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lobby - Page 1455

  • Attentat avorté dans le XVIIIe : un an après « Charlie », ils osent encore nous faire le coup du déséquilibré

    Attentat déjoué hier dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Malgré l’évidence, Taubira affirme qu’il n’y a aucun lien avec la radicalisation et que tout fait penser au déséquilibré.

    Ça devient lassant, à force, d’être pris pour des idiots.
    Hier, au jour et pratiquement à l’heure de l’attentat contre Charlie Hebdo, un homme se jette sur des policiers en faction devant le commissariat de la Goutte d’Or, armé d’un hachoir et criant « Allah Akbar ». Le fonctionnaire dégaine et tire, tuant l’assaillant. Plus tard dans la journée, le parquet annonce qu’un « téléphone portable et un papier sur lequel figurent un drapeau de Daesh et une revendication manuscrite non équivoque en langue arabe » ont été retrouvés sur l’homme neutralisé par les policiers. Le document fait en effet état d’une vengeance pour les morts en Syrie et le terroriste prête allégeance à Al-Baghdadi, le leader de l’État islamique. L’homme portait sur lui une ceinture d’explosif factice.
    Une enquête en flagrance est ouverte pour « tentative d’assassinat sur personnes dépositaires de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste », sous l’autorité de la section anti-terroriste du parquet de Paris. Elle révèle rapidement que l’homme, un marocain d’une vingtaine d’années connu de la police pour vol, disposait d’un téléphone portable avec une carte SIM allemande. Arrêté il y a deux ans pour vol, il avait fourni une fausse identité.

    Ce qui apparaît très clairement de ce qui est connu de cette personne (c’est qu’elle) n’a aucun lien avec la radicalisation violente, aucun […] Une ceinture d’explosif factice, ces cris, cette allégeance dans la poche, ce sont des signes qui peuvent le raccorder à un réseau, mais en même temps cela peut être des signes de déséquilibre. L’enquête fera la clarté de tout cela.

    affirme pourtant Taubira. Et c’est là qu’on en a assez d’être pris pour des idiots. Qu’il faille être un peu « déséquilibré » pour se jeter sur des policiers arma d’un hachoir et d’une ceinture d’explosifs factice, certes. Il faut l’être aussi pour pénétrer dans une salle de spectacle et tuer une centaine de personnes à la Kalachnikov et au couteau.
    Mais d’affirmer tout de go qu’un type qui cherche à mourir en tentant de tuer des policiers à l’arme blanche en hurlant « Allah Akbar » n’a aucun lien avec la radicalisation islamique, même le pire des bobos islamophiles n’y croit plus.
    Pitié, Mme Taubira, à défaut de démissionner, taisez-vous.

    C.D.

     

    http://fr.novopress.info/

  • Agressions sexuelles à Salzburg (Autriche) comme à Cologne : des agressions planifiées ?

    Selon le Spiegel. Voici une carte des agressions sexuelles (pointez votre souris sur la carte...)

     A chaque fois, des dizaines de jeunes femmes sont venues demander de l'aide aux policiers après avoir été agressées d'abord verbalement, puis physiquement et sexuellement par des groupes de jeunes hommes d'Afrique du Nord et/ou des pays arabes qui, profitant de la foule, se sont mis à s'adonner à des attouchements sur les femmes. 

    Il y a une étonnante similitude entre ces faits :

    Capture d’écran 2016-01-08 à 07.29.34

    Et si qui s'était déroulé place Tahrir en Egypte, lors du fameux printemps arabe en 2012 :

