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lobby - Page 1531

  • Sida : l’intox

    Plus de 35 millions de personnes son porteurs du sida et un million d’entre elles en meurent chaque année.

    Or rituellement, avec une régularité quasiment horlogère, il nous est annoncé qu’un vaccin contre le sida a été mis au point. La dernière version a été publiée en date du 25 février dernier par la revue Nature. Elle annonçait qu’un succès partiel avait été obtenu chez quatre singes : toutefois, l’immunité ne durait que huit mois au maximum. Mais ce vaccin, pour le Pr Rozenbaum spécialiste de cette maladie, ne serait pas commercialisable avant des années et peut-être jamais.

    En décembre 2014, était révélé par Didier Raoult, professeur à la faculté de médecine de Marseillele cas de deux patients qui avaient guéri spontanément. C’était une véritable « révolution », dira-t-on avec lyrisme. Emballement médiatique maximum ! Or à l’époque plusieurs chercheurs n’étaient guère de cet avis et mirent un double bémol.

    Une étude française de l’INSERM présentée par Fréquence Médicale du 24 septembre 2015, explique que dès l’arrêt des traitements antiviraux, la maladie réapparait. Pourquoi ? Parce que le virus est quiescent et caché dans une série d’organes comme le cerveau ; ceci même durant le traitement. La découverte nouvelle est que le tissu graisseux est une véritable réserve du virus où il se refugie et se multiplie toujours. Une des raisons est l’inflammation qu’il y déclenche. Ceci concerne la totalité des graisses du corps où qu’elles soient. Donc le volume des réservoirs est ainsi considérablement plus important que ce que l’on pensait jusqu’à présent. On a eu tort de ne prendre en considération que la seule présence du virus dans le sang, explique le Pr Olivier Lambotte de l’Hôpital Bicêtre. Il déclare expressis verbis que « la rémission et la réduction de l’infection par le VIH n’est pas pour demain »

    http://www.medias-presse.info/sida-lintox/39519

  • « Un discours de rejet, de haine et de peur »?

    Après le vote majoritaire du peuple grec  dimanche qui, en désespoir de cause,  a redonné carte blanche à Syriza qui l’a trahi, celui de  la Catalogne qui élira son parlement régional le 27 septembre est très attendu. La mouvance indépendantiste à le vent en chez de nombreux Catalans, dans une Espagne, cinquième puissance économique de l’Union européenne,  ravagée par la crise …et qui a vu  aux dernières élections l’émergence au niveau national  de Podemos, parti citoyen de gauche campant sur une position  favorable  à l’indépendance.  Bruno Gollnisch  rappelle à cette occasion qu’il ne pense  pas que cette séparation  serait bénéfique et qu’il condamne plus largement  tout ce qui contribue à affaiblir  les Etats nations pour le plus grand profit des tenants de l’euromondialisme ou de l’eurofédéralisme. Pour autant, la guerre psychologique, la propagande utilisée pour dissuader les Catalans de se séparer de l’Espagne est parfois  tellement grossière qu’on  se demande si elle ne vise pas le but inverse de celui affiché.   

    Javier Tebas, président de la ligue espagnole de football, affirmait ainsi  hier que les clubs de foot de Catalogne, dont  le fameux  FC Barcelone  cher au cœur de Manuel Valls, seraient privés de championnat d’Espagne qui, par définition,  n’est pas ouvert aux « clubs étrangers »…Or, une dérogation existe déjà, celle permettant à la principauté d’Andorre d’y évoluer comme c’est le  pour  Monaco en France. Même si le foot  est une religion pour beaucoup, la menace semble  donc  de peu d’effets.

    De son côté, le gouverneur de la Banque d’Espagne, par ailleurs membre du conseil des gouverneurs de la Banque Centrale Européenne (BCE) , Luis Maria Linde,  a indiqué qu’une indépendance de la Catalogne  signifierait qu’elle serait « automatiquement exclu de la zone euro , car ce processus implique la sortie de l’Union européenne. » « Les banques catalanes pourraient cesser d’avoir accès au refinancement de la BCE.  Les dépôts pourront alors être gelés, comme cela a été le cas en Amérique latine ou en Grèce. »

    Là aussi les indépendantistes   ne prennent pas cette menace au sérieux…parce qu’elle n’est pas crédible au vu du poids économique de la Catalogne qui représente 17% du PIB espagnol  ce qui  la rend donc incontournable. Indépendantistes  dont une large part  s’accommode très bien  de la tutelle d’une Europe bruxelloise qui se satisf(er)ait pleinement de régner sur des Etats croupions, affaiblis, aux exécutifs régionalisés, fédéralisés, landërisés. Penser qu’une  Catalogne indépendante  embarrasserait (tous) les technocrates  eurobruxellois est une idée fausse.  

