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lobby - Page 1526

  • Tiens bon Marine !

    L’affaissement de cet Etat rongé par le manque de courage, l’esprit de démission, sa soumission, par le bas, aux communautarismes multiculturels, et par le haut, à une Europe atlanto-bruxelloise qui le  vide de sa substance et de son autorité, est chaque jour plus criant. Nous le constatons encore avec les exactions et les violences commises par des «gens du voyage» ces dernières semaines. En août, ils ont saccagé en toute impunité du  mobilier urbain, bloqué la circulation sur l’autoroute A1 dans la Somme,  pour réclamer la permission de sortie de prison  de l’un  des leurs afin qu’il  puisse assister aux funérailles de son père. Ces derniers jours, ils ont bloqué pendant plus de deux semaines ( !) la gare de Castres (Tarn)  dans laquelle  plus un train ne circulait, terrorisant employés et riverains,  pour se venger de la fermeture d’un camp d’accueil…en  cours   de rénovation. Malgré la décision  du  tribunal de grande instance de Castres, l’Etat n’a pas jugé urgent d’ordonner le recours  à la force publique pour  rétablir la liberté de circulation et  faire respecter la loi républicaine.

    Hier, c’est la commune de Moirans (Isère) qui a été saccagée,  ravagée  par des  gens du voyage (les dégâts sont évalués à 200 000 euros rapporte France info) qui  exigeaient que deux voyous incarcérés  appartenant à leur communauté  bénéficient d’une permission de sortie de prison pour assister aux obsèques d’un membre de leur famille. A chaque fois,   aucune interpellation n’a été effectuée,  mais rassurez braves gens, Manuel Valls et Christiane Taubira ont tweeté pour  nous  assurer de leur fermeté, de leur  attachement  au respect de la loi…de qui se moque-t-on ?  

    Hier toujours, le parquet a demandé la relaxe de Marine Le Pen qui comparaissait  devant le tribunal correctionnel de Lyon  pour ses propos condamnant  les prières de rue, suite à l’action en justice menée par l’Observatoire national contre l’Islamophobie du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) d’Abdallah Zerki, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), le Mrap,  la Ligue judiciaire de défense des musulmans (LJDM) de  Karim Achoui, la Licra (voir notre article publié hier).

    Dans ce contexte, Le Parisien a mis en ligne sur son site un article dont la tonalité est assez récurrente ces dernières années, à savoir les efforts entrepris par le FN pour draguer l’électorat musulman,  avec la distribution «d’un magazine fait sur mesure» «aux habitants des zones dites sensibles. Ils comportent un encart spécifique à l’adresse de la communauté musulmane, au titre évocateur :  Musulman peut-être, mais Français d’abord.»

    Plus prosaïquement précise Bruno Gollnisch,  tous les observateurs un peu sérieux savent que  le FN a en effet toujours tendu la main à tous les Français…pour peu qu’ils se reconnaissent  comme tels et partagent nos valeurs civilisationnelles  et patriotiques.

    «La stratégie sera-t-elle payante dans des zones où la gauche se taillait la part du lion mais où le mariage homosexuel a fait des dégâts ?» s’interroge encore cet article. «En 2012, les quartiers avaient voté à 80 % pour Hollande.  C’est un des milieux les plus impénétrables pour eux, assure le député PS Malek Boutih. Reste que Marine Le Pen espère y rencontrer un écho. Ce n’est pas idiot comme stratégie. Pour conquérir des électeurs, il faut dire qu’on s’y intéresse. Le FN est tellement bas dans les quartiers sensibles qu’il ne peut que progresser, analyse Gaël Sliman de l‘institut Odoxa.»

    « Mais pour ce spécialiste, si le Front s’aventure dans les cités, c’est aussi pour des questions d’image : La cible, ce ne sont pas les musulmans, ni les habitants des cités, mais les autres. C’est de la pure communication, une façon de dire regardez, on n’est pas racistes, on a un discours républicain, renchérit le sociologue Sylvain Crépon. Une nouvelle étape dans la dédiabolisation».

