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  • L’AUTRICHE AVEC LE V4 CONTRE LA RELOCALISATION DES DEMANDEURS D’ASILE

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    Vienne voudra donc désormais, tout comme les capitales du V4, un retour aux fondamentaux de la Communauté européenne et un meilleur respect des souverainetés nationales.

    Sebastian Kurz, le jeune chancelier autrichien, l’a confirmé dans une interview donnée au tabloïd allemand Bild juste avant Noël, et c’est un joli cadeau de Noël pour tous les Européens : l’Autriche s’opposera à la relocalisation obligatoire des immigrants arrivés illégalement en Italie et en Grèce, car on ne peut pas imposer à un pays sa politique d’immigration et il faut aider les vrais réfugiés dans leur pays ou, en tout cas, sur leur continent. La position exprimée par celui qui préside à Vienne une coalition des droites incluant le parti national-conservateur FPÖ correspond exactement à la position défendue depuis plus de deux ans par les pays du groupe de Visegrád.

    Il pourrait, d’ailleurs, difficilement en être autrement au vu du programme de gouvernement signé par le parti de centre droit ÖVP de Sebastian Kurz et le FPÖ de Heinz-Christian Strache. Le FPÖ ayant pris la tête de six ministères, dont ceux de l’Intérieur, des Affaires étrangères et de la Défense, ce parti qui prônait un rapprochement avec le V4 va forcément peser. Du reste, c’est en faisant de la lutte contre l’immigration et l’islamisation son cheval de bataille que Sebastian Kurz a réussi à damer le pion au FPÖ. Les deux partis sont donc désormais sur la même ligne, et c’est une ligne de droite.

    Pour ce qui est des affaires européennes, Vienne voudra donc désormais, tout comme les capitales du V4, un retour aux fondamentaux de la Communauté européenne et un meilleur respect des souverainetés nationales, avec plus de subsidiarité dans les décisions et une limitation des domaines d’influence des institutions européennes. Dans ce contexte, les propos très politiquement corrects de Sebastian Kurz dans le Bild sur la procédure de sanction lancée par la Commission contre la Pologne, au titre de l’article 7, sont surprenants, car un vote de l’Autriche contre la Pologne irait à l’encontre de ce programme. Mais il faut sans doute mettre ces propos sur le compte de la prudence du jeune chancelier qui commence tout juste à gouverner. Il n’a certainement pas oublié que l’article 7 du traité européen, qui permet potentiellement de suspendre les droits de vote d’un État membre de l’Union européenne, avait été rédigé après les sanctions inefficaces prises contre les Autrichiens en 2000 pour les punir d’avoir porté au pouvoir la même coalition qu’aujourd’hui. Au moment du vote au Conseil européen de février, il est improbable que Vienne accepte que l’on poursuive une procédure de sanction qui pourrait, plus tard, viser aussi l’Autriche. Il en va de même pour la Roumanie, dont le président europhile affirme qu’elle pourrait aussi être sanctionnée au titre de l’article 7, et encore, bien sûr, de la Hongrie contre laquelle le Parlement européen demandait, récemment aussi, une procédure de sanction au titre de l’article 7. À force de vouloir sanctionner tous les gouvernements menant une politique non conforme à l’idéologie dominante libérale-libertaire et immigrationniste, les gauches européennes (au sens large, englobant également les fausses droites dans le style des Républicains français) sont en train de vider l’article 7 de son sens et de diviser gravement l’Europe. La ligne de division est curieusement la même que pour la question de la relocalisation des migrants, et c’est une raison de plus pour que l’Autriche intègre pleinement « le camp du mal ».

    Reste à espérer une victoire de l’union des droites en Italie aux élections législatives de mars prochain. Le parti de centre droit Forza Italia de Silvio Berlusconi y est, en effet, allié à la Ligue du Nord (qui pèse autant que lui) et au parti nationaliste Fratelli d’Italia. Ces partis prônent, comme le FPÖ, un alignement sur les positions du groupe de Visegrád, aussi bien pour les questions d’immigration que pour la défense des souverainetés nationales. Cette coalition de droite est en tête dans les sondages, mais elle n’est pas sûre d’obtenir la majorité absolue.

