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lobby - Page 1699

  • Etats-Unis : des élèves ridiculisés au collège pour leur opposition au lobbying LGBT

    Il ne faudrait pas prendre l’information que voici pour un incident isolé : il préfigure au contraire ce qui risque de se multiplier à l’avenir, en conformité avec un état d’esprit de plus en plus agressif et partagé.

    La scène se passe dans une école californienne : les élèves, des jeunes de 14 ou 15 ans, ont été ridiculisés et dénoncés pour avoir osé manifester leur opposition à un groupe d’intervenants extérieurs venus exposer leur programme LGBT en cours d’anglais. La « Queer Straight Alliance », spécialiste du lobbying lesbien-gay-bi-trans, avait été officiellement invitée à intervenir, le 29 janvier, dans plusieurs classes de 3ème à Alcanes High School à Lafayette.

    Les élèves ont dû se positionner par rapport aux LGBT
    Le lobbying LGBT, en l’occurrence, passait par la dynamique de groupe. Les élèves étaient priés de se mettre en cercle, puis, chacun devait exposer son opinion et ses croyances sur l’homosexualité, ainsi que celles de ses parents, selon le Pacific Justice Institute (PJI) qui a été saisi par des parents d’élèves outrés pour faire la lumière sur ce scandale. D’autant qu’ils n’avaient pas été tenus au courant de l’intervention de l’association.

    Ridiculisés dans leur collège pour refuser le sexuellement correct
    Les pro-LGBT du Queer Straight Alliance les encourageaient notamment à s’avancer un par un, pour dire si à leur avis être « gay » relève d’un choix, et si leurs parents accepteraient qu’ils se disent eux-mêmes « gays », selon l’avocat du PJI.
    Ceux qui refusaient de s’avancer étaient « ridiculisés et humiliés », assure-t-il.
    Au cours de l’exercice, les intervenants ont en outre révélé les noms des professeurs gays ou lesbiens dans cette école de Lafayette.
    Munis de polycopiés contenant toute la terminologie LGBT, les élèves ont ensuite été priés de se placer dans le « spectre du genre » : cela était présenté comme un exercice de « fluidité de genre », selon un parent d’élève. Les intervenants avaient pris soin d’expliquer aux jeunes qu’ils « pouvaient venir à l’école un jour en se sentant garçon, et le lendemain en se sentant fille ».

    C’est une déconstruction programmée et facilitée par le genre de l’exercice : on sait à quel point la dynamique de groupe peut peser sur les jeunes. Et elle est ici d’autant plus perverse que l’adolescence est précisément le temps des interrogations et des incertitudes sur sa propre identité.

    Dynamique de groupe pour éradiquer l’opposition au lobbying LGBT
    Voilà donc ces gamins qu’on imagine, pour certains, encore au seuil de la puberté, confrontés à des catégories profondément déstabilisantes : étaient-ils des « demi-garçons » ou des « demi-filles » ? Se reconnaissaient-ils dans le « genre gris » – genre flou et indéfini ? Ou étaient-il vraiment « bi-genre », « agenre » (sans genre), intersexe (au sexe biologiquement ambigu), pan-sexuels – attirés par tous ; voire poly-romantiques – attirés par la plupart des genres, mais pas tous ?

    Le cours, a expliqué un responsable de l’enseignement californien selon un avocat de PJI, se voulait un exercice de « tolérance » sous la surveillance des professeurs mais enseigné par des « pairs ».

    Pas de tolérance pour les ennemis de la tolérance, toutefois : bientôt, l’« outing »sera imposé à ceux qui s’opposent au lobbying LGBT et pour eux, il n’y aura ni compréhension ni admiration – le pilori.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Ludovine de La Rochère « Incapables de répondre à nos arguments, ils ne savent qu’insulter pour décrédibiliser ! »

    Entretien avec Ludovine de La Rochère

    Ludovine de La Rochère est présidente de la Manif pour tous (LMPT).

