Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1528

  • Grand Remplacement : pas de statistiques ethniques, juste les prénoms les plus populaires

    Avec la carte interactive de BFMTV, découvrez les prénoms les plus populaires département par département. Mais attention, PADAMALGAM ! Si certains d’entre eux comptent 5 à 6 prénoms d’origine arabe parmi les 10 premiers, ce n’est pas, je répète, ce n’est pas dû à la forte concentration de populations étrangères ou d’origine étrangère. Le Grand Remplacement n’est pas, je répète, n’est pas à l’œuvre.

    En Seine-Saint-Denis, Mohamed est le prénom le plus populaire chez les garçons, Rayan et Yanis arrivent en 3e et quatrième position. Chez les filles, Lina est seconde, Yasmine et Léa (d’origine hébraïque) en quatrième et cinquième position. Si ce département est le plus touché par la vague des prénoms d’origine arabe, ceux-ci sont de plus en plus présents partout en France, régulièrement dans les 10 premiers et souvent dans les 20 premiers.
    Notez bien que ces données datent de 2012 et que ces tendances lourdes se confirment depuis…

    http://fr.novopress.info/

  • Le cordon sanitaire contre le FN se retourne contre la santé de tous

    Exemple assez pitoyable du conformisme politique associé au terrorisme intellectuel :

    "Demandé par une élue FN, le rejet d'un pesticide dangereux pour les abeilles a été refusé par le Parlement européen. Les deux principaux groupes politiques travaillent à des lignes de conduite destinées éviter que leurs élus ne votent des amendements FN.

    C’est une histoire assez classique dans les institutions européennes. La Commission européenne a autorisé, en juillet dernier, la commercialisation d’un insecticide, dangereux pour les abeilles – encore un. Interdit aux Etats-Unis, le Sulfoxaflor produit par Dow Agrosciences est désormais autorisé en UE, où les normes sont d’ordinaire plus draconiennes.

    L’histoire aurait dû susciter le barnum habituel : communiqués indignés des Verts, suivis par la gauche, puis de la droite qui soutient que le pesticide est inoffensif avant que la Commission ne mette tout le monde d’accord en suspendant l'autorisation pour lancer une nouvelle étude.

    Mais rien ne s’est passé comme prévu. Aussi dangereux soit-il pour les abeilles, le sulfoxaflor n’a pas –encore- déchaîné les passions. Mardi 13 octobre, la remise en question de son autorisation n’a même pas été votée par la commission Environnement du Parlement européen, d’ordinaire à la pointe sur ces sujets.

    La raison en est simple : la question est apparue sous forme d'une objection déposée par une députée européenne Front national. Sylvie Goddyn, élue du Nord-Pas-de-Calais, a vu sa proposition rejetée par 31 voix contre, 18 pour et 6 abstentions.

    « Sur le fond, nous déposerons prochainement un autre amendement au sujet du sulfoxaflor. Mais il faut être cohérent politiquement ! Nous ne pouvons pas soutenir des gens qui veulent détruire l’Europe. Tous les membres S&D de la commission environnement ont voté contre », explique Guillaume Balas, eurodéputé socialiste et membre de la commission Environnement (...)

    Le groupe socialiste et démocrate planche (...) sur l’établissement d’une position commune pour éviter qu’un élu de sa formation ne soutienne des amendements du groupe ELN.

    La même initiative a été prise à droite au PPE, où Alain Lamassoure et Françoise Grossetête, membres LR du PPE, veulent aussi mettre le sujet sur la table. Il s’agit de convaincre leurs collègues qui représentent la première force politique de la chambre, avec 217 élus, de ne pas voter les amendements FN."

    On constatera une fois de plus la connivence de vues entre Socialistes et Républicains. UMPS pas morte !

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Scandale de l’abattoir d’Alès : ce qu’on ne vous dit pas

    Belle performance que celle de l’ensemble des commentateurs et des médias qui ont réussi à ne pas parler ni même évoquer l’abattage halal, principale activité de l’abattoir d’Alès.

    C’est bien une des tares de notre époque de miser sur l’émotionnel pour éviter toute analyse de fond. En effet, si l’émotion est légitime devant ces images insoutenables, il me semble bon de réaliser une analyse des causes.

    Cette affaire révèle, en effet, un triple scandale :

    1°) L’introduction du halal dans un abattoir ne peut que se généraliser à l’ensemble de ses activités pour des raisons de logistique industrielle, banalisant ainsi la souffrance animale et l’inobservance des règles d’hygiène, inhérentes à ce mode opératoire. C’est ce que dénonce sans relâche Vigilance Halal. La pratique quotidienne de l’abattage halal accordé par dérogation, mais devenu la règle, a fatalement des conséquences sur l’état d’esprit des employés des abattoirs, qui prennent de mauvaises habitudes, y compris pour d’autres espèces non concernées par le halal. Ce ne sont pas les plus blâmables.

