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lobby - Page 1545

  • Ce qui est choquant

    Les Européens sont sans cœur, c'est une chose entendue, néanmoins je ne peux m'empêcher d'aggraver mon cas personnel et de rejoindre Yves Daoudal qui soulève les bonnes questions sur le drame de la mort du petit Aylan...

    "On nous montre en boucle la photo d’un petit garçon mort noyé sur une plage turque. Et une armée de moralistes (tous politicards sans convictions et sans scrupules) entend nous tirer des larmes. Cette image « montre notre inhumanité », paraît-il.

    Ce que je comprends, c’est que c’est l’image qui est censée faire accepter l’invasion musulmane aux opinions publiques européennes qui y sont réfractaires, comme viennent de le montrer des sondages.

    Certes la mort d’un enfant est tragique. Mais…

    1 – On tue légalement des enfants par dizaines chaque jour dans nos hôpitaux. Et il paraît que c’est un droit des femmes.

    2 – En quoi la mort d’un enfant syrien sur une plage turque doit-elle nous émouvoir davantage que la mort d’un enfant péruvien sur la rive bolivienne du lac Titicaca ?

    3 – Pourquoi les parents de cet enfant n’ont-ils pas demandé l’asile à la Turquie ?

    4 – Comment se fait-il qu’aucun de nos moralistes politico-médiatiques ne se demande pourquoi les « réfugiés » musulmans – qui crient Allahou Akbar au moindre problème et dont toutes les femmes sont voilées - se précipitent tous en Europe et non dans les pays musulmans richissimes qui longent le Golfe persique et où l'on parle arabe ?"

    Pour finir, une illustration trouvée sur Facebook, qui se dispense de commentaires :

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    Marie Bethanie

  • Terrorisme : le débat autour des fiches S

    Dans les mois écoulés plusieurs attentats terroristes, plus qu'abominables, commis en France ont ensanglanté le pays et bouleversé l'opinion.

    Or, on a constaté que, parmi leurs auteurs, qu'il est toujours de bon ton de qualifier de "suspects", "présumés", "soupçonnés" on connaît les identités respectives de :

    - Yassin Salhi "suspect" [appréhendé sur les lieux] de l'attaque à Saint-Quentin-Fallavier le 26 juin
    - Ayoub El-Khazzan "auteur présumé" de l’attaque commise dans le TGV Thalys le 21 août
    - Sid Ahmed Ghlam, "soupçonné" d'avoir tué une femme d'un projet d'attentat contre une église de Villejuif le 19 avril
    - Amedy Coulibaly délinquant multi-récidiviste français, passé au terrorisme islamiste pour devenir l'un des auteurs des attentats de janvier 2015
    - les frères Chérif et Saïd Kouachi auteur du massacre de "Charlie Hebdo" le 7 janvier.

    Parmi les traits communs à ces individus on a pu remarquer qu'ils avaient tous été fichés "S" par les services de renseignement français. À l'époque de l'affaire Merah certains y avaient vu la déconnection entre le renseignement et la répression, et, pourquoi pas une guerre des polices.

    La diffusion de cette information a engendré, sans surprise, des réactions d'indignation des protestataires partisans de méthodes expéditives. "Yaka" expulser tous les bénéficiaires d'un fiches S.

    Moins radical que d'autres, plus moderne et technologique sans doute, le député des Alpes-Maritimes Christian Estrosi envisage l'utilisation de bracelets électroniques. Ceci aurait sans doute pour effet de signaler très officiellement à tous ces suspects qu'ils sont surveillés etc.

    On les compte en principe environ 5 000, quoique le député socialiste Jean-Jacques Urvoas président de la Commission des lois, et spécialistes de ces questions au sein du parti gouvernemental, ait pu évoquer sur son blog un nombre de 10 000.

    En réalité la question semble mal posée : le fichage des individus, institué en France depuis 1969 sous le sigle FPR, Fichier des personnes recherchées, touche environ 400 000 personnes réparties en 21 catégories. Ce fichier technique est exclusivement destiné à l'usage forces de police et il peut circuler en dehors de nos frontières, dont on peut rappeler aussi la faible étanchéité.

    Les "S", c'est-à-dire les gens que les bureaux de la DCRI jugent susceptibles de porter atteinte à la sûreté de l'État n'en constituent qu'une partie infime. Mais, dans leur cas, comme dans pratiquement tous les autres cas, il s'agit de listes administratives et non judiciaires, établies dans un but pratique sans aucune conséquence coercitive, en dehors d'exceptions comme "V", les personnes évadées, etc.