    Le 1er février dernier, Jean-Marie le Guen, secrétaire d’État, affirmait que les fondamentalistes islamiques étaient dans les rangs de LMPT. Plus récemment, Pierre Birnbaum, sociologue, affirmait sur France Info : « C’est la Manif pour tous qui a libéré la parole antisémite… » Quelle réaction ?

    Cela fait des années que les leaders de gauche et d’extrême gauche emploient les mêmes techniques pour décrédibiliser ceux qui ne pensent pas comme eux. Ils formulent des accusations fausses et répétées que l’on connaît par cœur : fascistes, extrémistes.

    Il suffit de relire La Ferme des animaux de George Orwell pour comprendre : quand certains animaux dénoncent, avec véracité, des abus de pouvoir, ils sont aussitôt accusés d’être des extrémistes, responsables de tous les maux. Ils sont décrédibilisés, commencent à douter d’eux-mêmes et finissent par se taire. Ce sont des techniques totalitaires exploitées depuis des dizaines d’années.

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  • Des avions de la coalition largueraient armes et munitions à Daech

    La commission de la Sécurité et de la Défense au parlement irakien, a accusé les avions de la coalition internationale contre le groupe de l’Etat Islamique, à sa tête les Etats-Unis, de larguer des armes et des munitions pour l’organisation Daech, rapporte l’agence de presse turque,Anatolie.

    Le président de la commission de la Sécurité et de la Défense au parlement irakien, Hakem al-Zamli, a déclaré lors d’une conférence de presse en présence des membres de la même commission, que « des documents, des photos et des informations en notre possession confirment que certains avions de la coalition violent la souveraineté irakienne, et les usages internationaux, à travers le largage d’aides à Daech et l’atterrissage des avions dans les aéroports contrôlés par ce groupe. »

    Il a qualifié cette opération « de danger pour la sécurité de l’Irak et, qui plus est, prolonge la guerre », appelant le gouvernement irakien à clarifier sa position à ce sujet.

    Le parlementaire irakien a pressé le ministère de la Défense et le commandement irakien d’intercepter et de faire tomber les avions qui atterrissent dans les régions dominées par Daech, ou lui fournissent de l’aide.

    Ni le commandement de la coalition internationale, ni les Etats-Unis n’ont officiellement réagi à ces accusations.

    http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/des-avions-de-la-coalition-largueraient-armes-et-munitions-a-daech/id-menu-957.html

    Source Article from http://reseauinternational.net/des-avions-de-la-coalition-largueraient-armes-et-munitions-daech/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • LE PEN: Washington essaie de provoquer une « guerre en Europe »

    La présidente du Front National Marine Le Pen a qualifié Bruxelles de « valet des Américains » concernant sa politique en Ukraine. Elle a accusé Washington d’essayer de déclencher une guerre en Europe et d’étendre l’OTAN vers les frontières russes.

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    « Les capitales européennes n’ont pas la sagesse de refuser de dépendre des positions américaines sur l’Ukraine », a déclaré dimanche la présidente du parti français d’extrême droite. « Concernant l’Ukraine, nous nous comportons comme les valets des Américains », a-t-elle souligné en précisant que « l’objectif des Américains est de déclencher une guerre au sein de l’Europe pour pousser l’OTAN jusqu’à la frontière russe ».

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    Elle a également accusé les responsables européens de fermer les yeux sur le fait que le gouvernement ukrainien « bombarde des populations civiles » en ajoutant que les résidents de la Crimée et de l’est de l’Ukraine pensaient que le pays devait être fédéralisé.

    Marine Le Pen a en outre critiqué l’Union européenne (UE) à plusieurs reprises pour son attitude vis-à-vis de l’Ukraine et son prétendu manque d’indépendance à l’égard de Washington. En septembre, elle avait déclaré au quotidien Le Monde que la poursuite de la crise en Ukraine était « une faute de l’Union Européenne » fustigeant le fait que Bruxelles avait exercé un « chantage sur le pays en lui demandant de choisir entre l’Europe et la Russie ».

