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lobby - Page 1527

  • Les races existent et c'est l'évidence !

    Quand bien même le front de gauche obtiendrait la suppression du terme « race » de l'ensemble des textes de lois (1) que les races, dans les faits, perdureraient. La bêtise du Système est ici sidérante. Rappelons l'évidence : un noir est un noir et un blanc un blanc . Et les diktats du Système n'y pourront rien sauf à vouloir métisser l'intégralité de la population de la planète, rendant de facto les hommes interchangeables.

    Or, ce métissage, prôné par francs-maçons et autre mondialistes est un échec. En effet, les mariages mixtes sont peu fréquents, et l'on se marie donc entre blancs, entre noirs et entre arabes. Quant aux Français, à commencer par ceux qui adhèrent à l'esprit du Système (les français « normaux »), ils font une distinction entre les races, quand bien même ne sont ils pas racistes. Quand il pleut, chacun sait que ça mouille, quand bien même le nierait-on juridiquement …

    Il y a aussi une incohérence à célébrer les peuples premiers comme les indiens, soient-ils d'Amazonie ou d'Amérique du nord, tout en refusant de célébrer les autres races. Il me semble que c'est un noir qui a évoqué sa négritude. Faudrait-il pratiquer l'autodafé de ses ouvrages pour ce motif ?

    Bien sur, la race ne constitue pas l'unique caractéristique d'une personnalités mais elle n'en est pas moins déterminante. Evoquer la philosophie occidentale, par exemple, vieille de 2500 ans, c'est par ricochet célébrer le monde blanc. Cette philosophie, en revanche, est absente dans les histoires des jaunes d'Asie comme des noirs d'Afrique.

    Même chez les Blancs, il existe des distinctions selon l'appartenance ethnique. C'est ainsi qu'un scandinave typé n'est pas un méditerranéen. Pourquoi donc ne pas offrir la parole aux ethnologues sur les plateaux de télévision ? La vérité, c'est que les peuples ne sont nullement similaires. On évoque le fait culturel se traduisant par une histoire différente selon les hommes. C'est vite oublier que la race était antérieure à la culture. Plus précisément, chaque race, chaque peuplade a engendré sa propre culture.

    L'idée qu'il existe au monde un homme unique est une faute. N'importe quel étudiant en licence d'ethnologie le sait. Nul besoin de lire les ouvrages de la mouvance – donc engagés – pour s'en convaincre. Les ouvrages universitaires en disent assez long sur le sujet.

    Dieu merci, et encore une fois, le métissage qui rendrait le monde homogène racialement donc totalitaire – le culte du même - ne vaincra pas. En revanche les communautarismes raciaux et ethniques pourriront la vie des uns comme des autres comme nous le montrent les systèmes anglais et américains qui sont multiraciales. Prosaïquement, une société monoraciale méconnaît par définition le racisme.

    Les racistes dans les faits, sont justement ceux qui se définissent comme antiracistes.

    Il fallait l'exprimer. Et il faudra le rappeler.

    Philippe Delbauvre

    notes

    (1) http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuFylkpApoAOyvWaJ.shtml

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuFyluuyAMxONuEbV.shtml

  • 10.000 personnes manifestent à Dresde avec Pegida contre l’immigration – Pas un mot dans les médias français…

    Lundi, le mouvement Pegida manifestait à nouveau à Dresde. Plus de 10.000 personnes avaient répondu à l’appel.
     Devant l’opéra de Dresde, la foule a écouté les discours dénonçant l’invasion migratoire, ainsi que la complicité des politiciens et des journalistes.

    Bien entendu, pas un mot dans les médias français. Pas plus que pour les gigantesques manifestations contre l’immigration en Pologne.

    L’information officielle doit uniquement vous apitoyer sur le sort de malheureux « réfugiés » et vous faire perdre toute envie de résister à ce torrent migratoire.

    http://www.medias-presse.info/10-000-personnes-manifestent-a-dresde-avec-pegida-contre-limmigration-pas-un-mot-dans-les-medias-francais/39884

  • Réinfosphère contre médias de propagande : la grande bataille !

    Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia, écrivain, essayiste…

    ♦ Pour la propagande médiatique, 2015 sera un grand cru. « Je suis Charlie », « PADAMALGAME » : 10 jours d’ahurissement en janvier ! « Je suis Aylan », Accueillons les  « migrants » rebaptisés « réfugiés » : 10 jours d’ahurissement supplémentaires en septembre… en attendant l’affolement prochain des populations, en décembre, quand il faudra « sauver la démocratie » en Provence et dans le Nord après le premier tour des élections régionales.

    Car, pour s’opposer au succès possible de Marion Maréchal Le Pen et de Marine Le Pen, les médias de l’oligarchie joueront à nouveau de la grosse caisse.

    Toutes les techniques de propagande sont mobilisées : diabolisation des uns, angélisation des autres, répétition, orchestration, sidération émotionnelle, unanimité obligatoire, novlangue – et l’exercice permanent de la « pensée intimidante ».

    Avec un seul but : l’anéantissement de l’esprit critique.

    Malheureusement l’esprit critique survit – et même prospère – grâce à la blogosphère, refuge de l’information alternative : c’est là qu’on a appris que le père d’Aylan ne fuyait pas la guerre (il a d’ailleurs enterré sa famille à Kobane en territoire syrien sous contrôle kurde) mais voulait aller au Canada se refaire les dents (selon les déclarations de sa sœur) ; reprenant des témoignages accordés à la télévision australienne, la blogosphère a aussi révélé que le père d’Aylan était passeur : un brave passeur qui avait oublié de trouver un gilet de sauvetage… pour sa femme et ses enfants.

    Ces révélations mettent à mal le conte de fée sur les malheureux « réfugiés » qui fuient la guerre (de jeunes hommes qui laissent souvent sur place femme, enfants et vieux parents). Les médias de propagande montrent les rares enfants. La blogosphère montre la réalité.

    Les médias officiels vivent très mal cette situation qui remet en cause leur monopole et par là même leurs mensonges. D’autant qu’ils constatent que les Français les croient de moins en moins.

    Ils ont donc recruté des armées de policiers du Net chargés de traquer les tweets erronés ou approximatifs. De jeunes journalistes d’extrême gauche s’en sont fait une spécialité : les « décodeurs » (en fait les recodeurs) auMonde et le « Lab d’Europe 1 ». Les grands médias audiovisuels font appel à eux comme « experts ». « Expert » : le mot fétiche des radios et des télévisions pour porter la parole officielle.

    Radios et télévisions du Système multiplient aussi les « mises en garde » (sic) contre la réinfosphère et appellent leur public à ne faire confiance qu’aux médias officiels en « ne se basant que sur la presse et les vrais sites (re sic) pour la vérification des informations », selon LCI.

    Il y a un côté pathétique dans ces appels – ou plutôt ces rappels – à l’ordre de la part d’organes médiatiques en perte totale de crédibilité.

    On les comprend ! Comme à la fin de l’ère secondaire, les petits mammifères de la réinfosphère viendront à bout des gros dinosaures des médias de propagande ! L’enjeu est de taille : abattre le totalitarisme du XXIe siècle : le totalitarisme médiatique.

    Jean-Yves Le Gallou, 25/09/2015

    Source : Boulevard Voltaire :

    http://www.polemia.com/reinfosphere-contre-medias-de-propagande-la-grande-bataille/

  • Vous n’avez pas honte ? Lettre ouverte aux journalistes français

    Source : Boulevard Voltaire
    Vous n’avez pas honte de vous complaire dans les bobards de guerre ?

    Vous n’avez pas honte de montrer avec force images un accueil scénarisé des « migrants », en gare de Munich, et de cacher les manifestations anti-clandestins de PEGIDA à Dresde ?

    Vous n’avez pas honte de faire croire que l’Allemagne est derrière Merkel et de pratiquer l’omerta sur la réception triomphale d’Orbán à Munich par le gouvernement bavarois et la CSU ?

    Vous n’avez pas honte de cacher les images des 700 morts de la bousculade de La Mecque après avoir montré partout la photo d’agence du seul petit Aylan ?

    Vous n’avez pas honte d’appliquer sans vergogne le principe : un mort, ça m’émeut ; 700 morts, c’est de la statistique ?

