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lobby - Page 1452

  • Le totalitarisme à front renversé : comprendre les États-Unis

    Source : lescrises.fr
    Le livre Democracy incorporated. de Chalmers Johnson propose un diagnostic controversé, mais en fin de compte convaincant, sur la manière dont les États-Unis ont succombé à une tentation totalitaire inconsciente et permet de comprendre comment ils sont contrôlés. Si l’ouvrage n’est disponible qu’en anglais, sa recension traduite par lescrises.fr est déjà des plus éclairantes.

    http://www.les-crises.fr/le-totalitarisme-a-front-renverse/

    Pendant plus de deux générations, Sheldon Wolin a enseigné l’histoire et la philosophie politique, de Platon à nos jours, aux étudiants de Berkeley et Princeton […] Il est l’auteur d’ouvrages primés et désormais classiques tels que : Politique et Vision (1960, édition revue et augmentée en 2006), et Tocqueville entre deux mondes(2001), ainsi que de nombreux autres ouvrages.
    […]
    Son dernier ouvrage, , Democracy Incorporated: Managed Democracy and the Specter of Inverted Totalitarianism (Démocratie S.A., la démocratie contrôlée et le spectre d’un totalitarisme à front renversé), est un brûlot contre la gestion actuelle du pouvoir aux États-Unis. Il évoque notamment les évènements des dernières années et donne des propositions pour éviter que notre système ne sombre dans les méandres de l’histoire en compagnie de ses prédécesseurs totalitaires : l’Italie fasciste, l’Allemagne nazie, et la Russie bolchevique. Le moment est bien tardif, et il est peu probable que le peuple américain se réveille et emprunte le chemin qui éviterait à notre nation de connaître son Crépuscule des Dieux. Toutefois, Wolin est celui qui analyse le mieux en quoi l’élection présidentielle de 2008 ne changera rien à notre destin. Ce livre démontre pourquoi la science politique, lorsqu’elle est appliquée correctement, reste la reine des sciences sociales.
    […]
    Pour synthétiser son argumentation complexe, depuis la Grande Dépression, les forces jumelées de la démocratie contrôlée et de “Superpuissance” ont pavé la voie pour quelque chose de nouveau : le « totalitarisme inversé », forme tout aussi totalitaire que son avatar classique, mais reposant sur la collusion interne, l’apparence de liberté, le désengagement politique au lieu de la mobilisation des masses, et comptant davantage sur les « médias privés » que sur des officines gouvernementales pour renforcer sa propagande sur la version officielle des évènements. Il est inversé dans le sens où il ne nécessite pas de coercition, de puissance policière ou d’idéologie messianique à l’instar des versions fasciste, nazie ou stalinienne (à noter toutefois que les États-Unis ont le plus fort taux de citoyens emprisonnés – 751 pour 100 000 habitants – de toute la planète). Selon Wolin, le totalitarisme inversé a vu le jour « de façon imperceptible, non préméditée, et avec les apparences d’une parfaite continuité avec la tradition politique du pays ».
    Le génie de notre système totalitaire inversé est de « manier un pouvoir totalitaire sans le montrer, sans créer de camp de concentration, sans imposer d’idéologie uniformisante, et sans supprimer les éléments dissidents tant qu’ils restent inoffensifs. La régression du statut de “peuple souverain” à celui de “sujet impuissant” est le symptôme d’un changement de système, d’une démocratie qui est un moyen de “populariser” le pouvoir à celle qui n’est que la marque d’un produit que l’on vend chez nous et à l’étranger. Ce que ce nouveau système, le totalitarisme inversé, prétend être, est l’opposé de ce qu’il est réellement. Les États-Unis sont devenus l’exemple de la façon dont on gère une démocratie sans révéler qu’elle n’existe plus. »

    http://fr.novopress.info/197938/le-totalitarisme-a-front-renverse-comprendre-les-etats-unis/

  • Morbihan : 508 000 euros accordés aux demandeurs d’asile pour le seul premier trimestre 2016

