Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1524

  • Millions alloués par la mairie de Paris aux associations : Droite et les Verts soupçonnent de petits arrangements entre amis

    L’ambiance est électrique dans l’hémicycle de l’hôtel de ville de Paris en cette rentrée de septembre. Les élus doivent délibérer d’une subvention de 150 000 euros que la municipalité veut allouer à l’association Yes We Camp pour la réhabilitation de l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul. Jean-Baptiste de Froment, membre de l’opposition, s’apprête à la contester lors d’une prise de parole. L’élu a pressenti que quelque chose ne tournait pas rond. Mais les équipes d’Anne Hidalgo lui ont coupé l’herbe sous le pied : la délibération a été retirée à la dernière minute de l’ordre du jour. Ce que Jean-Baptiste de Froment n’a pas eu le temps de dire, c’est que le président de Yes We Camp, un certain Jean-Michel Guénod, est un compagnon de longue date du Parti socialiste.

    (…) Le Point

    http://www.fdesouche.com/660737-millions-alloues-par-la-mairie-de-paris-aux-associations-droite-et-les-verts-soupconnent-de-petits-arrangements-entre-amis

  • Leur fureur, notre résistance

    Les médias ne parlent que de cela ce matin,  Marine Le Pen a finalement été contrainte d’annuler hier sa participation à l’émission  Des paroles et des actes sur France 2, dont elle était l’invitée principale, pour des raisons de  forme et de fond a-t-elle expliqué. «La méthode (de France 2) est inadmissible. Cette émission était une véritable mascarade. M. Pujadas et son équipe sont venus me supplier dans mon bureau, il y a quelques semaines, de participer à leur émission. Ils se sont ensuite soumis aux injonctions de M. Cambadélis et M. Sarkozy d’organiser un débat de 45 minutes sur les régionales. Je suis la représentante de millions d’électeurs français qui n’entendent pas se faire traiter avec mépris.» Électeurs qui selon la dernière enquête BVA entendent en effet mettre un coup de pied dans la fourmilière avec douze triangulaires qui se disputeraient au second tour…dans douze régions, le même nombre qu’en 2010 mais  alors dans  vingt-et-une régions…

    Ainsi, en cas de triangulaire au second tour, la liste FN conduite par Marine Le Pen l’emporterait largement en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, avec 46% d’intentions de vote;  la liste  FN de Marion Maréchal-Le Pen pourrait également arracher la victoire  en PACA, avec  37% des suffrages, au coude à coude avec la liste LR-Modem-UDI . De manière plus générale, dans les autres régions,  les listes frontistes dépasseraient ou frôleraient  la barre des 30% au premier tour ; Louis Aliot est même annoncé en tête le 6 décembre au soir en Languedoc-Roussillon.

    Devant cette révolte populaire qui monte et dont le baromètre des urnes devrait préciser l’étiage dans six semaines, l’attelage RPS  est désarçonné et se voit contraint  de changer de tactique. Celle du front ripoublicain,  déjà déclinante,  semble plus que jamais au PS aussi contre-productive qu’obsolète.

     D’autant que dans la conjoncture actuelle,  elle priverait les socialistes de toute présence dans de nombreuses  assemblées régionales… Bref, le «désistement républicain» (sic) pour faire barrage au FN n’est plus guère défendu que par Anne Hidalgo et la porte-parole du PS Juliette Méadel.