    Capture d’écran 2016-01-08 à 07.30.43

    Michel Janva

  • Terrorisme : le double jeu de Christiane Taubira

    La ministre de la Justice se dit opposée à la déchéance de nationalité. Mais elle va devoir endosser des réformes sécuritaires voulues par le gouvernement.
    Fragile caution de gauche de l'exécutif, Christiane Taubira semble plus seule que jamais. Après les attentats meurtriers de janvier, puis ceux de novembre, on l'attendait là où elle a toujours brillé : une vigie des libertés et du progressisme, un bouclier contre les démagogies. Depuis sa prise de fonctions, la ministre de la Justice n'a eu de cesse de vouloir « redonner du sens à la peine » et de faire sauter les verrous idéologiques qui enferment la matière pénale. Aussi, la voir aujourd'hui endosser au nom du gouvernement – alors qu'elle y est parfaitement opposée – une mesure comme la déchéance de nationalité laisse pantois.
    Jeudi sur i>Télé, la ministre de la Justice a ainsi tancé une mesure aussi inutile qu'inutilement blessante, à l'efficacité « absolument dérisoire ». Avant, aussitôt, de redire sa loyauté au président de la République et au gouvernement. Une dernière ruade avant de rentrer dans les rangs. François Hollande a jusque-là toujours toléré les libertés que sa ministre de la Justice prenait, au nom de ses convictions personnelles, avec la solidarité gouvernementale, jugeant qu'elle lui apportait les faveurs indispensables d'une partie de la gauche. Mais pour combien de temps encore ? Dans son édition datée du vendredi 8 janvier, Le Monde titrait ainsi : « Taubira assume le virage sécuritaire ». Cruel pour l'icône socialiste.
    « Très loyale »
    « Elle est surtout très loyale », la défend Jean-Pierre Sueur, vice-président PS de la commission des Lois du Sénat. « Tout cela est de la faute de Hollande, lance un autre parlementaire. Tout le monde lui avait dit : ne fais pas la déchéance de nationalité, ça va mettre un binz pas possible. Résultat, Taubira s'est fait piéger. » De nombreux élus militent aujourd'hui pour abandonner la déchéance, et se prononcent en faveur d'une peine d'indignité nationale, seule capable de rassembler la gauche. Cela consisterait par exemple, à l'occasion d'une condamnation, à priver une personne de ses papiers d'identité, de ses droits civiques, ou encore de son autorité parentale. « C'est le seul moyen de sortir de ce débat très politicien dans lequel on s'est engagés et de résoudre un problème insoluble : on ne peut pas faire d'apatrides », assure Jean-Pierre Sueur.
    Christiane Taubira n'a pas fini d'avaler des couleuvres. La déchéance de nationalité n'est rien comparé à ce qui l'attend. Dans les prochains mois, la garde des Sceaux va devoir assurer le service après-vente de textes ultra-sécuritaires, qui transposent en droit commun des mesures inspirées de l'état d'urgence, et destinées à durer dans le temps. Parmi elles, la possibilité pour les préfets d'assigner à résidence des personnes de retour de Syrie et de les soumettre à un tas d'obligations. « Un contrôle judiciaire sans juge », résume le journaliste Franck Johannès. Comprendre : des droits moins garantis. Le gouvernement promet que le texte évoluera dans les prochains jours et sera modifié via des amendements parlementaires. « On n'est pas encore sous Pol Pot, sourit le député PS Dominique Raimbourg. Mais on devra nous laisser du temps à l'Assemblée pour examiner tout cela. »
    Un pot-pourri de procédure pénale
    Pour pouvoir agir rapidement, le gouvernement se sert d'un texte sur la simplification de la procédure pénale, que Christiane Taubira devait défendre devant le Parlement début février. Le gouvernement l'a largement raboté, pour y ajouter des mesures répressives, issues de deux autres projets de loi : l'un soutenu par Michel Sapin sur la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme ; l'autre, en cours d'élaboration, sur le renforcement des pouvoirs des préfets, de la police et du parquet. Toutes ces mesures vont accoucher d'une sorte de "pot-pourri de procédure pénale", sans aucune cohérence, qui devrait être distribué aux parlementaires à la mi-février. « Nous devons faire attention, prévient Jean-Pierre Sueur. Nous aurions préféré avoir trois textes différents. Nous ne tenons pas à instaurer en France un état d'urgence permanent. Tout devra se faire sous le contrôle du juge. »
    Sous le feu des critiques, Christiane Taubira et Bernard Cazeneuve ont réagi dans une tribune commune publiée dans Le Monde et intitulée : « Non, le gouvernement ne procède pas à une mise à l'écart de la justice ». Il s'agit d'une « contrevérité », affirment les deux ministres, « une offense aux convictions qui n'ont cessé de dicter nos choix dans une période trouble ». Le projet du gouvernement conduit pourtant bel et bien à accroître les pouvoirs des préfets. Mais également ceux des procureurs, qui pourront par exemple avoir recours à des techniques d'espionnage poussées, des prérogatives jusque-là réservées aux juges d'instruction. « Avant d'accroître le pouvoir des procureurs, encore faut-il les rendre indépendants vis-à-vis du pouvoir politique. Il faut enfin mener la réforme constitutionnelle sur l'indépendance du parquet ! » lance le respecté Jean-Pierre Sueur. Une promesse du candidat Hollande que l'on avait presque oubliée. À force d'avaler des couleuvres, Christiane Taubira voit ressurgir les vieux serpents de mer.