    « En 2015 l’État avait alloué au bas mot deux millions d’euros pour les centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) de l’Hermine (Pontivy et Vannes) et Sauvegarde 56 (Lorient). Ce sera finalement 20.225 € de plus, entièrement absorbé par le premier centre d’accueil – ce qui signifie qu’il a reçu sur le tard de nouveaux migrants, qui ne cessent d’affluer toujours plus nombreux en Bretagne ces dernières années. 2 millions d’euros, soit l’équivalent de plus de 600 000 repas dans les cantines scolaires de Vannes…

    Alors que la région connaît des problèmes croissants en raison de la crise et du chômage – ce qui logiquement devrait remettre en cause ses capacités d’intégrer de nouvelles populations, en leur donnant un travail qui leur permette de se passer de la charité payée par le contribuable, rien n’indique qu’en 2016, la gabegie s’arrêtera. En effet, par deux arrêtés du 22 janvier 2016, la préfecture du Morbihan vient de fixer les sommes qui seront allouées aux deux CADA du Morbihan. Et ce, de façon « provisoire » : s’il arrive plus de migrants, elles seront revues à la hausse.

    Ainsi, pour le CADA de l’Hermine, ce sont 282.111, 36€ qui seront alloués pour les trois premiers mois de 2016. Et pour celui de Sauvegarde 56 (Lorient) 226.287,84€ seront alloués pour la même période. Ces sommes, provisoires, sont régulièrement revues à la hausse au gré de l’affluence des migrants. Or, en 2016, l’afflux d’au moins 1,5 millions de migrants est attendu en Europe. Cette sombre perspective pousse nombre de pays autour de nous – y compris ceux qui avaient jusqu’alors des politiques sociales généreuses comme l’Allemagne, la Finlande, la Suède – à réduire leurs aides aux demandeurs d’asile voire à tenter de se prémunir contre l’invasion en se barricadant totalement ou partiellement (Autriche, Slovénie, Hongrie, Danemark, Slovaquie, République Tchèque etc.). Pas en France. Alors que l’année 2016 s’annonce sous les auspices d’horizons économiques pour le moins sombres l’angélisme politique est toujours de mise et le porte-feuille de plus en plus dégarni du contribuable toujours sollicité. »

    Source Breizh-Info

    http://www.contre-info.com/morbihan-508-000-euros-accordes-aux-demandeurs-dasile-pour-le-seul-premier-trimestre-2016#more-40879

  • Les coupables de l’arrestation du Général PIQUEMAL

     Les coupables de l’arrestation du Général PIQUEMAL.jpg

    PRÉCISION IMPORTANTE – Même s’ils étaient présents sur les lieux, ce ne sont ni les Gendarmes ni les CRS qui ont procédé à l’arrestation du Général PIQUEMAL. Ce sont des sbires syndiqués de la police urbaine (Casque à bandes bleues et ceux en civil avec le brassard « Police »). Selon nos sources, l’ordre émanait directement de Cazeneuve. Il est important de préciser ces faits pour ne pas accuser à tort les Gendarmes et les CRS qui, eux, ont refusé d’obéir à cet ordre nauséabond.

    Cazeneuve a donné des ordres au préfet en charge de Calais. Ce dernier a repassé le « bébé puant » à un dénommé Desplanques, un rond de cuir du cabinet du préfet. Pressentant que la Gendarmerie refuserait d’arrêter le Général, celui-ci a alors donné ses ordres aux CRS. Fiasco également :les Officiers commandant les détachements de CRS auraient à leur tour refusé d’exécuter la sale besogne.

    Au final, le rond-de-cuir de la préfecture n’aurait dès lors pas eu d’autre solution que de faire appel à de la piétaille volontaire du Commissariat de Calais. Ce sont donc des officiers (aucune acception militaire dans le terme) de police urbaine du commissariat de Calais, « comme par hasard tous syndiqués à gauche, délégués syndicaux », qui ont accepté de se compromettre dans une pareille action déshonorante.