    http://www.bvoltaire.fr/lautriche-v4-contre-relocalisation-demandeurs-dasile/

  • Immigration : 40 ans de trahisons pro-islamiques du Conseil d’Etat

    Sur toutes les questions liées à l’immigration et à l’islam, le Conseil d’État agit en institution islamo-gauchiste dédiée à la défense de l’immigration musulmane et à la défense du signe islamique en France. Et ce depuis quarante ans.
    1978Droit d’émigrer et de travailler en France sans contrat de travail. En 1978, le Conseil d’État a annulé la décision du gouvernement de lier le droit à immigrer en France à l’existence d’un contrat de travail. https://www.gisti.org/doc/plein-droit/53-54/j1.html
    1978Le droit au regroupement familial. Contre la décision du gouvernement qui entendait subordonner l’immigration aux fluctuations de la croissance, le Conseil d’État a jugé que les immigrés avaient le « droit à une vie de famille ». Les femmes et les enfants des travailleurs migrants ont donc été autorisés à venir, vivre et travailler en France comme s’ils étaient des citoyens français. À partir de cette date, le « regroupement familial » est devenue le principal vecteur d’une immigration de peuplement en France. https://www.gisti.org/doc/plein-droit/53-54/j2.html
    1980. Le droit à la polygamie. Le Conseil d’État estime que le fait de faire venir une seconde épouse ne heurte pas l’ordre public. Il faudra attendre 1993, pour qu’une loi annule l’arrêt dit Montcho du Conseil d’État. https://www.gisti.org/spip.php?article4160
    1985. Le droit à l’immigration illégale. Contre le gouvernement qui décide l’expulsion immédiate des travailleurs étrangers dont le contrat de travail a été annulé, le Conseil d’État impose un délai d’expulsion de 24 heures, suffisant pour permettre à un immigré légal de devenir un immigrant illégal permanent. https://www.gisti.org/doc/plein-droit/53-54/j4.html
    1989. Le voile islamique à l’école n’est pas « incompatible » avec la laïcité. En 1989, avec l’autorisation donnée aux écolières musulmanes de porter le voile islamique au collège, le Conseil d’État ouvre 15 ans de controverses. Il faudra attendre la loi de 2004 pour que le voile soit interdit à l’école. https://www.senat.fr/rap/l03-219/l03-2193.html
    2011. Le Conseil d’État fait la liste des cas (santé, économie…) ou l’argent public peut légalement être utilisé pour construire des mosquée, portant ainsi un coup de poignard quasi définitif à la loi de 1905 sur la laïcité. http://www.conseil-etat.fr/Actualites/Communiques/Le-Conseil-d-Etat-precise-l-interpretation-et-les-conditions-d-application-de-la-Loi-du-9-decembre-1905-concernant-la-separation-des-Eglises-et-de-l-Etat
    2013. Le Conseil d’État accorde aux mères voilées le droit de participer aux sorties scolaires. Les sorties scolaires étaient auparavant considérées comme une extension de l’école. La loi de 2004 qui interdit le voile islamique à l’école était donc appliquée aux mères voilées. En 2012, cependant, cette loi a été contournée et les mères voilées ont été autorisées à accompagner les élèves en sortie.http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/09/01/31001-20160901ARTFIG00123-sorties-scolaires-et-signes-religieux-la-lachete-de-najat-vallaud-belkacem.php
    2016. Le Conseil d’État a autorisé le port du burkini sur les plages toutes les fois où le risque de « trouble à l’ordre public » n’était pas avéré. Le Conseil d’État a ainsi estimé que le scandale suscité par une femme en burqini à Nice, quatre semaines après qu’un terroriste islamiste ait assassiné 82 personnes, n’était pas un désordre public.
    2016. Plus d’argent pour les « réfugiés ». Le Conseil d’État a jugé que l’État devait donner plus d’argent pour aider des dizaines de milliers de « réfugiés » à trouver un endroit pour dormir pendant que leurs dossiers étaient examinés par les agents d’immigration.
    2017. Une mégamosquée financée par le contribuable parisien à Paris. Le Conseil d’État a fourni une solution juridique au maire de Paris pour construire légalement une mosquée géante et en faire don pour 99 ans à une association islamique.http://www.ufal.org/laicite/mosquee-municipale-de-paris-18eme-quand-le-conseil-detat-suggere-de-contourner-la-loi/
    2017. Voile islamique dans les écoles d’infirmières. Le Conseil d’État a autorisé le port du voile islamique dans les établissements de formation des infirmières, annulant ainsi les règlements intérieurs qui interdisaient l’affichage ostensible de signes religieux.
    http://www.atlantico.fr/decryptage/port-voile-en-ecole-personnels-sante-conseil-etat-cede-nouvelle-fois-devant-ccif-guylain-chevrier-3130328.html
    2017. Douches publiques et toilettes pour les migrants. Le Conseil d’État a jugé que le gouvernement avait obligation de fournir des douches publiques et des toilettes publiques à Calais, où des milliers de jeunes hommes d’Afrique et du Moyen-Orient tentent chaque jour de traverser illégalement la Manche en direction de l’Angleterre. Cette décision est notamment fondée sur l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme, qui dispose que cette obligation ne vaut que pour les prisonniers de guerre. Le Conseil d’État considère-t-il l’Etat français comme un geôlier de migrants ?http://www.lavoixdunord.fr/205004/article/2017-08-16/l-etat-annonce-des-equipements-mobiles-calais
    La liste ci-dessus n’est pas exhaustive, mais les avis et arrêts du Conseil d’État en faveur de l’islam, de l’islamisme ainsi que les blocages de toute tentative de régulation de l’immigration ont eu et gardent un caractère systématique.
    Et vous vous demandez encore où est l’ennemi…
    Source 

    http://philippedelbauvre.blogspot.fr/

  • Stupéfiant !