    Marc Leplongeon

    Le Point.fr :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuVkkukFlkauxzyOGI.shtml

  • La haine de nos élites

    Dire aujourd’hui que nos élites européennes nous ont abandonnés ne relève vraiment plus d’une idée farfelue. Affirmer que nos dirigeants déconstruisent patiemment nos territoires charnels, au nom de l’utopie multiculturaliste, ne peut plus être considéré comme une ineptie. Il faut que nous prenions conscience que le changement ne peut plus venir de ceux qui nous trahissent.

    Au niveau du « grand foutage de gueule », nous pouvons reconnaître que l’année 2015 fut un excellent cru ! Les attentats à Paris n’ont fait que confirmer l’échec cuisant de notre « vivre ensemble » symbolisé par un communautarisme de plus en plus sectaire et par une islamisation de plus en plus forte des sociétés européennes. Le mensonge des autorités européennes sur l’invasion de masse que subit notre continent, en faisant passer des clandestins pour des réfugiés, n’est que l’aboutissement d’une logique mise en place depuis plus de trente ans par notre classe politique hors-sol. Assister, sans que cela n’éveille un début d’indignation, au lynchage médiatique du Front National, considéré par certains comme la principale menace pour notre pays et considéré par d’autres comme une formation politique proche de Daesh, fut un moment assez troublant pour comprendre finalement que l’État français est réellement entré en guerre. En guerre non pas contre l’islamisme comme il le laisse trop souvent entendre, mais contre son propre peuple qui a osé voter massivement pour un parti patriote !
    Ce fut aussi une année pour comprendre que notre démocratie s’est bien éloignée de ses principes, car aujourd’hui la souveraineté de notre pays n’appartient plus au peuple. Cette souveraineté a été confisquée par une oligarchie mondialiste, capable de balayer d’un revers de main, au nom d’une morale liberticide, toute réaction citoyenne contraire à leurs intérêts. Pour confirmer mes dires, je ne prendrai que l’exemple du Front National devenu en 2015 le premier parti de France, ne disposant pour représenter ses électeurs que de deux députés sans avoir pu remporter aucune région alors qu’il fut en tête dans 6 d’entre elles !

    2015, ce fut aussi la réaction citoyenne d’Ajaccio. Comme je l’ai déjà dit précédemment, ce fut une bouffée d’oxygène de voir des Européens encore capables de dire non à la loi des racailles. Dans cette affaire, nos politiques ont été fidèles à leurs convictions. Ils ont préféré traiter les citoyens de racistes pour empêcher toute liberté d’expression de peur de voir voler en éclat leur sacro-saint « vivre ensemble ». Cette année fut celle aussi de la justice républicaine partisane, capable de relâcher des multirécidivistes au nom de l’égalité des chances. Ce fut aussi celle des agressions racistes contre les Européens de souche, agressions physiques et verbales en constante augmentation, agressions non reconnues par le système, car, pour celui-ci, le Blanc ne peut être que coupable. Cette réalité, qui n’est pas née du fantasme de cerveaux malades et névrosés, comme le laisse entendre la propagande officielle, s’est encore exprimée avec une grande brutalité à Cologne, Hambourg et Stuttgart, en Allemagne, où plus d’un millier d’hommes, issus de l’immigration récente ou plus ancienne, ont donné la chasse à toutes les femmes allemandes qu’ils rencontraient dans la rue. Avec ces multiples agressions sexuelles dans la même soirée, nous franchissons désormais un nouveau cap !

