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lobby - Page 1471

  • L'extrême droite défile à Cologne après les violences

    Théâtre au Nouvel An d'une vague d'agressions qui scandalise l'Allemagne, Cologne doit voir défiler samedi une manifestation du mouvement islamophobe Pegida, nouveau signe de la focalisation de l'affaire sur les réfugiés malgré les zones d'ombre de l'enquête.
    Bien loin de leur fief de Dresde (est), les "Patriotes européens contre l'islamisation de l'Occident" ont appelé à un rassemblement à partir de 14H00 locales (13H00 GMT) devant la gare de la cité rhénane, sous le mot d'ordre "Pegida protège".

    Sur sa page Facebook, le mouvement créé à l'automne 2014 assure ne pas "instrumentaliser" les vols et violences sexuelles de la Saint-Sylvestre, qui ont déjà fait l'objet d'environ 200 plaintes selon le Spiegel.
    Mais son fondateur Lutz Bachmann posait tout sourire cette semaine sur son compte Twitter, affublé d'un tee-shirt proclamant "Rapefugees not welcome", détournant le message de bienvenue aux migrants pour les accuser d'être des violeurs.
    - Les réfugiés au coeur des débats -
    La manifestation de Pegida, à laquelle s'ajouteront des contre-rassemblements de gauche, illustre la dimension très politique qu'ont rapidement pris dans le pays ces agressions commises en groupes.
    Le manque d'informations claires sur l'enquête et l'inaction des forces de l'ordre le soir du Nouvel An ont contribué vendredi au limogeage du chef de la police de Cologne Wolfgang Albers.
    La police fédérale a identifié 32 suspects, dont 22 demandeurs d'asile, et a relevé 76 infractions dont 12 à caractère sexuel, parmi lesquelles 7 agressions physiques, a indiqué vendredi soir le ministère de l'Intérieur, actualisant de précédents chiffres.
    La police de Cologne, qui mobilise de son côté une centaine d'enquêteurs pour exploiter entre autres indices 350 heures d'enregistrements vidéo, dispose de son côté de 16 suspects sur lesquels elle n'a donné aucune précision.
    Un porte-parole a seulement indiqué que, "dans certains cas", la trace des téléphones portables dérobés le soir du Nouvel An conduisait "vers des centres d'accueil de demandeurs d'asile ou à leur proximité immédiate".
    Au-delà des insuffisances de la police, le débat s'est rapidement concentré sur les conséquences des événements pour la politique d'accueil des réfugiés de la chancelière Angela Merkel, alors que le pays a vu affluer en 2015 1,1 million de demandeurs d'asile.
    "Il faut réduire sensiblement le nombre, nous ne pourrons pas accueillir chaque année un million de réfugiés", a estimé vendredi le chef de file des députés du parti social-démocrate, Thomas Oppermann.
    - Faciliter les expulsions -
    La coalition au pouvoir à Berlin cherche à envoyer un message de fermeté en insistant sur des procédures d'expulsion facilitées pour les demandeurs d'asile délinquants.
    "La question qui se pose après Cologne" est "quand perd-on son droit de séjour chez nous?", a demandé Mme Merkel vendredi soir, lors d'une réunion de son parti conservateur à Mayence (sud-ouest).
    La loi allemande impose actuellement une condamnation d'au moins trois ans de prison pour permettre l'expulsion d'un demandeur d'asile pendant l'examen de son dossier, à la condition supplémentaire que sa vie ou sa santé ne soient pas menacées dans son pays d'origine.
    "Et là il faut se demander s'il ne faut pas le perdre plus tôt (que ce qui est prévu aujourd'hui), et je dois dire que pour moi il faut le perdre plus tôt", a estimé Mme Merkel.
    Une forme de surenchère s'est même engagée au sein de la coalition gouvernementale sur le sujet entre la CDU et les sociaux-démocrates, dont le président Sigmar Gabriel a suggéré de renvoyer les réfugiés condamnés dans leurs pays pour qu'ils y purgent leurs peines.
    Mme Merkel elle durcit jour après jour son discours. Vendredi, elle a jugé qu'il y avait "encore beaucoup trop" de réfugiés qui continuaient à arriver dans le pays.