    Vous n’avez pas honte d’avoir raconté que la famille d’Aylan fuyait la guerre alors que les Kurdi habitaient Istanbul, de les avoir présentés comme des « réfugiés politiques » alors que le père souhaitait, selon sa sœur, se faire soigner les dents au Canada et qu’il était, selon de nombreux témoignages, le passeur ?

    Vous n’avez pas honte de vous complaire dans les bobards de guerre ?

    Vous n’avez pas honte d’avoir attribué à Assad l’enlèvement du journaliste américain James Foley égorgé par Daech ?

    Vous n’avez pas honte d’annoncer depuis trois ans le lâchage du gouvernement syrien par la Russie alors que celle-ci le soutient avec une vigueur croissante ?

    Vous n’avez pas honte de rapporter avec complaisance les manifestations favorables au gouvernement et de majorer les chiffres des manifestants pro-loi Taubira ou pro-immigrés ? Et a contrario de dénigrer les manifestations critiques et de diviser le nombre des protestataires ?

    Vous n’avez pas honte qu’un gros millier de manifestants, place de la République, souhaitant Welcome aux immigrés, deviennent, par un prompt renfort médiatique, plus de 10.000 dans vos articles ?

    Vous n’avez pas honte qu’un petit millier de manifestants anti-Merkel devant l’ambassade d’Allemagne, évalués à plus de 500 par la préfecture de police, soient réduits à 200 dans les colonnes du Monde, selon la méthode chère au « quotidien de référence » de « Chéri, j’ai rétréci les petits » ?

    Vous n’avez pas honte de vous complaire dans un conformisme politiquement correct de plus en plus déconnecté des réalités vécues par le peuple et des évolutions des grands intellectuels ?

    Vous n’avez pas honte de vivre dans un entre-soi médiatique satisfait de lui-même, un entre-soi à peine élargi à une classe politique déconsidérée par sa servilité à votre égard ?

    Vous n’avez pas honte de mépriser l’opinion de la majorité des Français et d’ostraciser les hommes politiques ou les intellectuels qui les portent ?

    Vous n’avez pas honte de tolérer, voire de participer au lynchage pour un propos « controversé » de votre consœur Maïtena Biraben ?

    Vous n’avez pas honte d’avoir été complices de l’élimination médiatique de l’ancien patron de Reporters sans frontières, Robert Ménard, et de la marginalisation de votre confrère Zemmour ?

    Vous n’avez pas honte de ne pas représenter la diversité politique française alors que vous vivez de l’argent public : près de 2, 5 milliards de subventions à la presse écrite et 4 milliards pour l’audiovisuel public ?

    Vous n’avez pas honte de capter ainsi au service de vos préjugés 10 % de l’impôt sur le revenu ?

    Vous n’avez pas honte de tromper régulièrement vos lecteurs, vos auditeurs, vos spectateurs sans jamais vous excuser ?

    Vous n’avez pas honte de manquer totalement d’esprit critique ?

    Vous n’avez pas honte d’imposer partout la même novlangue visant à empêcher les « crimes contre la pensée » comme Big Brother dans 1984 d’Orwell ?

    Vous n’avez pas honte de tenter de discréditer la réinfosphère qui révèle, sans argent, à l’opinion les faits que vous êtes payés pour cacher ?

     

    Jean-Yves Le Gallou

    http://fr.novopress.info/

  • Budget 2016: baisse de 225 millions d'euros des APL pour financer les HLM et les réfugiés

    Le ministère du Logement va devoir économiser 225 millions d'euros sur les aides personnalisées au logement (APL), selon le projet de budget pour 2016 dévoilé mercredi.

    Ces mesures d'économies compenseront des dépenses supplémentaires prévues l'an prochain: 150 millions d'euros d'"aides à la pierre" (subventions aux bailleurs sociaux pour la construction de HLM) en plus, et 120 millions pour renforcer les capacités d'accueil des réfugiés, selon l'entourage de la ministre du Logement Sylvia Pinel.

    Les APL, très connues et octroyées sous conditions de ressources, sont aussi le principal poste de dépenses du ministère du Logement pour un montant de 15,5 milliards d'euros. Selon le projet de budget, elles seront rabotées de 225 millions en 2016 et de 314 millions en 2017 par trois mesures d'économies cible.