    Lire la suite 

  • La Hongrie ferme sa frontière avec la Croatie, les clandestins visent la Slovénie

    La Hongrie à une nouvelle fois fermée sa frontière avec la Croatie face a l’afflux de clandestins ; seuls les postes de douane officiels resteront ouverts. Les clandestins devront désormais pousser jusqu’en Slovénie pour traverser illégalement la frontière avec l’UE, ce pays ayant annoncé qu’il laisserait passer tout le monde tant que l’Allemagne et l’Autriche les accueilleront.

    http://fr.novopress.info/

  • [Vidéo] Mémoricide : comment la République veut effacer la trace de ses génocides

    Comment faire disparaître l’histoire et le passé local d’un village ou d’une région en incitant des maires à changer le nom de leur commune ? Le 11 février dernier, une proposition de loi pour « l’amélioration du régime de la commune nouvelle » était adoptée à une large majorité par les députés français. La loi a reçu le plein accord du Sénat quelques semaines plus tard.

     

    La vidéo ici

    Cette loi qui comporte des dispositions financières incitatives – regroupement de communes contre argent – ne serait-elle pas un écran de fumée visant à masquer le véritable objectif de l’Etat ? Faire disparaître les communes … et leurs passés.

    La Chapelle-Basse-Mer et les communes « nouvelles »

    On le sait, les dotations financières accordées aux communes de France s’effondrent. Résultat, les maires en mal d’argent sont parfois prêts à toutes les concessions pour obtenir des moyens financiers supplémentaires. N’y aurait-il pas là un chantage magistralement organisé ?

    Le dernier exemple en date nous l’avons trouvé aux limites de la Vendée et de la Loire Atlantique. D’ici quelques semaines, les communes de La Chapelle-Basse-Mer et de Barbechat doivent se regrouper. On a proposé aux habitants de changer le nom de leurs communes en « Divatte sur Loire ». Or, la commune de La Chapelle-Basse-Mer porte ce nom depuis des décennies et fut, durant la Révolution française, le théâtre de massacres perpétrés par les soldats de la République.

    Du génocide au « mémoricide » programmé

    En 1794, 800 personnes, hommes, femmes, enfants, vieillards furent assassinés par les républicains. Les habitants, par le biais d’une pétition réunissant plus d’un millier de signatures, refusent le changement de nom de leur commune estimant que l’Etat veut effacer son passé, comme Reynald Secher l’a bien montré dans ses ouvrages et en particulier dans « Vendée : du génocide au mémoricide ». La France organise un révisionnisme légal.

    Reportage en Loire Atlantique d’Armel Joubert des Ouches

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Video-Memoricide-comment-la

  • La dérive gauchère de la liste de Bruno Retailleau

    Charles-Henri Jamin, élu d’opposition au Conseil municipal de Saumur et candidat du Parti Chrétien démocrate pour le Maine-et-Loire, dénonce :

    Unknown-22« Je préfère ne pas avoir à cautionner la dérive gauchère de cette liste présentée de droite. Écarté de la liste Retailleau-Jeanneteau, je suis stupéfait que les engagements initiaux n’aient pas été tenus. Ils étaient à ce point fermes et définitifs que j’ai largement contribué depuis plusieurs mois à faciliter la prise de contact entre les têtes de liste et le Saumurois. Et leur permettre d’obtenir ici une notoriété et une connaissance affinée de notre territoire qu’ils n’avaient pas ».

    « Mais dans les conditions de ce qui est devenu sous la pression, un rassemblement cacophonique, je préfère ne pas avoir à cautionner, comme élu saumurois d’opposition à une majorité de gauche et comme représentant du Parti Chrétien Démocrate, la dérive gauchère de cette liste de confusion plus que d’union. Ce qu’atteste la présence disproportionnée et choquante d’un Modem, qui s’est vu offrir au plan régional six places, dont trois éligibles. Ce même Modem, dont les français n’ont pas oublié qu’il a volontairement favorisé l’arrivée de la gauche au pouvoir en 2012 ».

    « Quand les élites partisanes entendront-elles les Français du terrain qui ne cessent de dire qu’ils rejettent ces combines destructrices ? Quand écouteront-ils les électeurs attachés aux valeurs d’une droite encore ancrée sur ses convictions, mais refusant tout autant le miroir aux alouettes sans avenir du Front national ? Si gagner les Régions est un passage obligatoire pour regagner la Présidentielle, exclure de cette conquête ceux qui sont le plus en adéquation avec une droite de conviction risque de coûter cher à la France. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Des dignitaires du Proche-Orient ont-ils commandité l’attentat de Charlie Hebdo ?

    Une interview parue ce dimanche dans Le Parisien jette un éclairage nouveau sur les attentats du début de l’année, attentats qui furent l’objet d’une récupération sidérante de la part du pouvoir en place. Pourtant, dans cette interview, Valérie M, la dernière compagne de Charb (le directeur de l’hebdomadaire visé par l’attentat) donne une version différente de celle officiellement acceptée (des islamistes plus ou moins isolés qui auraient agi seuls ou avec la complicité de daesh). Elle s’étonne elle-même qu’au niveau de la justice, aucune recherche n’aille dans un sens alternatif.