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVkFkAFplklPjnxbi.shtml

  • L’Allemagne déjà incapable de gérer les migrants

    Les violences insupportables subies par des dizaines de femmes allemandes, le 31 décembre dernier, posent le problème de l’accueil d’un million de migrants par l’Allemagne. Elles renvoient surtout Angela Merkel à ses responsabilités... 
    C’est une drôle de fin d’année qu’ont connue les Allemands, dans quelques unes des principales villes de leur pays. A Stuttgart, lors de la nuit de la Saint-Sylvestre des jeunes femmes ont été agressées sexuellement et dépouillées par 15 hommes dont la police sait seulement qu’ils sont originaires de la région méditerranéenne. A Hambourg, d’après le Bild, de jeunes étrangers, également originaires d’Afrique du Nord se sont mis en bandes pour agresser des jeunes femmes. D’abord seulement verbalement. Puis les victimes ont été encerclées et dévalisées. Avant que les hommes s’attaquent à elles physiquement. Ce n’est pas tout. A Cologne, des douzaines de femmes qui souhaitaient fêter le nouvel an ont été victimes d’une nuée d’agresseurs devant la gare de Cologne. Les policiers ont réussi à attraper et appréhender huit suspects parmi la masse. Ils ont expliqué à la presse que les fauteurs de trouble avaient tous des cartes de séjour pour demandeurs d’asile. 
    En fait il a fallu plusieurs jours pour que l’Allemagne accepte de regarder en face ce qui venait de se passer. Comme si tout cela relevait de l’inimaginable. Comme si une chape de plomb médiatique empêchait de faire le moindre amalgame entre une poignée de migrants et des agressions sexuelles ignobles. Comme si, à l’instar du gouvernement allemand qui a pris les devants, il fallait se refuser à toute instrumentalisation visant les réfugiés. Quant au Ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière il a même été jusqu’à déclarer que l'apparence des agresseurs «ne doit pas conduire à faire peser une suspicion générale sur les réfugiés qui, indépendamment de leur origine, viennent chercher une protection chez nous».  
    Même si Angela Merkel a pris soin de rester à l’écart de cette polémique, c’est elle qui va devoir rendre des comptes à sa nation et au peuple allemand. Car c’est elle et elle seule qui a ouvert grande la porte aux réfugiés, sans concertation avec les autres pays européens et avec les différents politiques. C’est elle qui a souhaité, par ce geste, humanitaire, effacer les crimes imputés à l’Allemagne il y a plus de soixante-dix ans. C’est elle qui a cru que ces migrants allaient pouvoir s’intégrer aussi facilement que l’Allemagne de l’Ouest et celle de l’Est se sont réunies il y a 25 ans. Elle a juste oublié que ces migrants sont porteurs d’une autre culture, d’un autre rapport à la femme (qu’ils voilent la plupart du temps) et que leur désir n’est pas de s’assimiler mais d’importer leurs mœurs et leur mode de vie en communauté.  
    Ce faisant la Chancelière n’a pas seulement ouvert ses frontières de manière aveugle, elle a aussi ouvert la Boite de Pandore, celle qui dans la mythologie grecque laisse s’échapper des quantités de catastrophes. Elle a pris le risque de faire éclater l’Europe de Schengen, comme on l’a encore vu ces jours-ci avec la fermeture des frontières décrétée par le Danemark. Elle a fragilisé la coalition gouvernementale au pouvoir et créé un malaise profond au sein d’une classe politique placée devant le fait accompli. Surtout elle a semé les germes d’une réaction violente des «Allemands de souche» attachés à leur identité, à leurs frontières, à leur culture et à leur prospérité, qui n’ont pas envie de voir leurs efforts de plusieurs décennies mis à sac par un million de migrants. Angela Merkel qui s’était posée en grande donneuse de leçons sur l’Ukraine et la Crimée se retrouve désormais en grandes difficultés sur son territoire. Ce qui confirme qu’il vaut mieux s’occuper de la poutre qui obstrue son regard que de la paille qu’elle visait dans le regard des dirigeants russes.