    Il est  certain  que le vote d’un très grand nombre de  Français d’origine maghrébine, d’Afrique noire, relève d’une pure logique clientéliste, leurs suffrages   allant  à ceux qui  promettent et distribuent  le plus en terme d’avantages divers et variés. Et à ce jeu là,  la gauche  était assez largement gagnante,  sa réputation de générosité et de laxisme, notamment dans le domaine migratoire,  étant encore mieux établie que celle de la droite républicaine.

     La crise est passée par là,  faute d’argent les promesses sont parfois (souvent)  restées lettre morte et l’abstention, déjà très  importante au sein de populations dont une part non  négligeable ne se sent pas française, a progressé comme partout   sur fond de désillusions grandissantes. Pour ne rien dire, comme le souligne  Le Parisien,  du rejet par des communautés structurées encore par  des valeurs  patriarcales très fortes,   d’une gauche jugée très sévèrement  pour ses attaques contre la morale, la  famille traditionnelle (Taubira, Vallaud-Belkacem). Certains pointent aussi les dégâts engendrés  au sein des potentiels électeurs  musulmans  au tropisme pro-palestinien, par l’image d’«ultra-sioniste» militant, très répandue sur les réseaux sociaux,  que véhicule  Manuel Valls.

    Musulmans qui ont parfois la tête près du bonnet, du moins certains groupes de pression  parlant en leur  nom.  Ainsi Nadine Morano, pour sa citation approximative de De Gaulle sur la France «pays judéo-chrétien»  de «race blanche » («Le peuple français est tout de même avant tout un peuple de race blanche, de culture gréco-latine et de religion chrétienne» disait De Gaulle), est l’objet, comme Marine dans l’affaire citée plus haut,   d’une plainte de  la Ligue de défense judiciaire des musulmans (LDJM). Celle-ci a été  envoyée au parquet de Paris, rapporte l’AFP, au motif de  «provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence en raison de l’origine, de l’appartenance ou de la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée», précise l’avocat de la Ligue, Jean-Baptiste Jacquenet-Poillot.

    Une affaire Morano, dont assez maladroitement, le chevènementiste Elie Arié dont le blogue est hébergé sur le site de Marianne, entend faire un marqueur  entre néo et archéo frontistes.  «Depuis un certain temps écrit-il, Marine Le Pen, avec la collaboration de Florian Philippot, s’est lancée dans une entreprise de  dédiabolisation  du FN, pour mieux coller à la réalité des préoccupations de son électorat, bien éloigné des nostalgiques du régime de Vichy qui sont en train de disparaître à mesure que les années passent (les nostalgiques du gaullisme et du giscardisme  aussi à ce compte là M. Arié !, NDLR) ; il est significatif de voir Florian Philippot opposer son gaullisme aux pétainistes de son parti».

    Il serait assez simple de renvoyer ce blogueur de Marianne  à la lecture du  dernier programme du FN, publié  en 2001,  et il tâchera de nous dire en quoi celui-ci heurterait un nouvel adhérent ou électeur mariniste, un gaulliste, ou en  quoi il serait  pétainiste…

    «Mais l’entreprise reste fragile poursuit M. Arié, et l’opération est loin d’être gagnée : Philippot est le seul à se réclamer du gaullisme, et reste sur un siège éjectable;  le FN continue à s’allier aux seuls partis d’extrême-droite, notamment au Parlement Européen ; ses positions sur certains thèmes sociétaux ( IVG, mariage homosexuel, PMA,  peine de mort, condamnation des propos négationnistes par la loi Gayssot) est loin d’être claire (sic) ; surtout, sa vision de la France reste une vision plus ethniciste que politique et citoyenne (voir les récents encouragements de Bruno Gollnisch à Nadine Morano pour ses propos sur la  race blanche). »

    Outre le caractère un brin  malicieux du « tiens bon Nadine ! » lancé par Bruno à Mme Morano dans les couloirs du parlement européen  alors qu’elle était entourée d’une nuée de  journalistes, la réflexion de M. Arié est très significative d’une incompréhension majeure.