    À l’avenir, si ce genre de « fonctionnaire » venait à se faire triquer par « leurs migrants préférés de la jungle », nous ne verserions alors pas une larme !...

    http://www.francepresseinfos.com/2016/02/les-coupables-de-larrestation-du.html#more

  • Les chacals craignent pour leur peau – par Marc NOÉ

    Par leurs actes répétés de trahison, ils ont désormais perdu toute légitimité et ne sont plus dignes d’être qualifiés de « gouvernement ».Tout au plus s’agit-il d’une bande organisée ayant fait main basse sur les rouages de l’État. Un gang anti-Français qui s’attache à la désintégration du Pays. Leur attitude est tout simplement criminelle, comme le souligne Philippe de Villiers.

    À Calais, le gang anti-Français qui tente de ressembler à un « gouvernement » a, une nouvelle fois prouvé sa capacité de nuisance. Ainsi, un lamentable ramassis de traitres et d’incapables se permet-il de faire arrêter et juger le Général PIQUEMAL représentant  reconnu, lui, de l’Élite de l’Armée Française.

    Il faut vraiment relever d’une engeance minable pour s’autoriser pareille forfaiture !...

    Tous ces bipèdes boursoufflés de suffisance qui se pavanent aujourd’hui prétentieusement sous les lambris de notre République n’ont décidément pas compris que ce n’est pas le titre qui honore l’homme mais que c’est l’homme qui se doit d’honorer le titre.

    Ce faisant, ils ont eux-mêmes révélé aux yeux de tous ce qu’ils sont profondément : des individus sans relief et sans Honneur. Et s’il est normal d’avoir de la considération pour les fonctions, force est de constater que ceux qui les occupent si mal ne méritent pas la moindre once de respect.

    Pas plus qu’eux-mêmes n’en ont témoigné au Général PIQUEMAL.

    La prochaine fois, feront-ils tirer sur les manifestants comme certains l’ont déjà fait auparavant sur les Pieds-Noirs rue d’Isly, à Alger, le 26 Mars 1962 ?... Tout le monde n’a pas la mémoire courte.

    Désormais, tout le monde en a conscience : pendant qu’ils saccagent, agressent et manifestent armés de barres de fer (Voir), les clandestins hors-la-loi ont des droits. Pendant qu’il manifeste pacifiquement en faveur de la France, un Général a des menottes. Telles sont les valeurs de la racaille au Pouvoir qui confond « état de droit » avec « tous les droits à l’État »..

    Quoi qu’il en soit, par leurs actes répétés de trahison, en ne défendant pas leur propre population, ils ont désormais perdu toute légitimité et ne sont plus dignes d’être qualifiés de « gouvernement ». Tout au plus s’agit-il d’une bande organisée ayant fait main basse sur les rouages de l’État. Un gang anti-Français qui s’attache à la désintégration du Pays. Leur attitude est tout simplement « criminelle », comme le souligne Philippe de Villiers.

    Le « Tartarin de l’Élysée », alias « Capitaine de pédalo » selon Mélenchon (74% d’opinions défavorables), pourra bien continuer de se croire « Chef de guerre », que pèsera-t-il objectivement face à la renommée d’unVRAI « Chef de guerre » auquel il n’arrive pas à la cheville, malgré tous les propos laudatifs des médias dégoulinant de servilité. Des médias pour lesquelsfayotage et copinage sont les deux gamelles inséparables.

    Le « Don Quichotte de Matignon », alias « l’électrocuté » selon Gilbert Collard (66% d’opinions défavorables), pourra bien se draper dans ce qu’il est bien le seul à considérer comme étant « SES propres Valeurs de la République », tout son verbiage n’est rien d’autre qu’un fatras de préjugés et de rancœurs personnels assaisonnés d’une sauce idéologique nauséabonde qui n’a rien à envier à la soupe servie par les régimes totalitaires. Lui se croit toujours au temps de la guerre civile d’Espagne.

    Le « Sancho Pansa de la Place Beauvau », quant à lui, pourra bien continuer de s’évertuer à se faire passer pour quelqu’un de responsable, sachant prendre des décisions et donner des leçons à tout le monde, il n’en sera pas moins regardé comme étant un personnage insignifiant qui ne brille que par les pâles lueurs de sa fonction.