  • I Média S2e39 - Agressions sexuelles des migrants en Allemagne la grande gène des médias

  • La Hongrie opposera son veto à des sanctions de l'UE contre la Pologne

    Les technocrates de Bruxelles sont prévenus :

    "Quels que soient les gesticulations des institutions européennes contre la Pologne, elles ne pourront pas aboutir à des sanctions. Car la Hongrie opposera son veto, a déclaré ce matin Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, à la radio publique de son pays : «L’Union européenne ne devrait pas penser infliger quelque sorte de sanction que ce soit à la Pologne, parce que cela requiert l’unanimité, et que la Hongrie ne soutiendra jamais une quelconque sanction contre la Pologne. »"

    A noter par ailleurs que Viktor Orban a reçu la visite du premier ministre britannique, venu chercher du soutien dans sa demande de réforme de l'UE.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attentat avorté dans le XVIIIe : un an après « Charlie », ils osent encore nous faire le coup du déséquilibré

    Attentat déjoué hier dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Malgré l’évidence, Taubira affirme qu’il n’y a aucun lien avec la radicalisation et que tout fait penser au déséquilibré.

    Ça devient lassant, à force, d’être pris pour des idiots.
    Hier, au jour et pratiquement à l’heure de l’attentat contre Charlie Hebdo, un homme se jette sur des policiers en faction devant le commissariat de la Goutte d’Or, armé d’un hachoir et criant « Allah Akbar ». Le fonctionnaire dégaine et tire, tuant l’assaillant. Plus tard dans la journée, le parquet annonce qu’un « téléphone portable et un papier sur lequel figurent un drapeau de Daesh et une revendication manuscrite non équivoque en langue arabe » ont été retrouvés sur l’homme neutralisé par les policiers. Le document fait en effet état d’une vengeance pour les morts en Syrie et le terroriste prête allégeance à Al-Baghdadi, le leader de l’État islamique. L’homme portait sur lui une ceinture d’explosif factice.
    Une enquête en flagrance est ouverte pour « tentative d’assassinat sur personnes dépositaires de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste », sous l’autorité de la section anti-terroriste du parquet de Paris. Elle révèle rapidement que l’homme, un marocain d’une vingtaine d’années connu de la police pour vol, disposait d’un téléphone portable avec une carte SIM allemande. Arrêté il y a deux ans pour vol, il avait fourni une fausse identité.

    Ce qui apparaît très clairement de ce qui est connu de cette personne (c’est qu’elle) n’a aucun lien avec la radicalisation violente, aucun […] Une ceinture d’explosif factice, ces cris, cette allégeance dans la poche, ce sont des signes qui peuvent le raccorder à un réseau, mais en même temps cela peut être des signes de déséquilibre. L’enquête fera la clarté de tout cela.

    affirme pourtant Taubira. Et c’est là qu’on en a assez d’être pris pour des idiots. Qu’il faille être un peu « déséquilibré » pour se jeter sur des policiers arma d’un hachoir et d’une ceinture d’explosifs factice, certes. Il faut l’être aussi pour pénétrer dans une salle de spectacle et tuer une centaine de personnes à la Kalachnikov et au couteau.
    Mais d’affirmer tout de go qu’un type qui cherche à mourir en tentant de tuer des policiers à l’arme blanche en hurlant « Allah Akbar » n’a aucun lien avec la radicalisation islamique, même le pire des bobos islamophiles n’y croit plus.
    Pitié, Mme Taubira, à défaut de démissionner, taisez-vous.

    C.D.

     

    http://fr.novopress.info/

  • Agressions sexuelles à Salzburg (Autriche) comme à Cologne : des agressions planifiées ?

    Selon le Spiegel. Voici une carte des agressions sexuelles (pointez votre souris sur la carte...)

     A chaque fois, des dizaines de jeunes femmes sont venues demander de l'aide aux policiers après avoir été agressées d'abord verbalement, puis physiquement et sexuellement par des groupes de jeunes hommes d'Afrique du Nord et/ou des pays arabes qui, profitant de la foule, se sont mis à s'adonner à des attouchements sur les femmes. 