    Face à ces scandales à répétition, quelle est la réponse du système ? Les Européens, égoïstes et racistes, selon nos moralisateurs, doivent impérativement apprendre à vivre avec l’étranger, sans cesse encensé, innocenté, en changeant si possible radicalement leurs habitudes pour ne plus le stigmatiser. L’étranger est venu s’installer chez nous pour notre bien et nous devons, sans aucune condition préalable, lui faire une place au sein de nos sociétés, pour ne pas dire tout simplement lui laisser la place. C’est pour cette raison que les Identitaires et les patriotes dérangent. Pour nos dirigeants, ils doivent disparaître d’Europe, car leur logique de résistance enracinée dans une histoire et une mémoire n’est plus compatible avec le modèle communautariste tant promu par l’élite du moment.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/196724/haine-elites/#more-196724

  • La répression disproportionnée contre la LMPT est bien plus qu’un simple accident de parcours

    Le défenseur des droits a épinglé le Ministère de l’Intérieur pour son usage disproportionné de la force contre certains militants de la Manif pour tous en 2013, avec notamment 40 mères de familles encagées pendant 2h alors qu’elles manifestaient pacifiquement sur le Champ-de-Mars. Ludovine de la Rochère déclare à Atlantico

    "La réaction du Gouvernement a été tout à fait disproportionnée et absolument contraire à un certain nombre de libertés fondamentales, et cette propension n’a fait qu’augmenter avec le temps.

    Ni le Président de la République, ni le Gouvernement ne souhaitaient débattre et ouvrir un dialogue. Quand François Hollande a reçu la porte-parole de la Manif pour Tous en janvier 2013, il disait trois jours avant « Je les reçois, mais je ne changerai rien au projet », ce qui est quand même un refus explicit de dialogue et un manque de respect total de la démocratie. Nous avons donc dû intégrer dans nos revendications et nos slogans l’appel aux autorités à respecter la démocratie. Au départ on demandait des Etats généraux et un référendum. Non seulement le dialogue a été refusé, mais il y a eu un vrai déni de démocratie face au mouvement de la Manif Pour Tous. Cela a été ressenti très fortement par nos militants. Un autre élément majeur, c’est cette pétition de 700 000 signataires collectée en trois semaines qui a été piétinée et déclarée non recevable. Cela a introduit de grandes difficultés pour nous en termes de manifestations, de liberté d’expression et de circulation de nos militants.

    Sur le côté répressif, il y a beaucoup à dire. Un grand nombre d’actions en justice sont en cours, et il y a déjà eu en juillet 2013 un rappel à l’ordre de la France sur cette question-là de la part du Conseil de l’Europe. De plus, le défenseur des droits a déjà par deux fois attesté l’usage disproportionné de la force publique. Dans tous nos évènements, du début de la manifestation jusqu’à la dispersion finale, il n’y a pas eu sur le parcours le moindre problème, pas la moindre poubelle renversée. Même les services de nettoyage nous ont appelés pour nous dire qu’ils trouvaient la voie publique bien plus propre que d’habitude dans le cadre d’une manifestation. Il y a eu en effet des débordements, mais après les manifestations. Le Ministre de l’Intérieur de l’époque, Manuel Valls, a agi de deux manières. Il n’a cessé de faire un amalgame volontaire entre les débordements extérieurs et ce qu’il se passait à l’intérieur, et n’a cessé d’utiliser le vocabulaire de la violence pour pointer du doigt un extrémisme supposé du mouvement. Quand on fait le parallèle avec les dégâts sur le Trocadéro suite à un événement du PSG, la différence est énormissime. Néanmoins, à chaque manifestation, Manuel Valls prétendait que c’était dangereux, que les familles devaient venir sans leurs enfants, etc. Il voulait démobiliser et faire croire à un extrémisme qui n’a jamais existé. Pour faire peur aux sympathisants, la pression n’a cessé d’augmenter. En mai-juin 2013, il y a eu environ 1000 interpellations à Paris, sous prétexte de contrôles d’identités alors que dans 99% des cas, les militants avaient leurs papiers d’identité. Il n’y avait aucune raison de les emmener passer 12 heures ou 20 heures au poste. Par ailleurs, les gens retenus pendant des heures étaient libérés sans le moindre document officiel attestant de ce qui était arrivé. Il n’y a jamais eu de condamnation car il n’y avait tout simplement rien à leur reprocher.