    Il faut en effet véritablement  avoir  une  vision bien désincarnée, étriquée, hors sol de  la France et des Français pour ne pas comprendre que notre nation  n’est pas seulement une construction juridique mais aussi et surtout une réalité charnelle. Et ce n’est pas faire insulte  à nos compatriotes ultramarins ou aux «Français de fraîche date» que de le rappeler. La France à une identité qu’elle entend conserver et c’est là le plus grand dénominateur commun  qui rassemble les électeurs, cadres et dirigeants du Front National. Quelles que soient leurs «origines».

    http://gollnisch.com/2015/10/21/tiens-bon-marine/

  • Zoom : La novlangue : une arme au service de la superclasse mondiale et cosmopolite (20-10-2015)

  • «Jungle» de Calais : doublement du nombre de clandestins en 3 semaines !

     

    La «jungle» de Calais a vu sa population doubler en trois semaines, passant de 3000 à 5500 à 6000, selon la préfète du Pas-de-Calais. Ce campement de clandestins est en train de se transformer en ville dans la ville, avec bibliothèque, restaurants, école… 

    «Il faudrait peut-être un préfet à l’immigration qui n’existe pas et il faudrait peut-être que l’armée vienne pour surveiller ce lieu» a déclaré Natacha Bouchart, maire LR de la ville de Calais, à RMC info, évoquant cette «ville de 6000 personnes où l’on ne sait pas trop ce qu’il s’y passe à l’intérieur».
    Dans le même temps, le gouvernement affiche une fermeté de façade face à l’immigration illégale. Cherchez l’erreur…

    http://fr.novopress.info/

  • Procès politique contre Marine Le Pen

    Depuis la loi du 16 septembre 2011, les prières de rue sont formellement interdites en France. Les occupations de l’espace public par une pratique religieuse sont mal acceptées des Français car symboliques du communautarisme qui gangrène notre pays.

    L’expression publique de la religion est un droit en France, mais les manifestations sur la voie publique doivent faire l’objet d’une déclaration et peuvent être interdites si elles constituent un trouble à l’ordre public. L’appropriation de l’espace public par une religion est, en outre, contraire au principe de laïcité et peut être assimilée à une occupation conquérante, voire séditieuse, du territoire national. Les prières de rue musulmanes, telles que celles qui avaient cours dans le quartier de la Goutte d’Or à Paris, n’ont d’ailleurs rien de comparable avec les manifestations de caractère traditionnel reconnues par la jurisprudence administrative comme ayant un droit à perdurer.

    Forte de ce constat, et en avance sur la loi du 16 septembre 2011, Marine Le Pen avait déclaré à Lyon au sujet des prières de rue : « Je suis désolée mais, pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s’il s’agit de parler d’Occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça, c’est une occupation du territoire. […] C’est une occupation de pans du territoire, des quartiers, dans lesquels la loi religieuse s’applique, c’est une occupation. Certes, il n’y a pas de blindés, pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants. »

    Dans ces propos, nul appel à la haine, mais un simple constat. Marine Le Pen n’a pas dit que la présence de musulmans sur le territoire national constituait une occupation ; elle a simplement indiqué que les prières de rue sont des manifestations de puissance intolérables, et peuvent être comparées à une occupation. Ce n’est pas la même chose. Elle n’a pas jeté l’opprobre sur les musulmans dans leur ensemble mais a pointé du doigt quelques imams, et pratiquants, qui utilisent l’espace public pour faire la promotion de leur religion. Cela serait valable pour des catholiques, des juifs ou des bouddhistes surpris dans la même posture.

    Marine Le Pen avait raison et fut suivie par le législateur un peu plus d’un an après. En effet, des citoyens ne partageant pas la foi des fidèles priant dans la rue étaient empêchés de circuler librement dans la rue. Cela était, et reste, intolérable. On peut d’ailleurs regretter que la loi du 16 septembre 2011 ne soit pas mieux appliquée, les prières de rue existent toujours dans de nombreux quartiers en France, gênant de nombreux habitants.