    Il y a une étonnante similitude entre ces faits :

    Capture d’écran 2016-01-08 à 07.29.34

    Et si qui s'était déroulé place Tahrir en Egypte, lors du fameux printemps arabe en 2012 :

    Capture d’écran 2016-01-08 à 07.30.43

    Michel Janva

  • Terrorisme : le double jeu de Christiane Taubira

    La ministre de la Justice se dit opposée à la déchéance de nationalité. Mais elle va devoir endosser des réformes sécuritaires voulues par le gouvernement.
    Fragile caution de gauche de l'exécutif, Christiane Taubira semble plus seule que jamais. Après les attentats meurtriers de janvier, puis ceux de novembre, on l'attendait là où elle a toujours brillé : une vigie des libertés et du progressisme, un bouclier contre les démagogies. Depuis sa prise de fonctions, la ministre de la Justice n'a eu de cesse de vouloir « redonner du sens à la peine » et de faire sauter les verrous idéologiques qui enferment la matière pénale. Aussi, la voir aujourd'hui endosser au nom du gouvernement – alors qu'elle y est parfaitement opposée – une mesure comme la déchéance de nationalité laisse pantois.
    Jeudi sur i>Télé, la ministre de la Justice a ainsi tancé une mesure aussi inutile qu'inutilement blessante, à l'efficacité « absolument dérisoire ». Avant, aussitôt, de redire sa loyauté au président de la République et au gouvernement. Une dernière ruade avant de rentrer dans les rangs. François Hollande a jusque-là toujours toléré les libertés que sa ministre de la Justice prenait, au nom de ses convictions personnelles, avec la solidarité gouvernementale, jugeant qu'elle lui apportait les faveurs indispensables d'une partie de la gauche. Mais pour combien de temps encore ? Dans son édition datée du vendredi 8 janvier, Le Monde titrait ainsi : « Taubira assume le virage sécuritaire ». Cruel pour l'icône socialiste.
    « Très loyale »
    « Elle est surtout très loyale », la défend Jean-Pierre Sueur, vice-président PS de la commission des Lois du Sénat. « Tout cela est de la faute de Hollande, lance un autre parlementaire. Tout le monde lui avait dit : ne fais pas la déchéance de nationalité, ça va mettre un binz pas possible. Résultat, Taubira s'est fait piéger. » De nombreux élus militent aujourd'hui pour abandonner la déchéance, et se prononcent en faveur d'une peine d'indignité nationale, seule capable de rassembler la gauche. Cela consisterait par exemple, à l'occasion d'une condamnation, à priver une personne de ses papiers d'identité, de ses droits civiques, ou encore de son autorité parentale. « C'est le seul moyen de sortir de ce débat très politicien dans lequel on s'est engagés et de résoudre un problème insoluble : on ne peut pas faire d'apatrides », assure Jean-Pierre Sueur.
    Christiane Taubira n'a pas fini d'avaler des couleuvres. La déchéance de nationalité n'est rien comparé à ce qui l'attend. Dans les prochains mois, la garde des Sceaux va devoir assurer le service après-vente de textes ultra-sécuritaires, qui transposent en droit commun des mesures inspirées de l'état d'urgence, et destinées à durer dans le temps. Parmi elles, la possibilité pour les préfets d'assigner à résidence des personnes de retour de Syrie et de les soumettre à un tas d'obligations. « Un contrôle judiciaire sans juge », résume le journaliste Franck Johannès. Comprendre : des droits moins garantis. Le gouvernement promet que le texte évoluera dans les prochains jours et sera modifié via des amendements parlementaires. « On n'est pas encore sous Pol Pot, sourit le député PS Dominique Raimbourg. Mais on devra nous laisser du temps à l'Assemblée pour examiner tout cela. »
    Un pot-pourri de procédure pénale
    Pour pouvoir agir rapidement, le gouvernement se sert d'un texte sur la simplification de la procédure pénale, que Christiane Taubira devait défendre devant le Parlement début février. Le gouvernement l'a largement raboté, pour y ajouter des mesures répressives, issues de deux autres projets de loi : l'un soutenu par Michel Sapin sur la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme ; l'autre, en cours d'élaboration, sur le renforcement des pouvoirs des préfets, de la police et du parquet. Toutes ces mesures vont accoucher d'une sorte de "pot-pourri de procédure pénale", sans aucune cohérence, qui devrait être distribué aux parlementaires à la mi-février. « Nous devons faire attention, prévient Jean-Pierre Sueur. Nous aurions préféré avoir trois textes différents. Nous ne tenons pas à instaurer en France un état d'urgence permanent. Tout devra se faire sous le contrôle du juge. »
    Sous le feu des critiques, Christiane Taubira et Bernard Cazeneuve ont réagi dans une tribune commune publiée dans Le Monde et intitulée : « Non, le gouvernement ne procède pas à une mise à l'écart de la justice ». Il s'agit d'une « contrevérité », affirment les deux ministres, « une offense aux convictions qui n'ont cessé de dicter nos choix dans une période trouble ». Le projet du gouvernement conduit pourtant bel et bien à accroître les pouvoirs des préfets. Mais également ceux des procureurs, qui pourront par exemple avoir recours à des techniques d'espionnage poussées, des prérogatives jusque-là réservées aux juges d'instruction. « Avant d'accroître le pouvoir des procureurs, encore faut-il les rendre indépendants vis-à-vis du pouvoir politique. Il faut enfin mener la réforme constitutionnelle sur l'indépendance du parquet ! » lance le respecté Jean-Pierre Sueur. Une promesse du candidat Hollande que l'on avait presque oubliée. À force d'avaler des couleuvres, Christiane Taubira voit ressurgir les vieux serpents de mer.