    Néanmoins, la pression ne s’est pas relâchée, ils sont allés jusqu’à mettre en prison un jeune qui a été libéré en appel parce qu’il n’y avait rien à reprocher à ce jeune. Je pense qu’il y a eu une volonté sincère de faire croire à la violence et de faire peur au public. Soit une utilisation très politique des possibilités qu’a un Etat d’utiliser la force publique. Un autre cas très emblématique : la question du port du sweat.Celui qui portait le sweat de la Manif Pour Tous était susceptible de se faire interpeller et d’être emmené au poste sans la moindre raison. Porter un simple t-shirt rose a conduit à des interpellations. Il y a donc eu un non-respect des libertés fondamentales que nous avons sans cesse dénoncé.

    Enfin, nous avons eu de grandes difficultés à pouvoir organiser des manifestations, avec un nombre stupéfiant d’interdictions. Or, la manifestation n’est pas soumise à un régime de demande d’autorisation, mais à un principe de déclaration. Le pouvoir a clairement usé et abusé des armes à sa disposition pour empêcher au maximum l’expression des opposants à son projet.

    Philippe Bilger ajoute : 

    "Je n’ai participé moi-même à aucune manifestation, l’opinion que je vais formuler est donc celle d’un citoyen informé médiatiquement. A partir de là, il est évident que la Manif pour Tous a été mal traitée lors des manifestations. C’est comme si, à l’égard de ces manifestants qui avaient le droit de protester contre le mariage pour tous qui n’était pas encore voté, l’Etat avait voulu faire preuve d’une autorité, d’une force et d’une rigueur qu’il était incapable de mettre en œuvre dans d’autres circonstances. Autrement dit, des manifestants déterminés, convaincus mais pacifiques lui permettaient d’asseoir plus aisément une autorité qu’avec des brutes ou des voyous. C’est très clair. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Conversion d’une ancienne FEMEN

    C’est un retournement total ! Sara Giromin, fondatrice des FEMEN au Brésil, dénonce le féminisme et l’avortement, et s’excuse auprès des chrétiens.
    Elle avait lancé le mouvement féministe en 2012. Elle menait des opérations « seins nus » pour protester contre l’exploitation des femmes. En octobre dernier, elle a publiquement renié son engagement…

    Elle a dénoncé les abus dont elle a fait l’objet de la part du mouvement féministe
    Comme bien d’autres FEMEN, Sara Giromin a quitté le mouvement rapidement après l’avoir intégré, en 2013, dénonçant le « business » qui en était à la base. Elle a alors créé un autre mouvement.
    Elle espérait trouver dans ce milieu une aide après être entrée dans la prostitution à l’adolescence. S’en étant ouverte à une universitaire féministe, celle-ci l’avait félicitée pour cette activité… C’est une femme plus âgée, réputée « conservatrice », qui l’a aidée à en sortir.