    Le procès fait à Marine Le Pen est donc purement politique, comme celui, tout aussi ridicule, qui est fait en ce moment à Julien Sanchez, maire de Beaucaire. Des associations communautaires font un lobbying insensé auprès du pouvoir, Christiane Taubira en tête, pour salir et discréditer le Front national à l’approche des élections régionales. Les champions autoproclamés de la liberté d’expression ne se lèveront pas pour défendre Marine Le Pen, comme ils l’ont fait pour le rappeur Médine qui, dans une chanson, avait appelé à « crucifier des laïcards ». Il est plus facile de s’abriter derrière des slogans creux sur le « vivre ensemble » que de se lever contre le fondamentalisme islamiste.

    source :Boulevard Voltaire ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuVuEZVVZnDJENSTk.shtml

  • Viol raciste d’Évry : cela s’appelle l’horreur

     (Présent 8465)

    Lundi, s’est ouvert devant la cour d’assises des mineurs de l’Essonne le procès d’un « jeune » d’origine turque pour « viols en récidive, actes de torture et de barbarie ». L’histoire d’une agression monstrueuse, insoutenable, directement inspirée par des mœurs d’importation, mais dont la justice aura délibérément et honteusement atténué la gravité en refusant de retenir sa dimension raciste.
    8465 P1Mœurs d’importation
    Les faits remontent à la nuit du 30 mars 2014, lorsqu’une jeune femme de 18 ans, de retour d’une soirée passée à Paris, est brutalement accostée par quatre « jeunes » encapuchonnés et armés en sortant de la gare RER d’Evry-Courcouronnes. L’accusé exige d’abord qu’elle lui remette son téléphone portable, puis commence à la fouiller et à s’emparer de ses bijoux. Très vite, la bande l’entraîne derrière un talus, la déshabille tout en la frappant, et la viole. Dérangés par un passant, ils l’emmènent alors dans le parc des Coquibus, où l’accusé abuse à nouveau d’elle tandis que les trois autres la frappent à coups de bâton. Près de deux heures durant, ses tortionnaires s’acharneront sur elle, la violant à plusieurs reprises, la torturant, et l’humiliant, notamment en lui urinant et en lui déféquant dessus, avant de l’abandonner en la menaçant de mort si elle les dénonce.

    Racisme antifrançais
    Grâce à son témoignage et aux bandes de vidéosurveillance de la gare, les policiers interpelleront rapidement ses bourreaux : quatre « jeunes » âgés de 13 à 17 ans, dont trois frères d’origine turque. L’aîné, jugé depuis lundi, est un multirécidiviste bien connu de la police. Condamné à 4 ans de prison, dont 2 avec sursis, pour le viol d’un garçon de 13 ans en mai 2012, la justice l’a libéré dès septembre 2013, lui permettant ainsi d’infliger le martyre à cette jeune femme.

    Durant leur garde à vue, tous les quatre invoqueront des motivations racistes. Le plus âgé lançant notamment aux policiers qui l’auditionnaient : « Quand je sortirai, je niquerai la France. » Un autre avouant de son côté avoir demandé ses origines à la victime, tandis qu’un troisième confiait s’en être pris à elle « parce qu’elle était française et qu’il n’aime pas les Françaises ». Pourtant, les autorités policières et judiciaires tairont cette information. Plus fort encore : dans leurs qualifications, les juges ne devaient pas retenir la dimension raciste de ce crime !

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/

  • «Je suis Marine» : le FN se mobilise pour sa «liberté d'expression»

    La présidente du FN comparaît ce mardi à 14h au TGI de Lyon pour avoir comparé les prières de rues à l'Occupation allemande.