    Le patrimoine des bénéficiaires entrera dans le calcul du revenu fiscal de référence, et un loyer plafond sera fixé, à un niveau "très élevé", à partir duquel l'APL sera dégressive. Enfin les salariés de moins de 25 ans ne bénéficieront plus d'une dérogation qui leur était favorable: leur revenu annuel réel sera désormais pris en compte et non plus leur première fiche de paie.

    Environ 500.000 ménages, sur les 6,5 millions de bénéficiaires des APL, seraient concernés.

    source : Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_mondialisme/EuuFVAlZZFNFyzNayu.shtml

  • Statut des (hauts) fonctionnaires, ENA, Conseil d’État : ces féodalités doivent disparaître

    Bien sûr qu’il faut supprimer le statut des (hauts) fonctionnaires, pour le remplacer par un système dit d’emplois. En clair des CDI, avec périodes d’essai plus longues et un système de récompenses-sanctions qui marche, hors fonctions régaliennes.

    Non pour les raisons invoquées par Macron – faire correspondre les besoins de l’administration et la compétence des agents, soit l’application des règles du marché du travail, sans recours aux concours et à l’emploi à vie – mais parce que ce statut est devenu archaïque et ne joue plus son rôle de protection de l’administration contre les ingérences et la corruption.

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  • Souveraineté nationale, Syrie…y voir clair

    Daniel Reiner, sénateur de la Meurthe-et-Moselle, en a fait l’aveu lors d’une réunion de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat. Nous savions déjà que ce gouvernement avait menti en affirmant que la revente du BPC Mistral à l’Egypte serait une opération blanche sur le plan financier - en fait elle coûte environ 300 millions d’euros aux contribuables français. Or, affirme ce sénateur, la cession du bâtiment de guerre à la Russie aurait été annulée sous la pression de l’Alliance atlantique: « Au moment de livrer les bateaux, nous avons subi d’importantes pressions des pays d’Europe orientale, sans parler des pays baltes, dans le cadre de l’assemblée parlementaire de l’OTAN. » Jean-Pierre Grand, sénateur de l’Hérault a souligné de son côté que « notre politique étrangère est désormais dirigée par les Américains. Voilà le véritable sujet ; le reste n’est que littérature (…). Nous devons retrouver notre souveraineté. C’est pourquoi je demande un véritable débat sur l’opportunité pour nous de rester membre de l’Otan ». Si la pression de Washington a conduit la France a se décrédibiliser dans cette affaire du Mistral, le duo Hollande-Fabius, incapable de se remettre en cause et d’avouer ses erreurs, se fourvoie aussi par son jusqu’au-boutisme anti Assad dans le dossier syrien.

    La ficelle est un peu grosse mais cela  devrait faire également plaisir à Bernard-Henry Lévy.  A la demande de M. Fabius, une enquête préliminaire pour «crimes de guerre» a ainsi  été ouverte par le parquet de Paris le 15 septembre visant le régime syrien. Les enquêteurs de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides et les crimes de guerre (OCLCHGCG) sont chargés de mener les investigations en s’attachant plus spécialement aux exactions présumées qui auraient  commises en Syrie entre 2011 et 2013 par le régime laïque en place. « Face à ces crimes qui heurtent la conscience humaine, à cette bureaucratie de l’horreur, face à cette négation des valeurs d’humanité, il est de notre responsabilité d’agir contre l’impunité de ces assassins » a expliqué le ministre des Affaires étrangères.

    Le «rapport César», du nom d’un ex-photographe de la police militaire syrienne qui a fui la  Syrie en juillet 2013, et qui serait l’auteur de « milliers de photos insoutenables, authentifiées par de nombreux experts,  montrent des cadavres torturés et morts de faim dans les prisons du régime »,  « témoigne de la cruauté systématique du régime de Bachar el-Assad » a estimé Laurent Fabius depuis l’Assemblée générale des Nations unies à New York.

    Un Fabius moins émotif et moins disert sur les entorses aux droits de l’homme et autres cruautés commises   par « nos alliés » Saoudiens ou Qataris, lui qui déclarait en outre à Marrakech en décembre 2012 : « le Front al nosra (branche syrienne d’al Qaïda, responsable de nombreux massacres de chrétiens, NDLR) fait du bon boulot contre (Bachar el) Assad en Syrie et donc c’est très difficile de les désavouer

    « Assad est à l’origine du problème et il ne peut pas faire partie de la solution », « On ne peut pas faire travailler ensemble les victimes et le bourreau » affirmait de son côté François Hollande lundi devant l’assemblée des Nations-Unies. Mais cette position est-elle encore tenable ?