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    Heinz-Christian Strache (FPÖ) et Sebastian Kurz (ÖVP), nouveaux vice-chancelier et chancelier autrichiens, et le président Alexander Van der Bellen, lundi 18 décembre à Vienne sous l’imposant portrait de Marie-Thérèse d’Autriche  

    On savait Emmanuel Macron disciple du philosophe Paul Ricœur. On ignorait qu’il était, en même temps, adepte de l’école péripatéticienne.

    Aristote déambulait en dissertant avec ses disciples dans les allées du Lycée  ; notre président déambule dans les couloirs de l’Élysée, entouré de caméras, pour répondre aux questions complaisantes d’un journaliste de la télévision d’État, le tout enregistré le mardi pour être diffusé le dimanche suivant. On n’est jamais trop prudent  ! En marche… vers feu l’ORTF  ? Il ne s’agit que d’une anecdote, mais elle en dit long sur cet art de la communication qui, inauguré sous Giscard, a remplacé la parole régalienne. Certes, il n’y a rien à retenir de ce vrai-faux entretien déambulatoire. Sinon qu’il faudra encore attendre deux ans pour espérer voir la courbe du chômage s’inverser – Hollande, sors de ce corps  ! Qu’il est temps de rattraper notre retard en matière d’énergies renouvelables et qu’on peut compter sur lui pour voir partout surgir de terre des éoliennes défigurant le paysage. Qu’ayant fait le don de sa personne à la France, il fait «  le maximum pour [nous] protéger, pour éviter que les conflits n’adviennent, pour préparer [notre] avenir commun, pour préparer le meilleur futur  ». Ou encore, «  que d’ici mi, fin-février, on aura gagné la guerre en Syrie  » – Bachar el-Assad et Vladimir Poutine ont été soulagés de l’apprendre.

    Le culte du Moi

    Pourquoi cet entretien maintenant  ? Alors que jamais la France n’a été aussi inégalitaire, comme l’a montré une passionnante enquête récemment publiée dans Le Monde, l’exécutif est en hausse dans les sondages, dans une période calme, c’est vrai, de discussion budgétaire, dont les décisions, bientôt définitivement votées, n’ont évidemment pas encore pu faire sentir leurs effets, surtout sur les classes moyennes. Macron joue sur le front international, plus consensuel car plus éloigné des Français, tandis que le Gouvernement fait dans la com’  : envers la «  France périphérique  », en se déplaçant à Cahors, économique et identitaire, en annonçant durcir la lutte contre les faux réfugiés. Peut-être Macron a-t-il jugé nécessaire, à la veille de nouvelles réformes, de focaliser les caméras sur sa personne, dans un exercice sidérant de culte du Moi. Apprentissage, formation professionnelle et assurance chômage, asile et immigration, réforme des institutions, sans oublier les dossiers néo-calédonien et corse, la décision sur Notre-Dame-des-Landes ou la rupture démagogique avec un consensus vieux de quarante-cinq ans sur le 90 km/h sur route  : Macron veut continuer d’aller vite en 2018 et a besoin pour cela de saturer l’espace pour apparaître comme le deus ex machina des maux de la France. Ce que confirme encore cet anniversaire fêté à Chambord, le château construit par François Ier, le «  prince architecte  », après la victoire de Marignan. Ne cessant de singer la fonction royale, dans l’espoir que les Français soient dupes, et déjà maître des horloges, Macron se pense aussi en nouvel architecte de la France. Voire en sauveur de la planète au moment où nous sommes, paraît-il, en train de perdre la lutte contre le réchauffement climatique, comme Superman l’a seriné lors du raout écologique et financier international («  One Planet Summit  » dans le texte) qu’il avait réuni à Paris la semaine dernière.

    Car la France ou les affaires internationales ne sont jamais, pour lui, que l’occasion de parler de lui-même. Le propos le plus révélateur de son entretien sur France 2, d’un point de vue clinique s’entend, a été  : «  [Les Français] ont décidé en mai dernier d’élire un président de trente-neuf ans qui sortait de nulle part. La France a stupéfait [sic] l’Europe et le monde par son choix.  » Macron serait donc, de son propre aveu, une personnalité stupéfiante. Quant à «  sortir de nulle part  », à moins que l’Inspection des finances, la banque Rotschild, le secrétariat général de la Présidence de la République ou le ministère de l’Économie ne soient «  nulle part  », Macron, peut, en effet apparaître comme un homme neuf  ! Au sens non pas romain de l’homo novus, bien qu’il le soit en un certain sens, mais plus prosaïque de celui qui n’aurait aucune responsabilité dans les politiques conduites avant son arrivée. Ce qui est évidemment un mensonge. Deux exemples parmi tant d’autres  : outre le bradage de notre industrie – secrétaire général puis ministre de l’Économie, il a livré la branche énergie d’Alstom aux Américains, avant de livrer, devenu président de la République, sa branche transports aux Allemands –, il était au secrétariat général de la Présidence, chargé, qui plus est, des questions fiscales, quand a été concocté ce «  scandale d’État  » (dixit son successeur Bruno Le Maire à Bercy) qu’est la taxe sur les dividendes des grandes entreprises, mise en oeuvre sous Hollande et déclarée inconstitutionnelle  ; facture pour l’État  : 10 milliards d’euros. Une enquête interne l’a évidemment blanchi.