    Elle critique violemment l’idéologie féministe et rejette l’idéologie du genre, « obligatoire » au sein du mouvement
    Aujourd’hui, elle dénonce le féminisme comme une « secte » qui utilise les femmes comme des objets, fait la promotion du lesbianisme et « promeut la destruction de la famille traditionnelle et de toutes les valeurs morales de la société ».
    Elle écrit encore : « dans le mouvement féministe, les femmes n’ont aucune importance, mais ne servent que de carburant pour alimenter la haine que la secte féministe ne peut pas se permettre de laisser mourir ».

    Elle s’est aussi excusée auprès des chrétiens…
    … pour avoir échangé un baiser lesbien sur fond de crucifix et d’église, photo devenue un emblème de l’activisme homosexuel et antichrétien au Brésil.
    Elle a aussi dit son regret d’avoir avorté jadis, et mis en garde les femmes qui hésitent à avorter.
    Ce qui a provoqué ce revirement, c’est la naissance de son enfant, qui lui a fait prendre conscience de la signification de la vie.
    L’ancienne FEMEN donne aujourd’hui des conférences pour dénoncer le féminisme, l’idéologie du genre et le marxisme culturel !
    En France, ce mouvement sévit toujours…

    http://fr.novopress.info/196713/conversion-dune-ancienne-femen/

  • Radicalisation : Hollande ne ferme pas les mosquées salafistes

    Mais a demandé au ministre de l’éducation nationale

    « de renforcer les procédures de contrôle des établissements d’enseignement hors contrat, et de mobiliser l’administration et les collectivités pour éviter que des enfants ne soient soustraits à l’obligation scolaire au nom de raisons incompatibles avec les valeurs de la République ».

    Les valeurs de la Républiques ? Laïcité, avortement, Charlie ?

    Michel Janva

  • Sarkozy annonce l’arrivée de 10 millions d’immigrés et ajoute : « Ne pas avoir inscrit l’identité chrétienne dans la constitution européenne était de la lâcheté »

    Nicolas Sarkozy était ce mercredi à Anvers, invité à donner une conférence lors de la réception de Nouvel An du Voka, l’organisation patronale flamande.

    Présenté par Bart De Wever, bourgmestre d’Anvers et président de la NVA, Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, a évoqué l’avenir de l’Europe.

    Au cours de cette conférence, Nicolas Sarkozy a déclaré : « Ne pas avoir inscrit l’identité chrétienne dans la constitution européenne était de la lâcheté« .

    Sarkozy a également affirmé : « Schengen est mort. Il fallait d’abord une politique d’immigration commune« . Et d’ajouter : « 10 millions de personnes en marche vers l’Europe, qui peut imaginer que c’est acceptable ?« 


    Nicolas Sarkozy expose sa vision de la politique économique, ce soir à Anvers

    http://www.medias-presse.info/sarkozy-annonce-larrivee-de-10-millions-dimmigres-et-ajoute-ne-pas-avoir-inscrit-lidentite-chretienne-dans-la-constitution-europeenne-etait-de-la-lachete/46895

  • Cologne: la chaîne publique allemande s’excuse pour ne pas avoir couvert les faits

    La chaîne publique allemande ZDF a présenté ses excuses pour avoir tardé, à l’instar de la plupart des grands médias nationaux, à évoquer les agressions sexuelles sur des femmes survenues le soir du Nouvel An à Cologne, ce qui suscite des critiques du public.

    Le fait que le journal de 19h lundi soir « n’ait pas au moins mentionné les incidents était une négligence », écrit la rédaction du journal télévisé sur ses comptes Facebook et Twitter. Ne pas en parler lundi soir « était (…) clairement un jugement erroné », reconnait ZDF, dont la page Facebook est émaillée de commentaires de spectateurs mécontents: « ma confiance dans (cette chaîne), pour laquelle je paie des impôts, s’amenuise de plus en plus », écrit l’un deux, alors que d’autres s’étonnent que ZDF « passe sous silence depuis un certain temps certaines choses ».