    Il est à noter une inflexion assez sensible de la diplomatie américaine, actée par John Kerry il y a quelques heures, lors d’un entretien sur CNN: « Nous avons changé ça (l’exigence du départ d’Assad, NDLR). Au bout d’un certain temps nous nous sommes dits : Ça ne marche pas. Il est indispensable d’effectuer une transition ordonnée, contrôlée afin d’exclure les risques de revanchisme, de pertes, de vengeance ». Si le président syrien quittait le poste dans la précipitation cela pourrait même provoquer « un vide, une implosion » a-t-il ajouté.

    Lundi, Vladimir Poutine a proposé au Conseil de sécurité de l’ONU une résolution de soutien à une coalition politique et militaire contre le terrorisme incluant l’Iran et le régime syrien. Devant l’Assemblée générale, il  a rappelé par ailleurs un certain nombre d’évidences, à commencer par le fait que le président Assad était à la tête d’un gouvernement légitime refusant logiquement toute ingérence : « J’ai le plus grand respect pour mes homologues américain et français mais ils ne sont pas des ressortissants syriens et ne doivent donc pas être impliqués dans le choix des dirigeants d’un autre pays (…). Nous devons reconnaître que personne d’autre que les forces armées du président (syrien) ne combat réellement l’Etat islamique.»

    Dans l’entretien accordé  au journaliste américain Charlie Rose pour les chaînes CBS et PBS en début de semaine, le président russe affirmait pareillement qu’« il n’y a qu’une seule armée régulière et légitime là-bas (en Syrie, NDLR), celle du président syrien Bachar el-Assad. D’après l’interprétation de certains de nos partenaires internationaux, c’est une opposition qui lutte contre lui. Mais en vérité, réellement, l’armée d’Assad se bat contre des organisations terroristes ».

    « Nous accordons un soutien au pouvoir légitime de la Syrie. De plus, je suis profondément convaincu qu’en agissant dans un autre sens, celui de la destruction du pouvoir légitime, nous pouvons provoquer une situation similaire à celle qu’on observe actuellement dans d’autres pays de la région, ou dans d’autres régions du monde, en Libye par exemple, où toutes les institutions étatiques se sont désintégrées (…). Vous dites sans cesse, avec une persévérance qui pourrait être mieux utilisée, que l’armée syrienne se bat contre son propre peuple. Mais regardez qui contrôle 60% du territoire syrien! Où est cette opposition modérée ? 60% du territoire syrien est contrôlé soit par Daesh, soit par d’autres organisations terroristes, telles que le Front al-Nosra ou d’autres encore, reconnues comme organisations terroristes par les Etats-Unis entre autres États, ainsi que par l’ONU. »

    « Nous considérons que les questions d’ordre politique dans chaque pays doivent être abordées par les peuples de ces pays, avant tout. Mais nous sommes prêts à accorder un soutien au pouvoir officiel de la Syrie, tout comme à la partie saine de l’opposition, pour qu’ils puissent trouver un accord sur l’avenir politique de leur pays. C’est justement pour ça que nous avons organisé une série de rencontres pour les représentants de l’opposition et du gouvernement Assad. Nous avons participé à la conférence de Genève à ce propos. Nous sommes prêts à continuer à collaborer dans ce sens en poussant les deux parties, le pouvoir officiel et l’opposition, à trouver un accord, mais de façon pacifique. »

    Un discours ferme mais de bon sens, désignant l’adversaire prioritaire, dénonçant les désastreuses menées atlantistes de ces dernières années dans cette partie du monde, pragmatique, respectueux du principe de souveraineté nationale… Force est de constater que ses analyses rejoignent celles de l’opposition nationale note Bruno Gollnisch.  Aussi n’est-il  pas étonnant que les propos de M. Poutine, peint de manière générale sous les couleurs les plus sombres par les « grands » médias dans notre pays, soient écoutés avec autrement plus de sympathie par les Français que ceux de M.  Hollande.

    http://gollnisch.com/2015/09/30/souverainete-nationale-syriey-voir-clair/

  • Brighelli - FN : le programme de Philippot pour l'école et l'université

    Florian Philippot, vice-président du Front national dirigé par Marine Le Pen, répond aux questions de Jean-Paul Brighelli sur l'école.