    En l'état il est assez clair que ces listes ne sont pas adaptées au désir "d'expulsion" manifesté par les adeptes du "Yaka".

    On peut et on doit par conséquent demander une surveillance plus active et plus opérationnelle des "S", un traitement particulier des suspects d'activités terroristes, une moindre promptitude à sortir des listes sensibles les probables "agents dormants" et une meilleure définition commune dans le cadre de l'Europe des polices.

    Il existe d'excellents penseurs de la chose militaire pour nous dire que "nous ne sommes pas en guerre" car "nous sommes malades" : ce n'est malheureusement pas incompatible, d'autant plus que la maladie ronge particulièrement le cerveau des élites qui nous dirigent.

    À l’époque de la guerre d'Algérie, – pardon : il fallait dire alors "les événements" – les esprits lucides dénonçaient la collusion "entre ceux qui nous dirigent et ceux qui nous combattent". Les choses ont-elles tellement changé ?

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Les gratifications de la doxa

    Le martyre de la Grèce pourrait-il avoir pour l'idéocratie eurocratique les mêmes effets que ceux de l'écrasement de Budapest pour sa devancière soviétique ? Les masques sont tombés, les compagnons de route devraient se mettent à douter à l'image d'un Edgar Morin qui récemment a fait son autocritique en soulignant que l'Europe marque l'ensauvagement du temps.

    Toutefois aucune voix de r intérieur de la Nouvelle Babel n'est venue s'émouvoir de la curée subie par le peuple grec. Pour l'URSS, il y eut des voix très tôt, dès 1917 pour montrer la race de méduse du communisme. Pourquoi l’eurocratisme dont on commence à peine à mesurer les méfaits n'a-t-il pas ses lanceurs d'alerte comme on dit aujourd'hui ? Pourquoi l'Europe n'a-t-elle pas ses voix de l'intérieur, hauts fonctionnaires repentis, élus en mal de confession, argentiers et agents profitant de leurs derniers moments pour se soulager ? L'Amérique a ses rebelles, elle a même ses consciences dolosives comme Noam Chomsky. L'Europe, qui n'est jamais pour l'Amérique que le vice appuyé sur son bras, ne semble pas devoir en créer. Il nous faut comprendre pourquoi.

    Passons vite sur la force des croyants, nous y avons déjà tant fait allusion. Glissons-nous dans les pas du comptable et de l'anthropologue à la recherche des rites et des gratifications du sacré eurocratique. En effet à Bruxelles, forme achevée de la démocratie chrétienne, on veut bien partir en Mission, mais on exige sa rétrocommission. Les institutions ont créé un véritable circuit de fidélité, invisible aux yeux du monde extérieur et qu'il convient de détailler car il étouffe les consciences, digère les adversaires et dresse les laquais.

    Les premières rétributions sont symboliques. Les institutions communautaires ont leurs héros fondateurs, les Patres Europae comme il est écrit sur les portraits en faux bronze des employés en back office de la CIA (Monet, Schuman, Spack...) présents dans le Parlement. Chaque gratte- papier, si il est bien sage, pourra avoir une nécrologie dithyrambique qui sera envoyée à l'ensemble de l’administration par courriel pour un hommage digne des orateurs attiques où il sera dit qu'il suivit les pas de ces grands hommes en prenant le risque quotidien de se piquer avec un trombone. D'où également ce système de sélection interne où parfois une fiche de poste pour un concours n'est annoncée que deux heures à l'avance pour ne recevoir qu'un seul candidat.

    D'où également des hiérarchies sociales inversées où l'eurocrate jamais élu, inconnu dans son pays a le droit d'humilier un élu reconnu mais n'ayant jamais eu de poste européen. Les anciens ministres français et particulièrement Rachida Dati l'ont appris à leurs dépens.

