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lobby - Page 1534

  • Vous cherchez les climatosceptiques ? Nous voilà !

    Lettre ouverte au journal Les Échos.

    par Benoît Rittaud (membre du Collectif des climato-réalistes).

     

    Dans le numéro du 11 septembre des Échos, Yann Verdo se demande « où sont passés les climatosceptiques. » Curieusement, alors qu’il évoque les noms de Claude Allègre, Vincent Courtillot et François Gervais, il n’a pas jugé bon d’interroger l’une ou l’autre de ces personnes, et a choisi de ne donner la parole qu’à Hervé Le Treut, qui est aux climatosceptiques ce que le pape est aux athées.

    Vous ne voyez pas les climatosceptiques dans les médias ? Rien de plus normal, puisqu’on ne les y invite pas ! Il y a peu, je devais participer à une émission sur une radio de Radio France pour parler d’un livre que j’ai fait paraître cette année. Horreur : en le lisant, le journaliste y a trouvé un ou deux passages climatosceptiques. Le climat est loin d’être au cœur de cet ouvrage, pourtant le verdict est tombé : désinvitation immédiate.

    Ce n’est hélas pas le seul exemple du genre. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que Yann Verdo ne trouve pas les climatosceptiques. Mais qu’il se rassure : malgré le matraquage médiatique incessant qui conduit tant de journalistes à se muer en militants assumés de la Grande Cause Climatique, les climatosceptiques français existent bel et bien. Mieux : ils agissent ! Qu’il sache donc qu’un Collectif des climato-réalistes a été lancé le premier septembre, qui engrange chaque jour de nouveaux soutiens. Ce Collectif se fera un plaisir de présenter ses arguments aux Échos, ce qui permettra enfin aux lecteurs d’en connaître autre chose que des caricatures — la vieille ficelle du rapprochement avec le créationnisme étant l’une des plus grossières.

    Scientifiques, ingénieurs, chefs d’entreprises, consultants, médecins, enseignants… oui, aujourd’hui des personnes de tous horizons en ont assez du bourrage de crâne climatique et commencent à y afficher leur opposition. Oui, des citoyens choisissent de ne plus avoir peur de l’omerta régnante qui tente de faire passer ceux qui doutent pour des criminels négationnistes. Oui, ô surprise, il existe des gens qui pensent par eux-mêmes, tout en se fichant pas mal de l’argent du pétrole, et qui estiment que d’autres sons de cloche seraient les bienvenus dans un débat qui a la prétention d’orienter l’avenir de notre civilisation.

    La bonne question n’est pas de savoir où sont les climatosceptiques. Elle est de savoir si Les Échos auront le courage de leur donner loyalement la parole ou s’ils se contenteront de relayer servilement la communication gouvernementale pré-COP21.

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/vous-cherchez-les-171832

  • Entretien avec Jacques Bompard : À l’heure du Grand Remplacement

    — Si vous étiez le maire socialiste d’Orange, combien de migrants logeriez-vous dans le théâtre antique ?
    Jacques Bompard : Les mairies socialistes ont répondu qu’elles étaient favorables à l’accueil… mais pas sur leur territoire. Tout comme les autres maires, je n’ai aucun pouvoir d’empêcher les gens de venir à Orange s’ils le veulent. Par contre, j’ai le pouvoir, et le devoir, de ne pas dépenser l’argent municipal. Toute cette histoire d’accueil est étonnante, le pays se comporte comme lorsque des gens recueillent un petit chat ou un petit chien. Le petit chien fait pipi dans le salon, le petit chat s’accroche aux rideaux, au bout de quelque temps on se débarrasse de l’animal. Or les migrants, ou les réfugiés, ou les clandestins – on ne sait plus très bien comment les nommer – ne sont pas des petits chiens ou des petits chats. Ils ont des droits, à défaut de devoirs. Mais l’État français va se débarrasser d’eux et ce sera aux collectivités locales de s’en occuper. Pendant ce temps, d’autres États, milliardaires ceux-là, ne prennent personne. Nous prend-on pour des imbéciles ? J’aurais tendance à le penser, d’autant plus que les sondages montrent que les Français sont majoritairement hostiles à « l’accueil ».