    (…) Plus globalement, le peu d’écho avant mardi des médias sur cette affaire est également mis en question. Le site spécialisé sur les médias, Meedia, a ainsi relevé qu’il a fallu « quatre jours » pour que l’affaire soit « relatée de façon exhaustive au niveau national ». « Lorsque l’on regarde (la presse nationale), il n’y a rien jusqu’à lundi sur ces incidents », poursuit Meedia. « Il a fallu quatre jours pour que la grande machine médiatique ne s’enclenche », épingle encore le portail.

    Source via FDS

    http://www.contre-info.com/cologne-la-chaine-publique-allemande-sexcuse-pour-ne-pas-avoir-couvert-les-faits

  • Ce que le réchauffisme pollue

    Dans sa livraison de janvier, le mensuel La Nefconsacre un dossier à la COP21, en en soulignant notamment les limites. Abordant le sujet du réchauffement climatique, Christophe Geoffroysouligne que c'est

    "loin d’être le seul problème écologique qui menace la planète – et c’est une autre faiblesse des grandes réunions comme la COP21 de polariser l’attention sur ce seul aspect, alors que l’écosystème forme un tout."

    Néanmoins, il tombe dans le travers du réchauffisme en ajoutant :

    "Dès lors, que veulent prouver les climato-sceptiques en niant l’origine humaine du réchauffement et en se moquant du souci écologique ?"

    Mais les climato-sceptiques (et même, pour être plus exact, les CO2-sceptiques) se moquent-ils vraiment de l'écologie ?

    Distinguer les sujets

    1. Le réchauffement climatique est-il vraiment global et universel ? Car constater qu'il a fait plus chaud en décembre 2015 en France ou, comme Denis Sureau, que les vignerons français sont confrontés à une évolution du climat, ne prouve certainement pas que le réchauffement soit général ni fatal. Le climat est par nature changeant, cyclique et il faisait plus chaud en Europe au Moyen-Age (les Romains faisaient pousser des vignes et des citronniers jusqu'au nord du Mur d'Hadrien en Angleterre ).
    2. En admettant que ce réchauffement global est réel, il est utile de s'interroger sur sa nocivité. Encore une fois, il faisait plus chaud en Europe au cours du Moyen-Age et cela n'a pas provoqué de catastrophisme angoissant comme aujourd'hui...
    3. Enfin, la cause de ce potentiel réchauffement. Est-ce vraiment l'homme qui est responsable des évolutions du climat ? Sur cette question, la libre réflexion de vos blogueurs, de 2007, est toujours d'actualité.

    Et c'est sur ce dernier aspect que le bât blesse le plus. En 2011, Georges Dilliger, qui n'est pas climato-sceptique mais est CO²-sceptique, avait déjà répondu à la question de Christophe Geoffroy, dans un ouvrage sur le sujet. S'interrogeant sur les profits réalisés par certains lobbies profitant de la campagne d’enfouissement ou de « séquestration » du CO2, Georges Dillinger mettait en cause la fixation des esprits sur une thèse non prouvée, qui permet de relativiser d’autres en jeux écologiques importants, comme la pollution et le manque d’eau, la détérioration des sols, la déforestation, la régression de la diversité biologique ou, comme on peut le constater dans l’actualité, les ravages de la malbouffe. Pour Stanislas de Larminat, réduire le CO² ne sert à rien... sinon peut-être à maintenir le continent africain en état de dépendance.

    En dénonçant l'idéologie du réchauffisme, ce luxe de pays développé, il ne s'agit donc pas de sauver un système, puisque c'est ce même système qui tente de survivre à coups de milliards (avec des taxes en tout genre comme la taxe carbone) tout en voulant empêcher le développement des pays pauvres.

    Etre CO²-sceptique, ce n'est pas se moquer de l'environnement.

    En 2008 déjà, Benoît XVI plaidait pour "une écologie de l'Homme" fondée sur le respect de la distinction entre hommes et femmes, prenant le contre-pied de l'idéologie du genre. Lorsque l'Eglise catholique prend la défense de la Création, oeuvre de Dieu,

    "elle ne doit pas seulement défendre la terre, l'eau et l'air (...) mais aussi protéger l'homme contre sa propre destruction [...] si les forêts tropicales méritent notre protection, l'homme (...) ne la mérite pas moins [...] Une écologie de l'homme, justement comprise, est nécessaire [...] parler de la nature de l'être humain comme homme et femme et demander que cet ordre de la création soit respecté ne relève pas d'une métaphysique dépassée [...] L'homme veut se faire seul et disposer seul de ce qui le concerne, mais en agissant ainsi il vit contre la vérité, il vit contre son créateur".