    Marc Leplongeon

    Le Point.fr :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuVkkukFlkauxzyOGI.shtml

  • La haine de nos élites

    Dire aujourd’hui que nos élites européennes nous ont abandonnés ne relève vraiment plus d’une idée farfelue. Affirmer que nos dirigeants déconstruisent patiemment nos territoires charnels, au nom de l’utopie multiculturaliste, ne peut plus être considéré comme une ineptie. Il faut que nous prenions conscience que le changement ne peut plus venir de ceux qui nous trahissent.

    Au niveau du « grand foutage de gueule », nous pouvons reconnaître que l’année 2015 fut un excellent cru ! Les attentats à Paris n’ont fait que confirmer l’échec cuisant de notre « vivre ensemble » symbolisé par un communautarisme de plus en plus sectaire et par une islamisation de plus en plus forte des sociétés européennes. Le mensonge des autorités européennes sur l’invasion de masse que subit notre continent, en faisant passer des clandestins pour des réfugiés, n’est que l’aboutissement d’une logique mise en place depuis plus de trente ans par notre classe politique hors-sol. Assister, sans que cela n’éveille un début d’indignation, au lynchage médiatique du Front National, considéré par certains comme la principale menace pour notre pays et considéré par d’autres comme une formation politique proche de Daesh, fut un moment assez troublant pour comprendre finalement que l’État français est réellement entré en guerre. En guerre non pas contre l’islamisme comme il le laisse trop souvent entendre, mais contre son propre peuple qui a osé voter massivement pour un parti patriote !
    Ce fut aussi une année pour comprendre que notre démocratie s’est bien éloignée de ses principes, car aujourd’hui la souveraineté de notre pays n’appartient plus au peuple. Cette souveraineté a été confisquée par une oligarchie mondialiste, capable de balayer d’un revers de main, au nom d’une morale liberticide, toute réaction citoyenne contraire à leurs intérêts. Pour confirmer mes dires, je ne prendrai que l’exemple du Front National devenu en 2015 le premier parti de France, ne disposant pour représenter ses électeurs que de deux députés sans avoir pu remporter aucune région alors qu’il fut en tête dans 6 d’entre elles !

    2015, ce fut aussi la réaction citoyenne d’Ajaccio. Comme je l’ai déjà dit précédemment, ce fut une bouffée d’oxygène de voir des Européens encore capables de dire non à la loi des racailles. Dans cette affaire, nos politiques ont été fidèles à leurs convictions. Ils ont préféré traiter les citoyens de racistes pour empêcher toute liberté d’expression de peur de voir voler en éclat leur sacro-saint « vivre ensemble ». Cette année fut celle aussi de la justice républicaine partisane, capable de relâcher des multirécidivistes au nom de l’égalité des chances. Ce fut aussi celle des agressions racistes contre les Européens de souche, agressions physiques et verbales en constante augmentation, agressions non reconnues par le système, car, pour celui-ci, le Blanc ne peut être que coupable. Cette réalité, qui n’est pas née du fantasme de cerveaux malades et névrosés, comme le laisse entendre la propagande officielle, s’est encore exprimée avec une grande brutalité à Cologne, Hambourg et Stuttgart, en Allemagne, où plus d’un millier d’hommes, issus de l’immigration récente ou plus ancienne, ont donné la chasse à toutes les femmes allemandes qu’ils rencontraient dans la rue. Avec ces multiples agressions sexuelles dans la même soirée, nous franchissons désormais un nouveau cap !