    On m'a beaucoup déconseillé d'offrir une tribune à Florian Philippot, c'est-à-dire au FN. Des démocrates convaincus pensent légitime d'ignorer un parti qui rassemble, sondage après sondage, au moins 30 % des Français. Ce n'est pas ma façon de penser. Qu'il soit par ailleurs bien entendu que publier ses réponses à des questions qui se posent effectivement n'est ni un acte d'allégeance ni un appel du pied. Cela dit, à deux mois des élections régionales, à moins de deux ans des présidentielles, il est temps que chacun sache à quoi s'attendre de la part de chacun des partis qui aspirent à gouverner le pays. Quant aux grincheux…

    Jean-Paul brighelli : Réforme du lycée (Chatel) ou réforme du collège (Vallaud-Belkacem), quel regard portez-vous sur ces réformes qui se donnent pour prétexte le bien-être des élèves ?

    Florian Philippot : Ces réformes, comme l'ensemble de celles menées depuis plus de trente ans, et tout particulièrement celles qui ont découlé de la loi Jospin de 1989 si l'on remonte un peu plus loin, vont à rebours du bien des élèves quand, en effet, elles prétendent souvent favoriser leur "bien-être". Elles ont pour dénominateur commun d'avoir provoqué une baisse constante du niveau d'exigence et des contenus enseignés. Or, ce n'est pas en plaçant l'élève "au centre du système", en prétendant lui "faire inventer ses propres savoirs" ou autres inepties pédagogistes, mais en lui dispensant un enseignement exigeant et en lui donnant le goût de l'effort que l'école doit lui permettre de trouver du sens et de s'épanouir.

    140 000 élèves sortent chaque année du système scolaire au niveau troisième sans aucun diplôme, et en général sans compétences de lecture. Quelle réforme prioritaire pourrait, selon vous, éviter cette saignée ?

    L'impératif est d'en finir avec le "collège unique". Sous prétexte de (faussement) "démocratiser le collège", on y a fait triompher la médiocrité et produit massivement de l'échec scolaire. Il faut donc réintroduire, dès le premier cycle du secondaire, un palier de sélection juste, permettant notamment, et sous condition d'une revalorisation effective de cette voie, l'apprentissage dès 14 ans. Cela suppose évidemment qu'en amont des chances égales soient données à tous : il faut réformer l'école primaire, de sorte que chaque enfant arrive au collège en maîtrisant les fondamentaux et, tout particulièrement, la lecture.

    En matière d'école, êtes-vous plutôt jacobin ou girondin – les décisions doivent-elles être prises en haut ou laissées aux initiatives locales, communes, département, région ou même établissement ? En particulier, seriez-vous favorable à la sélection d'un seul système d'apprentissage de la lecture au niveau national ?

    L'ensemble du système scolaire souffre d'un défaut de centralisation et de cohérence nationale, ce qui est particulièrement sensible au regard du peu de contrôle qui s'exerce relativement à des "expérimentations pédagogiques" plus ou moins hasardeuses. Notre pays a un besoin urgent d'un grand plan de redressement de son système scolaire, et non que des "initiatives locales" interfèrent avec une politique qui ne peut être conduite qu'au niveau national. C'est, du reste, une exigence républicaine que de garantir l'égalité de tous les élèves devant les enseignements dispensés, en matière d'apprentissage de la lecture comme en toute autre.

    Quelles sont les priorités de l'école primaire ?

    L'école primaire et, tout particulièrement, l'école élémentaire ont les justes désignations de leurs missions : elles doivent prioritairement transmettre aux enfants les éléments de toute instruction, c'est-à-dire les savoirs fondamentaux que constituent la lecture, l'écriture et le calcul. Chaque enfant doit sortir du primaire en maîtrisant ces fondamentaux. Cela exige, du point de vue des contenus, qu'ils cessent d'être revus à la baisse et que leur transmission ne soit plus différée, mais aussi une révision des méthodes d'enseignement : ce sont les méthodes éprouvées qui doivent être retenues et appliquées, la syllabique pour l'apprentissage de la lecture, par exemple. Un statut du directeur d'école doit enfin être créé.