    Tout culte a son denier

    Ensuite viennent les choses sérieuses, les deniers du culte. Il faut déjà rappeler que l'UE ne produit rien. Elle vit principalement de la taxe TVA prise sur les États, des amendes qu'elle leur inflige via sa CJCE (Cour de Justice des communautés européennes) d'un petit droit de douane (inférieur à 3% du budget). Sur ce pactole pris à d'autres l'UE fait sa publicité. Au final, elle vous a pris 100 vous rend 25 et exige un sourire. Ce pactole est le vrai ciment de la croyance ; en un sens l'Europe c'est la PAIE. En effet plus de 200 hauts fonctionnaires européens ont des salaires supérieurs aux chefs d'États. Plus d'un quart des 37 000 fonctionnaires de la Commission ont un salaire supérieur à 10 000 euros par mois. Les fonctionnaires européens ne cotisent pas pour leurs retraites, qu'ils peuvent prendre après 15,5 ans de service et dont le montant correspond à 70 % du dernier salaire. Les députés européens touchent 10 000 euros par mois (environ 6 500 euros de salaire plus 40 000 euros de diverses primes) pour être député et 300 euros par jour de travail (ce que Philippe de Villiers appelait « cachetonner »). Les écoles des enfants sont prises en charges comme les soins médicaux (par une structure qui détruit les systèmes sociaux). Cela rendrait coopératif même l'adversaire le plus résolu !

    Enfin il y a un système de contrôle administratif qui constitue le côté orwellien de ce totalitarisme moelleux. L'UE impose à ses fonctionnaires une obligation de résidence (sa propre Cour de justice condamnerait les États qui feraient de même au nom de la liberté d'établissement). L'UE contrôle toutes les activités extérieurs même non lucratives de ses fonctionnaires, soumet leurs documents (livres, articles) à la censure préalable. Même hors de leur travail, ils lui doivent le loyalisme y compris dans leurs propos privés. Contrairement aux fonctionnaires français, ils ne peuvent pas parler à titre personnel. En théorie, on pourrait même dire que si les députés opposants à l’UE sont libres de leurs paroles, leurs attachés qui sont payés par le Parlement pourraient être sanctionnés pour leurs écrits. Tout le monde à Bruxelles connait l'histoire de l'un des pères de l'euro, Bernard Connely, qui a osé raconter sa version de la naissance de la monnaie unique et fut liquidé séance tenante de son poste à la Commission : il avait parlé.

    Conditionnés, corrompus, contrôlés, tous ceux qui pourraient parler sont également « encamaradés », si l’on peut reprendre l'expression de Sebastien Haffner sur les nazis. Perdus dans les tentations d'une fête continue, rien ne les rattache à terme aux leurs. Rien ne changera ce système, il devra être abattu. Ceux qui pensent le changer de l'intérieur deviendront ses rouages. Il va falloir s'armer de courage pour s'asseoir en travers de la doxa, et entrer en dissidence.

     

    André Ringwald monde&vie 3 septembre 2015

  • Soumission mondialiste ou Résistance nationale ?

    Pour désamorcer la révolte et la colère, ô combien légitimes, des agriculteurs Français, Manuel Valls a fait hier,  lors  de leur manifestation parisienne et à l’issue de sa réunion avec les syndicats agricoles,  l’étalage de toute la démagogie, de l’impuissance d’un gouvernement qui n’est plus   capable d’agir qu’à la marge  sur le réel. Au-delà de son « message d’amour » bien hypocrite  au monde paysan, le Premier ministre a annoncé quelques  mesures  (« année blanche » sur les dettes bancaires pour les agriculteurs en difficulté, volume d’aides porté à trois milliards d’euros sur trois ans…) qui ne résolvent rien sur le fond. Il  se contente de refiler, s’il a un peu de « chance »,  le mistigri de la mort de dizaines de milliers de nos exploitations  agricoles à son successeur. Le très décrié Xavier Beulin, président de la FNSEA, a été copieusement sifflé quand il est venu enjoindre les agriculteurs place de la nation de se féliciter de cet accord…qui fait pourtant l’impasse sur  la question cruciale de la baisse des prix ! France Info a diffusé sur son site  le témoignage poignant de la femme d’un éleveur de porcs du Finistère,  Béatrice Sévère, qui constatait hier lors de la manifestation  que « rien ne va revenir aux paysans » des aides  annoncées. « Les gens de peuvent plus manger,  payer leurs factures, les gens se suicident » « et  on nous dit  de retourner crever dans nos fermes »,   «qu’est-ce que c’est que cette France? ».

    Cette France, de moins en moins française,  c’est celle  qui est voulue et engagée sur la voie du progrès  depuis des décennies par les partis euromondialistes. Une France à qui est intimé l’ordre de se paupériser encore un  peu plus en accueillant  sur son sol  toujours plus d’immigration.