    Mais d’ores et déjà en Nord-Pas-de-Calais-Picardie,  Xavier Bertrand et Pierre de Saintignon ont juré qu’ils ne se désisteraient pas l’un pour l’autre au second tour  face à Marine. Et cet enterrement du front ripoublicain, de cette collusion tellement visible  entre gauche et droite euromondialistes, a été préconisé sous couvert de diverses arguties, par Benoit Hamon,  Jean-Christophe Cambadélis, Christophe Castaner en PACA, le sénateur Luc Carvounas, directeur de campagne de Claude Bartolone en Ile-de-France…

    Bref la suggestion peu finaude  de ce«ministre anonyme», recueillie par France Info et dont nous  faisons l’écho à la rentrée,  d’une alliance gauche-droite avant le second tour n’est pas pour l’instant à l’ordre du jour. Certesn le député PS de Paris Christophe Caresche a estimé que si a premier tour  «on constate qu’il y a dans un certain nombre de régions un risque sérieux que le Front National l’emporte, il faut envisager cette hypothèse» ;  «Je répondrai à cette question au soir du premier tour» a éludé Claude Bartolone.

    Face aux défenseurs des identités nationales, il faut une alliance « entre les deux blocs » de Français qui ne votent pas (encore) FN, afin d’aller vers  la « modernisation » préconisait de son côté ce matin sur Europe 1 , Henrik Enderlein, directeur du Jacques Delors Institut of Berlin et professeur d’économie politique à la Hertie School of Governance de Berlin, interrogé par Jean-Pierre Elkabbach.

    « La France que j’aime est une France ouverte, qui se tourne vers l’Europe et ouvre ses frontières. La France doit se moderniser et ne pas laisser place au déclinisme. Pleurnicher, le déclinisime, arrêtons. Ce n’est plus la France qui se modernise...»

    Et ce fameux modernisme c’est quoi ? M. Enderlein le confesse, c’est la politique  de Mme Merkel et des élites mondialisées : « L’Allemagne accueille 10.000 migrants par jour, et peut-être deux millions en 2015. Va-t-elle être dépassée ? On a pas le choix. Le droit d’asile est un droit constitutionnel. Pour arrêter, il faudrait changer la constitution ! (…). L’Allemagne doit opérer un changement culturel. C’est un défi mais l’Allemagne est prête. C’est un pays ouvert et qui va s’ouvrir d’avantage. »

    S’ouvrir davantage pour accélérer la disparation des nations conservant   leur identité européenne, helléno-chrétienne…au nom de « l’idéal européen » ( !)  et criminaliser les lanceurs d’alerte, telle est la voie sur laquelle nous sommes engagés constate Bruno Gollnisch.

    Caroline Artus  soulignait de son côté sur boulevard voltaire la fureur d’une gauche toute à sa « volonté d’épuration de toute pensée dissidente».  « Le patron des députés PS, Bruno Le Roux, veut ainsi  sanctionner le député de Vaucluse Jacques Bompard (…)  pour ses propos tenus, ce mercredi, à l’Assemblée nationale, au motif que ce dernier  a osé parler de Grand Remplacement », « évoqué ce que de plus en plus de Français expriment dans divers sondages, à savoir que  Ce qui (leur) est insupportable, c’est que l’Etat encourage l’islamisation de notre société.  En France, des préfets font pression pour la construction de mosquées. En France, des membres du Conseil d’Etat sont commissionnés à la Fondation pour les œuvres de l’islam. En France, les Frères musulmans sont des interlocuteurs du ministère de l’Intérieur ».

    Ce même  article  relève « les invectives », il y a deux jours au Sénat,  de Christiane Taubira, au style oratoire décidément toujours aussi fat et ampoulé, à l’encontre du sénateur frontiste David Rachline. «On prend note», a déclamé ce catastrophique ministre de la justice,   « de vos réflexes, de votre culture et de vos pratiques, et on imagine ce que ça donnerait si vous arriviez au pouvoir, mais nous allons nous battre pour que cela soit absolument impossible.»