    Face à ces scandales à répétition, quelle est la réponse du système ? Les Européens, égoïstes et racistes, selon nos moralisateurs, doivent impérativement apprendre à vivre avec l’étranger, sans cesse encensé, innocenté, en changeant si possible radicalement leurs habitudes pour ne plus le stigmatiser. L’étranger est venu s’installer chez nous pour notre bien et nous devons, sans aucune condition préalable, lui faire une place au sein de nos sociétés, pour ne pas dire tout simplement lui laisser la place. C’est pour cette raison que les Identitaires et les patriotes dérangent. Pour nos dirigeants, ils doivent disparaître d’Europe, car leur logique de résistance enracinée dans une histoire et une mémoire n’est plus compatible avec le modèle communautariste tant promu par l’élite du moment.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/196724/haine-elites/#more-196724

  • La répression disproportionnée contre la LMPT est bien plus qu’un simple accident de parcours

    Le défenseur des droits a épinglé le Ministère de l’Intérieur pour son usage disproportionné de la force contre certains militants de la Manif pour tous en 2013, avec notamment 40 mères de familles encagées pendant 2h alors qu’elles manifestaient pacifiquement sur le Champ-de-Mars. Ludovine de la Rochère déclare à Atlantico

    "La réaction du Gouvernement a été tout à fait disproportionnée et absolument contraire à un certain nombre de libertés fondamentales, et cette propension n’a fait qu’augmenter avec le temps.

    Ni le Président de la République, ni le Gouvernement ne souhaitaient débattre et ouvrir un dialogue. Quand François Hollande a reçu la porte-parole de la Manif pour Tous en janvier 2013, il disait trois jours avant « Je les reçois, mais je ne changerai rien au projet », ce qui est quand même un refus explicit de dialogue et un manque de respect total de la démocratie. Nous avons donc dû intégrer dans nos revendications et nos slogans l’appel aux autorités à respecter la démocratie. Au départ on demandait des Etats généraux et un référendum. Non seulement le dialogue a été refusé, mais il y a eu un vrai déni de démocratie face au mouvement de la Manif Pour Tous. Cela a été ressenti très fortement par nos militants. Un autre élément majeur, c’est cette pétition de 700 000 signataires collectée en trois semaines qui a été piétinée et déclarée non recevable. Cela a introduit de grandes difficultés pour nous en termes de manifestations, de liberté d’expression et de circulation de nos militants.

    Sur le côté répressif, il y a beaucoup à dire. Un grand nombre d’actions en justice sont en cours, et il y a déjà eu en juillet 2013 un rappel à l’ordre de la France sur cette question-là de la part du Conseil de l’Europe. De plus, le défenseur des droits a déjà par deux fois attesté l’usage disproportionné de la force publique. Dans tous nos évènements, du début de la manifestation jusqu’à la dispersion finale, il n’y a pas eu sur le parcours le moindre problème, pas la moindre poubelle renversée. Même les services de nettoyage nous ont appelés pour nous dire qu’ils trouvaient la voie publique bien plus propre que d’habitude dans le cadre d’une manifestation. Il y a eu en effet des débordements, mais après les manifestations. Le Ministre de l’Intérieur de l’époque, Manuel Valls, a agi de deux manières. Il n’a cessé de faire un amalgame volontaire entre les débordements extérieurs et ce qu’il se passait à l’intérieur, et n’a cessé d’utiliser le vocabulaire de la violence pour pointer du doigt un extrémisme supposé du mouvement. Quand on fait le parallèle avec les dégâts sur le Trocadéro suite à un événement du PSG, la différence est énormissime. Néanmoins, à chaque manifestation, Manuel Valls prétendait que c’était dangereux, que les familles devaient venir sans leurs enfants, etc. Il voulait démobiliser et faire croire à un extrémisme qui n’a jamais existé. Pour faire peur aux sympathisants, la pression n’a cessé d’augmenter. En mai-juin 2013, il y a eu environ 1000 interpellations à Paris, sous prétexte de contrôles d’identités alors que dans 99% des cas, les militants avaient leurs papiers d’identité. Il n’y avait aucune raison de les emmener passer 12 heures ou 20 heures au poste. Par ailleurs, les gens retenus pendant des heures étaient libérés sans le moindre document officiel attestant de ce qui était arrivé. Il n’y a jamais eu de condamnation car il n’y avait tout simplement rien à leur reprocher.