    Au lendemain des attentats du 11 janvier, les cadres du FN ne se bousculaient pas pour reprendre le slogan «Je suis Charlie» et défendre la liberté d'expression des journalistes de l'hebdomadaire satirique. Mais en ce mardi 20 octobre, les responsables de la rue des Suisses à Nanterre n'ont pas hésité à reprendre le slogan pour défendre la liberté d'expression de leur présidente Marine Le Pen. Cette dernière doit en effet comparaître en correctionnelle au sujet de sa comparaison entre les prières de rues et l'occupation allemande, des propos tenus il y a 5 ans à Lyon dans une réunion publique.

    «Je ne vais pas rater une telle occasion», avait annoncé Marine Le Pen il y a un mois, avide d'exploiter la tribune qui lui est offerte. Son état-major a d'ailleurs préparé le terrain dès lundi soir. «Face au communautarisme, et aux menaces du fondamentalisme islamiste, ils veulent la faire taire!», s'est par exemple alarmé le responsable FNJ Gaëtan Dussausaye. Une rhétorique reprise par le secrétaire général du parti Nicolas Bay, par le trésorier Wallerrand de Saint-Just et par le numéro deux du parti Florian Philippot. Comme relevé par le Lab, ce hashtag fort à propos n'a pas été créé pour l'occasion. Il est régulièrement employé par les responsables du FN pour dénoncer les attaques contre la tête de liste FN aux régionales dans le nord, ou sur le ton de l'ironie par certains adversaires.

    «Je suis désolée mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s'il s'agit de parler d'Occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça c'est une occupation du territoire», avait déclaré Marine Le Pen en décembre 2010 à Lyon. «C'est une occupation de pans du territoire, des quartiers, dans lesquels la loi religieuse s'applique, c'est une occupation. Certes, il n'y a pas de blindés, pas de soldats, mais c'est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants», avait-elle ajouté. Des propos qui lui valent aujourd'hui une comparution en justice suite à la constitution en partie civile de 4 plaignants: l'Observatoire national contre l'Islamophobie du CFCM, le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), le Mrap et la Ligue judiciaire de défense des musulmans. La Licra a indiqué lundi qu'elle souhaitait rejoindre les parties civiles.

    Cette convocation au tribunal pour «provocation à la discrimination, à la violence ou à la haine envers un groupe de personnes à raison de leur appartenance à une religion» est une première pour Marine Le Pen, contrairement à son père, coutumier du fait. Une habitude qui a même conduit la présidente du FN à exclure le fondateur du parti en août dernier. L'eurodéputée a déjà avancé la ligne de défense qu'elle assumera dès cet après-midi au TGI de Lyon: arguer d'avoir parlé «d'occupation» mais en niant avoir fait référence à la période historique. Marine Le Pen encourt une peine d'un an d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende. En pleine campagne pour les régionales, elle devrait par contre disposer d'une tribune de choix sur un de ses cibles de prédilection: l'islam.

    Marc de Boni , AFP, AP, Reuters Agences

    source : Le Figaro  lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuuVFFAVkVbRCiozLp.shtml

  • Emeutes, scènes de guerilla urbaine et soulèvements de Roms en Isère

    Il ne s'agit pas de scènes photographiées à Gaza ou en Syrie mais bien en France.

    2278623lpw-2278684-article-jpg_3117227_660x281"Voies SNCF coupées, voitures en feu, saccages : des dizaines de gens du voyage se sont soulevés mardi soir à Moirans (Isère) pour demander la sortie de prison de l'un d'entre eux pour assister à des obsèques, a-t-on appris de sources concordantes. « Une centaine de personnes avec des barres en fer bloquent la gare. Autour, il y a eu de lourds saccages, notamment le restaurant attenant à la gare. Sur les voies SNCF, ils ont fait brûler des voitures"(source)

    "Dans la nuit de vendredi à samedi, trois jeunes tziganes gantés et cagoulés, dont certains mineurs, sont morts en rentrant d'un cambriolage à Saint-Joseph-de-Rivière (Isère) dans une collision contre un arbre à bord d'une voiture qu'ils venaient de voler. Un quatrième occupant a survécu" (source)

    N-MOIRANS-large570En lien avec ces incidents, une mutinerie a par ailleurs éclaté au centre de détention d'Aiton(Savoie) (...) "Les détenus du centre de détention ont refusé de réintégrer leurs cellules après la promenade, précise le DauphinéIls ont bloqué les serrures des portes et ont mis le feu à tout ce qu’ils ont trouvé : journaux, chaises, tables, matelas"." (source)

    Mais que fait Manuel Valls pour rétablir le "vivre ensemble" républicain ? Il va peut-être les menacer de porter les bracelets électroniques de Christiane Taubira...