    Diverses polémiques sont nées des nouveaux programmes tels qu'ils ont été élaborés par le Conseil supérieur des programmes – en particulier en histoire. Quelles sont, à votre avis, les priorités dans l'enseignement de cette matière sensible pour laquelle les Français ont tant d'appétence – et pas forcément de compétences ?

    L'enseignement de l'histoire et de la géographie a pour fonctions de permettre à l'élève de se situer dans le temps et l'espace, de lui rendre concrètes ses appartenances collectives, et même l'âme de la France, et participe grandement à sa formation en tant que citoyen. Or il n'y a de citoyenneté que dans le cadre de la nation. C'est pourquoi il est proprement inacceptable que des pans entiers de notre histoire nationale disparaissent des programmes d'histoire, ce qui est très choquant. Cela en dit long quant au degré de renoncement et de soumission de notre pays à l'égard d'instances supranationales non démocratiques. L'enseignement de l'histoire doit, au contraire, renouer avec le roman national, qui doit y occuper une place centrale. L'une des finalités de l'école est en effet de donner aux enfants de France des raisons d'être fiers de leur pays, et elle doit tout autant remplir une fonction assimilatrice, ce qui exige que tous les jeunes Français puissent se reconnaître dans une histoire commune, de la Gaule romaine à la République en passant par nos rois et l'empire.

    Depuis près de quinze ans, tous les programmes tournent autour du "socle de compétences" – savoir lire, écrire, compter et maîtriser les savoirs élémentaires. Est-ce un bon principe ? Comment procéder ? Ce qui est désigné comme un objectif ne pourrait-il pas être redéfini comme un a priori ?

    Ne nous laissons pas abuser par cette "pédagogie du socle" : elle a constitué, dès ses débuts, un alibi parfaitement retors d'un moins-disant, bien réel lui, en termes de savoirs effectivement transmis. Au regard de l'exigence d'égalité des chances, l'imposture est donc totale. C'est en termes de fondamentaux qu'il s'agit de concevoir les savoirs qui doivent être prioritairement transmis, et c'est la mission de l'école élémentaire, donc, que de les transmettre et de s'assurer qu'ils sont maîtrisés par tous les élèves, l'enseignement secondaire devant, quant à lui, permettre de construire sur ces savoirs élémentaires des savoirs plus élaborés, plus complexes et plus spécialisés.

    Le protocole de Lisbonne a défini depuis 1999-2000 de façon coercitive les politiques éducatives au niveau européen. Peut-on élaborer un "plus petit dénominateur pédagogique" avec nos partenaires ou faut-il en revenir à ce que nous savions faire en France – sans souci de cohérence européenne ?

    Par son école, une nation prépare son propre avenir. Les politiques scolaires doivent donc être décidées au niveau national, et c'est à l'État qu'il incombe de prendre en charge les politiques organisant le système scolaire, définissant pour chaque niveau d'enseignement ce qu'il s'agit d'enseigner et comment. N'oublions pas que notre école était, il y a quelques décennies encore, l'une des meilleures au monde… Que s'est-il donc passé pour qu'aujourd'hui elle fasse défaut à ce point ? Si c'est par son école qu'une nation prépare son avenir, le fait que l'école aille mal – et la nôtre se porte très mal – constitue le révélateur parfaitement clair de ce que la nation a renoncé à elle-même, a perdu ses ambitions et n'a plus grande idée de son avenir. Ici comme ailleurs, la France doit retrouver sa souveraineté : sa politique éducative doit être réorientée dans le sens de l'intérêt individuel des élèves qui rejoint celui, collectif, de la nation.

    Vous voici au pouvoir. Quelles sont les trois premières mesures que vous prenez en matière d'éducation ?

    Recentrer l'école primaire sur l'enseignement exigeant des fondamentaux selon des méthodes éprouvées, ce qui est la première des conditions pour que des chances égales soient données à tous les enfants de France.

    En finir avec le collège unique : il faut revoir de fond en comble le système d'orientation, de sorte qu'il n'y ait plus d'"orientation par défaut" et de "filières poubelles", ce qui passe par une revalorisation effective des filières d'apprentissage et de la voie professionnelle dans son ensemble.