    Pour ne rien  dire de la page facebook de  Stéphane Martinet, élu PS, sur à propos du FN : « Nous lutterons contre ces chiens, ces rats qui chassent en meute, ces gens qui font honte à la race humaine.» L’esprit de la Terreur  révolutionnaire n’est pas mort…

    Nous l’avons dit, Manuel Valls a  réitéré dernièrement la promesse faite à ses amis et à ses soutiens que «tout sera fait»pour empêcher la victoire du FN. Après tout, au nom du progrès, des droits de l’homme,  de la république universelle et sans frontières, changer le peuple français  pour le punir  de mal penser, de mal voter, de vouloir rester  lui même, voilà une solution finale, un  populicide,  qui a le mérite aux yeux des gardiens des lumières mondialistes d’être imparable.

    http://gollnisch.com/2015/10/23/leur-fureur-notre-resistance/

  • Vers l'abrogation du "mariage" LGBT en Slovénie

    SLa cour constitutionnelle de Slovénie a donné aujourd’hui son feu vert à un référendum demandant à annuler la loi sur le mariage homosexueadopté par le parlement Slovène en mars 2015.

    Un groupe conservateur proche du parti d’opposition de centre-droit, le Slovenian Democratic Party (SDS), soutenu par l’Eglise catholique avait réuni les 40 000 signatures nécessaires pour provoquer un référendum sur la question.

    Le parlement slovène (composé de grands démocrates, probablement) avait bloqué l’initiative de ce groupe au motif que ce référendum était inconstitutionnel au motif que « le mariage hétérosexuel ou homosexuel est un droit fondamental ». 

    Cette décision a été invalidée par la cour constitutionnelle.

    Selon la loi Slovène, un groupe qui rassemble 40 000 signatures en un mois peut demander un référendum. La population slovène s’élève à 2 millions d’habitants.

    Si plus de 20 pour cent des inscrits s’exprime, et que le non à la loi sur le mariage homosexuel l’emporte, cette loi sera annulée.

    Michel Janva

  • Ce que vous ne verrez pas au JT : les immigrés prennent des selfies pendant qu’ils incendient leur campement de réfugiés

    Les journaux télévisés et les quotidiens de la presse mainstream vous ont montré des images du camp de réfugiés de la Brezice slovène en feu.

    Mais les médias aux ordres se gardent bien de vous expliquer que ce sont les immigrés illégaux, pardon les « réfugiés », qui ont eux-mêmes mis le feu à leur campement.

    Des photographies de la scène montrent bien des groupes de jeunes hommes portant des sweat et incendiant le campement. Plusieurs de ces immigrés ont même immortalisé la scène par un selfie ! La photo ci-dessus montre l’un de ces immigrés faisant un ‘V de la victoire’ en se photographiant devant une tente en flammes. La police slovène a déclaré que les immigrés illégaux ont utilisé des couvertures offertes par l’ONU pour mettre le feu aux tentes.

    lire la suite

  • Pierre Hillard nous parle de la famille royale d’Angleterre et de son rôle dans le mondialisme

    Pierre Hillard, essayiste et spécialiste du mondialisme, nous parle des liens entre la famille royale d’Angleterre et l’oligarchie, sans oublier l’influence de la maçonnerie et du judaïsme.

    http://www.medias-presse.info/pierre-hillard-nous-parle-de-la-famille-royale-dangleterre-et-de-son-role-dans-le-mondialisme/41122

  • Les médias français sont aux ordres... ou fermés !

    Aujourd'hui 15 octobre 2015, deux informations concomitantes nous plongent dans le monde merveilleux du social-facisme.

    Une décision historique vient d'être prise hier par le CSA : Il a décidé de retirer son autorisation de diffusion à la chaîne Numéro 23 à partir du 30 juin 2016.

    Pour quel motif ? Cette chaîne a-t-elle fait l'objet d'une condamnation en justice ? Que nenni. A-t-elle contrevenu à la loi sur l'audio-visuel ? Pas le moins du monde. A-t-elle porté atteinte aux intérêts supérieurs de l'Etat. Peut-être bien....

    La chaîne a commis une erreur majeure, elle s'est crue en démocratie, elle s'est crue dans un pays libre où se développe la libre entreprise... Erreur !