    On se souvient des rapports récurrents de l’ONU, publiés notamment par la Division de la population des Nations Unies, préconisant l’accueil dans les pays de l’UE de  millions  d’immigrés chaque année pour luter contre le déclin  démographique de la vieille Europe.  Ce qui aurait pour effet de voir plusieurs pays Européens passer ou frôler  en 2050 la barre de 50% de la population d’origine immigrée.

    Dans le même ordre d’esprit le haut-commissaire de l’ONU pour les réfugiés (HCR), Antonio Guterres, a exigé hier qu’au moins  200 000 migrants demandeurs d’asile dans l’Union européenne soient installés et répartis dans tous les pays de l’UE.

    «L’Europe est confrontée à son plus grand afflux de réfugiés depuis des décennies» a-t-il dit. «Les personnes qui ont une demande de protection valide (…) doivent ensuite bénéficier d’un programme de réinstallation de masse, avec la participation obligatoire de tous les Etats membres de l’UE. Une estimation vraiment préliminaire semble indiquer le besoin potentiel d’accroître les opportunités de réinstallation à 200.000 places», a encore écrit M. Guterres dans un communiqué.

    La chancelière allemande Angela Merkel et François Hollande se sont empressés d’accueillir cette annonce avec enthousiasme rapporte Le Figaro «en lançant une  initiative commune pour organiser l’accueil des réfugiés et une répartition équitable en Europe. Si le président François Hollande n’a pas repris l’expression de quotas contraignants utilisée par la chancelière Angela Merkel, il a accepté l’idée d’un mécanisme permanent et obligatoire».

    Le Figaro faisait état également la veille d’un sondage  Elabe pour BFMTV publié mercredi, relevant que «l’opinion publique française reste majoritairement (à 56 %) opposée à l’accueil de migrants et de réfugiés sur le territoire français.» « Les sympathisants Europe Ecologie/Les Verts sont les plus favorables à un accueil (73 %), suivis des électeurs socialistes (68 %) et du Front de Gauche (56 %). L’opposition la plus marquée se trouve chez les électeurs Front National (91 %), suivis par les sympathisants UMP/Les Républicains (67 %).»

    « Ces chiffres sont particulièrement élevés si on les compare à l’accueil réservé aux chrétiens d’Orient à l’été 2014. Selon un sondage IFOP, 54 % des Français y étaient favorables. En effet, la distance culturelle joue beaucoup. La bienveillance envers les migrants dépend de l’idée qu’on se fait de leur capacité d’intégrer la société, explique Jérôme Fourquet (directeur du Département Opinion et Stratégies d’Entreprise de l’Ifop, NDLR). L’aspect confessionnel joue, ce qui explique que les chrétiens d’Orient soient mieux perçus. L’appartenance supposée ou réelle des migrants à la religion musulmane expliquerait la moindre bienveillance des Français à leur égard ». Français qui savent en effet  d’instinct, par connaissance de l’histoire  ou pour le vivre déjà  dans leur vie quotidienne,  que les sociétés  multiculturelles sont toujours  multiconflictuelles.

    Un point de détail pour les différents lobbies immigrationnistes  qui instrumentalisent  avec un cynisme écœurant  les drames de l’immigration.  Car pour les relais d’un mondialisme  qui s’exprime à plein  dans les instances de l’ONU comme au sein de l’UE, il s’agit de préparer la France,  l’Europe, le Monde d’après, ou les frontières, les races, les ethnies, les sexes seront abolis, les religions et les cultures fondues dans un fourre-tout syncrétiste. Le tout  au nom de cette utopie planétarienne  qui anime un certain nombre de cerveaux malades mais extrêmement persévérants…

    Cette soumission de nos « élites françaises » aux dogmes mondialistes,  éclate actuellement dans les  négociations en cours sur le marché transatlantique, est illustrée pareillement plus largement par  notre inféodation aux  diktats bruxellois et atlantistes,   comme  aux mots d’ordre des officines onusiennes sur  la question migratoire.