    Procéder à une recentralisation progressive de l'administration de l'Éducation nationale et de l'enseignement supérieur, condition générale à la conduite d'un grand plan de redressement s'appliquant à l'ensemble du système, y compris, donc, l'université.

    Le FN a longtemps été favorable au chèque-éducation. Qu'en est-il aujourd'hui ?

    Le Front national a depuis longtemps abandonné le projet du "chèque-éducation". Dans l'esprit de responsabilité de gouvernement qui l'anime, c'est au grand plan national de redressement de l'école et de l'université françaises qu'il travaille.

    L'université est aujourd'hui à bout de souffle, et peine, en cette rentrée, à trouver une place pour tous les néo-bacheliers. Quelle réforme vous paraît immédiatement nécessaire ?

    À l'exception de certaines filières par nature sélectives, comme la médecine, le drame de l'université, c'est la massification : battant en brèche toute sélection, on laisse s'engager dans de nombreuses filières pléthore d'étudiants en les condamnant à l'échec ou, ce qui revient au même, à décrocher des diplômes sans réelle valeur. Quitte à provoquer une petite "révolution culturelle", et dans le bien d'abord des étudiants qui doivent cesser d'être abusés quant aux débouchés réels des études qu'ils poursuivent, il importe donc d'instaurer, au niveau des études supérieures aussi, des paliers de sélection juste. Mais c'est surtout en amont que les choses, là aussi, se jouent : on préviendra nombre d'échecs dans l'enseignement supérieur lorsqu'on aura revu en profondeur le système d'orientation en permettant aux néo-bacheliers de choisir leur voie en pleine connaissance de cause et, donc, avec discernement.

    La formation des maîtres est aujourd'hui confiée aux ESPE, qui ont remplacé les ex-IUFM. Que faire de tous ces pédagogues professionnels ? Et à qui confier la formation ?

    Un contresens majeur a été commis au sujet de ce qu'est la pédagogie, contresens qui a présidé à la création des IUFM, puis des ESPE : elle n'est pas un savoir théorique – et c'est pourquoi, inévitablement, les prétendues "sciences de l'éducation" n'ont pas mené à grand-chose –, mais un art, c'est-à-dire une pratique dans laquelle on progresse à force de pratique, justement, de tâtonnements, d'erreurs, parfois, et, progressivement, de succès. C'est donc en situation, en se confrontant à des élèves réels, que l'enseignant se forme et, à ce moment crucial, il n'a nul besoin de perdre son temps dans ces temples de la "déformation pédagogique" que furent, durant trente ans, les IUFM et que sont à présent les ESPE. Ce dont il a besoin, c'est, en situation donc, des conseils avisés et bienveillants d'un enseignant expérimenté qui, par l'exemple qu'il lui fournit, facilite la progression de ses propres pratiques pédagogiques.

    Les enseignants français sont parmi les moins bien payés d'Europe. Faut-il modifier cet état de choses ? Avec ou sans contrepartie ?

    Nous réformerons l'Éducation nationale dans un souci de sérieux budgétaire, mais tenons à une revalorisation symbolique de la fonction enseignante – c'est un noble métier qui doit être reconnu comme tel –, et elle passe bien sûr par une augmentation des salaires. Nous sommes attachés aux statuts des fonctionnaires d'État, et il n'est pas question de les contraindre dogmatiquement à « diversifier leurs missions » : celle d'un enseignant est d'instruire les élèves que la nation lui confie. C'est bien pourquoi les décharges horaires doivent être scrupuleusement contrôlées : il n'est, par exemple, pas légitime, pour faire écho à votre précédente question, que tant d'enseignants deviennent des « formateurs professionnels », au point de perdre tout contact avec les élèves réels.

    notes * Jean-Paul Brighelli est délégué national à l'instruction publique du mouvement politique Debout la France, dirigé par Nicolas Dupont-Aignan.

    source : Le Point :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuFVlAAklXtLNxMje.shtml

  • "Modification du sexe à l'état civil"


    G
    C'est le titre d'une proposition de loi déposée hier par des socialistes comme Bruno Le Roux, Erwann Binet, Michelle Delaunay...

    Mais à part ça le gender n'existe pas.

    Michel Janva