     

    Numéro 23 a fait entrer à son capital fin 2013 le groupe russe de télévision UTH à hauteur de 15 % ! Un groupe russe actionnaire d'une TV française, vous imaginez le scandale au moment où Hollandouille 1ier fait perdre des centaines de millions à la France en trahissant sa parole dans l'affaire des bateaux « Mistral ». Un groupe russe actionnaire d'une TV française au moment où Poutine ridiculise la position française dans l'affaire de la Syrie ! Un groupe russe actionnaire d'une TV française au moment où Poutine apparaît comme le seul défenseur de la culture européenne face au péril islamique ! Crime de lèse-majesté.

    Pour la première fois, la CSA, dont d'aucuns vous diront qu'il est « indépendant » alors que la seule indépendance de ce comité aux ordres du gouvernement n'existe que que vis à vis de la justice et de la loi, suspend l'autorisation de diffusion de la chaîne. Le prétexte (car il faut tout de même un prétexte...) ? L'existence d'un pacte d’actionnaires qui aurait (selon le CSA) prévu une « cession rapide » de la chaîne. Or celle-ci se trouvait encore dans la période d’interdiction de revente, qui est de deux ans et demi après son démarrage.

    Ce n'est pourtant qu'après cette période que le groupe « NextRadioTV » d'Alain Weill a déposé une offre de rachat.

    Voilà qui se permet de critiquer la gestion des médias audiovisuels en Russie ! Une instance politique composée de membres désignés par le pouvoir peuvent décider de la vie et de la mort d'une chaîne de TV, de qui peut et de qui ne peut pas être actionnaire d'une chaîne de télévision en France.... Vive la liberté d'expression ! Vive l’État de droit !

    Toujours dans le même secteur, la télévision, qui décidément continue, malgré l'existence désormais de bien d'autres médias, à faire fantasmer les tenants du pouvoir, voici que Fleur Pellerin, ministre de la Culture, a décidé de frapper un grand coup contre Vincent Bolloré. Imaginez ! Un milliardaire blanc, catholique, Breton, hétérosexuel et accessoirement ami de l'ancien Président de la république s'empare du temple audiovisuel de la boboïtude.... Tout fout le camp, camarade !

    Après s'être autoproclamée "garante" du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions (qu'elle commence par s'occuper de l'indépendance des rédactions de l'empire audiovisuel d’État) parce que le nouveau patron serait intervenu dans la déprogrammation de deux reportages politiquement engagés sur Canal+, voici que désormais elle veut « élargir le statut de lanceur d'alertes" au "monde des médias".

    Ce fameux statut de « lanceur d'alerte » permet aux salariés d'être protégés lorsqu'ils dénoncent « certaines pratiques » de leur entreprise. Encore une belle démonstration de la manière dont les socialo-facistes savent pervertir les meilleures idées. Le statut de « lanceur d'alerte » ne concernait, jusqu'à aujourd'hui, que les « pratiques délictueuses », c'est à dire celles qui sont contraires à la loi.

    Désormais, notre ministre socialiste, en attendant probablement la ré-instauration des soviets, se sert de cet outil pour « appeler les travailleurs à la délation idéologique ».

    Vive la liberté d'expression ! Vive l’État de droit !

    TDK édite entre autres le site d'informations économiques "MaVieMonArgent"

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-medias-francais-sont-aux-173011

  • Plaidoyer pour le rétablissement de la peine de mort

    Le 15 octobre 2015, un petit garçon d’âge pré-pubère a été poignardé par un psychotique dans une cité lorraine. Au-delà de l’actualité et des réactions de colère & d’indignations qu’elle génère, il convient de réfléchir à un grave problème de société pour lequel le « peuple souverain » n’a jamais été consulté : l’invraisemblable stupidité de l’abolition de la peine de mort.