    Philippe Carhon

  • La dictature en marche

    Depuis quelque temps, le totalitarisme rampant, que nous étions nombreux à observer se glissant sournoisement dans notre législation, dans nos institutions éducatives, sociales culturelles, semble redresser la tête et imposer avec les formidables outils du pouvoir absolu dévolu à une oligarchie anonyme, mais se cachant derrière les marionnettes politiques, son dictat sans plus de précautions ni vergogne.

    On connaît l’emprise de plus en plus contraignante de la commission Européenne sur les modes de décisions budgétaires des états évoquée par François Marcilhac dans l’éditorial de l’AF 2000, ce qui retire une fois de plus au peuple une grande partie de ses droits de contrôle du politique.

    Sur un autre plan, on a vu récemment l’intrusion intempestive d’officiers de police dans nos locaux , la mise en garde à vue arbitraire de nos militants, la poursuite d’autres camarades devant les tribunaux pour avoir protester contre le pseudo théâtre de Castellucci.

    Les tracasseries policières sont notre lot quotidien et, contre mauvaise fortune, nous nous habituons avec plus ou moins bon cœur à cet état de fait.

    Mais ces derniers temps, des signes de plus en plus visibles de la montée de la dictature se manifestent tous les jours.

    Je voudrais évoquer un exemple récent particulièrement significatif, avec d’autant plus de recul que le mouvement dont il est question est relativement éloigné, en bonne partie du moins, de nos options politiques d’Action française.

    Cela se passe à Angers avec les militants du bloc identitaire qui ont eu l’outrecuidance de troubler une réunion municipale, comme le font régulièrement la CGT et autres écolos à tous propos.

    Là, il s’agissait de protester contre le financement et le permis de construire d’une mosquée sur les hauteurs d’Angers, pas n’importe quelle mosquée, un immense complexe de 4 350 mètres carrés séparés par une place avec une salle pouvant accueillir 2 500 fidèles.

    Aucun propos raciste n’ayant été tenu pendant cette courte manifestation, qui n’a même pas interrompu le conseil municipal (socialiste) puisque elle eut lieu avant l’ouverture de celui-ci, aucune violence n’ayant pu être constatée par la police, la plainte déposée par la mairie d’Angers avec les motifs pénaux de « provocation à la haine raciale, injures raciales et entrave au déroulement des débats d’une collectivité territoriale » devaient faire psschit.

    Délit d’opinion

    Le dossier d’accusation étant vide, le procureur, sans complexes, plaida que les accusés « refusaient la France « muticulturelle » ou les religions et les ethnies cohabitent dans la paix et l’harmonie (comme en Inde par exemple ?).

    C’est à dire en gros, une opinion contre une autre, ce qui supposerait un débat, un affrontement d’idées, dans un pays respectueux des libertés.

    Dans cette affaire, un jeune père de famille risque de perdre son emploi dans la fonction publique et recevoir des sanctions pénales graves. Tout cela pour avoir exprimé avec ses camarades une opinion différente de celles professées par le pouvoir qui nous dénie, à nous les Français, la liberté de nous exprimer, voire de penser.

    Soutenir Benoît Couetoux , le responsable du bloc Identitaire d’Angers, menacé par la répression du système, jusqu’à l’obtention du non lieu, est un devoir au non de la liberté inscrite sur tous les frontispices de nos monuments nationaux, pour faire reculer la dictature dans ce pays.