    Ainsi va la France d’aujourd’hui : plus quelque-chose est bas, plus « on » nous le montre en exemple. Et plus les chevilles sont enflées, plus les têtes sont vides.

    Et ce sont ces gens-là qui, confortablement juchés sur leur éphémère perchoir à serins –la seule hauteur qu’il faille leur reconnaitre-, se permettent d’insulter tous ceux qui ne pensent pas comme eux, les traitant de « racistes », de « fascistes », de « nazis ». Le tout arbitrairement ficelé sous l’appellation fumeuse d’« extrême droite ». Chez eux, la malhonnêteté n’a pas de limite… si ce n’est celle de leur étroitesse d’esprit qui leur fait prendre leur propre lâcheté pour de la tolérance et leur faux humanisme pour de la grandeur d’âme.

    En cela, ces « tristes sires » ne font que surfer sur la peur de choses supposées qu’ils ont eux-mêmes inventées pour mieux enfumer l’opinion publique et jouer aux « grands courageux ». On offre sa poitrine à des fusils qui n’existent pas. Ça fait toujours bien et ça donne bonne conscience…

    Dans les faits, ces individus ne sont que des chacalsqui se repaissent des malheurs de la France tout en la détruisant un peu plus chaque jour. Pendant la Révolution, sous la houlette de l’accusateur publicFouquier-Tinville, ils eussent été jugés puis condamnés pour trahison envers la Patrie et leurs biens saisis puis revendus comme « Biens Nationaux ».

    C’est bien pour ça que « les chacals craignent pour leur peau ! »… car ils subodorent que « l’heure des comptes viendra bientôt ! »

    http://www.francepresseinfos.com/2016/02/les-chacals-craignent-pour-leur-peau.html

  • JT du Lundi 8 février 2016 : Edition spéciale / Manifestations anti-immigration

  • Front National : Abrogation de la loi Taubira et amélioration du Pacs

    Dimanche soir, Nicolas Bay a confirmé les engagements du FN à propos de la loi Taubira :

    "Nicolas Bay, secrétaire général du Front national, a assuré dimanche qu'en cas de victoire à la présidentielle en 2017, son parti abrogerait la loi Taubira sur le mariage pour tous, accusant au passage Nicolas Sarkozy d'avoir « renié ses promesses » sur cette question.

    « Contrairement à Nicolas Sarkozy, qui a renié ses promesses de campagne, en 2017, le Front national abrogera la loi Taubira et améliorera le pacs pour régler notamment toutes les questions fiscales ou patrimoniales pour les couples du même sexe » (...) Nous sommes attachés à l’état de droit, donc il n’est pas question de démarier les gens qui ont été mariés."

    Philippe Carhon

  • Calais ou la république dans ses oeuvres

    C'est un livre inexplicable, écrit il y a presque quarante ans, alors que le problème de l'immigration n'existait pas encore. J'ignore ce qui m'est passé par la tête. La question s'est posée soudain : « Et s'ils arrivaient ? » Parce que c'était inéluctable. Le récit est sorti d'un trait. Lorsque je terminais le soir, je ne savais pas comment j'allais poursuivre le lendemain. Les personnages ont surgi, inventés au fur et à mesure. De même pour les multiples intrigues.

    Jean Raspail à propos du Camp des Saints.

    Avec les interventions verbales des Républicains sur le chaos calaisien qui ne cesse de s'amplifier, le sujet des migrants en France semble ne plus pouvoir être contourné par l'ensemble de la classe politique française. C'est d'abord Nicolas Sarkozy qui a voulu se refaire une petite santé droitière en déclarant le 26 janvier dernier à Strasbourg que « l'Etat doit faire le travail qui est le sien en évitant la chienlit ». Terme très connoté faisant écho au tag stupide, « Nik (sic) la France » gribouillé par un No Border sur une statue de De Gaulle à Calais lors d'une manifestation (autorisée) pro-migrants dans la ville envahie samedi 23 janvier. Le lendemain, l'ancien Premier ministre Alain Juppé, actuellement porté par des sondages favorables, se rendait à la sous-préfecture du Pas-de-Calais avec ses gardes du corps et une floppée de journaleux. et certainement sous antibiotiques (la police refuse d'assurer une présence régulière au sein des campements tant les miasmes mortifères pullulent comme celui de la tuberculose) afin de communiquer sur un thème qui apparaît d'ores et déjà comme un enjeu électoral pour les Présidentielles de 2017.