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  • Accords UMP-FN : Nicolas Sarkozy menace de nouveau ses cadres

    Pour que le chef de la principale formation de l’opposition prenne ainsi sa base à rebrousse-poil, il faut surtout que la source du pouvoir ne soit pas dans le peuple souverain...

    Interrogé dans les colonnes du Figaro, jeudi 12 février, Nicolas Sarkozy a rappelé qu’en tant que président de l’UMP, il ne transigerait jamais et qu’il n’y aurait « pas d’alliance avec le Front national », ajoutant que si des élus enfreignent la consigne à l’occasion des élections départementales du mois de mars prochain, « on virera les gens, c’est tout ! » L’ancien chef de l’État ne fait là que répéter publiquement les menaces qu’il avait adressées aux cadres de l’UMP au lendemain de son accession à la présidence du parti le 13 décembre 2014 : « Je n’accepterai jamais aucun accord avec le FN, ni local, ni régional, ni national. Ceux qui se laisseraient aller à de tels accords, ils devront quitter le parti, ou on les en fera partir. »

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  • Le Coran d’abord ! (Présent 8293)

    Alors que responsables politiques et religieux, largement relayés par les médias, nous répètent inlassablement depuis des mois qu’il faut à tout prix se garder de faire l’amalgame et que les islamistes ne sont pas représentatifs de la communauté musulmane, le Berlin Social Science Center vient de rendre publique une étude assez édifiante, aux termes de laquelle il apparaît que, pour une majorité écrasante de musulmans français, non seulement il n’existe qu’une seule interprétation du Coran, mais qu’en outre celle-ci doit primer sur la loi française.

    Le Coran d’abord ! (Présent 8293)La France en tête ?

    Lors de cette enquête, le Berlin Social Science Center a demandé à quelque 9 000 musulmans et chrétiens dans six pays de l’Union européenne (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, France, Suède et Autriche) de répondre par « oui » ou par « non » aux trois affirmations suivantes :
    1/ Les musulmans doivent retourner vers les racines de la foi;
    2/ Il n’y a qu’une seule interprétation du Coran. Chaque musulman doit s’y tenir ;
    3/ Les règles religieuses sont plus importantes que les lois.

    Et les résultats, publiés récemment par le Journal of Ethnic and Migration Studies, sont pour le moins édifiants. Ainsi, à la première affirmation, 61,4% des musulmans français ont répondu par « oui », contre 66,1% des Belges, 65% des Autrichiens, 54,5% des Néerlandais, 49,9% des Allemands et 43,4% des Suédois.

    Mais plus révélatrices encore sont les réponses apportées aux deux autres affirmations : pas moins de 81,7% des musulmans français ont en effet estimé qu’il n’y avait qu’une seule interprétation du Coran et que chaque musulman doit s’y tenir (contre 82,2% des Belges, 79,1% des Autrichiens, 74,3% des Néerlandais, 67,4% des Suédois et 57,1% des Allemands). Quant à savoir si les règles religieuses sont plus importantes que les lois, les musulmans français arrivent en tête avec 73,2% de réponses positives, contre 73,1% chez les Autrichiens, 70% chez les Néerlandais, 69,6% chez les Belges, 52,1% chez les Suédois et 45,1% chez les Allemands.