    Que ce soit  par veulerie, résignation, démission  ou choix délibéré, l’attitude des dirigeants libéraux de gauche ou de droite  des principaux partis du Système  fait écho à la réflexion d’un  Léon Daudet notant voici  déjà un siècle, avec sa verve habituelle,  que « le libéral est le genre d’individus qui ouvre la porte à son ennemi, de peur que celui-ci ne fasse du tapage en la défonçant. »

    Alors oui, affirme Bruno Gollnisch, la raison d’être du FN est bien d’être, lui, le mouvement de la Résistance française, ce grain de sable qui enrayera cette machine  à tuer les peuples et les nations enracinés.

    http://gollnisch.com/2015/09/04/soumission-mondialiste-ou-resistance-nationale/

  • Les puissantes techniques psychologiques du lobby LGBT

    Lu dans L'Homme Nouveau :

    Unknown-2"Comment les prétendus « droits des homosexuels » ont-ils pu s’imposer aussi rapidement, pays après pays ? Un livre publié il y a vingt-six ans aux États-Unis avait fourni la recette. Rien n’a été laissé au hasard.

    L’acceptation massive de l’homosexualité n’a pas eu lieu du jour au lendemain. Le mouvement homosexuel a su avancer pas à pas, utilisant depuis plus d’un quart de siècle de puissantes techniques psychologiques destinées à manipuler l’opinion publique via les médias.But ultime : que la tolérance du vice devienne la vertu suprême.

    La machine à écraser « l’intolérance » se met en marche dès 1987, avec la publication aux États-Unis dans une revue spécialisée d’un article détaillant les étapes de la manipulation à mettre en place. Son titre :The Overhauling of Straight America(Mode d’emploi pour transformer l’Amérique « hétéro »).

    Deux diplômés de Harvard…

    Deux « experts » américains l’ont concocté, deux « homos » diplômés de Harvard University près de Boston : Marshall Kirk,chercheur en neuropsychiatrie, et Erastes Pill, alias Hunter Madsen,docteur en sciences politiques spécialisé dans la persuasion publique et le marketing social. L’article deviendra en 1989 un livre de 398 pages au sous-titre évocateur : « After the ball : Comment l’Amérique dans les années quatre-vingt-dix surmontera sa peur et sa haine des homosexuels ».

    La stratégie se décline en trois étapes. D’abord, la désensibilisation. Si l’on entend subitement un hurlement mécanique, on aura tendance à réagir pour qu’il cesse. En revanche, s’il s’agit d’un bruit gênant mais constant, comme le plic-ploc d’un robinet qui fuit, on finira par s’y habituer. Les « homos » vont donc inonder les médias de leur présence – inoffensive, bien sûr. Interdiction absolue d’alarmer les « hétéros » par la moindre outrance.Une réac­tion d’agacement modéré s’atténuera forcément au fil du temps. « Si les hétéros ne peuvent pas arrêter la douche, ils finiront au moins par s’habituer à être mouillés. »

    Ensuite, le brouillage (jamming).Une étape « plus agressive et plus satisfaisante ». L’objectif est de troubler les repères de l’« hétéro ». On va le conduire à s’identifier à un groupe dont il aura aussitôt honte de faire partie,en le forçant à condamner les extrémistes qui rejettent injustement une minorité opprimée. On multipliera à cet effet les images et témoignages d’homosexuels victimes d’injustices cruelles (Ku Klux Klan, camps nazis). Les prêcheurs baptistes qui condamnent la sodomie seront présentés comme des fanatiques religieux pleins de haine. On fera parler aussi « des punks avides de torturer des pédés », et autres excités dangereux.

    Chez une personne encore douée d’un zeste de bon sens, la satisfaction émotionnelle qui accompagnait naguère la dénonciation justifiée du désordre intrinsèque de l’acte homosexuel se muera en terreur d’être assimilée à un grossier et révoltant personnage. « L’effet est obtenu sans référence aux faits, à la logique, à la moindre preuve » admettent candidement les auteurs. Ce qui compte, c’est de semer un « frisson de doute et de honte ». L’homophobe en puissance sera prêt à tout pour se distancer d’une réputation qui pourrait lui nuire.

    Enfin, ultime tactique : la conversion.(Les auteurs précisent que le mot « subversion », plus approprié mais susceptible d’inquiéter, a été écarté.) « Nous ne serons en sécurité, à long terme, que s’ils deviennent comme nous. »

    Attaque psychologique

    Les « émotions, l’esprit et la volonté de l’Américain moyen » doivent être transformés au moyen d’une « attaque psychologique planifiée sous forme de propagande ». Le « conditionnement associatif » ébauché lors du jamming est employé de nouveau, mais d’une façon encore plus ambitieuse.On choisira méticuleusement, dans les films et les programmes télévisés, des images d’homosexuels ressemblant le plus possible aux braves gens que l’on cherche à amadouer.Plus les « homos » auront l’air normaux – « pas spécialement beaux ni bien habillés » –, plus la campagne sera efficace.