    Le 27 janvier, « le meilleur » d'entre eux a donc produit un discours remettant en cause le traité du Touquet (entre Paris et Londres) qui ne correspond plus, en effet, à la réalité migratoire d'aujourd'hui. Pour le mondialiste Juppé, qui est devenu subitement un défenseur de l’État régalien et intransigeant, le problème ne pourra être résolu que par un réel effort britannique en matière d'ouverture, bref avec une Grande-Bretagne qui accepte son statut d'eldorado aux yeux des migrants. Juppé demande à ce que les Anglais s'organisent pour recevoir leur lot de "rôdeurs". Un Juppé, sur place avec ses bottes en caoutchouc, peut bien serrer les mâchoires devant le tas de boue de la Jungle calaisienne, les ""solutions" qu'il préconise ne sont que des traitements cosmétiques, des pansements vanillés sur une jambe sévèrement gangrenée. Car la seule question qui importe, la seule question qui a trait à la survie durable du dernier cercle français, c'est celle-ci : quand refoulerons-nous le fléau ? Quant à savoir si nous devons éjecter ces hordes ténébreuses, prémunir notre peuple de leur venin, la question ne se pose pas. Ces envahisseurs doivent partir. Ils doivent partir car ils sont une masse, car ils sont dangereux, car ils sont doublement dangereux.

    Des bisons pas très futés

    Doublement dangereux, disons-nous, parce qu'ils se comportent en conquérants chez nous et parce qu'ils servent de supplétifs à ces faux anarchistes abjects appelés No Borders qui ne sont mus que par la haine qu'ils éprouvent à rencontre des nations, de l'homme blanc et de Dieu. Le 23 janvier a ainsi été l'occasion pour ces démons de montrer toute l'étendue de leurs capacités malveillantes. Cornaqués par de jeunes antinationalistes en provenance des Pays-Bas, d'Allemagne et de France, les clandestins, en ce samedi, s'excitent, crient des slogans absurdes ou hurlent leur désir de gagner l'Angleterre et son Londonistan : « UK ! UK ! UK ! » crient-ils en chœur Puis environ 2000 migrants et No Borders absurdes débutent leur marche afin de protester sous les couleurs des vendus de la NPA de la potiche Besancenot et des crasseux de la CNT contre les mauvaises conditions de vie dans leur bidonville excrémentiel. Tous bombent le torse dans la ville, vocifèrent. On emmène de grands Noirs apparemment bien nourris à travers des rues secondaires, on leur désigne l'ennemi, on cible la tannière de l'ennemi, on profite du nombre et de l'encadrement pour régler des comptes et pourquoi pas se faire du fasciste. C'était le moment pour les chiens de punir les Calaisiens repérés pour leur résistance.