     

    Regard positif envers l’EI

    Des résultats qui mettent sérieusement à mal le discours officiel selon lequel les islamistes seraient ultra minoritaires et non représentatifs des musulmans. Des résultats à rapprocher aussi de ce sondage qui avait été réalisé en juillet dernier par ICM Research pour l’agence de nouvelles russe Rossiya Segodnya parmi 1 000 personnes âgées de plus de 15 ans dans plusieurs pays européens, et enregistrait « jusqu’à 15% » de Français affirmant avoir un regard positif envers l’Etat islamique. Là encore, ce soutien français était le plus élevé parmi tous les pays interrogés dans le cadre de ce sondage, les Anglais étant 7% à approuver les actions de l’Etat islamique et les Allemands seulement 2%. Pire encore : ce sondage soulignait que chez les jeunes Français de 18-24 ans et 25-34 ans, le soutien à l’EI atteignait respectivement 27% et 22% !

    Soumission

    L’Union des démocrates musulmans français (UDMF) présentera des candidats dans 8 cantons (sur 2000) lors des élections cantonales de mars prochain : Bobigny (Seine-Saint-Denis) Bagneux (Hauts-de-Seine), Les Mureaux (Yvelines), Marseille, Lyon, Nice et Strasbourg. Elle possède déjà un premier élu à Bobigny après que le parti ait apporté son soutien à la liste de l’actuel maire UDI Stéphane de Paoli. Najib Azergui, d’origine marocaine, se défend de vouloir «islamiser la société» ou de vouloir «installer la charia en France».
    L’UDMF préconise le développement de l’industrie alimentaire Halal pour relancer l’emploi et le recours à la finance islamique pour assainir l’économie. Le parti veut autoriser le port du voile dans les établissements scolaires.

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/182405/coran-dabord-present-8293/

  • La non-livraison du Mistral coûtera au minimum 60 millions par an à la France

    C’est ce que rapporte Jean-Dominique Merchet sur son blogue. Le note ne comprend pas d’éventuelles indemnités de retard que la Fédération de Russie pourrait réclamer.

    Lu sur Secret Défense : Selon nos informations, la non-livraison des deux BPC Mistral commandés par la Russie, le Vladivostok et le Sébastopol, coûterait 5 millions d’euros par mois, uniquement en frais de gardiennage et de maintenance des deux bateaux qui devraient rester en France. Une somme considérable, soit près de 60 millions par an à la charge de DCNS ou de l’Etat. 

    A cette somme pourrait s’ajouter des pénalités de retard et des dommages et intérêts que la Russie serait en droit de réclamer à la partie française. Cette affaire se jouera à partir du 16 mai, lorsque le délai de « force majeure » mis en avant par Paris le 24 novembre arrivera à expiration. Il peut être prolongé mais le Kremlin peut également décider de poursuivre la France devant une cour arbitrale en Suisse, comme le prévoit le contrat. Ce n’est qu’à partir du 16 mai que le contrat peut être résilié par l’une des parties. 

     

    En cas de non-livraison, la France devra de toute manière rembourser les 890 millions d’euros déjà payés par la Russie. Les pénalités de retard, qui augmentent chaque semaine, sont toutefois limités à 5% du montant total du contrat, soit environ 55 millions. C’est absorbable. Il en va tout autrement d’éventuels dommages et intérêts que réclameraient Moscou. Personne n’a aujourd’hui la moindre idée de leur montant, les proches du dossier évoquant une somme «entre 500 millions et 5 milliards»… La partie russe pourrait demander, par exemple, le remboursement des frais liés au déploiment de marins russes à Saint-Nazaire ou les investissements de la Flotte russe pour accueillir les deux bateaux.

    http://www.contre-info.com/exclusif-la-non-livraison-du-mistral-coutera-au-minimum-60-millions-par-an-a-la-france#more-36779

  • L'avortement de "confort" existe réellement

    Et c'est une féministe qui le reconnait à travers sa propre expérience :

    "Féministe, cette femme décide d'avorter parce qu'elle attend un garçon... Récit d'une histoire révoltante. 

    Féministe dans l'âme, une blogueuse britannique, connue sous le nom de Lena, milite pour le droits des femmes. Jusque là, rien d'extraordinaire. Mais dans un billet publié sur le blog injusticestory.com, elle nous raconte son avortement et les raisons de celui-ci. 