    On élargira progressivement le champ pour inclure « d’adorables adolescents sportifs, de gentilles grands-mères, des policiers qui pourraient être votre oncle, ad infinitem ».On s’appuiera sur l’impact émotionnel extrêmement puissant de l’image.Si l’ « hétéro » voit de ses yeux un personnage qu’il trouve sympathique et qu’il découvre ensuite qu’il s’agit d’un « homo », il éprouvera brièvement un conflit émotionnel. Mais l’image, perçue en premier, ­aura le dessus. L’effet négatif de l’étiquette « homo » sera vite noyé par l’impression positive initiale de l’image.

    Et voilà ! Ces méthodes éprouvées, il n’y avait plus qu’à les appliquer. Il a suffi de rassembler des sommes colossales pour inonder les médias année après année. Le résultat est là : les « homos » sont acceptés. Et ceux qui voudraient les sauver, diabolisée."

    Michel Janva

  • Migrants : les collabobos

    On croyait que la misère était moins pénible au soleil, mais pour Aznavour c’est quand même en France qu’elle doit s’installer. S’il reste un ou deux cageots de tomates après la manif des paysans, j’irais bien les lui balancer sur la scène de son prochain concert au Palais des Sports.

    L’artiste vient de lancer un appel en faveur de l’accueil des migrants, appelant à les « intégrer dans la société française », à leur trouver « un endroit où les loger, du travail et une vie normale ». Il a exhorté « les gens » à offrir une « future existence » en France à tous ces clandestins.
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    C’est sûr qu’il a des leçons à donner lui qui, riche à millions, s’est installé en Suisse pour ne pas payer d’impôts en France. Généreux avec l’argent des autres. Le pauvre contribuable, lui, peut payer l’AME, la CMU, la scolarisation, les allocations temporaires d’attente (ATA) de 340 euros par mois et l’allocation mensuelle de subsistance (AMS) de 718 euros par mois… Le tout multiplié par des milliers de demandeurs d’asile par semaine. Les temps ont changé depuis Ma Bohême et le profil des migrants aussi.

    Au printemps dernier, lors de la promotion de son dernier album, Aznavour proposait (aussi réaliste que ses chansons) de recréer des villages français grâce à l’immigration. Sauf qu’ils n’auront plus rien de Français justement, ce seront des cités ethniques pour lesquelles on a déjà donné, à grands coups de milliards et ça n’a jamais fonctionné. Avec 6 millions de chômeurs, un pays surendetté, de plus en plus d’enfants, de retraités et de salariés vivant en dessous du seuil de pauvreté, des campagnes qui se vident faute de travail, une agriculture en soins palliatifs, ajoutons des immigrés clandestins en masse et ruinons-nous davantage.

    Dans le sillage d’Aznavour, d’autres « personnalités du monde de la culture » se sont indignées des conditions d’accueil des migrants. Dans un appel publié en juillet sur le site de Télérama, ils sont 222 en tout, parmi lesquels Juliette Binoche, Omar Sy, Emmanuelle Bercot (palmée à Cannes), Valéria Bruni-Tedeschi (sœur de Carla), Jean-Louis Trintignant, Cédric Klapisch, Abderrahamane Sissako, les rappeurs d’IAM, Bruno Podalydès, Charlotte de Turckheim ou encore Arnaud Desplechin à interpeller le maire de Paris, Anne Hidalgo et à réclamer notamment la création d’une « Maison des Migrants » (dont un internaute demandait à juste titre si elle serait en pain d’épices). On en est là en effet dans le degré d’abêtissement et de sens des réalités…

    Au bal des bobos, la plupart sont des exilés fiscaux qui ne vivent pas en France comme Omar Sy qui curieusement a abandonné Trappes pour vivre avec sa famille à Los Angeles. Combien comptent-ils en recueillir à titre personnel ?