    D’abord, elle replace les choses dans leur contexte : L’hebdomadaire allait très mal, étant à la limite de la cessation de paiement, ce qui nécessitait des apports d’argent frais pour qu’il puisse continuer à vivre. Il avait bien fait appel à ses lecteurs, mais l’appel fut infructueux, en tout cas les sommes récoltées restant bien inférieures aux besoins. C’est pourquoi, toujours selon Valérie M (qui, rappelons-le, était intime de Charb, puisque sa dernière compagne), Charb a dû trouver d’autres financiers. Et Valérie M d’ajouter : « Dans cette quête, il a été mis en relation avec beaucoup de personnes différentes, parmi lesquels des hommes d’affaires, notamment du Proche-Orient, avec qui il passait des soirées. Il n’a jamais voulu me dire qui était l’intermédiaire qui lui permettait de rencontrer ces personnes. Il le désignait simplement en disant « mon contact ». En rentrant de ces soirées, il rigolait en me disant qu’il leur avait fait du charme, que ces gens-là étaient capables de lâcher 100 000 € comme on en dépense 10. Je n’ai jamais su non plus qui étaient ces riches hommes d’affaires. »

     

    Qui étaient réellement ces personnes promettant de financer un hebdomadaire insane, christianophobe, islamophobe, incarnant la laïcité dans sa version la plus détestable ? On ne le sait pas et Valérie M reproche aux enquêteurs de ne pas chercher à le savoir. Et en effet, c’est la bonne question. Car, en filigrane, il semble bien que ces gens, dont on sait qu’ils sont originaires du Proche-Orient, ont dû collecter des informations essentiels au contact du directeur de Charlie Hebdo, notamment pour connaître le lieu et l’heure où l’équipe de rédaction se réunissait. Il faut savoir que depuis l’incendie criminel des locaux de l’hebdomadaire en novembre 2011, toutes ces informations étaient secrètes et très peu étaient les personnes qui les savaient. Pourtant les frères Kouachi, eux, les connaissaient quand ils ont commis leur attentat. Comment les ont-ils connues ? Cette question reste pour le moment sans réponse !

    En réalité, ce qu’esquisse Valérie M., c’est que les personnes que Charb rencontrait (pensant qu’elles auraient été des mécènes pour le journal) auraient, en réalité, pu être les commanditaires de l’attentat. Charb, dont on sait que l’intelligence n’était pas le point fort, ne semblait s’être rendu compte de rien, pensant parler à des amis, là où il y parlait à ses futurs assassins. Ceci est corroboré par Patrick Pelloux, collaborateur de l’hebdomadaire, qui dit lui : « Je sais aussi qu’il [Charb] se démenait pour trouver de l’argent, même s’il était très discret là-dessus. Il m’a dit qu’il voyait des gens riches, des banquiers, des hommes d’affaires, mais je n’ai pas su qui exactement. En tout cas, il m’avait dit une fois en riant que certaines personnes qu’il voyait n’étaient pas vraiment dans l’esprit du journal, mais ce qui lui importait, c’était de sauver Charlie. »

    http://www.contre-info.com/des-dignitaires-du-proche-orient-ont-ils-commandite-lattentat-de-charlie-hebdo#more-39604

  • Manifestation des policiers sous les fenêtres de Christiane Taubira

    Reportage à Paris Armel Joubert des Ouches pour Réinformation.tv

    Manifestation des policiers sous les fenêtres de Taubira from Reinformation.tvon Vimeo.

    Michel Janva

  • Le déclin du syndicalisme en France

    Naguère, le syndicalisme se confondait avec des partis politiques (CGT-PC) et représentait peu ou prou 20 % du monde ouvrier ; aujourd’hui, il ne représente plus que 8 % dont la majorité se trouve dans la fonction publique.

    Et pourtant, compte tenu des grands changements structurels dans la production des biens et des services depuis les années 70 et l’ouverture des marchés à la mondialisation qui ont conduit les grandes sociétés françaises à délocaliser les emplois dans les pays émergents, on aurait pu s’attendre à voir le syndicalisme ouvrier se renforcer afin de lutter contre la précarité de l’emploi en France, pour ne pas dire sa disparition totale des écrans de l’ANPE ou de Pôle emploi aujourd’hui.

    Alors, pourquoi le prosélytisme syndicaliste est-il resté inaudible, voire incompris de la part des travailleurs ? On pourrait bien évidemment arguer du fait que la législation du travail n’oblige pas les travailleurs à se syndiquer, mais surtout que la mise en place de syndicats n’est possible que dans les entreprises de plus de 50 salariés, sans parler de la flexibilité et des nombreux contrats de travail précaires, lesquels ne participent pas à renforcer le syndicalisme.

    Lire la suite