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    — Vous avez déposé en juin deux propositions, lutte contre l’immigration, lutte contre le Grand Remplacement. Pourquoi distinguer les deux alors que, comme vous le soulignez dans ces textes, ils sont liés ?
    J.B. : Le projet de loi de lutte contre l’immigration vise à établir qu’on a le droit de demander à la République de stopper l’immigration. Celui de lutte contre le Grand Remplacement est plus philosophique. Il considère qu’il y a des primo-occupants de l’Europe qu’on doit défendre et non remplacer. Or il y a bien un remplacement organisé par nos politiques.

    — Organisé activement ou toléré, passivement ?
    J.B. : Tout le mandat de François Hollande prouve qu’il existe une volonté de casser le pays. Comment expliquer ce Grand Remplacement sinon par la haine des gouvernants pour leur peuple ? Cette détestation de soi est telle qu’elle tend au suicide. Lorsque j’évoque la philosophie chrétienne dans l’hémicycle, il faut voir les moues dégoûtées que certains députés prennent… Quand j’ai déposé une proposition de loi concernant l’avortement, juste pour qu’on laisse aux femmes un délai de réflexion – juste cela, ce que j’estime être le minimum avant un acte lourd de conséquences pour l’enfant comme pour la mère –, les réactions ont été violentes. C’est pour cela qu’il est vain de s’en remettre à des partis politiques, de voter et de laisser la main à des élus. Une élection n’est pas un blanc-seing. Il faut s’impliquer personnellement, voter et suivre ce que fait le député ou le maire. Je promeus une école de la responsabilité dans le domaine politique.

    — Quel est l’avenir de ces différentes propositions que vous avez déposées ?
    J.B. : Le gouvernement choisit ce qu’il met à l’ordre du jour. Lutter contre l’immigration, le Grand Remplacement et la christianophobie n’est évidemment pas sa priorité ! Il préfère qu’on parle d’autre chose. En tout cas mes propositions, qu’elles concernent la famille, le travail ou l’immigration, ont un lien et une cohérence : elles sont un projet de gouvernement. Le député n’est pas élu pour discourir devant ses pairs, mais pour légiférer, ne l’oublions pas.

    — Vous souhaitez introduire la christianophobie dans la loi Gayssot, au même titre que le racisme et l’antisémitisme. Utilisez-vous la loi Gayssot ou la bonifiez-vous ?
    J.B. : Pourquoi punir un discours contre l’islam tout en laissant attaquer le christianisme ? Même le diable peut porter Pierre. Vu les conditions dans lesquelles nous nous battons, nous avons peu le choix des armes. Je fais du judo, d’une certaine façon : j’utilise la force de l’adversaire à mes propres fins. Et, en ce qui concerne la loi Gayssot, le raisonnement par l’absurde n’est pas dénué d’intérêt ni d’humour.

    — Vous souhaitez que « la France interdise le financement public d’actions christianophobes ». Une pratique qui a déjà cours à Orange ?
    J.B. : À notre arrivée à la mairie d’Orange, nous avons trouvé un patrimoine chrétien en déshérence. Nous l’avons relevé peu à peu. N’est-ce pas là l’utilisation normale de subventions municipales ? Le patrimoine est une richesse à la fois économique et culturelle, plus que cela : identitaire et spirituelle. Mais nous n’avons pas fait que défendre ou promouvoir cet héritage. Nous avons consacré Orange au Sacré-Cœur et, du haut de la colline Saint-Eutrope, la Sainte Vierge veille sur la ville. Ce n’est pas inutile, je crois.