    La recette autrichienne

    Alors, stupéfiant, Macron  ? En tout cas moins modeste qu’un jeune chancelier autrichien, le plus jeune dirigeant du monde, pour le coup – il a trente et un ans – qui, sans penser avoir stupéfié le monde, lui, réussit en quelques semaines ce que Merkel, avec toute son expérience, ne réussit plus en Allemagne  : former une coalition. Il est vrai que c’est avec les populistes du FPÖ, qui ont obtenu pour la première fois trois ministères régaliens – Intérieur, Défense et Affaires étrangères –, alors que l’Autriche présidera le Conseil de l’Union européenne au second semestre 2018. Paris, avec sa morgue habituelle – Macron avait déjà donné des leçons à la Pologne –, compte sur le respect des sacro-saintes «  valeurs européennes  » par l’Autriche. Loiseau, la ministre de l’Europe, y sera même «  très attentive  ».

    Occasion de nous interroger sur les grandes manœuvres qui agitent la “droite” française au lendemain de la victoire de Wauquiez, que Macron a particulièrement ciblé, lors de son soliloque déambulatoire, car il sait que la vraie menace pourrait venir du retour d’une droite de conviction, dont Wauquiez semble, à tort ou à raison, l’incarnation. Seul un avenir, qu’on peut supposer proche, car Wauquiez aura bientôt à prendre des décisions tranchantes en matière de positionnement idéologique, nous dira si le costume n’est pas trop grand pour cet ancien bébé Barrot, que sa large victoire à la tête de son parti avec un taux de participation honorable devrait inciter à jouer la carte d’une droite qui n’a plus peur de son ombre et ne cherche plus, inlassablement, son droit moral à l’existence dans le jugement léonin d’une gauche dont l’empire idéologique commence, seulement, à s’effriter après avoir failli sur les plans où elle était la plus attendue, économique et social. Mais renverser plusieurs décennies de honte de soi ne sera pas aisé. Si nous assistons, comme le montre le succès d’un récent dictionnaire, à un retour du conservatisme, le caractère ambigu d’un tel phénomène n’est pas sans interroger. La victoire de Macron au printemps dernier en est le signe  : s’il s’est fait élire au nom d’un progressisme assurément ringard, c’est qu’il a su instrumentaliser le besoin de dégagisme en assimilant le personnel politique sortant, dont il fait pourtant partie, à un passé politicien lui-même identifié au conservatisme, au profit d’une société civile qui n’est qu’un slogan. Lorsque la bulle Macron éclatera, seule une droite inflexible sur la question migratoire, tournée vers la question sociale, intransigeante sur le respect de l’identité nationale et de notre souveraineté et ouvertement décomplexée en termes d’alliances pourra susciter quelque espoir. Ce fut en tout cas la recette autrichienne.   

  • LES ECOLOS NOUS EMMERDENT !

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    Pieter Kerstens

    Cette caste malfaisante inonde depuis des décennies les médias de sa propagande mensongère dans trois domaines principaux, parmi d’autres : l’arrêt des centrales nucléaires, l’immigration clandestine et l’interdiction des véhicules diesel.

    L’énergie nucléaire est la moins polluante et la moins chère.

    Mais en exploitant la crédulité et l’émotivité des populations désinformées, ces talibans de l’énergie « renouvelable » nous imposent le dogme du danger atomique, par assimilation mémorielle à Hiroshima, Nagasaki, Tchernobyl ou plus récemment Fukushima, alors que les causes en sont diverses et totalement infondées quant au fonctionnement des centrales existantes en Europe.

    Ils taisent également les recherches scientifiques de ces 20 dernières années dans le domaine du nucléaire.

    MYRRHA est au niveau mondial le premier prototype d’un réacteur nucléaire piloté par un accélérateur de particules.

    Particularité : en tant que source externe de neutrons, cet accélérateur de particules maintient la réaction en chaîne de la fission nucléaire. Il s’agit d’un réacteur sous-critique : le cœur ne contient pas assez de substance combustible pour entretenir spontanément la réaction en chaine.