    Un médecin de ma génération (né en 1949, je suis entré dans les hôpitaux vingt ans plus tard comme externe, pour les quitter, en 2011), il est devenu monnaie courante de voir sortir d’hôpital psychiatrique des fous dangereux (des psychotiques délirants et/ou agressifs), nantis de l’étiquette : « équilibré ». De fait, à l’heure des antipsychotiques, tout malade chez lequel un diagnostic a été posé suffisamment tôt peut être stabilisé par son traitement… à condition qu’il soit régulièrement pris et c’est là que le bât blesse.

    Le psychotique de forte conscience morale (ou éthique, comme on voudra) prend son traitement, à la fois parce qu’il se sent mieux avec lui que sans, même s’il endure d’inévitables effets secondaires, et parce qu’il ne veut pas ou plus nuire à autrui (ses proches, ses collègues de travail etc.). Le psychopathe, le sociopathe, le psychotique dépourvu de conscience sociale abandonnent vite leur traitement, parce que cela leur plait de terroriser autrui, de faire mal, de blesser physiquement ou moralement. Tous les médecins le savent, mais nul dans le monde merveilleux des politiciens ne demande l’avis des vrais praticiens, pas des médicastres de secte, de parti ou de boudoir.

    De toute antiquité, on admet dans toute civilisation orientée vers le « Bien commun », à la fois la légitime défense de qui est réellement et immédiatement menacé dans sa vie et l’adage « œil pour œil, dent pour dent », ce principe du talion pouvant être généralisé en : vie pour vie.

    On se moque des éjaculations verbales des avocats sur la non-exemplarité de la peine de mort et pour une excellente raison : aucune étude scientifique n’a jamais été réalisée sur le sujet. Bien au contraire, de nombreuses études éthologiques et sociologiques (notamment celles menées sur des jumeaux éduqués séparément) ont démontré l’innéité – pour au moins 80% - des comportements… donc le risque, génétiquement commandé, de la récidive chez des assassins et des violeurs, après leur libération de prison, souvent anticipée pour raison de « bonne conduite ».

    L’ego surdimensionné et les professions de foi de pénalistes vexés par la condamnation à mort d’un de leurs clients (et la mauvaise publicité qu’ils en ont ressentie) ne pèsent rien, absolument rien, en comparaison de vies d’innocents gâchées par des fous criminels, des pervers dangereux (les violeurs-assassins), des grossiums du trafic de stupéfiants, des criminels par fanatisme religieux.

    On se moque d’une « rééducation », en réalité illusoire du fait de la génétique défavorable des assassins, violeurs, fanatiques dangereux, sociopathes etc. La peine de mort a pour but d’éliminer la pire des bêtes féroces : l’homme génétiquement programmé pour assouvir ses pulsions criminelles.

    Il ne faut plus s’intéresser au débat stérile sur l’exemplarité de la peine de mort, ou au dogme, antique mais hautement périlleux pour la société, de l’irresponsabilité des « fous ». Éliminer les grands criminels, c’est une mesure de salubrité publique, soit ce qu’en d’autres temps on eût dénommé une « mesure de Salut public ».

    Docteur Bernard Plouvier

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuVVkZyZZaULgNKSw.shtml

  • «Nous venons en paix» , mais ça va vous coûter cher, les Allemands !

    «Nous venons en paix», c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants » / « réfugiés » / Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM !
    Aujourd’hui, petit passage en Allemagne, où nos voisins sont en train de déchanter… même ceux qui se fichent de la perte d’identité de leur pays sont en train de réaliser que la vague migratoire va les taper ou ça fait mal… au porte-monnaie ! Les observateur prévoient des « Hausses d’impôts massives » pour financer les clandestins.

    « 409 000 immigrés supplémentaires » : ce sont les chiffres officiels du gouvernement allemand pour la période comprise entre le 5 septembre et le 15 octobre, soit environ 10 000 nouvelles arrivées par jour. À ce rythme, le seuil du million sera dépassé avant la fin de l’année.