    Et l'encyclique Laudato Si du pape François nous appelle à cette écologie intégrale :

    "Une écologie intégrale implique de consacrer un peu de temps àretrouver l’harmonie sereine avec la création, à réfléchir sur notre style de vie et sur nos idéaux, à contempler le Créateur, qui vit parmi nous et dans ce qui nous entoure, dont la présence « ne doit pas être fabriquée, mais découverte, dévoilée»."

    Le problème de la COP21 et du réchauffisme en général, c'est de croire encore que l'on peut sauvegarder l'environnement sans respecter la personne humaine. Dans le dernier numéro de L'Homme Nouveau, le père Yannick Bonnet écrit, à propos de la manipulation des médias :

    "L’important, bien sûr, c’est de sauver la planète ! La profonde stupidité de ce slogan échappe à l’esprit de nos jeunes, qui ignorent qu’avant la présence des hommes, ladite planète avait subi des percussions violentes de météorites colossaux, des éruptions volcaniques ravageuses et des variations de températures et de niveau des océans, considérables. Et personne ne nous explique comment l’on contrôlera les variations d’émissions énergétiques du soleil, comment on évitera les chocs de météorites et comment on domptera le volcanisme. Comment se fait-il que si peu de nos contemporains ne soient pas frappés par le fait que ce discours dominant « pue » l’orgueil et une volonté sous- jacente de domination mondiale, servie par des moyens financiers incontrôlés ?

    En décembre, Stéphanie Bignon, éleveur dans le Brionnais, appelait simplement à respecter les saisons et les personnes :

    "Sauver le climat quand on ne respecte pas les saisons c’est du volontarisme révolutionnaire. La réalité de l’échelon local est méprisée au profit de l’idéologie et de la toute-puissance du Régime globalisateur. Le propre de l’idéologie est de s’intéresser à l’universel, au global sans partir du particulier. [...]

    Mais il faut aller jusqu’au bout du raisonnement et réaliser que tout de nos vies est décidé à notre place (naissance, éducation, mariage, mort…) par un système de plus en plus jacobin et mondial auquel toute formation politique doit faire allégeance pour exister. [...]"

    L'idéologie (monocausale, étatique, révolutionnaire...) du réchauffisme nous empêche de nous pencher sur les vrais sujets environnementaux. Pour en sortir, il faut d'abord retrouver notre liberté, cesser de confier à l'Etat nos faux-problèmes : ce n'est pas la COP21 ni la COP22 qui règleront la température de la Terre... Les idéologues du réchauffisme nous polluent car ils veulent maintenir leur volonté de puissance, leur étatisme, en nous culpabilisant. C'est à nous de changer nos modes de vies. D'être des dissidents dans tous les domaines. Sur le plan médiatique avec ce blog et les autres contre-médias, sur le plan scolaire, en soutenant les écoles libres, nées de l'initiative privée. Et pour lutter contre le gaspillage et apprendre à user avec mesure de chaque chose, rien de mieux qu'une bonne éducation, les familles nombreuses en savent quelques chose. Pas besoin de l'Etat et de son tri sélectif. De façon similaire, il existe déjà de nombreuses initiatives privées et locales dans le domaine de l'alimentation (panier des familles, livraisons directes entre éleveurs/producteurs et consommateurs,...) et même commercial, grâce notamment à l'essor d'internet, qui permet par exemple la vente en direct et le recyclage (adieu les grandes surfaces made in China, bienvenue aux marchés privés -notamment scolaires- et aux Gens de confiance...).

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/01/ce-que-le-r%C3%A9chauffisme-occulte.html