    Propos recueillis par Samuel Martin

    http://fr.novopress.info/

  • Le chef de la diplomatie UE : « Parler de réfugiés et non plus d’immigrés, a contribué à faire évoluer l’opinion »

    Haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité et vice-présidente de la Commission, Federica Mogherini ancienne ministre des Affaires étrangères italiennes, en poste à Bruxelles depuis moins d’un an, livre àLibération son analyse de la plus grave crise humanitaire subie par l’Europe depuis 1945.

    Libération : Depuis quelques mois, certains pays européens se montrent plus ouverts à l’accueil des réfugiés…

    Federica Mogherini : Lorsque certains responsables politiques ont commencé à parler de réfugiés et non plus d’immigrés, cela a contribué à faire évoluer l’opinion. S’il s’agit de réfugiés, il y a un devoir d’accueil, de protection. Les mots sont importants, comme on le voit.

    http://www.contre-info.com/

  • "Migrants" : Les enjeux géopolitiques que cache le torrent de propagande "humanitaire"

  • Leur obsession quotidienne : faire ou non le jeu du Front national

    Après l'affaire Mgr Rey, c'est l'affaire Onfray. Vincent Trémolet de Villers décrypte dans Le Figaro :

    Images-8"Michel Onfray a répondu aux questions d'Alexandre Devecchio le 11 septembre dernier dans les pages Débats du Figaro. Quatre jours plus tard, le quotidien Libération reprenait la quasi-totalité de ce texte pour en faire l'exégèse. C'est le directeur de la rédaction, Laurent Joffrin, qui a planché, avec comme sujet de dissertation: Comment un philosophe, à force de dire ce qu'il pense, fait le jeu du Front national. L'aspect anecdotique de cette histoire (une sorte de mise en abyme d'une interview du Figaro ou les pages Débats comme matière première du débat) ne doit pas cacher une interrogation plus large et de plus en plus obsédante: comment peut-il y avoir une vie intellectuelle si la seule question qui la structure se résume ainsi: faire ou non le jeu du Front national?«Il serait tout à fait faux d'attendre que la réforme générale vienne seulement de la politique», déclarait Vaclav Havel lors de son premier discours présidentiel. On pourrait ajouter qu'il est stérilisant de réduire la vie de l'esprit au manichéisme à front de taureau de la compétition électorale.

    Le Front national et son antonyme, l'antiracisme mécanique, sont depuis des années le point d'appui providentiel de la gauche morale et le paravent d'une très grande paresse intellectuelle. L'indignation fait office de réflexion, la disqualification d'argument, la dénonciation de conversation. À l'opposé résonnent les slogans tonitruants contre«le système», «l'entre-soi», «les élites mondialisées». En surplomb de ce dialogue de sourds un certain nombre d'intellectuels, d'historiens, d'essayistes travaillent à saisir la réalité. Ce qu'ils craignent plusque tout autre chose, c'est la disparition de l'intelligence au profit d'une culture de confection que l'on donnerait aux populations comme on jette des épluchures aux cochons. Ils sont volontairement sortis de la dialectique infernale et ont fait le pari de la supériorité de l'esprit sur la matière, de la raison sur l'émotion, de la sagesse sur la démesure. [...]"

    Michel Janva

  • Qui sont les collabos d’aujourd’hui ?

    Qui sont donc les envahisseurs en 2015 ? Non, pas en 1940, mais en 2015 ?

    Valls, notre doux Premier ministre, nous a gratifiés d’un grand rassemblement des maires souhaitant ardemment faire venir de beaux et jeunes Syriens et Irakiens en pleine force de l’âge pour régénérer leurs villes et villages vieillissants.

    Était présent à cette grand-messe Julien Sanchez, maire de Beaucaire. Il y a pris la parole fort courageusement pour exposer quelques vérités mal-pensantes.

    Il s’est donc fait huer, c’était prévisible et prévu. Il s’est même presque fait bousculer par un préfet ! Oui !

