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lobby - Page 1703

  • Des avions de la coalition largueraient armes et munitions à Daech

    La commission de la Sécurité et de la Défense au parlement irakien, a accusé les avions de la coalition internationale contre le groupe de l’Etat Islamique, à sa tête les Etats-Unis, de larguer des armes et des munitions pour l’organisation Daech, rapporte l’agence de presse turque,Anatolie.

    Le président de la commission de la Sécurité et de la Défense au parlement irakien, Hakem al-Zamli, a déclaré lors d’une conférence de presse en présence des membres de la même commission, que « des documents, des photos et des informations en notre possession confirment que certains avions de la coalition violent la souveraineté irakienne, et les usages internationaux, à travers le largage d’aides à Daech et l’atterrissage des avions dans les aéroports contrôlés par ce groupe. »

    Il a qualifié cette opération « de danger pour la sécurité de l’Irak et, qui plus est, prolonge la guerre », appelant le gouvernement irakien à clarifier sa position à ce sujet.

    Le parlementaire irakien a pressé le ministère de la Défense et le commandement irakien d’intercepter et de faire tomber les avions qui atterrissent dans les régions dominées par Daech, ou lui fournissent de l’aide.

    Ni le commandement de la coalition internationale, ni les Etats-Unis n’ont officiellement réagi à ces accusations.

    http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/des-avions-de-la-coalition-largueraient-armes-et-munitions-a-daech/id-menu-957.html

    Source Article from http://reseauinternational.net/des-avions-de-la-coalition-largueraient-armes-et-munitions-daech/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • LE PEN: Washington essaie de provoquer une « guerre en Europe »

    La présidente du Front National Marine Le Pen a qualifié Bruxelles de « valet des Américains » concernant sa politique en Ukraine. Elle a accusé Washington d’essayer de déclencher une guerre en Europe et d’étendre l’OTAN vers les frontières russes.

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    « Les capitales européennes n’ont pas la sagesse de refuser de dépendre des positions américaines sur l’Ukraine », a déclaré dimanche la présidente du parti français d’extrême droite. « Concernant l’Ukraine, nous nous comportons comme les valets des Américains », a-t-elle souligné en précisant que « l’objectif des Américains est de déclencher une guerre au sein de l’Europe pour pousser l’OTAN jusqu’à la frontière russe ».

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    Elle a également accusé les responsables européens de fermer les yeux sur le fait que le gouvernement ukrainien « bombarde des populations civiles » en ajoutant que les résidents de la Crimée et de l’est de l’Ukraine pensaient que le pays devait être fédéralisé.

    Marine Le Pen a en outre critiqué l’Union européenne (UE) à plusieurs reprises pour son attitude vis-à-vis de l’Ukraine et son prétendu manque d’indépendance à l’égard de Washington. En septembre, elle avait déclaré au quotidien Le Monde que la poursuite de la crise en Ukraine était « une faute de l’Union Européenne » fustigeant le fait que Bruxelles avait exercé un « chantage sur le pays en lui demandant de choisir entre l’Europe et la Russie ».

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  • Accords UMP-FN : Nicolas Sarkozy menace de nouveau ses cadres

    Pour que le chef de la principale formation de l’opposition prenne ainsi sa base à rebrousse-poil, il faut surtout que la source du pouvoir ne soit pas dans le peuple souverain...

    Interrogé dans les colonnes du Figaro, jeudi 12 février, Nicolas Sarkozy a rappelé qu’en tant que président de l’UMP, il ne transigerait jamais et qu’il n’y aurait « pas d’alliance avec le Front national », ajoutant que si des élus enfreignent la consigne à l’occasion des élections départementales du mois de mars prochain, « on virera les gens, c’est tout ! » L’ancien chef de l’État ne fait là que répéter publiquement les menaces qu’il avait adressées aux cadres de l’UMP au lendemain de son accession à la présidence du parti le 13 décembre 2014 : « Je n’accepterai jamais aucun accord avec le FN, ni local, ni régional, ni national. Ceux qui se laisseraient aller à de tels accords, ils devront quitter le parti, ou on les en fera partir. »