    Idées fausses qui seraient l’apanage du FN si l’on en croit  les leaders d’opinion alors  que ce sont les  thèmes frontistes   qui sont au centre du débat  et qui obligent détracteurs et adversaires  politiques à se positionner par rapport à eux .  L’Obs convoquait ainsi aujourd’hui sur son site   Henri Labayle, professeur de droit à l’université de Pau et spécialiste de l’immigration pour expliquer que le Front National  a tout  « faux » de dire que l’espace « Schengen » est « mort. »

    Au détour   de longues circonvolutions  il est tout de même écrit que « des printemps arabes aux guerres du Proche-Orient et à la multiplication des conflits régionaux auxquels les États européens ne sont pas toujours étrangers, rien ne ressemble plus à ce monde où les VoPos est-allemands et Mouammar Kadhafi, sans parler de l’armée turque, étaient nos garde-frontières objectifs ». « Conçu pour un temps calme, Schengen ne supporte pas la tempête. »

      M. Labayle  souligne aussi  les tares, les défauts de «cohésion» de cette construction européenne en affirmant  qu’au-delà même des limites de  «Schengen», «il semble n’être venu à l’esprit de personne que construire un espace commun reposait sur la capacité de chacun à garantir la sécurité de tous et que la levée des contrôles intérieurs exigeait en retour une cohésion forte dans les législations nationales, par un effet de vases communicants facile à prévoir. »

    Il s’agir surtout de bien comprendre que la question  de la matérialité des frontières n’est qu’une des données du problème.  Bruno Gollnisch  rappelait dans un  entretien accordé le 15 septembre  au parlement de Bruxelles à Alain Escada  (mis en ligne sur Media-Presse-Info) que c’est par le rétablissement de la préférence nationale que l’on dissuadera les  immigrés  de venir s’installer cheez nous en leur faisant  comprendre que «la France n’est pas un eldorado.» 

    Tout cela le FN l’avait prévu, mais quand le FN met en garde nos compatriotes  il tiendrait lui  un discours malsain, anxiogène, voire antirépublicain.  Exemple parmi d’autres, le journal des Hautes-Alpes sur internet, l’E-media 05,  rappelait hier  que Christian Estrosi, tête de liste Les Républicains-UDI-MoDem pour les élections régionales de PACA , ne se contente pas  de tenir un discours droitier, musclé,   pour draguer l’ électeur. Soucieux  de jouer sur les  deux tableaux, il utilise aussi  les mêmes slogans que MM. Mélenchon, Valls ou  Cambadélis, les mêmes  diatribes que Mme Taubira en répétant partout qu’il «désigne le Front National comme son principal adversaire». «C’est à lui qu’il réserve ses principales attaques, en visant  ceux qui se revendiquent de Vichy, de Pétain  ou en demandant aux électeurs  d’éviter que la honte et la haine ne tombent sur notre région ».

    Même son de cloche de Ghislaine Ottenheimer, rédactrice en chef de Challenges, qui, sur le site de délits d’opinion ,  note que les républicains  «doivent composer avec un discours de rejet, de haine et de peur porté par Marine Le Pen. Revenue aux fondamentaux du FN, elle joue sur les  passions tristes  face à une opinion publique dépressive (…).  L’absence de perspectives ne peut que conduire à la montée en puissance de Marine Le Pen ».

    Et Mme Ottenheimer de s’inquiéter de la stratégie de «Nicolas Sarkozy (qui)  reste persuadé que la capacité à faire voter des électeurs passés au FN est forte et c’est pourquoi le candidat multiplie les prises de parole en direction de cette frange de l’électorat. Ce calcul est risqué et dans le contexte actuel j’ai du mal à penser que cela puisse fonctionner. En quelques années, les déçus du sarkozysme sont devenus, pour certains, des vrais soutiens du FN ».