    Une vidéo où l’on peut voir une famille française provoquée et agressée par une meute d'étrangers qui ne tolèrent pas que les autochtones puissent ne pas apprécier leur présence anormale sur notre territoire, circule sur le net. Les petits enfants de bourgeois lâchent leurs Blacks sur une famille se sentant prise au piège. Le fils de ce foyer pris pour cible, inquiet pour la sécurité de ses parents, sort une carabine, quelques secondes seulement, en espérant faire fuir la meute. Peine perdue, la horde est pleine d'énergie, elle est survitaminée et lance sur nos innocents divers objets sales et rouilles. Peut-être s'agissait-il là d'un avertissement. La prochaine fois, car il y aura une prochaine fois, les petits Gaulois se feront-ils saigner comme des phacochères d'Afrique ? On peut craindre le pire avec ces faux anars toujours impunis et avec leurs pigeons voyageurs toujours partants pour découper un grillage, escalader un mur, insulter et menacer celui qui ne baisse pas les yeux devant eux. Nous pouvons visionner une myriade de vidéos (sur le net) sur le sujet de l'invasion à Calais. On y voit des migrants sur les quatre chemins, toujours en train de bavarder, de crier, de menacer des automobilistes, de cracher des gerbes tuberculeuses dans les airs. Les témoignages de policiers (diffusés sur des média conformes) sont toujours plus alarmants. Alors que l'autorité de la police s'est évaporée (les CRS ne sont plus ni respectés ni craints), le nombre des envahisseurs augmente d'une manière inquiétante ; ils seraient plus de 12 500 à Calais et à l'ouest de Dunkerque. Aussi est-il de plus en plus facile pour les No Borders de recruter des petits téméraires pour des expéditions spectaculaires et promotionnelles comme celle du 23 janvier quand vers 17h30, au crépuscule, 350 migrants et faux anars se sont introduits dans l'enceinte du port de la ville. Puis 35 d'entres eux ont réussi à embarquer sur un ferry qui venait d'amarrer. Mais, après tout, l'on ne sait si on ne devrait pas remercier les dégénérés prétendument anars pour avoir attiré tant de journalistes, photographes et vidéastes amateurs et permis un bon coup de projecteur sur les singeries calaisiennes et les véritables haines de la Jungle cultivées par toutes les fractions de l'Anti-France que l'on peut imaginer. Un policier qui témoignait sur RMC il y a deux semaines évoquait bien sûr ces prétendus anars mais également la présence d'islamistes qui fanatiseraient nos pauvres migrants. Ce n'est guère surprenant. Ceci dit, nous devons nous pencher de plus près sur cette mouvance prétendument anarchiste se faisant appeler No Border. Ses motivations paraissent pour le moins équivoques.

    Les no borders agents du nouvel ordre mondial

    Ces militants ont toutes les caractéristiques des décérébrés de notre temps, bourrés de préjugés conformes sur la politique, la nation, la patrie, le catholicisme. Aussi n'est-il pas étonnant que ces foutriquets se précipitent sur des nomades apatrides, déserteurs, vagabonds, abandonnant femme et enfants en crachant sur toutes les "normes" pour venir les câliner. Ces bousiers viennent rouler leurs boules. Mais ce qui est le plus surprenant, c'est cette volonté d'aider tous ces allogènes à rejoindre l'Angleterre néo-capitaliste où ils finiront dans de vieilles cuisines à travailler 10 heures par jour, au noir évidemment. Les grosses allocations dévolues aux réfugiés ne dureront pas éternellement mais suffisamment pour que nos rôdeurs prennent goût à la grosse ville, au sexe underground, à la drogue, à la fête. Ils travailleront pour la mafia dans les cuisines ou dans la rue en vendant tout ce qu'il faut bien écouler pour remplir les caisses noires de nos élites politiques et économiques. C'est comme cela, après tout, avec cette huile dans les rouages, que le Système fonctionne et nos No Borders ont un rôle à jouer dans sa perpétuation. Plusieurs blogueurs ont par ailleurs montré en fouillant les sites affidés aux No Borders que ces derniers étaient financés (et les donateurs ne sont pas pingres !) non seulement par des institutions publiques et l'Union Européenne, mais également par des ONG mondialistes et des officines subversives antinationales et antiblanches comme celles pilotées par le trop célèbre Georges Soros.