    De plus en plus d’observateurs relèvent que cette gigantesque vague d’immigration sera tout simplement ingérable. L’économiste Bernd Raffelhüschen, professeur de finances publiques à l’université de Fribourg en Brisgau, a ainsi averti que « les systèmes allemands de protection sociale ne sont prêts en aucune façon pour l’immigration de plus d’un million de personnes. Les conséquences seront des hausses d’impôts massives ».

    Le Professeur Raffelhüschen a souligné que l’Allemagne comptait déjà plusieurs centaines de milliers de chômeurs sans qualification. « Il arrive maintenant jusqu’à 1,5 million de personnes supplémentaires, dont environ 70 % sont également sans qualification ». L’économiste doute que la majorité des immigrés puisse être intégrée dans le marché du travail : « Il s’agira plutôt d’une intégration dans les systèmes de protection sociale ». Or le coût en incombera forcément au contribuable. « Il n’y a aucune alternative ».

    Le Professeur Raffelhüschen prévoit en outre, dans les décennies à venir, une forte augmentation de la pauvreté des personnes âgées. « En effet, des personnes qui arrivent en Allemagne à 30 ans n’ont aucune chance de pouvoir cotiser les 45 années requises pour la retraite ». Là encore, la prise en charge des immigrés âgés ne pourra être financée que par l’impôt.

    Autant de conséquences inéluctables que le gouvernement d’Angela Merkel semble pourtant n’avoir pas pu, ou pas voulu, envisager.

    http://fr.novopress.info/

  • Marine Le Pen et le réquisitoire du procureur de Lyon

    C’est avec beaucoup d’étonnement que j’ai pris connaissance du procureur de la République de Lyon sollicitant la relaxe de Marine Le Pen dans le cadre de poursuites exercées par différentes associations de partie civile. Ces dernières reprochaient à la présidente du Front national ses propos comparant les prières de rue à l’Occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Non pas que ces poursuites soient justifiées : mais il est effectivement rare, en la matière, de ne pas voir le ministère public requérir une condamnation en ces temps où la liberté d’expression se réduit comme peau de chagrin.

    Peut-être faut-il y voir une crainte de faire de madame Le Pen une martyre de la liberté d’expression à quelques semaines des régionales et donner l’impression, dans un contexte où les voyous semblent bénéficier de la mansuétude de la justice quand ils ne s’échappent pas carrément lors d’une permission pour abattre ici ou là un policier, que le pouvoir s’acharne par tous les moyens contre les véritables opposants politiques.

    Mais nul ne peut sonder les reins et les cœurs, et il est difficile de savoir ce qui a pu déterminer le procureur à requérir de la sorte. Et au-delà des interprétations subjectives, il existe bien des éléments parfaitement objectifs qui justifient une relaxe de madame Le Pen.

    La première, c’est que nous sommes dans une affaire entre parties. Il n’est pas rare, en la matière, de voir le parquet se désintéresser de l’affaire lorsqu’il n’a pas l’initiative des poursuites et que celles-ci ont été engagées par des particuliers. Mais cela est cependant plus rare en matière de racisme réel ou supposé et, en général, le parquet s’associe aux poursuites des éternels ligues de vertu – LICRA, MRAP, SOS Racismev – qui prétendent dicter aux citoyens les limites admissibles de la liberté d’expression. En l’espèce, l’enjeu politique et juridique était réel et le parquet ne pouvait se permettre de se désintéresser d’une telle affaire.

    Une deuxième explication plausible est que les propos visent la pratique d’une religion controversée – l’islam – qui pose objectivement de réels problèmes. Et quelques mois après le massacre de Charlie Hebdo, dont les dessinateurs ont été assassinés parce qu’ils avaient osé blasphémé le prophète Mahomet, poursuivre madame Le Pen pour des propos relatifs à des pratiques critiquables aurait paru contradictoire. Certes, les praticiens du droit de la presse savent depuis longtemps que le « deux poids deux mesures » trouve régulièrement à s’appliquer. Un ahurissant jugement de la 17e chambre correctionnelle déboutant et condamnant l’AGRIF parce qu’elle avait dénoncé le racisme anti-blanc d’Anne Lauvergeon et de la société L’Oréal en témoigne. Mais en l’espèce, lesdites prières de rue étaient pratiquées en toute illégalité : entrave à la libre circulation, discrimination à l’encontre des femmes puisque celles-ci ne peuvent circuler librement sur cet espace objectivement occupé – les motifs d’interdiction de tels rassemblements étaient nombreux.