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  • Le Coran d’abord ! (Présent 8293)

    Alors que responsables politiques et religieux, largement relayés par les médias, nous répètent inlassablement depuis des mois qu’il faut à tout prix se garder de faire l’amalgame et que les islamistes ne sont pas représentatifs de la communauté musulmane, le Berlin Social Science Center vient de rendre publique une étude assez édifiante, aux termes de laquelle il apparaît que, pour une majorité écrasante de musulmans français, non seulement il n’existe qu’une seule interprétation du Coran, mais qu’en outre celle-ci doit primer sur la loi française.

    Le Coran d’abord ! (Présent 8293)La France en tête ?

    Lors de cette enquête, le Berlin Social Science Center a demandé à quelque 9 000 musulmans et chrétiens dans six pays de l’Union européenne (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, France, Suède et Autriche) de répondre par « oui » ou par « non » aux trois affirmations suivantes :
    1/ Les musulmans doivent retourner vers les racines de la foi;
    2/ Il n’y a qu’une seule interprétation du Coran. Chaque musulman doit s’y tenir ;
    3/ Les règles religieuses sont plus importantes que les lois.

    Et les résultats, publiés récemment par le Journal of Ethnic and Migration Studies, sont pour le moins édifiants. Ainsi, à la première affirmation, 61,4% des musulmans français ont répondu par « oui », contre 66,1% des Belges, 65% des Autrichiens, 54,5% des Néerlandais, 49,9% des Allemands et 43,4% des Suédois.

    Mais plus révélatrices encore sont les réponses apportées aux deux autres affirmations : pas moins de 81,7% des musulmans français ont en effet estimé qu’il n’y avait qu’une seule interprétation du Coran et que chaque musulman doit s’y tenir (contre 82,2% des Belges, 79,1% des Autrichiens, 74,3% des Néerlandais, 67,4% des Suédois et 57,1% des Allemands). Quant à savoir si les règles religieuses sont plus importantes que les lois, les musulmans français arrivent en tête avec 73,2% de réponses positives, contre 73,1% chez les Autrichiens, 70% chez les Néerlandais, 69,6% chez les Belges, 52,1% chez les Suédois et 45,1% chez les Allemands.

     

    Regard positif envers l’EI

    Des résultats qui mettent sérieusement à mal le discours officiel selon lequel les islamistes seraient ultra minoritaires et non représentatifs des musulmans. Des résultats à rapprocher aussi de ce sondage qui avait été réalisé en juillet dernier par ICM Research pour l’agence de nouvelles russe Rossiya Segodnya parmi 1 000 personnes âgées de plus de 15 ans dans plusieurs pays européens, et enregistrait « jusqu’à 15% » de Français affirmant avoir un regard positif envers l’Etat islamique. Là encore, ce soutien français était le plus élevé parmi tous les pays interrogés dans le cadre de ce sondage, les Anglais étant 7% à approuver les actions de l’Etat islamique et les Allemands seulement 2%. Pire encore : ce sondage soulignait que chez les jeunes Français de 18-24 ans et 25-34 ans, le soutien à l’EI atteignait respectivement 27% et 22% !

    Soumission

    L’Union des démocrates musulmans français (UDMF) présentera des candidats dans 8 cantons (sur 2000) lors des élections cantonales de mars prochain : Bobigny (Seine-Saint-Denis) Bagneux (Hauts-de-Seine), Les Mureaux (Yvelines), Marseille, Lyon, Nice et Strasbourg. Elle possède déjà un premier élu à Bobigny après que le parti ait apporté son soutien à la liste de l’actuel maire UDI Stéphane de Paoli. Najib Azergui, d’origine marocaine, se défend de vouloir «islamiser la société» ou de vouloir «installer la charia en France».
    L’UDMF préconise le développement de l’industrie alimentaire Halal pour relancer l’emploi et le recours à la finance islamique pour assainir l’économie. Le parti veut autoriser le port du voile dans les établissements scolaires.