    Cette technologie nucléaire innovante est sûre et facile à contrôler. Lorsque l’accélérateur de particules est arrêté, la réaction en chaîne stoppe automatiquement endéans une fraction de seconde.

    En raison de différences significatives avec les réacteurs existants, on peut parler d’un réacteur de recherche particulièrement innovant :

    • MYRRAH fonctionne avec des neutrons rapides, pilotés par un accélérateur. Grâce à ces neutrons rapides, le combustible est utilisé plus efficacement dans le réacteur, ce qui réduit la quantité de déchets radioactifs.
    • Le refroidissement de réacteur s’effectue au moyen d’un alliage de plomb et de bismuth.
    • Le réacteur est sous-critique et de ce fait, facilement contrôlable.

    Cette technologie emploie le concept proposé en 1937 par le prix Nobel Glenn Seaborg, dit « spallation nucléaire ». Il est actuellement en développement au Centre d’Etude de l’Energie Nucléaire à Mol en Belgique, mais peu de politiciens en parlent, par obligation du « politiquement correct ». Pourtant il serait urgent de voter les crédits indispensables à la construction de plusieurs de ces réacteurs en Belgique, avant 2030.

    Par ailleurs, une équipe de scientifiques internationaux développe le concept de fusion nucléaire, en construisant le projet ITER à Cadarache, avec un réacteur Tokamak qui pourra produire 10 fois plus d’énergie que les modèles EPR et cela, sans gaz à effet de serre, ni émissions de CO2 ou de particules fines !

    Les particules fines (en suspension dans l’atmosphère et d’un Ø inférieur à 10 micromètres) sont essentiellement issues des combustions de matières fossiles non seulement produites par les humains, mais en très grande majorité par la nature.

    A partir de 80 microgrammes/m3, l’alerte pollution est déclenchée à Paris, où la moyenne annuelle de la pollution a été mesurée à 24µg/m3 en 2014 (source OMS).

    Cette moyenne annuelle est de 22 µg/m3 à Londres, de 23 à New-York, de 93 à Mexico, de 121 à Pékin, de 135 au Caire, de 286 à Delhi, de 320 à Ahvaz en Iran, de 448 à Rawalpindi au Pakistan, ou encore de 540 µg/m3 à Peshawar, ville de 1,8 million de Pakistanais.

    Qui sont les pollueurs ?

    Les ayatollahs de l’écologie à tous les étages, relayés par les médias complaisants, ne cessent de désigner les Européens en particulier comme les premiers responsables de la pollution de la planète, nous accusant quasiment d’être des « criminels ». Ça suffit !

    Ces vieux adeptes du « Peace and Love » taisent les effets des tempêtes solaires sur le réchauffement climatique, ainsi que la pollution climatique conséquence des éruptions volcaniques qui, elles, dégagent des millions de tonnes de CO2 et des millions de m3 de gaz sulfureux et toxiques tous les ans dans l’atmosphère.

    Selon une récente étude de Global Carbon Project, publiée dans le quotidien espagnol El Pais ce 21 décembre, les émissions de CO2 ont progressé de 1990 à 2016 de 22% dans le monde. Les détails sont instructifs :

    • En Europe, on constate une diminution de 35% au Royaume-Unis, de 14% en France, de 16% en Belgique, de 17% en Italie, de 24% en Allemagne, de 37% en Russie, de 20% en Finlande et de 2% en Suède ; mais elles augmentent de 4% en Hollande, de 13% en Espagne et de 26% en Norvège !
    • En Asie on observe une augmentation du CO2 de 4% au Japon, de 141% en Corée du Sud, de 235% en Indonésie, de 208% aux Philippines, de 293% en Inde, de 316% en Chine, de 772% au Viet- Nam et de 1339% au Népal …
    • En Amérique du Nord, l’augmentation de CO2 a été de 4% aux Etats-Unis, de 21% au Canada et de 46% au Mexique.
    • En Amérique du Sud, les émissions de CO2 ont progressé entre 1990 et 2016 de 45% au Venezuela, de 86% en Argentine, de 141% à Trinidad et Tobago, de 134% au Brésil, de 162% au Chili et de 222% au Pérou.
    • En Afrique et au Moyen Orient, seul le Zimbabwe a réussi à diminuer ses émissions de CO2 de 30% entre 1990 et 2016. La hausse est de 154% au Maroc, de 185% en Egypte, de 105% au Koweït, de 161% au Nigeria, de 50% en Afrique du Sud, de 242% en Arabie Saoudite, de 360% dans les Emirats, de 487% à Oman, de 218% à Madagascar, de 600% en Angola et de 9580 % en Namibie !
    • En Nouvelle Zélande, les émissions de CO2 ont augmenté de 41% et en Australie de 43%.

    Mais malgré ce constat irréfutable, les Khmers verts européens s’obstinent à nous montrer du doigt comme de vilains pollueurs, refusant tout effort pour diminuer nos consommations énergétiques et polluantes.

