de réelle capacité de nuire à l’Occident), Macron, superstar médiatique, a de quoi faire en France.
Notre Superman pourrait, entre bien d’autres exemples, lutter contre la corruption politique et administrative. Car c’est faire une fausse nouvelle que de présenter une fois tous les deux ou trois ans un pourri et le lyncher médiatiquement, pour laisser dans l’ombre des milliers d’autres. Et on pourrait en dire autant des crapules sexuelles perverses, mâles, mais aussi femelles et homosexuelles.
Superhéros pourrait aussi cesser le Fake New français permanent à propos des statistiques ethniques. La Nation, seul souverain naturel de l’État, pourrait ainsi apprendre combien d’extra-Européens, combien de mahométans, on lui a fait accueillir sans lui demander, le moins du monde, son avis.
De même, on cesserait d’employer l’euphémisme constant des « Jeunes » à propos des voyous d’origine exotique, car en matière de Fake News, la France bat tous les records de désinformation sur l’origine ethnique des détenus emprisonnés, des racketteurs et des violeurs, des trafiquants de drogue et d’armes, des vols avec violence, des attaques de vieillards en leur domicile, des agressions de membres des forces de l’ordre ou des pompiers, voire des médecins et du personnel hospitalier.
Si Superman-de-l’information-honnête veut pourfendre le dragon de la Fake New à la mode : le réchauffement climatique, on n’y voit aucun inconvénient. On ne nie pas qu’il existe un faible réchauffement en régions intertropicales. Ce n’intéresse guère les Français de métropole, sauf quand les dirigeants des multinationales s’agitent pour refiler aux contribuables occidentaux la facture très lourde des exigences monétaires des excellences locales.
Pour avoir le droit d’exploiter les ressources naturelles des pays sous-développés de ces zones, les grands prédateurs doivent graisser, et abondamment, la patte très avide des élus locaux.
Ceci n’est ni un scoop ni une fausse nouvelle et ne tombe donc pas dans les objectifs annoncés de notre jeune et sémillant Président. Dommage ! Pour une fois, la recherche de la vérité aurait pu devenir utile, ne serait-ce qu’en évitant d’aggraver la charge fiscale, par la Fake New du réchauffement généralisé.
Allons, il est plus simple de se limiter à la politicaille franchouillarde et de préparer les échéances électorales prochaines en sortant une législation qui, curieusement, ne touchera que les adversaires du grand homme solidement installé sur son trône... grâce à une campagne de publicité qui fut en grande partie mensongère.
On nous avait vendu un réformateur sérieux et dynamique. L’on a acheté un tweeter, certes remarquable, mais qui joue un peu trop au cowboy du star system globalo-mondialiste, au lieu de se soucier de notre Bien commun.
Ce doit être un effet du réchauffement climatique, plusieurs régions des Etats-Unis et le Canada sont confrontés ces derniers jours à un record de froid - entre – 20 et – 50°- qui a eu notamment pour conséquence la mort de plusieurs requins qui ont été retrouvés congelés ! Congeler l’information en empêchant l’émergence de canaux différents, d’analyses alternatives, reste aussi une priorité pour le pouvoir qui a été rappelée hier par Emmanuel Macron lors de ses vœux à la presse. Fort du soutien lors de la campagne présidentielle de la TOTALITÉ des gros médias institutionnels et privés concentrés entre les mains d’une poignée de groupes financiers, le chef de l’Etat a attaqué frontalement, mais sans les nommer, la déclinaison francophone des médias russes RT et Sputnik, accusés de propager des fake news, de fausses nouvelles en bon français. Non invités à cette cérémonie, ces derniers ont été la cible des attaques de l’ex banquier a rapporté Russia Today. « C’est vous journalistes a dit hier M. Macron qui êtes les premiers menacés par cette propagande. Elle adopte votre ton (…) votre vocabulaire. Parfois même, elle recrute parmi vous», a-t-il déploré ajoutant qu’elle était «parfois même financée par certaines démocraties illibérales (…). » «Entre complotisme et populisme (sic), le combat est en effet commun (…). En cas de propagation d’une fausse nouvelle, il sera possible de saisir le juge (afin) de supprimer le contenu mis en cause, de dé-référencer le site, de fermer le compte utilisateur concerné, voire de bloquer l’accès au site internet, a ainsi annoncé le chef de l’Etat, évoquant également la responsabilité des plateformes de diffusion: Les pouvoirs du régulateur qui seront par ailleurs profondément repensés durant l’année 2018, seront accrus pour lutter contre toute tentative de déstabilisation par des services de télévision contrôlés ou influencés par des Etats étrangers. Et d’ajouter : Cela permettra au CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel) repensé, notamment de refuser de conclure des conventions avec de tels services.»