    En quelques années les prédictions du FN, ses analyses et  ses avertissements se sont aussi   tragiquement confirmés. Mais cela Mme Ottenheimer,  comme beaucoup de se confrères  ne veut ou ne peut le dire. C’est pourtant  aussi ce choc du réel et les solutions portées par l’opposition nationale pour y faire face  affirme Bruno Gollnisch, qui explique l’attraction grandissante des idées frontistes  dans  le corps électoral. 

    http://gollnisch.com/2015/09/22/un-discours-de-rejet-de-haine-et-de-peur/

  • "Sarko ne respecte que les rapports de force"

    Extraits du dernier ouvrage de Philippe de Villiers (pour commander) :

    9782226319067-j"Le sarkozysme a changé la politique. Il a installé un nouveau modèle d'homme public. (…) Ce qui compte c'est la force de l'instant. Le mot qui fait mouche. Et qu'on oubliera l'instant d'après. (…) Pendant les campagnes présidentielles (…) il cherche les courants d'air chaud. Quand il se sent perdu, il hèle celui qu'il appelle 'l'alchimiste', le docteur Buisson. Alors il s'installe en face de lui, le boîtier à la main. Il s'absente de lui-même. Il est tout en frémissement, tout en candidature, prêt à tout entendre, prêt à tout répéter".

    "Il ne croit pas à l’oeuvre du temps. Il croit que la politique, c’est le mouvement perpétuel. Il pense vraiment, comme un ludion électronique qui toupille et pirouette, qu’il faut tout changer, renverser la table [...]".

    "Je me souviens d’un déjeuner, le 9 octobre 2008, à Matignon. Ce jour-là j’ai découvert que, derrière l’homme placide et impeccablement peigné, avec sa raie de premier communiant, il y avait une nature fragile, éruptive, explosive. Nous déjeunions sur la pelouse, tout près du pavillon de musique. Dès l’apéritif, son portable s’est mis à vibrer. Le visage crispé, il s’abandonne un instant : 

    – C’est Sarko. Il attendra. 
    – Tu fais attendre le président ? 
    François, visiblement excédé, me répond : 
    – Il n’a qu’à me traiter autrement ! Chaque jour est une humiliation.
    Le portable sonne de nouveau. Je suis stupéfait. Quelle ambiance ! Voyant ma surprise, il m’explique, fourchette en l’air, que Sarko ne respecte que les rapports de force. En souriant, je lui glisse : 
    – Tu es devenu méchant ?... 
    – Non, au contraire, je suis trop gentil. Si je lui faisais du mal, alors il me respecterait !
    Je suis effaré par tant d’animosité entre les deux hommes. En partant, il me glisse à voix basse un précepte de son mentor Le Theule : 
    – Tu sais Philippe, en politique, pour nuire, il faut être proche…
    Quelques mois plus tard, le 10 novembre 2009, il m’invite à déjeuner de nouveau sans autre raison apparente qu’amicale. Il s’en prend à ma naïveté en s’agaçant : 
    – Depuis que tu es dans le Comité de liaison de la majorité, je t’observe, tu as l’air tout coiffé de Sarko. Tu devrais faire attention. C’est un monteur de coups redoutable. Il va t’utiliser.
    Alors il penche la tête, l’air désolé, avec son visage de jeune homme candide et offusqué. Il hésite un instant et, en frappant sur la table avec le manche de son couteau, il finit par me livrer cette confidence : 
    – Tu verras, Philippe, ça finira mal. C’est Sarko qui fera tomber Sarko. Il fait n’importe quoi et multiplie les imprudences. Je le lui dis pourtant, mais il ne m’écoute pas. 
    – Il y a des affaires embêtantes ? 
    – Sarko répète toujours à propos de Villepin : il finira pendu par moi à un croc de boucher. Eh bien, moi, je te dis, Philippe : si ça continue, c’est Sarko qui finira à un croc de boucher. Et c’est la Justice qui l’accrochera. Elle sait tout."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • N’importe quel acteur privé ferait mieux que la Sécurité sociale

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

    E"Il est pourtant évident que la plupart des missions que l’État exerce aujourd’hui seraient beaucoup mieux remplies par d’autres acteurs. Qu’il suffise de regarder le cas de l’éducation, où les dépenses s’envolent, les effectifs gonflent régulièrement, et le niveau baisse tout aussi régulièrement…

    On peut en dire autant de la protection sociale. N’importe quel acteur privé ferait mieux que la Sécurité sociale. Et, contrairement à ce que prétend la propagande archéo-bolchevique, il serait extrêmement facile d’assurer un revenu minimal à tous grâce au budget de l’État (ce serait sensiblement moins coûteux en termes de frais de gestion que les dizaines d’allocations actuellement existantes).