    En 2012, Lena apprend qu'elle attend un bébé. Quel bonheur, elle rêve d'une petite fille ! Mais sa joie sera de courte durée. En effet, lorsqu'elle se rend à l'échographie, c'est le drame : elle est enceinte d'un garçon ! (...) "Je me suis réfugiée chez moi, un endroit qui me semblait inconnu et qui ne faisait que m'abriter". Après trois jours de calvaire, son choix est fait : elle veut avorter. Pour cela, elle se rend à la clinique. "Je me sentais forte, je faisais quelque chose de positif, quelque chose qui pourrait réellement faire la différence, quelque chose de bon", écrit-elle avant de lâcher cette terrible phrase : "Je ne voulais pas amener un autre monstre sur terre"."

    Philippe Carhon

  • Pédophilie : l'Education nationale dans la tourmente

    Le Rouge & le Noir rapporte sept affaires de pédophilie impliquant des instituteurs ou professeurs, rien que ces deux derniers mois. Et de remarquer :

    "On s’étonnera de ne pas voir apparaitre les titres suivants :« Pédophilie : l’Éducation Nationale de Najat Vallaud-Belkacem dans la tourmente » (TF1), « Éducation Nationale : La tourmente pédophile » (Le JDD), « Pédophilie : l’Éducation Nationale dans la tourmente » (Arte), « L’Éducation Nationale face aux scandales des profs pédophiles » (Libération), « Vingt-cinq ans de scandales pédophiles dans l’Éducation Nationale » (Le Monde)

    Les médias, si rapides à communiquer au moindre abus sexuel dans l’Église restent scandaleusement silencieux sur ces affaires. Pourtant, contrairement à l’Éducation Nationale, l’Église, en France et dans le Monde, n’a pas hésité à s’occuper pleinement du problème et à communiquer très largement sur ces scandales.

    Silencieuse, déjà lorsque le scandale de la ligne Azur, partenaire de l’Éducation Nationale, était dénoncé par le Conseil d’État (Le rapporteur évoquait alors que certaines pratiques illégales comme l’usage de drogues ou la pédophilie étaient présentées par la Ligne Azur sans que leur illégalité ne soit soulignée), Najat Vallaud-Belkacem a le devoir de communiquer sur ces nouveaux scandales et lever l’Omerta sur les chiffres des abus sexuels au sein de l’éducation nationale."

    Louise Tudy

  • Le Cese n'avait sans doute pas le temps de compter nos pétitions

    Dans son rapport annuel, la Cour des comptes étrille de nouveau le Conseil économique, social et environnemental, celui-là même qui a jeté nos 700 000 pétitions à la poubelle :

    "« Les présidents successifs du Cese ont instauré une série de primes et indemnités, certaines sans équivalent dans la fonction publique », relève le rapport, citant l’indemnité de séance, prime de départ à la retraite, de naissance, de mariage, de vacances ou de fin d’année. (...)

    La Cour préconise aussi une réforme du temps de travail des agents, qui « reste inférieur à la durée légale », du fait des congés de « 54 jours par an », auxquels il faut ajouter les fériés légaux, estime-t-elle.

    Les Sages de la rue Cambon recommandent par ailleurs de placer le budget du Cese sous le « régime budgétaire et comptable » qui s’applique à l’Etat et à l’ensemble des administrations publiques. Le Cese bénéfice d’un régime spécifique plus souple, étantdispensé du contrôle budgétaire de ses dépenses. La Cour préconise une réforme permettant le contrôle budgétaire tout « en tenant compte de la spécificité des missions du Conseil ».

    Par ailleurs, malgré les ajustements opérés, le régime de retraite des 233 conseillers du Cese demeure déficitaire, relève la Cour, qui préconise une réforme « ambitieuse » (...)."

    Pourquoi ne pas congédier le Cese ?

    Louise Tudy