«Lors de la visite de Vladimir Poutine à Versailles, conclut cet article, le 29 mai 2017, Emmanuel Macron avait (déjà) accusé les médias russes RT et Sputnik de s’être comportés comme des organes d’influence (…) et de propagande mensongère». Verdict qui ne manque pas de sel quand on écoute et lit les analyses et autres commentaires politiques, économiques, sociétaux de 95% des journalistes, éditorialistes et autres chroniqueurs formatés des médias bourgeois en France.
Il est d’ailleurs assez révélateur que nos compatriotes, de sondages en sondages, confessent leurs doutes sur l’objectivité, l’honnêteté et l’impartialité du Quatrième pouvoir. Il est tout aussi logique qu’ils affirment également (selon une enquête Ifop publiée le 21 décembre dernier) à une très large majorité ( 67%) « que la liberté d’expression est menacée, que ce soit dans les médias traditionnels (67%), ou dans la société de manière générale (67%). En revanche, l’idée que la liberté d’expression est en danger sur les réseaux sociaux est moins partagée : moins d’un Français sur deux partage cette idée (47%). A noter que les sympathisants de La France Insoumise et du Front National sont les plus inquiets au sujet de la liberté d’expression, et ce sur chacun des points testés…»
Museler toute contestation c’est aussi un enjeu pour les multinationales et autres gros groupes commerciaux qui ne veulent pas que des citoyens plus entêtés ou curieux que d’autres soulèvent le voile derrière lequel ils cachent des manœuvres et pratiques pas toujours très catholiques. Le site de France tv info relaye ainsi le fait que « la multinationale américaine Apple a décidé d’assigner en référé l’association Attac. Apple demande à la justice française d’interdire tout simplement aux militants d’Attac d’entrer dans ses magasins (ce qui au nom d’une simple logique commerciale peut se comprendre, NDLR) sous peine d’une astreinte de 150 000 euros (…). Le 2 décembre dernier, des militants de l’association altermondialiste avaient occupé plusieurs Apple Store en France (…). Dominique Plihon, l’un des porte-paroles d’Attac, surpris d’être convoqué en urgence au tribunal de grande instance de Paris » affirme que « c’est une manière de nous bâillonner et de faire diversion par rapport à la raison principale de nos actions, c’est-à-dire dénoncer la pratique d’évasion fiscale massive qui est aujourd’hui avérée. (Apple) a été condamnée à payer une amende de 13 milliards d’euros par Bruxelles le 30 août 2017 pour avoir bénéficié d’aides d’État illégales en Irlande. »
Nous n’avons pas, comme chacun le sait, beaucoup de combats en commun avec les altermondialistes d’Attac, ni évidemment avec l’Europe bruxelloise sachant d’ailleurs que dans cette affaire d’évasion fiscale la grille de lecture manichéenne ne tient pas. Bruno Gollnisch avait tenu à poser dans l’hémicycle du parlement européen un certain nombre de questions dérangeantes dans ce dossier, rappelant l”opposition des nationaux au dumping fiscal mais pointant aussi les étranges incohérences de la Commission …
Surtout, Bruno Gollnisch qui avait égratigné il y a quelques années les pratiques commerciales d’Apple (voir ici), est également sensible à un scandale bien avéré, très généralisé dans notre sociétés de consommation qui se piquent désormais (avec raison) d’écologie, de lutte contre la gaspillage et de protection des ressources, celui de l’obsolescence programmée ( l‘ensemble des techniques destinées à réduire la durée de vie ou d’utilisation d’un produit pour en augmenter le taux de remplacement) .