    Le paradoxe, c’est qu’en s’attribuant des missions qui ne le concernent pas, l’État abandonne ses propres missions. C’est dans ce paradoxe que résident toute la « grogne » de cette rentrée et la quasi vacance du pouvoir sur ce qu’il est convenu d’appeler la « crise des migrants ». Trop occupé à nous materner, l’État « Big Mother » est incapable de nous protéger – ce qui n’est pas du tout la même chose ! Il est incapable d’assurer la sécurité de nos frontières et même d’énoncer une politique migratoire réaliste. Et il envoie à tous les terroristes de la planète le signal qu’au nom de notre sacro-sainte hantise de la « discrimination », nos douaniers auront la stricte interdiction de les refouler s’ils souhaitent s’établir chez nous. C’est ainsi que, de la même façon qu’il existe des paradis fiscaux (hélas, pas chez nous), nous faisons de l’Europe un paradis terroriste ! Et, pendant ce temps-là, toutes les professions crèvent les unes après les autres, étouffées sous le poids de cet État obèse et impotent.

    Voici quelques semaines, les agriculteurs disaient mourir sous le poids des charges et des normes – et ne pas vouloir vivre de subventions, même si Manuel Valls a acheté une paix temporaire avec les syndicats agricoles à coups de subventions (d’ailleurs totalement virtuelles). Cette semaine, ce sont les patrons et indépendants qui manifestent contre le RSI, cette usine à gaz fondée en 2006 (donc par la « droite »…), en fusionnant de force les organismes patronaux de protection sociale. Nous avons ainsi réussi le tour de force de faire un nouveau mastodonte coûteux et inopérant pour remplacer plusieurs petits organismes qui ne fonctionnaient pas si mal. Mais les socialistes de tout poil en sont toujours à croire que, plus c’est gros, plus c’est efficace ! Le monde entier comprend que la mondialisation, loin de donner une prime aux plus gros, la donne aux plus agiles.Ce qui implique que la plupart des conglomérats internationaux donnent de plus en plus d’autonomie à leurs diverses entités. Mais les « élites » françaises, qui ne cessent de nous chanter les louanges de la mondialisation, sont incapables de regarder en dehors de Saint-Germain des Prés !

    À côté de cette mobilisation contre le RSI, nous pouvons également mentionner la forte mobilisation des élus locaux contre la baisse des dotations de l’État. Nous pourrions considérer que cette affaire entre les élus locaux et l’État ne nous concerne pas. En réalité, elle est le symptôme de ce que l’on appelle « bonne gestion » en Socialie (et bon nombre de dirigeants « de droite » adhèrent aux principes socialistes). Quand on parle de faire des économies, les socialistes entendent : baisser les prestations ou augmenter les impôts. Il faut leur dire, une fois pour toutes, que ce n’est pas du tout de cela que nous parlons, mais bien d’efficacité : nous voulons que l’État cesse de s’occuper de tout et qu’il laisse au maximum les acteurs privés et les acteurs publics moins gros que lui gérer ce qu’ils doivent gérer. Nous ne voulons pas de la rigueur dont on nous rebat les oreilles depuis 20 ans. Nous voulons du principe de subsidiarité (que les dirigeants ont sans cesse à la bouche, sans savoir, manifestement, ce qu’il signifie !). Et nous voulons que les acteurs publics comprennent enfin que « leur » argent public, c’est dans nos poches qu’ils le prennent et qu’ils nous doivent donc des comptes précis. Si nous pouvons en faire un meilleur usage, qu’ils nous laissent faire, sans prétendre toujours savoir mieux que nous ce qui est bon pour nous !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html/page/2/

  • La CGT reprend Nice Matin : avant fermeture ?

    Pendant que les bobos parisiens s'émeuvent des manœuvres de Vincent Bolloré à Canal+, la CGT fait main basse sur Nice Matin comme l'indique Présent :

    N"La nomination de Jean-Marc Pastorino en tant que président de Nice-Matinatteste de la place prédominante de la CGT au sein de l’entreprise. Un entrisme qui fragilise encore le groupe de presse, déjà au plus bas.