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • "Accorder l'asile au réfugiés sans chercher à faire disparaître les causes de leur exil, c'est condamner l'Europe au suicide"

    Extrait d'une tribune de Madeleine de Jessey, porte-parole de Sens commun,dans le Figaro Vox :

    "Ces réfugiés, d'où viennent-ils? Bien souvent d'Irak, de Syrie, de Libye et d'Afghanistan. Soit quatre pays que les occidentaux ont parfois pu déstabiliser par leurs interventions armées, directes ou indirectes, justes ou injustes. Nous ne pouvons donc pas purement et simplement nous laver les mains de cette situation, comme si elle était due à des facteurs exogènes qui ne nous concerneraient pas. À cela s'ajoute la politique de terreur menée par Daech, face auquel les Occidentaux se montrent étrangement passifs, et contre lequel pourtant l'ONU serait avisée de former une coalition incluant les pays arabes et l'Iran, qui combat déjà l'EI en Syrie et en Irak. On ne pourra d'abord faire face aux arrivées incontrôlées de migrants qu'en faisant disparaître les conflits qui provoquent cette immigration. Enfin, 60% des migrants qui arrivent aujourd'hui en Europe passent par la Libye, profitant de l'absence d'autorité dans le pays depuis la chute de Kadhafi. Tant que l'ONU ne travaillera pas à une réconciliation des Libyens entre eux, la Méditerranée continuera de charrier des cadavres, et nous serons confrontés à des afflux plus massifs encore de populations que nous sommes déjà incapables d'accueillir dignement. Qu'attendons-nous pour agir?

    (...) À ces réfugiés se mêle un grand nombre de migrants économiques, poussés par la malnutrition et la faim. Si celles-ci sont souvent dues à la guerre ou à la corruption, elles résultent aussi en partie de la spoliation des ressources naturelles des pays les moins développés par les pays émergents ou riches: qu'on évoque, par exemple, le pillage honteux des eaux africaines par la pêche industrielle européenne ou chinoise qui contraint les pêcheurs africains au chômage et leur clientèle au jeûne forcé. Le problème des migrants ne pourra se résoudre sans que nous acceptions de remettre en cause nos modes de consommation inconséquents ainsi que le déséquilibre de nos relations économiques avec les pays du Sud.

    Nous avons le devoir moral d'accueillir nos voisins lorsqu'ils sont en danger de mort: mais cela suppose de démêler les authentiques demandeurs d'asile des personnes qui auraient pu demeurer chez elles, ce que seul le rétablissement des frontières intra-européennes nous permettra de faire. Par ailleurs, force est de reconnaître que nous ne pouvons accueillir toute la misère du monde, encore moins avec une dette de plus de 2 mille milliards, un chômage à 10,4% et une société au bord de l'implosion qui peine à transmettre un sentiment d'appartenance à ses propres ressortissants. Voilà pourquoi nous pensons qu'accorder l'asile aux réfugiés sans œuvrer à ce qu'ils puissent un jour retourner chez eux et sans chercher à faire disparaître les causes de leur exil serait une nouvelle fois céder à la facilité d'une politique court-termiste, condamner l'Europe au suicide, le sud à la misère et les migrants au désespoir."

    Louise Tudy

  • Pour Cazeneuve les gitans peuvent saccager tranquillement mais pas les agriculteurs…

    Bienvenue en France… Pays où le métèque a tous les droits et toutes allocs, pendant que les « sous-chiens » règlent la note et ferment leur gueule. C’est à quelques nuances de ton près ce que pense notre ministre de l’Intérieur. Il justifie le laxisme policier lors du blocage de l’autoroute A1 ce week-end par les 4 morts de la semaine précédente… Rappelons simplement qu’un agriculteur se suicide tous les deux jours en France…

    http://www.contre-info.com/

  • Accueillir tant d’immigrés illégaux impose de sacrifier les plus pauvres des Français…

    Comment un pays peuplé de racistes invétérés, dont les autorités se repentent tous les jours des leurs méfaits ancestraux, supposés ou exagérés, sur place ou dans les colonies, peut-il encore attirer autant de réfugiés, au péril de leur vie ?

    Essayons de mettre un peu de clarté, de franchise et de logique dans les débats concernant l’exode vers l’Europe de foules de « migrants », comme nos zélites voudraient qu’on appelle ces malheureux. Ils ne vont pas au hasard dans un monde immense et sans frontières. Non ! Ils risquent leurs vies pour quitter leurs pays ravagés et en atteindre d’autres où l’espoir est encore possible. Leur odyssée est jalonnée par des frontières plus ou moins étanches. Il s’agit en fait d’immigrants volontairement clandestins, donc hors-la-loi sur les terres d’accueil, qui ont décidé, délibérément et avec préméditation, de forcer illégalement la porte de ce qu’ils considèrent comme l’eldorado européen.

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