    Voici la liste des commanditaires qui attendent « du concret en retour » : la Commission européenne, le Conseil de l'Europe, le Conseil œcuménique des Eglises, la Rothschild Fondation, le Jewish Humanitarian Fund, l’Open Society de George Soros, l'OSCE, le patronat et le gouvernement fédéral allemand (Foundation Remembrance, EVZ), le Home Office Britannique... Et la liste n'est pas exhaustive. Il est donc désormais difficile de croire que les No Borders sont dans le collimateur des autorités comme l'affirme et le réaffirme (dans chaque article consacré à ce sujet) La Voix du Nord, le premier journal régional du Nord-Pas-de-Calais. Et puis, si ces crétins corrompus étaient vraiment considérés comme des individus dangereux pour le pouvoir et le Système, pourquoi leurs manifestations seraient-elles autorisées et non interdites comme tous les rassemblements réellement nationalistes ? Cependant, nous ne pouvons nous empêcher de penser que s'il fallait exaspérer la population locale et française (de plus en plus inquiète par ces nuées d'étrangers), nous ne nous y prendrions pas autrement. Insultes, dégradations, violences, excitation, affrontements, saletés, menaces, intimidations, et le tout filmé mille et une fois. Comment ne pas s'interroger sur cette extraordinaire permissivité alors que les migrants sont déjà, sans ces moucherons énervants, très excités envers les indigènes et également à rencontre d'autres migrants d'autres cultures ? Pourquoi inoculer en eux une dose supplémentaire de virus rabique ? La tension doit monter, c'est certain. Cette tension sert les intérêts du Système.

    À propos de la violence des migrants, on évoquera ici la brutale expédition de migrants forcenés attaquant le campement de réfugiés qui ont la particularité d'être chrétiens, un christianisme inacceptable, élément intolérable de l'identité selon leurs assaillants musulmans. Cette scène de guerre s'est déroulée dans les Grandes Synthes à l'ouest de Dunkerque où les migrants s'entassent désormais par milliers. Néanmoins, cette tension-là constitue pour le pouvoir en place un épiphénomène qui ne devrait pas contrarier (après tout les chrétiens sont une infime minorité qui se dissipera ou disparaîtra...) son projet de faire de tous ces "réfugiés" de la main d'oeuvre bon marché, d'abord en Allemagne puis en Angleterre et en France quand les coûts de la main d'oeuvre auront baissé car ils baisseront nécessairement dans la configuration de la mondialisation que le pouvoir veut inéluctable. Le Fonds monétaire international n'a-t-il pas plaidé lors du dernier forum de Davos pour une intégration rapide des migrants sur le marché du travail ? L'idée du FMI et de la grande sauterelle Christine Lagarde n'est-elle pas de fournir à ces masses frustes du travail « pas cher » et ainsi de faire pression sur le niveau moyen des salaires en Europe ?

    Une pourriture européenne

    Pourtant la situation est en train de pourrir, et partout en Europe des affaires aussi glauques qu'emblématiques deviennent virales sur la toile et écœurent les autochtones jusqu'à la nausée chronique. En Italie, à Vintimille, une pauvre fille ayant appartenu brièvement à la mouvance stipendiée des No Borders a été férocement violée par un grand Noir clandestin avec qui elle faisait la fête dans le campement il y a environ un mois. (Pour anecdote, la pauvre violée a dû subir les pressions de ses camarades immigrationnistes qui la supplièrent de ne rien dire de son calvaire afin de ne pas nuire à l'image de leurs petits protégés clandestins. À bout, la malheureuse, trompée par l'idéologie cosmopolite, trompée par l'image fantasmatique des migrants, trompée par ses "amis" a craqué).

    En Suède, horreur parmi les horreurs, la police a échoué à sauver un garçonnet de 10 ans que les migrants ont violé les uns après les autres. La police suédoise a été tout simplement obligée de s'enfuir pour sauver la vie de ses agents lors d'une attaque par des migrants. Les policiers essayaient d'extraire cet enfant martyr suite à des accusations de viol dans un centre pour "réfugiés". Voici la version traduite lue dans le journal suédois Vestmanlands Lans Tidning : « Les agents sont entrés dans le centre pour demandeurs d'asile de Västeras pour sauver le jeune garçon qui avait été violé de façon répétée par les "migrants" ».

    Peu avant leur arrivée, les équipes du centre avaient essayé de sauver le garçon mais ont été stoppées par la foule des migrants. Elles ont alors appelé la police.