    C’est donc le directeur industriel, Jean-Marc Pastorino, qui a été nommé le 10 septembre à la place de Robert Namias par le Conseil surveillance deNice-Matin. Namias, dont les comptes ont été jugés opaques par une partie des 16 membres de cette instance, a été conduit à démissionner et à passer le flambeau. La Société coopérative d’intérêt collectif, propriétaire du groupe depuis décembre 2014, confie en l’occurrence les rênes de l’entreprise à son ancien chef de la maintenance. Cet adhérent du Livre CGT a gravi les échelons de la hiérarchie jusqu’à devenir directeur de la production. Lors du changement d’actionnaires, il y a près d’un an, Pastorino a été propulsé directeur industriel, puis directeur général et membre du directoire en mai 2015.

    Alors que la précédente Société anonyme à participation ouvrière (SAPO), noyautée par la CGT, « co-gérait »Nice-Matinavec le Groupe Hersant média, le syndicat pilote donc désormais seul le navire en voie de perdition. Certes, trois directeurs généraux sont aux côtés de Pastorino, Denis Carreaux (rédaction), Alain Cantone (commercial), Pascal Jacquesson (informatique). Reste que les décisions finales émaneront du président.

    Ce dernier devra gérer dans l’urgence la crise financière à Nice-Matin. Et, en premier lieu, réaliser un audit des comptes. Par le biais d’un plan social de 150 départs (sur 1 000) et la vente de ses agences à Cannes, Monaco et Saint-Tropez, le groupe sera sans doute à l’équilibre fin 2015. Reste que la baisse de 15 % de ses recettes publicitaires depuis le début de l’année, associée à un recul de plus de 6 % de la diffusion (déclaration sur l’honneur de l’OJD 2014-2015 : 82 487 exemplaires) est un signe qui ne trompe pas. La qualité du journal, balloté par son instabilité actionnariale, a été gravement atteinte. L’absence de fonds propres empêche de surcroît la mise en place d’une stratégie ambitieuse d’investissement de développement. Plusieurs dirigeants politiques locaux, de droite comme de gauche, font le pari que Nice-Matin repassera devant le tribunal de commerce avant l’été 2016."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Exclusif. Deux terroristes présumés arrêtés à la frontière hongroise

    Deux meneurs des affrontements ayant eu lieu à la frontière serbo-hongroise (à Horgos et à Röszke) viennent d’être identifiés par la police hongroise, comme des terroristes qui s’apprêtaient à commettre des actions sur le sol européen.

     

    Image d’illustration de combattants d’al-Nosra (branche syrienne armée d’Al-Qaeda). Photo © AFP

    Le 16 septembre, Yacir et Ahmed H. ont été interpellés alors que, munis de mégaphones donnant des ordres en arabe et en anglais, ils encadraient les émeutiers qui tentaient d’entrer en Hongrie par la force.

    D’après le portail d’information Alfahir.hu, c’est un immigré illégal, manifestement chrétien, qui a reconnu Ahmed H. et envoyé des photos accablantes à la police. On y voit Ahmed H en Syrie brandissant une kalachnikov ou partageant un moment de repos au milieu d’un groupe de djihadistes.

    D’après la police hongroise, Ahmed H aurait participé au meurtre de plus de cinquante personnes. Le témoin a révélé que celui-ci avait la réputation d’un « boucher sanguinaire, assassin notoire, tortionnaire ». Après enquête, selon la police, le terroriste présumé, loin d’être un malheureux réfugié, possède une maison à Chypre, un bateau, cinq voitures et venait d’investir 90 000 euros dans la construction d’une nouvelle demeure.

    Plus grave, il était lié au Tabligh Jamaat, un groupe fondamentaliste islamiste. Il aurait combattu au sein de l’armée syrienne libre, puis dans les rangs du front al-Nosra (branche syrienne d’Al-Qaeda). Une information annoncée par la police hongroise. [....]

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Exclusif-Deux-terroristes-presumes

  • Marine Le Pen devant le tribunal correctionnel : qui en sortira perdant ?

    Le spectacle de la rue Myrrha dans le 18e arrondissement de Paris suffit à comprendre ce que veut dire Marine Le Pen. Une rue totalement bloquée chaque vendredi par des musulmans en prière, la présence de la police pour éviter les affrontements ou les conséquences tragiques d’une automobile conduite par un « déséquilibré ».

    Pour la seconde fois de sa carrière politique, Marine Le Pen est citée à comparaître devant le tribunal correctionnel. Sauf erreur, elle n’y a comparu qu’une fois, pour diffamation à l’encontre d’un ancien membre du FN, en 2011. De quoi faire pâlir son père, qui a multiplié les comparutions. Le prétexte du procès est connu : ses déclarations à propos des prières de rue, courant 2010, qui lui ont valu les applaudissements silencieux de bien des Français, et l’habituelle complainte du chœur des vierges effarouchées.