    Julien Sanchez s’est fait traiter de facho par des gens qui n’en ont jamais croisé un seul. « Dehors, les fachos ! » hurlait, hystérique, une vieille institutrice socialiste ou une vieille assistante sociale en manque de beau jeune Syrien.

    Facho, donc. Mais il s’est également fait traiter de collabo !

    Là, les fanatiques de la régénération du peuple français par le jeune Syrien ont fait un peu fort, un peu trop fort.

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  • Marion Marechal-Le Pen : Nous assistons aujourd'hui à un remplacement de population

    Marion Maréchel-Le Pen était l'invitée de Sud Radio :

    20150828_1_6_1_1_0_obj9695211_1"C'est 24 000 selon les chiffres français mais ce sera bien plus en réalité. Ce sont des centaines de milliers de personnes qui pourraient être accueillies.Il faut savoir que les demandeurs d'asile, une fois acceptés ont droit au regroupement familial, qui s'ajoutent aux immigrés clandestins et à l'immigration légale qu'on a déjà du mal à absorber, à loger et à entretenir.

    Ces gens arrivent dans des proportions immenses parce qu'on leur explique qu'ils sont les bienvenus. Nous payons la folie de l'espace Schengen. Bien sûr qu'Angela Merkel a fait une erreur. C'est bien gentil de dire que l'Allemagne va accueillir des centaines de milliers de réfugiés. Mais une fois qu'ils sont dans l'espace Schengen, que l'Allemagne a traité les dossiers et les a régularisés, ils sont libres d'aller partout, y compris en France. C'est pour ça qu'il est indispensable de suspendre temporairement l'espace Schengen (...)

    Il y a plus d'un million de personnes qui sont en attente de logements sociaux dans ce pays. Là, pour le coup, on arrive à trouver des logements vides pendant que les autres, en particulier des Français, attendent depuis des mois avec leur gamins d'obtenir ces logements (...)

    Force est de constater, je le vois dans ma région, que l'immigration entraîne des conséquences sociales, économiques, sécuritaires, qui doivent être prises en compte. On voit même un phénomène de désassimilation de Français qui en viennent à mépriser notre pays (...) Nous sommes un peuple héritier d'une histoire, d'une civilisation. Lorsqu'on change ce peuple, on change ce qui fait sa spécificité. Nous assistons aujourd'hui, dans une partie du territoire, à un remplacement de population, donc de culture, qui crée des tensions considérables et qui n'est pas souhaitable pour le bien-être de nos concitoyens."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • RSA, APL, CMU... : ces aides dont bénéficient les migrants en France

    Face à la crise migratoire que traverse l’Europe, Manuel Valls vient d’annoncer le déblocage de 613 millions d’euros pour 2016 et 2017, pour financer l’accueil des réfugiés et des demandeurs d’asile en France en 2016. Passage en revue des droits dont bénéficient les migrants en France.

    Quand il s’agit de se partager un problème, l’Union européenne ne sait toujours pas faire. Les susceptibilités nationales des États membres bloquent toute perspective rapide d’une stratégie d’envergure pour faire face à la crise des migrants. En attendant, les migrants affluent par la Grèce, la Hongrie, la Serbie, la Croatie, la Roumanie... Débordés, l’Autriche et l’Allemagne ont dû réinstaurer des contrôles à certaines frontières, et la France « n’hésitera pas » à le faire temporairement, a assuré Manuel Valls ce mercredi après-midi.

    À ce stade, la France a prévu d’accueillir 24.031 réfugiés (en plus des 9100 initialement annoncés), principalement des Syriens, des Irakiens et des Érythréens. En 2014, un peu moins de 15.000 demandes d’asile avaient obtenu le statut de réfugié, soit 22% des dossiers contre 45% en moyenne en Europe. Pour 2015, François Hollande estime à environ 60.000 les demandes d’asile cette année, soit un niveau sembable à 2014, et comparable aux crises de 2001-2004 (ex-Yougoslavie, Bosnie, Algérie, Tchéchénie) mais bien moindre qu’en 1989 (Turcs et Zaïrois).