    Un des officiers a déclaré : « Toujours plus de gens apparaissaient derrière nous. J'étais prêt mentalement à me battre pour rester en vie. » Puis le 25 janvier, une jeune femme qui travaillait dans un centre venant en aide aux clandestins a été assassinée par un migrant. C'en est trop. Et le vieux sang Viking qui coule dans les veines des Suédois jusqu'ici endormis s'est mis à bouillir, la rage se mêlant au dégoût profond inspiré par cette monstruosité qui s'ajoute à tant d'autres. Le 30 janvier (samedi) dernier, des descendants de vikings cagoules ont bousculé des migrants un peu trop "tactiles" avec les femmes du pays. On dirait bien que les exigences sexuelles des migrants, qui fuient l'on ne sait plus trop quoi (ils proviennent, ceux-là, d'Afrique du Nord), leur font perdre la boule. Si les peuples de notre continent pouvaient enfin voir dans cette lubricité brutale l'aveu de leur atavisme irréductible, nous ferions un grand pas en avant vers notre délivrance.

    François-Xavier Rochette Rivarol du 4 février 2016

  • Arrestation du Général Piquemal à Calais : L'heure du réveil est venue

  • Merci, mon général !

    « Un pays multiculturel, multiracial, métissé, ne peut l’être que si les personnes qui constituent la France depuis l’origine ne deviennent pas minoritaires. Nous sommes en train d’évoluer vers cette France ouverte à tous. Notre pays a peur de son passé, de son histoire. On recule devant tout, nous sommes dans un état de repentance permanente. La fierté disparaît au profit de la génuflexion. Les repères ont disparu, la société est déliquescente et les médias qui font l’opinion arrivent à conditionner le pays et à orienter la politique de nos dirigeants. Le pouvoir médiatique façonne les esprits, les mentalités, et les plus hautes autorités de l’Etat sont dépendantes de la presse. »

    Général Piquemal

    Présent du 13 juillet 2010 

    Nous savions, certes, que l’ordre public était gravement troublé à Calais par ces milliers de « migrants », chaque jour plus violents dans une « jungle » où l’on vole, tue, rackette. L’ordre public est violé aussi lorsqu’ils envahissent les maisons des particuliers ou quand les casseurs de No Borders les excitent et les arment pour en découdre avec la police. Et cela dans l’impunité face à une justice débordée et impuissante. Alors, lorsque nous avons appris que la préfète, obéissant au ministre Cazeneuve, avait décidé de mobiliser la police et la gendarmerie pour prévenir « des troubles à l’ordre public » le samedi 6 février, nous avions une bonne raison de nous réjouir. Las ! Ce n’est pas ces milliers d’individus qui pourrissent la vie des Calaisiens que les forces de l’ordre ont chargés, mais quelques centaines de patriotes qui protestaient contre cette situation scandaleuse.

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  • Christian Estrosi, anticonstitutionnel et antirépublicain

    Il a décidé d'établir une assemblée parallèle où siègeront des membres non élus appartenant à divers partis, y compris battus tels que le PS ou EELV.
    La Constitution française précise que « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. » Pourtant, Christian Estrosi, président de la région PACA, a décidé d’établir une assemblée parallèle où siégeront des membres non élus appartenant à divers partis, y compris battus tels que le PS ou EELV.
    Nous sommes donc face à une infraction à la Constitution, en flagrant délit. Mais existe-t-il une instance quelconque compétente pour juger une telle affaire ? Devrait-on qualifier d’antirépublicain tout parti y participant ? Pour l’heure, seul le Front national a refusé d’y participer, comme l’a annoncé Marion Maréchal-Le Pen. Devrait-on déchoir de ses droits civiques ou rendre inéligible toute personne y prenant part ? Doit-il y avoir une condamnation de ce genre d’action de la part des élites ? Y aura-t-il des personnes pour condamner publiquement de tels agissements ? On en voit, dans d’autres cas de figure, prendre position publiquement : où sont-ils, aujourd’hui ?

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