    Les immigrés clandestins, réels hors-la-loi, n’ont rien à foutre chez nous.

    La gauche bien-pensante, bourgeoise et bohême, se montre tolérante et complaisante, pour ne pas dire complice envers les laquais de l’Islam, comme Tariq Ramadan ou Edwy Plenel, qui eux, combattent par tous les moyens les prétendus « islamophobes » réels ou supposés. Ces chrétiens de gôche, soi-disant humanistes, prêchi-prêcheurs de l’accueil des immigrés de la planète entière, nous obligent d’en héberger quelques-uns dans notre salon, quand eux-mêmes habitent dans des logements administratifs, aux frais de la princesse.

    Par ailleurs, il est tout de même curieux de lire que les députés écologistes qui siègent au Parlement Européen acceptent sans broncher que cette institution bruxelloise tolère que ses 751 députés dépensent 95.000 euros chaque année, sans avoir besoin de les justifier.

    C’est facile d’être généreux avec l’argent des autres et de leur imposer ses principes, alors qu’on ne se les applique pas à soi-même !

    Il est interdit d’interdire.

    Ce slogan imbécile cher aux soixante-huitards qui ont infiltré toutes les sphères de l’Etat et de la bureaucratie européenne, ne semble plus d’actualité maintenant quand ceux-ci se trouvent aux commandes.

    Ces saltimbanques, clamant jadis le « volem viure al pais », imposent leurs utopies sectaires d’Oslo à Malaga et de Nantes à Bucarest. Partout, ils veulent bannir le diesel ! Les voitures de Monsieur Tout le Monde… car on parle moins des camions et des autres transports polluants.

    Et les khmers verts ne manifestent JAMAIS devant les aéroports d’Europe pour interdire le vol des avions, énormes sources de pollutions diverses !

    Pas de BLOCAGE des PORTS pour interdire que les énormes porte-conteneurs ne puissent accoster en Europe.

    Ces monstres marins, comme les superpétroliers, sont la première source de pollution au monde (l’équivalent de toute la circulation automobile mondiale), car ils consomment du fuel lourd, le plus polluant des combustibles. Mais motus dans les médias, ce n’est pas porteur…

    Et quel est le rôle des vents qui portent la pollution dans les cieux ? Les éoliennes vont la disperser ? Partout ? Dans les pays voisins ? Plus de frontières pour les nuages toxiques qui nous arrivent des pays de l’Est ?

    La Norvège pour sa part, vient de bannir les vieux navires de croisière à partir de 2019 afin de protéger les fjords inscrits au patrimoine mondial du pays.

    Nos extrémistes verts quant à eux ont réussi à convaincre les gouvernements, actuellement au Pouvoir, d’interdire de circulation les véhicules diesel dans nos cités, dénommées Zones de Basses Emissions, au prétexte d’assainir l’atmosphère et d’améliorer la santé publique.

    Ainsi, pour prendre Bruxelles en exemple, comme capitale de l’Europe (plus exactement capitale de l’Eurabia, car grande est la présence d’Arabes dans nos rues), ce sont 40.000 propriétaires de voitures diesel qui ne pourront plus rouler dans la Région Bruxelloise (19 communes et environ 1,3 million d’habitants) dès le 1er Janvier 2018 !

    Et au 1er  janvier 2020, 500.000 autres propriétaires de véhicules diesel seront eux aussi interdits d’accès à la capitale.

    Ces prophètes de l’énergie renouvelable ignorent superbement les incidences sociales, économiques et financières de leurs ukases. Ils nous vantent les bienfaits de la voiture électrique, sans prendre en compte sa faible autonomie, son bilan CO2 catastrophique (recyclage batteries et composants), ni l’explosion des coûts indispensables à la production d’électricité supplémentaire et à l’installation d’un maillage serré de milliers bornes d’alimentation.

    Ils se bercent d’illusions et leurs chimères vont encore nous coûter des dizaines de milliards d’euros, à l’exemple des portiques de contrôle pour les poids lourds véritable fiasco et monument à ériger au nom de l’imbécilité socialaud-écolo-bobo.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • LA FRANCE EST LE PAYS LE MOINS RACISTE DU MONDE

    Encore des accusations de racisme ! Après Deschamps, voici venu le tour d’Antoine Griezmann, la coqueluche de la nouvelle équipe de France, celle finaliste de l’Euro. Jusqu’où peut aller la chasse aux sorcières ? On peut se permettre d’en rire franchement quand on voit la composition de notre équipe nationale, qui fait la part belle aux joueurs d’origine immigrée.