    Néanmoins, la pression ne s’est pas relâchée, ils sont allés jusqu’à mettre en prison un jeune qui a été libéré en appel parce qu’il n’y avait rien à reprocher à ce jeune. Je pense qu’il y a eu une volonté sincère de faire croire à la violence et de faire peur au public. Soit une utilisation très politique des possibilités qu’a un Etat d’utiliser la force publique. Un autre cas très emblématique : la question du port du sweat.Celui qui portait le sweat de la Manif Pour Tous était susceptible de se faire interpeller et d’être emmené au poste sans la moindre raison. Porter un simple t-shirt rose a conduit à des interpellations. Il y a donc eu un non-respect des libertés fondamentales que nous avons sans cesse dénoncé.

    Enfin, nous avons eu de grandes difficultés à pouvoir organiser des manifestations, avec un nombre stupéfiant d’interdictions. Or, la manifestation n’est pas soumise à un régime de demande d’autorisation, mais à un principe de déclaration. Le pouvoir a clairement usé et abusé des armes à sa disposition pour empêcher au maximum l’expression des opposants à son projet.

    Philippe Bilger ajoute : 

    "Je n’ai participé moi-même à aucune manifestation, l’opinion que je vais formuler est donc celle d’un citoyen informé médiatiquement. A partir de là, il est évident que la Manif pour Tous a été mal traitée lors des manifestations. C’est comme si, à l’égard de ces manifestants qui avaient le droit de protester contre le mariage pour tous qui n’était pas encore voté, l’Etat avait voulu faire preuve d’une autorité, d’une force et d’une rigueur qu’il était incapable de mettre en œuvre dans d’autres circonstances. Autrement dit, des manifestants déterminés, convaincus mais pacifiques lui permettaient d’asseoir plus aisément une autorité qu’avec des brutes ou des voyous. C’est très clair. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Conversion d’une ancienne FEMEN

    C’est un retournement total ! Sara Giromin, fondatrice des FEMEN au Brésil, dénonce le féminisme et l’avortement, et s’excuse auprès des chrétiens.
    Elle avait lancé le mouvement féministe en 2012. Elle menait des opérations « seins nus » pour protester contre l’exploitation des femmes. En octobre dernier, elle a publiquement renié son engagement…

    Elle a dénoncé les abus dont elle a fait l’objet de la part du mouvement féministe
    Comme bien d’autres FEMEN, Sara Giromin a quitté le mouvement rapidement après l’avoir intégré, en 2013, dénonçant le « business » qui en était à la base. Elle a alors créé un autre mouvement.
    Elle espérait trouver dans ce milieu une aide après être entrée dans la prostitution à l’adolescence. S’en étant ouverte à une universitaire féministe, celle-ci l’avait félicitée pour cette activité… C’est une femme plus âgée, réputée « conservatrice », qui l’a aidée à en sortir.

    Elle critique violemment l’idéologie féministe et rejette l’idéologie du genre, « obligatoire » au sein du mouvement
    Aujourd’hui, elle dénonce le féminisme comme une « secte » qui utilise les femmes comme des objets, fait la promotion du lesbianisme et « promeut la destruction de la famille traditionnelle et de toutes les valeurs morales de la société ».
    Elle écrit encore : « dans le mouvement féministe, les femmes n’ont aucune importance, mais ne servent que de carburant pour alimenter la haine que la secte féministe ne peut pas se permettre de laisser mourir ».

    Elle s’est aussi excusée auprès des chrétiens…
    … pour avoir échangé un baiser lesbien sur fond de crucifix et d’église, photo devenue un emblème de l’activisme homosexuel et antichrétien au Brésil.
    Elle a aussi dit son regret d’avoir avorté jadis, et mis en garde les femmes qui hésitent à avorter.
    Ce qui a provoqué ce revirement, c’est la naissance de son enfant, qui lui a fait prendre conscience de la signification de la vie.
    L’ancienne FEMEN donne aujourd’hui des conférences pour dénoncer le féminisme, l’idéologie du genre et le marxisme culturel !
    En France, ce mouvement sévit toujours…

    http://fr.novopress.info/196713/conversion-dune-ancienne-femen/