Il faut féliciter l’association française Halte à l’Obsolescence Programmée (HOP) qui, rappelle le site LSA, a remporté de vrais succès. « Depuis la loi Hamon de 2014 (félicitons aussi Benoit Hamon pour cette heureuse initiative, une fois n’est pas coutume!, NDLR) , les pratiques d’obsolescence programmée sont passibles d’une peine de deux ans de prison et d’une amende de 300 00 euros pouvant être portée jusqu’à 5% du chiffre d’affaires. Cette particularité française, unique au monde, fait que c’est (…) HOP, qui est en pointe sur le sujet. »
« Ses plaintes ont débouché sur l’ouverture d’une enquête visant Epson. Quant à Apple, sans reconnaître pratiquer l’obsolescence programmée, la société présente ses excuses et annonce baisser le prix de ses batteries. Ce n’est pas encore une bataille gagnée mais c’est une première étape importante. (HOP) pointe aussi du doigt d’autres produits de consommation dans les secteurs les plus variés comme les collants pour femmes qui se filent dès le premier usage, les voitures dont un voyant rouge s’allume pour signaler qu’il faut remplacer les plaquettes de frein alors qu’elles ne sont pas usées, les tondeuses aux composants cachés en vue de programmer une panne, etc, etc.»
Au FN, où nous luttons contre l’obsolescence programmée de nos libertés, de notre souveraineté, de notre identité, en un mot de la France française décidée par une oligarchie, des réseaux et une élite euromondialistes, il semblerait selon certaines sources que le nom même du Front National n’ait pas atteint sa date de péremption dans l’esprit de ses adhérents. Europe 1 cite ainsi RTL ce jeudi matin pour indiquer qu’« une large majorité des adhérents FN sont opposés à un changement de nom. C’est en tout cas la (très forte) tendance (qui se dégage après le dépouillement de la moitié des 28.000 questionnaires renvoyés au siège du parti par les encartés frontistes.» «Voilà qui devrait ravir Bruno Gollnisch » conclut le journaliste Sylvain Chazot, « Si Dior, Lancel ou Bricorama défendent bec et ongles leur marque contre les contrefaçons, c’est pour garder la confiance de la clientèle, estimait en novembre le député européen auprès du Monde.»
Bruno Gollnisch que nous avons interrogé sur cette question nous précise qu’il a découvert cette information sur la tendance qui semble se dégager en faveur du maintien du nom du FN « en rentrant de (son) séjour au Japon. » «Cette information émane selon RTL d’un cadre du Front National. Il s’agit d’accueillir cette nouvelle avec la plus grande prudence, sachant que le dépouillement des réponses du questionnaire envoyé à nos adhérents est loin d’être terminé ! Pour autant, si la nouvelle se confirmait, elle ne serait en aucun cas un désaveu pour Marine et me satisferait bien évidemment. Même si je ne suis pas nominaliste, le changement de nom du FN ne me parait pas une priorité, bien moins en tout cas que la nécessité pour notre Mouvement d’approfondir nos réflexions, notre programme face aux grands défis et questions du monde contemporain. »
Les médias du système le dépeignent comme le pape des pauvres, nouveau François des temps modernes ! Et si cette image idyllique n’était que du vent, une illusion pour mieux tromper les fidèles et les faire avancer vers une société globale sans nations souveraines ?
« Nous savons désormais depuis des années, écrit le journaliste catholique italien Maurizio Blondet sur son blog, que la position du pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme globaliste qui préconise la dissolution des nations et des cultures autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier dans le but de construire un « nouveau monde » multi-culturel sans barrières et sans frontières. »
Son dernier message immigrationniste de la nuit de Noël et ses vœux pour 2018 en font une une figure de proue et une « autorité suprême » de l’idéologie mondialiste. Au point que Blondet se demande
« si les discours du pape argentin ne sont pas écrits par Georges Soros, le multi-milliardaire qui finance l’invasion de l’Europe et travaille à l’abolition des États et des confins. Qu’il en soit conscient ou pas, le pape Bergoglio, continue le journaliste, s’est mis au service des intérêts du grand capital financier qui œuvre pour les mêmes objectifs : un nouvel ordre mondial multi-culturel et globalisé où les entités supra-nationales auront la gestion du pouvoir. »
Le pape François se retrouve donc du côté de certains puissants et riches… qui sont bien loin des pauvres. Voisinage qui n’est pas qu’idéologique mais aussi pratique puisque il a nommé, en février dernier, révèle toujours Blondet, à la présidence de la Commission catholique internationale pour les Migrations et qu’il a fait conseiller de l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique, une personnalité de l’establishment mondialiste, lui-aussi « philanthrope humanitariste de l’abolition des frontières » et « banquier d’affaires » : Peter Sutherland.