    « La solidarité, c’est garantir un accueil des réfugiés et demandeurs d’asile », a estimé ce mercredi Manuel Valls, qui a annoncé le déblocage de 613 millions d’euros supplémentaires d’ici à 2017. En France, « toute personne qui souhaite solliciter la protection de notre pays doit être certaine (...) de bénéficier d’un accueil, d’un hébergement et d’une prise en charge optimaux », peut-on lire sur le site du ministère de l’Immigration. Le Figaro fait le tour des aides sociales dont bénéficient les migrants, selon qu’ils sont demandeurs d’asile - hébergés ou non - ou réfugiés.

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?RSA-APL-CMU-ces-aides-dont

  • George Soros a financé les manifestations racistes de Ferguson

    Le milliardaire George Soros, financier très en vue des campagnes de Barack Obama, a alimenté des groupes radicaux d’extrême gauche à hauteur d’au moins 33 millions de dollars en une seule année. Une enquête explosive sur les versements financiers du docile protégé de la dynastie bancaire des Rothschild révèle également que ces groupuscules sont par exemple à l’origine des manifestations de Ferguson, survenue après la mort d’un jeune Noir américain, tué par un policier blanc.

    Le document révèle également que son argent a servi à peser sur les médias, les organisateurs, les manifestants, les slogans… En d’autres mots, George Soros, figure clé de l’élite mondialiste, n’a cessé d’alimenter la pression au sommet du pays comme à sa base, dans cette guerre menée contre la police locale. La stratégie était habile : les médias n’ont cessé de relayer la propagande financée par George Soros.

    La pseudo « charité » du milliardaire est depuis longtemps connue de tous ; elle a bénéficié à la campagne présidentielle de Barack Obama, mais aussi à l’avènement de révolutions comme celle d’Ukraine.
    L’argent de Georges Soros a permis d’influencer et de manipuler les manifestations de Ferguson


    Kelly Riddell, journaliste du Washington Times, écrit ainsi : « Il y a un homme, un seul homme au cœur financier du mouvement de protestation de Ferguson. (…) Ce n’est pas la victime, Michael Brown, ou l’officier Darren Wilson. (…) C’est le milliardaire libéral George Soros, dont l’empire financier domine l’Europe et a permis de forger une machine politique alimentée par diverses associations à but non lucratif qui influencent sans cesse la politique américaine. »

    Certaines de ces organisations ont permis de mobiliser des manifestants, d’autres se sont lancées dans la « recherche universitaire » pour produire des éditoriaux repris dans la presse entière.

    Pire encore, toutes ces organisations ne cessent de « s’alimenter les unes et les autres », selon les mots du Washington Times, créant ainsi une « caisse de résonance » et permettant de faire croire que l’information vient de plusieurs sources. Certains médias sont d’ailleurs financés par… Soros lui-même, ce qui simplifie encore davantage le processus.

    Parmi les organisations qui sont descendues dans les rues de Ferguson, nombreuses étaient celles qui étaient financées par le milliardaire : Samuel Dewitt Proctor Conference, Drug Policy Alliance, Make the Road New York, USA Equal Justice, Sojourners, the Advancement Project, the Center for Community Change, ainsi que la Gamaliel Foundation.
    George Soros a également financé des programmes anti-police dans les écoles de New-York
    George Soros n’était cependant pas le seul à financer ces manifestations. D’autres forces puissantes, qui lui sont alliées, ont également aidé à alimenter une protestation essentiellement raciale. Les fondations « philanthropiques » Ford et Tides, ont également versé des millions de dollars pour l’opération.