    L’Action française est solidaire par principe de tous les militants politiques, quelles que soient leurs appartenances idéologiques, dès lors qu’ils sont victimes du totalitarisme d’Etat.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action Française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-dictature-en-marche

  • Islamisme et angélisme, deux fléaux destructeurs

    Elle ne se dérobera pas et compte bien profiter de la tribune qui lui sera ainsi offerte : c’est aujourd’hui que Marine Le Pen, assistée de son avocat, Me David Dassa Le Deist, se rendra devant le tribunal correctionnel de Lyon. Elle y comparaît suite aux plaintes déposées par des officines communautaires et immigrationnistes, visant ses  propos tenus dans cette même ville en décembre 2010. Au nombre des plaignants figurent l’Observatoire national contre l’Islamophobie du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), dont  Abdallah Zerki est respectivement  président et  secrétaire général, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), le Mrap,  la Ligue judiciaire de défense des musulmans, présidée par le sulfureux avocat Karim Achoui. Par l’odeur alléchée,  La Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) de l’inénarrable avocat lyonnais Alain Jakubowicz  a indiqué hier qu’elle entendait  rejoindre les parties civiles.

    Il est  donc reproché à Marine lors  d’une réunion militante dans  la capitale des Gaules  il y a cinq ans, à l’occasion de la campagne interne du FN pour succéder à Jean-Marie Le Pen,  des jugements  sévères sur l’occupation de l’espace public par des islamistes. « Je suis désolée, avait-elle dit,  mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s’il s’agit de parler d’occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça (les prières de rue, NDLR) c’est une occupation du territoire. » « C’est une occupation de pans du territoire, des quartiers dans lesquels la loi religieuse s’applique, c’est une occupation. Certes, il n’y a pas de blindés, pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants ».

    Nous le notions le 23 septembre dernier, les grands gourous  de l’antiracisme à géométrie variable, ceux  qui instrumentalisent  les drames du passé pour mieux culpabiliser nos compatriotes et leur imposer le multiculturalisme, s’étaient sentis aussi  certainement visés par ses propos.  Pourtant, et l’Express le précise de nouveau aujourd’hui, « à plusieurs reprises, depuis l’annonce de sa convocation au tribunal, la présidente du FN a assuré qu’elle ne parlait d’occupation qu’avec un petit o, sans faire référence à la Seconde Guerre mondiale. »

    D’Invasion avec un grand I, il est aussi question dans l’actualité,  avec les  flux de plus en plus incontrôlables d’immigrés Afghans, Erythréens, Irakiens, Somaliens, Pakistanais, Syriens, Soudanais etc., qui envahissent les Balkans depuis la Turquie,  en route vers l’Europe du nord. Le Figaro l’indique «  Après la fermeture, vendredi, par la Hongrie de sa frontière avec la Croatie, la route des migrants qui souhaitent se rendre en Autriche puis en Allemagne, a été déviée vers la Slovénie (…) La situation ne devrait pas s’améliorer. Ce week-end, plus de 15.000 migrants sont entrés en Macédoine. Ils sont en route vers la Serbie, la Croatie et plus loin la Slovénie et l’Europe occidentale ». Le chiffre avancé par les médias et les observateurs outre-Rhin de un million et demi de migrants  supplémentaires  en Allemagne  en 2015 devrait  être atteint  avant la fin de l’année…

    Ce qui réjouit apparemment la SNCF  qui aide à la fluidité de la circulation migratoire.   Dans deux documents internes évoqués notamment  par  Marion Maréchal Le Pen et Robert Ménard, la compagnie ferroviaire français  propose  à ses contrôleurs  de ne pas verbaliser les groupes  d’immigrés rebaptisés  « migrants » qui auraient pris place dans les trains ,de leur attribuer des sièges  en leur offrant  « des réservations à 0 euro ». Ce n’est pas grave, les cochons de contribuables et d’usagers  Français paieront,  ils ont l’habitude au nom du vivre-ensemble…