Irlandais, juif de mère, sioniste, ancien élève des jésuites, cet homme d’influence, « aux poches richement remplies », fut président de Goldman Sachs International (2005-2015) et du groupe Bilderberg dont il est toujours un membre actif du comité directeur, de BP (British Petroleum) et de la section Europe de la Commission Trilatérale. Technocrate bruxellois, agent de la globalisation, il a été notamment commissaire européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire-général fondateur de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) (1993-1995). Artisan des grandes libéralisations de l’Union Européenne, il a été qualifié de « père de la mondialisation ». Actuellement directeur non exécutif de la Royal Bank of Scotland et président non exécutif de Goldman Sachs, depuis janvier 2006 il est le représentant spécial du Secrétaire-Général de l’ONU pour les migrations internationales. Il est aussi président honoraire de la Commission Trilatérale et président de la London School of Economics, fondée par la Fabian Society tout en étant chevalier de l’Ordre de Malte et membre de l’Opus Dei… Des connexions qui en disent long sur les dérives de ces groupes ecclésiaux…
Lorsque le pape jésuite l’a intronisé président de la Commission catholique internationale pour les Migrations, il n’a évidemment abandonné aucune de ses charges.
Peter Sutherland, analyse Blondet
« c’est le globaliste total et absolu, avec des attaches dans toutes les entités supra-nationales, peut-être la plus influente éminence grise de la mondialisation et du déracinement capitaliste dans l’intérêt de la finance transnationale. »
Il est vrai que Sutherland se déclara être en faveur « du développement de sociétés multiculturelles », le problème étant selon lui les populations qui cultivent « encore le sens de l’homogénéité et de différence d’avec les autres. Et c’est précisément cela que l’Union Européenne», à son avis, « doit tout faire pour éradiquer. Au nom de la future prospérité. […] C’est une dynamique cruciale pour la croissance économique. »
Cet artisan de la société multi-culturelle affirma de même que « l’on est passé des États qui choisissent leur migrants, aux migrants qui choisissent les États ». Par conséquent avait-t-il ajouté, l’UE ne doit plus sélectionner seulement des migrants « hautement qualifiés » parce que « à la base de tout, les individus doivent avoir la liberté de choix ».
Ainsi commente Maurizio Blondet
« c’est exactement l’idéologie de François, confusion et contradiction comprises. Mais l’on voit bien que l’inspiration vient du capitalisme mondialiste financier ; pour lequel les « homogénéités », c’est-à-dire les identités historiques et culturelles qui font les peuples variés et différents, sont un obstacle et un problème, une odieuse exigence, parce que le consommateur global type doit être littéralement « sans identité », sans communauté, « ouvert » aux « expériences », cosmopolite, nomade, sans « tabous », sans « préjudices » (et sans scrupules), de sexe variable. »
Dans cette exhortation de Sutherland il y a, précise le journaliste italien
« un « mépris » pour la culture qui fait les peuples. Mépris que partage le pape François lorsqu’il affirme que « les Européens ne sont pas une race née ici, ils ont des racines de migrants », évoquant une condition antérieure à la civilisation et à la culture. »
Tant pour le pape François que pour Sutherland, commente Blondet
« l’ »homogénéité » culturelle est un fastidieux lien qui « résiste » à l’ »intégration » sans limites, un « manque de charité » envers « l’accueil ». Dans la confusion éthique que le même Bergoglio a dispersée à pleines mains, l’ »homogénéité » nationale d’un peuple est comparée à un mal moral, et ce sera un mal de la sauvegarder. »
Et c’est à ce riche banquier d’affaires, cet homme du Bildeberg, ce membre influent des cercles mondialistes et capitalistes destructeurs des nations et des peuples, des identités et des cultures, que El papa sud-américain a confié, par idéologie immigrationniste et immigrophile, la Commission Catholique pour les Migrations !