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/182405/coran-dabord-present-8293/

  • La non-livraison du Mistral coûtera au minimum 60 millions par an à la France

    C’est ce que rapporte Jean-Dominique Merchet sur son blogue. Le note ne comprend pas d’éventuelles indemnités de retard que la Fédération de Russie pourrait réclamer.

    Lu sur Secret Défense : Selon nos informations, la non-livraison des deux BPC Mistral commandés par la Russie, le Vladivostok et le Sébastopol, coûterait 5 millions d’euros par mois, uniquement en frais de gardiennage et de maintenance des deux bateaux qui devraient rester en France. Une somme considérable, soit près de 60 millions par an à la charge de DCNS ou de l’Etat. 

    A cette somme pourrait s’ajouter des pénalités de retard et des dommages et intérêts que la Russie serait en droit de réclamer à la partie française. Cette affaire se jouera à partir du 16 mai, lorsque le délai de « force majeure » mis en avant par Paris le 24 novembre arrivera à expiration. Il peut être prolongé mais le Kremlin peut également décider de poursuivre la France devant une cour arbitrale en Suisse, comme le prévoit le contrat. Ce n’est qu’à partir du 16 mai que le contrat peut être résilié par l’une des parties. 

     

    En cas de non-livraison, la France devra de toute manière rembourser les 890 millions d’euros déjà payés par la Russie. Les pénalités de retard, qui augmentent chaque semaine, sont toutefois limités à 5% du montant total du contrat, soit environ 55 millions. C’est absorbable. Il en va tout autrement d’éventuels dommages et intérêts que réclameraient Moscou. Personne n’a aujourd’hui la moindre idée de leur montant, les proches du dossier évoquant une somme «entre 500 millions et 5 milliards»… La partie russe pourrait demander, par exemple, le remboursement des frais liés au déploiment de marins russes à Saint-Nazaire ou les investissements de la Flotte russe pour accueillir les deux bateaux.

    http://www.contre-info.com/exclusif-la-non-livraison-du-mistral-coutera-au-minimum-60-millions-par-an-a-la-france#more-36779

  • L'avortement de "confort" existe réellement

    Et c'est une féministe qui le reconnait à travers sa propre expérience :

    "Féministe, cette femme décide d'avorter parce qu'elle attend un garçon... Récit d'une histoire révoltante. 

    Féministe dans l'âme, une blogueuse britannique, connue sous le nom de Lena, milite pour le droits des femmes. Jusque là, rien d'extraordinaire. Mais dans un billet publié sur le blog injusticestory.com, elle nous raconte son avortement et les raisons de celui-ci. 

    En 2012, Lena apprend qu'elle attend un bébé. Quel bonheur, elle rêve d'une petite fille ! Mais sa joie sera de courte durée. En effet, lorsqu'elle se rend à l'échographie, c'est le drame : elle est enceinte d'un garçon ! (...) "Je me suis réfugiée chez moi, un endroit qui me semblait inconnu et qui ne faisait que m'abriter". Après trois jours de calvaire, son choix est fait : elle veut avorter. Pour cela, elle se rend à la clinique. "Je me sentais forte, je faisais quelque chose de positif, quelque chose qui pourrait réellement faire la différence, quelque chose de bon", écrit-elle avant de lâcher cette terrible phrase : "Je ne voulais pas amener un autre monstre sur terre"."