    Ces mises en demeure permanentes du peuple de France commencent à bien faire ! S’il y a bien une nation, en Europe et ailleurs, qu’il est absurde de taxer de xénophobie, c’est bien celle-là. De par notre position géographique, nous n’avons jamais eu une philosophie isolationniste de pays insulaire comme l’Angleterre ou le Japon. L’Alsace, la Normandie, le pays basque sont des régions  » mixtes  » qui ont apporté au trésor français leur richesse culturelle et à leurs voisins un peu de l’esprit franc. Puis, historiquement, il convient de rappeler que nous sommes le produit d’un mélange de traditions celtes et latines, auquel s’est greffé ultérieurement un pouvoir germain, et donc une nation intrinsèquement multiculturelle.

    Qui voudrait retirer à notre histoire l’apport de ses grands immigrés l’appauvrirait terriblement. C’est la spécificité de notre patrimoine, qui embrasse bien des genres, ouvert aux influences. Sans Lully l’Italien, musicien en titre de la cour de Louis XIV, célébrant la monarchie et aujourd’hui un de ses glorieux symboles, sans le Polonais Chopin, sans Rousseau ou Picasso, toutes nos Histoires de l’Art seraient à refaire ! Et Napoléon ! Aussi, dans un autre domaine, Platini et Zidane, ce dernier ayant tout de même réussi l’exploit de faire chanter la Marseillaise au pays entier en 98 !

    Ce qui nous ramène à Griezmann. Grizou, le  » bon Français « , qui fait la nique à Benzema… Pourtant, portugais par sa mère, il n’est pas le type du franco-français nommé Le Coq. Ces suspicions sont nauséabondes. Et au-delà de son cas particulier, qu’est-ce qui peut bien les distinguer, ces expatriés qui ont participé au grand œuvre ? Déjà ils ont été formés par le goût et l’idéologie français, profondément français avant tout, dans leur tempérament, dans leur approche. Ils se sont abandonnés à la vue française du monde, ils se sont dépouillés pour devenir français pleinement, comme dans ses attendrissants tableaux médiévaux que l’on appelle des Vierges de Miséricorde où Marie abrite sous son manteau des échantillons de la société tripartite, ainsi Marianne peut prendre sous son aile qui le désire pourvu qu’il ait l’humilité de supporter son joug.

    En définitive, à partir de quoi fait-on un Français, et à partir de quand est-on naturalisé ? Est-ce une adhésion totale au tronc commun des valeurs catholiques et républicaines ? Est-ce une question d’origine, de générations, ou de services rendus à l’État ? Sans doute, c’est simplement quand on se pense Français, quand on se sait l’être, et que les autres nous reconnaissent comme tels.

    http://bvoltaire.com/france-pays-raciste-monde/

  • Tractez pour la Marche pour la vie

    Les tracts, affiches et autocollants de la Marche pour la Vie 2018 sont à votre disposition ! Cliquez ici pour les commander (Ils sont gratuits et livrés chez vous) :

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    Vous voulez que l’édition 2018 de la Marche Pour La Vie soit une réussite ? Diffusez ces tracts, affiches et autocollants autour de vous !

    Tous à Paris le 21 janvier !!!

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • DAL, maître dans l’art du squat

    L’association Droit au logement (DAL) a fait de l’occupation illégale d’un immeuble une opération politique à grand spectacle et une arme idéologique : elle est à l’origine de la plupart des squats qui ont fait parler d’eux à Paris de 1987 à 2001. 
    Jusqu’en 1986, les squats parisiens existaient, mais n’avaient aucun retentissement médiatique : ils étaient marginaux, évidemment illégaux, considérés et traités comme tels. C’est en 1987 que le regard médiatique et politique a changé, influençant dans une certaine mesure celui du public. A l’origine de ce changement, l’association Comité des mal-logés qui deviendra trois ans plus tard DAL. Elle a pour porte-parole Jean-Baptiste Eyraud, maoïste pur jus, partisan d’un État nourrice qui tiendrait ses citoyens sous perfusion, et bien sûr contempteur du droit de propriété. 
    Le premier objectif de l’association est de faire du bruit : non pas pour reloger les familles misérables qu’elle instrumentalise, mais pour attirer l’attention sur les carences des pouvoirs publics en matière de logement social. A l’origine, son but est en effet de pousser à la construction de logements sociaux. 
    Rapidement, elle mesure l’intérêt de se focaliser sur des « demandeurs de logement d’origine africaine ». Jean-Baptiste Eyraud se révèle un communicant redoutable. Chaque squattage s’accompagne de reportages écrits et télévisés, qui le précèdent même parfois puisque les cameramen ont miraculeusement le temps de se préparer avant l’arrivée des squatteurs majoritairement étrangers. Après avoir installé les squatteurs, DAL fait mine de découvrir des conditions insalubres et organise dans la foulée une manifestation pour exiger le relogement des squatteurs. Le tout livré clés en main aux médias. 
    Il ne reste à la presse qu’à trouver quelques formules pour faire pleurer dans les chaumières : « Dans la froide nuit d’hiver, des familles entières dorment sous des bâches », ou encore : « La population du quartier, unanime, apporte son soutien aux squatteurs. Des mères de famille offrent des pâtisseries, préparent des thermos de café et distribuent du chocolat aux enfants » (formules citées par Julius Muzart). 
    L’entreprise de culpabilisation est brillante : quel monstre faudrait-il être pour ne pas être ému ? Comment ne pas s’identifier à ces riverains charitables ou, mieux, solidaires ? 
    Dans la réalité en revanche, pendant que les médias mettent en scène des familles africaines ravies de leurs nouveaux logements, les voisins commencent à déchanter au milieu des trafics en tous genres, conséquence prévisible du squat. 
    L’association DAL a connu ses heures de gloire à l’arrivée de Bertrand Delanoë à la Mairie de Paris. Il a donné l’ordre à ses services de reloger en priorité les protégés de l’association
    Entre 2002 et 2006, 90% des relogements urgents réalisés par la Ville bénéficièrent ainsi à des squatteurs, majoritairement originaires d’Afrique noire. 
    Jean-Yves Le Gallou, Immigration, la catastrophe. Que faire ?