On est loin du vrai amour des pauvres… Car ce qui appartient en propre à tous, aux pauvres comme aux riches, aux malades comme aux bien-portants, aux prisonniers comme aux travailleurs, c’est l’affiliation à une patrie et à une identité, c’est l’adhésion à une culture et à une civilisation, c’est la possession d‘une langue et d’une éducation… Et quand les pauvres n’ont plus rien, ils possèdent toujours cet héritage immatériel et intemporel, ce patrimoine spirituel, artistique, intellectuel et moral, qui a fait grandes les nations d’Europe…
Et c’est de cette richesse civilisationnelle transcendante, supérieure à tous les biens de consommation qu’ils peuvent rêver d’avoir, que les pauvres sont privés par les idéologues du multi-culturalisme et du « vivre-ensemble » !
Francesca de Villasmundo
Vous pouvez retrouver tous les articles d'actualité religieuse de MPI, augmentés d'une revue de presse au jour le jour sur le site medias-catholique.info
Le maire de Paris fait du révolutionnaire athée une espèce d’image pieuse pour bobo frustré de ne pas être un damné de la Terre.
Si vous passez par Paris, vous pourrez visiter, dans le hall de l’hôtel de ville, l’exposition consacrée à Che Guevara. Ceci jusqu’au 14 juin, histoire de fêter dignement l’anniversaire de celui que Mme Hidalgo a qualifié dans un tweet d’« icône militante et romantique ».
Le révolutionnaire communiste argentin est déjà n° 1 des ventes de T-shirts pour adolescent boutonneux, apportant ainsi sa contribution au triomphe du capitalisme. Maintenant, le maire de Paris fait du révolutionnaire athée une espèce d’image pieuse pour bobo frustré de ne pas être un damné de la Terre. L’aura (pour rester dans le registre religieux) du bras droit de Castro est largement surfaite. Loin d’être un héros « romantique », Ernesto Guevara est d’abord un tueur sanguinaire. Non seulement il fut, comme « procureur suprême » de la prison de La Havane, le commanditaire de centaines d’exécutions sommaires, mais il n’hésita pas à tuer de ses propres mains des compagnons d’arme jugés traîtres à la cause.
Par cet « hommage » indécent, Mme Hidalgo ne révèle pas seulement son caractère d’adolescente attardée émoustillée par les machos sentant la sueur et le sang pourvu qu’ils soient de gauche. Elle manifeste aussi la complaisance, si ce n’est l’attirance, d’une certaine gauche pour la violence la plus extrême dès lors qu’elle est employée au nom de ses idéaux.
Georges Frêche, défunt président socialiste de la région Languedoc-Roussillon, a fait figurer sur la « place des Grands-Hommes » (sic) des statues de Lénine et de Mao Zedong aux côtés de celles de De Gaulle ou de Gandhi. Staline était aussi prévu, mais le scandale l’avait alors fait reculer. Auparavant, Jean-Marc Rouillan, chef de l’organisation terroriste d’extrême gauche Action directe, assassin entre autres du général Audran, avait bénéficié de l’amnistie de Mitterrand en 1981. Dans les années soixante-dix, ce sont les Khmers rouges que des partis et des intellectuels de gauche soutenaient. Aujourd’hui encore, des membres de la gauche institutionnelle excusent – quand ils ne les justifient pas – les violences des prétendus antifascistes.
C’est que, pour une certaine gauche, la gauche divine dénoncée par Finkielkraut, la liberté d’expression ne vaut que pour elle. Pour ses adversaires, elle applique la censure, voire la criminalisation. Et, de là à l’élimination physique, il n’y a qu’un pas qu’elle a bien souvent franchi depuis 1793.
Certes, il existe aussi une gauche humaniste qui plonge ses racines dans la pensée de Voltaire. Mais quand elle s’oppose au terrorisme intellectuel de l’autre gauche, elle en subit les foudres. Foudres subies par Finkielkraut et Onfray notamment. Madame Hidalgo ne risque rien : entre Voltaire et le Che, elle a choisi le Che.
Anne Hidalgo va organiser dans le hall de l’hôtel de ville de Paris une exposition consacrée à Che Guevara, jusqu’au 14 juin. Mme Hidalgo a qualifié dans un tweet le révolutionnaire d’« icône militante et romantique ».