    Le rapport révèle encore que l’argent de Soros a également servi la cause de manière indirecte. En 2010, les écoles de New York ont mis en place un cours sur les droits de l’homme pour les élèves du collège et du lycée. Outre qu’il fait la promotion des droits de l’homme à la mode onusienne, le projet se concentre également sur les mouvements révolutionnaires menés contre la police locale. Cinq ans plus tard, le monde des jeunes était prêt à l’action. Leurs manifestations ont d’ailleurs été soutenues par le président Barack Obama lui-même. Identité de vues…

    Obama a également lancé un autre projet : « Organizing for Action », qui entraîne 10.000 organisateurs communautaires progressistes pour « transformer la nation », grâce aux millions de Georges Soros, une fois de plus.

    George Soros, l’administration Obama et l’ONU soutenaient les manifestations raciales de Ferguson

     

    L’ONU elle-même a soutenu les protestations, appelant les Etats-Unis à revoir leur politique d’armement ou à nationaliser leur police : des revendications mondialistes par excellence. Les policiers ont été innocentés ou reconnus en état de légitime défense, mais l’ONU n’a pas lâché prise. Sans surprise, George Soros est très favorable à l’ONU, dont il finance régulièrement les rapports.

    Le mouvement semble aujourd’hui s’être tari. Mais rien n’exclut le retour prochain d’autres manifestations « spontanées » et « populaires » qui auront pour but de « transformer les Etats-Unis ». Et les médias, au lieu de faire leur travail, chanteront une fois de plus les louanges du « progressisme ».

     

    Béatrice Romée pour Reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/george-soros-a-finance-les-manifestations-racistes-de-ferguson#more-39255

  • A Ormesson-sur-Marne, l’arrivée de migrants rend la maire LR « folle de rage »

    Lu ici :

    "Marie-Christine Ségui, maire LR d’Ormesson, ne décolère pas. C’est fortuitement, mardi matin, qu’elle a appris l’arrivée d’une vingtaine de migrants sur sa commune, ce mercredi matin. Tard mardi soir, la préfecture assurait encore qu'il n'y aurait pas d'arrivée de migrants ce mercredi à Ormesson.[...]

    Madame le Maire a appris la nouvelle par hasard, lorsque les familles de personnes handicapées hébergées à la MAS (Maison d'accueil spécialisée), inquiètes, sont venues la voir pour en savoir un peu plus. 

    "On a des gens en souffrance des deux côtés et on va les mettre ensemble ? Sans aucun contact avec les autorités de l’Etat, j’apprends qu’il négocie, dans mon dos, avec l’association qui gère la MAS.

    Comment vivez-vous cette situation ?

    J’étais folle de rage car j’avais clairement indiqué auPréfetpourquoi Ormesson n’était pas en capacité, ni financière, ni logistique d’en accueillir.Je m’insurge de la manière dont l’Etat traite les élus locaux, en les mettant ainsi au pied du mur. Sans être contre le principe de l’accueil de ces réfugiés, je m’élève contre la méthode employée.Depuis plusieurs années, l’Etat maltraite les collectivités locales en diminuant les dotations, en transférant de nouvelles compétences, en nous faisant payer des amendes pour carence de logements sociaux. Et aujourd’hui, il passe outre l’avis des maires en imposant des réfugiés sur des territoires déjà en grandes difficultés.

    Quels sont les impacts pour la commune ?

    L’arrivée de plus de 20 personnes ne sera pas sans effet pour la ville. S’il y a des enfants, nous devrons les scolariser. On m’assure qu’il n’y en aura pas mais vu le peu d’informations, je ne peux en être certaine. Je suis garante de la sécurité de tous. On nous dit qu’ils ne resteront que 6 à 8 semaines mais le temps que leur dossier passe à l’Office des réfugiés (Ofpra), cela risque d’être des mois. Un hébergement difficile à admettre pour mes habitants quand on sait que j’ai 150 demandes de logements en attente et que récemment, je n’ai pu reloger une femme battue."

    Les "associations", nouvel interlocuteur privilégié de l'Etat. Madame le Maire (LR) devrait peut-être remonter le fil qui conduit aujourd'hui à ce genre de procédé, et... changer d'étiquette.

    Marie Bethanie