    Enfin et surtout, le ministère public a opéré une distinction entre les musulmans et des musulmans. Ces prières sont bien le fait de radicaux prosélytes. Il est donc parfaitement légitime d’exprimer une opinion contradictoire sur une telle pratique. Le fait est que la mouvance salafiste constitue, au sein de l’islam, une composante non négligeable et il doit pouvoir être possible de la critiquer sans s’exposer aux foudres des ligues de vertu.

    Cette distinction, au demeurant, constitue une heureuse nouvelle pour d’autres personnalités poursuivies, et en premier lieu Aymeric Chaupradre, poursuivi également devant la 17e chambre correctionnelle le 16 janvier prochain à la diligence de la LICRA pour une vidéo publiée, pourtant, dans les dépendances du Parlement européen et faisant suite à des débats parlementaires. Dans cette vidéo, le géopolitologue, dans une brillante analyse, rappelait que la France était en guerre avec des musulmans opérant de facto une distinction entre l’islam qu’il qualifiait d’acclimaté et l’islam global. Espérons que le parquet de Paris fera application de la même jurisprudence que ses collègues lyonnais…

    Me Frédéric Pichon

    source : Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuuVuAEEuuWHbMxMNd.shtml

  • Les avocats de Lille, en grève, évacués en force par les CRS

    Alors que les avocats manifestaient ce matin contre la réforme de l'aide juridictionnelle, ils ont été évacués du tribunal de Lille par les forces de l'ordre. 
    Des avocats, en robe, délogés manu militari par des policiers. Voilà les images diffusées depuis ce matin après que la police a décidé de forcer le blocus du palais de justice de Lille, verrouillé par des avocats en grève. Souhaitant protester contre la réforme de l’aide juridictionnelle, les avocats tentaient, depuis 8 heures ce matin, d’empêcher l’accès au tribunal afin qu’aucune audience ne puisse se tenir. 
    Finalement, après quatre heures de blocage, la police a décidé de «forcer le passage» pour que «neuf justiciables» puissent accéder aux salles d’audience, a expliqué Vincent Potié, le bâtonnier de Lille. Certaines audiences devaient donc se tenir ce mardi, malgré le blocage du tribunal, reconduit jusqu’à 19 heures selon le bâtonnier. 
    Le premier des avocats lillois a aussi dénoncé la violence de la police, évoquant «cinq avocats qui se sont fait molester». Sur les réseaux sociaux, des vidéos publiées accréditent cette version car l'on peut voir des robes déchirées, mais aussi des avocats être traînés au sol. La police, de son côté, a nié toute violence et explique avoir dû «repousser les manifestants pour laisser le passage aux détenus afin qu'ils puissent entrer dans le tribunal». 
    Le mouvement de grève des avocats pourrait durer, a prévenu Vincent Potié pour qui «le mouvement s'amplifiera, sera de plus en plus radical et de plus en plus national tant que Mme Taubira ne retirera pas son projet et tant qu'elle ne formulera pas des propositions sérieuses, et non pas des propositions de mensonges». Les avocats dénoncent le changement de formule de l’aide juridictionnelle. 
    Cette aide permet aux plus démunis d'accéder aux services d'un avocat, mais la garde des Sceaux souhaite un relèvement du plafond de revenus pour les bénéficiaires, une refonte du barème de rémunération des actes et une participation des barreaux à son financement. 
    Le mouvement national de grève contre le projet de réforme de l'aide juridictionnelle était suivi lundi par 141 des 164 barreaux de France.