    Lire la suite

  • Manifestation contre la déferlante migratoire

    A l'appel du SIEL (Souveraineté, indépendance et libertés), proche du FN, près de 500 personnes (selon l'AFP) se sont rassemblées hier soir à proximité du consulat d'Allemagne à Paris pour dénoncer "la déferlante migratoire sur l'Europe". Le SIEL avait déployé deux grandes banderoles :

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    Plusieurs intervenants se sont succédé, devant des drapeaux français, allemand, ou hongrois, en hommage aux positions du Premier ministre hongrois radical Viktor Orban. Parmi eux, Jean-Yves Le Gallou, Renaud Camus, une porte-parole du mouvement allemand Pegida (Patriotes européens contre l'islamisation de l'Occident), Melanie Dittmer, qui a brûlé un drapeau européen. 

    Voici le discours de Karim Ouchikh, président du SIEL, ancien militant socialisteet ex-musulman converti (mention du Salon Beige vers 6mn25) :

    Capture d’écran 2015-09-25 à 07.29.26

    Michel Janva

  • Victoire de la liberté d’expression : Zemmour relaxé

    Traîné en justice pour « provocation à la haine raciale » en raison d’une chronique dans laquelle il décrivait la réalité, l’essayiste Eric Zemmour a finalement été relaxé.

    Bonne nouvelle pour la liberté d’expression : il est encore (parfois) possible de décrire le réel. Ainsi, Eric Zemmour a-t-il été relaxé par le tribunal correctionnel de Paris, ce mardi 22 septembre. Le polémiste était poursuivi pour provocation à la haine après une chronique sur RTL, en mai 2014 dans laquelle il déclarait :

    Les Normands, les Huns, les Arabes… les grandes invasions d’après la chute de Rome sont désormais remplacées par les bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d’Africains qui dévalisent, violentent ou dépouillent.

    La radio était, elle, poursuivie pour avoir diffusé ladite chronique. Elle a logiquement été également relaxée.
    « Aussi excessifs, choquants ou provocants que ces propos puissent paraître », ces propos ne s’appliquent « qu’à une fraction des communautés visées et non à celles-ci dans leur ensemble », a finalement jugé le tribunal correctionnel de Paris.

    L’avocat du polémiste pour qui ces poursuites avaient « peut-être un sens politique » et Éric Zemmour lui-même, se disant « victime d’un procès profondément politique » mettent le doigt sur le fond de l’affaire : décrire le quotidien de tant de Français n’est pas politiquement correct.

    Je ne suis pas assistante sociale, mon métier n’est pas de savoir si je vais faire de la peine à untel ou untel. Mon métier, c’est dire la vérité.

    conclut Zemmour.

    http://fr.novopress.info/

  • L’invasion n’avance pas au hasard. Le général Gomart patron du renseignement militaire, l’explique.

    Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire. Le général 4 étoiles a expliqué,  en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français. 
    La DRM, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de renseignement géospatial interarmées). Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.).C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter aux dirigeants français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des passeurs de migrants. Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en Méditerranée Eunavfor Med, lancée en mai dernier.
    Le général Gomart a ainsi pu confier lors du colloque que les militaires français ont repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte). Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. (Source)
    Avant tout départ en mer les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, explique-t-il, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses immigratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…
    le Geoint est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géolocalisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques », précise le général. (Source)
    L’invasion est donc une affaire qui n’avance pas au hasard. 
    Voilà, il n’y a aucun mystère. Lorsque les passeurs vont acheter un zodiac au siège du Consulat honoraire de Bodrum, chez Madame le consul Françoise Olcay, les renseignements français le savent… Sans le reportage de France 2, le consul serait toujours en poste. Il est à noter que Madame Olcay a perdu son poste de consul,  mais qu’elle continue d’alimenter le trafic vers la France en poursuivant son commerce illégal et que les autorités françaises le savent, de même qu’elles savent que la Turquie délivre de faux passeports, que les capitaineries ferment les yeux etc. etc.
    Et si le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, comment ne pourrait-il pas le voir en Europe et plus encore en France ? Mais qui sait sur qui la surveillance s’exerce en France ? Sur les opposants à l’immigration ?
    Cette invasion est voulue.