    Certes, la voie (voix) de la raison, le refus d’un angélisme destructeur,  se laisse aussi  entendre et voir et pas seulement au FN ou au sein des partis nationaux, patriotiques de notre vieille Europe.  Ainsi, en est il du cardinal Cañizares, archevêque de Valence  (Espagne), dont le site nouvelles de France rapportait le 17 octobre  les propos tenus « lors d’un déjeuner politique organisé par Fórum Europa ». Ce prélat à dénoncé  « les gouvernements européens pour leurs nombreux  gestes  et leur  propagande, ainsi que leur refus de se poser des questions sur  l’invasion d’immigrants qui pourrait être le cheval de Troie (de l’islamisme, NDLR). Appelant à la prudence dans l’accueil et se demandant si tous les arrivants étaient du  bon grain, l’évêque a affirmé que si les gestes d’accueil des gouvernements européens pouvaient très bien passer aujourd’hui, ils risquaient de finir par nuire gravement aux sociétés et aux cultures européennes. »

    « On ne peut pas jouer avec l’histoire et avec l’identité des peuples, a prévenu le prélat, qui a aussi défendu le travail réalisé par l’Église catholique pour aider ceux qui ont dû fuir leur pays. Mgr Cañizares a appelé les gouvernements européens à se demander qui est derrière la crise des réfugiés, soutenant que parmi ces  réfugiés, peu fuient réellement des persécutions ».

    « Les propos tenus par Mgr Cañizares (ont été validés par)  un missionnaire salésien espagnol en Syrie (qui a  averti) de la présence d’extrémistes musulmans parmi les réfugiés, appelant les pays européens à une grande prudence :  Je vous dis de faire attention parce que parmi ces gens en difficulté, un certain nombre de musulmans extrémistes arrivent aussi qui feront plus tard beaucoup de mal en Europe. Le missionnaire a également dénoncé la politique européenne en Syrie, à l’origine de la vague d’immigration actuelle (…)  Assad est sans doute un moindre mal. »

    Des affirmations confirmées par Mgr Jeanbart, archevêque d’Alep, qui avait déjà appelé les pays occidentaux à ne pas financer les mouvements rebelles et qui déclare aujourd’hui que « l’intervention russe actuelle donne un nouvel espoir aux Chrétiens de Syrie.  Vladimir Poutine aide la cause chrétienne. »

    Un éclairage, indiquait   le site du quotidien  La Croix la semaine dernière,  qui est aussi celui de  Mgr Hindo, archevêque syro-catholique d’Hassaké ( nord-est de la Syrie) qui explique que « L’intervention de Moscou est positive, parce qu’elle cible réellement Daech, et la milice est en train de fuir ».

    « L’archevêque (cité le 9 octobre par l’agence de presse américaine CNS) critique en revanche les opérations de Washington, qui seraient juste  pour la galerie  et qui laisseraient les terroristes agir librement. Les Américains ne bombarderaient pas les milices djihadistes, mais le gouvernement syrien (…). »

    « Il ne s’agit pas d’être pour ou contre le gouvernement, souligne l’archevêque. Mais les gens d’ici n’ont jamais cru dans les attaques américaines. Seuls les Kurdes ont réellement combattu sur le terrain, mais pour tenir leurs positions  (…). Mgr Hindo déplore en particulier que les frappes américaines n’aient pas empêché l’enlèvement de centaines de chrétiens, notamment après l’offensive de Daech dans la vallée du Khabour, en février. »

    Et d’affirmer encore que « les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ne parlent que d’attaquer Daech, mais pas le Front al-Nosra et les autres milices islamistes liées à Al-Qaida. »

    Autant dire affirme Bruno Gollnisch, que des territoires perdus de la république à la Syrie, il est grand temps d’en finir avec cette  politique d’effacement  de notre souveraineté et de notre indépendance nationales, de  soumission au parti de l’étranger, de  dhimmitude, de  colonisation physique et mentale symbolisée ces dernières années par le catastrophique  duo Sarkozy-Hollande.  

    http://gollnisch.com/2015/10/20/islamisme-et-angelisme-deux-fleaux-destructeurs/