  • Immigration : Paris déborde ! - Journal du Mardi 26 Décembre 2017

  • LA POLOGNE BANNIE

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    À l’encontre de la Pologne, la Commission européenne a déclenché l’article 7 du traité de l’Union européenne qui, s’il était voté, pourrait déboucher sur une suspension des droits de vote au sein du Conseil de l’Union, l’instance regroupant les vingt-huit.

    Notons que cette procédure avait été inventée en 2000 à la suite des tensions entre l’Union européenne et l’Autriche lorsque l’extrême droite était au pouvoir à Vienne. Cette remarque n’est pas sans intérêt car, maintenant, le gouvernement polonais est contrôlé par le PiS « ultra-conservateur ». Il s’agit donc, dans le cas polonais, de mettre au pas un pouvoir nationaliste, voire « populiste ».

    Le prétexte invoqué par la Commission est que le gouvernement polonais risque de violer l’État de droit en Pologne et de ne pas respecter les « valeurs de l’Europe ».

    On est en droit de se demander, d’ailleurs, qui définit les valeurs de l’Europe.
    Il est reproché à la Pologne, par des réformes votées, de soumettre la Justice au pouvoir politique. La Pologne a, en fait, adopté au début de décembre la refonte du Conseil national de la magistrature, chargé de la nomination et de la déontologie des juges, et de la Cour suprême. Il a aussi abaissé l’âge de la retraite des juges, ce qui en a poussé beaucoup dehors. La Pologne défend sa liberté de réformer une magistrature décrite comme une « caste » corrompue.

    Il est assez piquant de voir la France pousser à cette condamnation alors que l’indépendance de la justice, en France, est plus que douteuse. D’une part, le parquet relève de la Chancellerie, d’autre part nombre de juges sont affiliés à des syndicats souvent gauchistes, comme le Syndicat de la magistrature. D’ailleurs, l’expérience récente montre que souvent l’« extrême droite » est victime d’un harcèlement judiciaire qui, à l’évidence, n’est pas innocent.

    Quand à l’État de droit, il est en France bien écorné : notre pays est la cible constante d’attentats terroristes, on dénombre des dizaines de zones de non-droit où l’ordre public n’est pas respecté, et la France est incapable d’expulser les clandestins qui sont des centaines de milliers. On a rétabli le délit d’opinion, voire le blasphème, et des groupes de pression constitués par les communautés et les minorités interdisent de dire quoi que ce soit.

    L’autre reproche fait à la Pologne est la prise en main des médias par l’État, ce qui, venant de la France, est au moins amusant tellement il est évident que l’ensemble des médias est entre les mains d’intellectuels de gauche et que les journaux sont subventionnés par l’État.

    En fait on s’en prend à la Pologne car, à l’instar de nombre de pays de l’Est – Hongrie, Slovaquie, République tchèque, Autriche -, elle résiste à l’invasion et aux attaques contre ses valeurs et son mode de vie, ce qui ne peut pas plaire aux universalistes européens.

    http://bvoltaire.com/la-pologne-bannie/

  • Mères porteuses : La Manif Pour Tous enquête

    La Manif Pour Tous n’a rien perdu de son élan. Face à la politique sociétale d’Emmanuel Macron, l’association pro-famille a décidé d’employer les grands moyens. Pour dénoncer la GPA et l’utilisation de mères porteuses, plusieurs membres de la Manif pour Tous sont partis en Thaïlande pour rencontrer des acteurs politiques et associatifs d’un business aussi immoral que lucratif : les mères porteuses. Ludovine de La Rochère, la présidente de la Manif Pour Tous est venue expliquer les coulisses du tournage et les motivations qui ont poussé l’équipe à réaliser un tel documentaire…

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html