    Philippe Carhon

  • Pédophilie : l'Education nationale dans la tourmente

    Le Rouge & le Noir rapporte sept affaires de pédophilie impliquant des instituteurs ou professeurs, rien que ces deux derniers mois. Et de remarquer :

    "On s’étonnera de ne pas voir apparaitre les titres suivants :« Pédophilie : l’Éducation Nationale de Najat Vallaud-Belkacem dans la tourmente » (TF1), « Éducation Nationale : La tourmente pédophile » (Le JDD), « Pédophilie : l’Éducation Nationale dans la tourmente » (Arte), « L’Éducation Nationale face aux scandales des profs pédophiles » (Libération), « Vingt-cinq ans de scandales pédophiles dans l’Éducation Nationale » (Le Monde)

    Les médias, si rapides à communiquer au moindre abus sexuel dans l’Église restent scandaleusement silencieux sur ces affaires. Pourtant, contrairement à l’Éducation Nationale, l’Église, en France et dans le Monde, n’a pas hésité à s’occuper pleinement du problème et à communiquer très largement sur ces scandales.

    Silencieuse, déjà lorsque le scandale de la ligne Azur, partenaire de l’Éducation Nationale, était dénoncé par le Conseil d’État (Le rapporteur évoquait alors que certaines pratiques illégales comme l’usage de drogues ou la pédophilie étaient présentées par la Ligne Azur sans que leur illégalité ne soit soulignée), Najat Vallaud-Belkacem a le devoir de communiquer sur ces nouveaux scandales et lever l’Omerta sur les chiffres des abus sexuels au sein de l’éducation nationale."

    Louise Tudy

  • Le Cese n'avait sans doute pas le temps de compter nos pétitions

    Dans son rapport annuel, la Cour des comptes étrille de nouveau le Conseil économique, social et environnemental, celui-là même qui a jeté nos 700 000 pétitions à la poubelle :

    "« Les présidents successifs du Cese ont instauré une série de primes et indemnités, certaines sans équivalent dans la fonction publique », relève le rapport, citant l’indemnité de séance, prime de départ à la retraite, de naissance, de mariage, de vacances ou de fin d’année. (...)

    La Cour préconise aussi une réforme du temps de travail des agents, qui « reste inférieur à la durée légale », du fait des congés de « 54 jours par an », auxquels il faut ajouter les fériés légaux, estime-t-elle.

    Les Sages de la rue Cambon recommandent par ailleurs de placer le budget du Cese sous le « régime budgétaire et comptable » qui s’applique à l’Etat et à l’ensemble des administrations publiques. Le Cese bénéfice d’un régime spécifique plus souple, étantdispensé du contrôle budgétaire de ses dépenses. La Cour préconise une réforme permettant le contrôle budgétaire tout « en tenant compte de la spécificité des missions du Conseil ».

    Par ailleurs, malgré les ajustements opérés, le régime de retraite des 233 conseillers du Cese demeure déficitaire, relève la Cour, qui préconise une réforme « ambitieuse » (...)."

    Pourquoi ne pas congédier le Cese ?

    Louise Tudy

  • Grèce : Washington ne permettra pas qu’un gouvernement indépendant se lève en Europe

    Comme le démontre l’entretien (cliquez ici), la BBC s’est excitée sur lui. Le pire est à venir. De plus, si le nouveau gouvernement grec est capable de rester ferme et d’empêcher la poursuite du pillage horrible du peuple hellène, l’assassinat de ceux qui, parmi eux, assurent la direction n’est pas impossible. Washington ne permettra pas qu’un gouvernement indépendant se lève en Europe. Si un gouvernement grec réussit à se dresser pour le peuple et, en fait, à le représenter, l’idée pourrait s’étendre à l’Italie, l’Espagne, le Portugal et l’Irlande et ensuite en Europe de l’Est. Le contrôle qu’exerce Washington sur l’Europe se disloquerait. 

    BBC, le média presstitué [néologisme de PCR, NdT], a remplacé ce qui devait être une entrevue par une incrimination. Elle puait l’hostilité envers le ministre, indiquant la furie que les institutions financières étrangères et leurs vassaux gouvernementaux ressentent envers le nouveau gouvernement grec. Comme je l’ai écrit l’autre jour, s’il y a une chose que les élites occidentales détestent plus que tout, c’est d’avoir des responsabilité à rendre pour eux-mêmes. Vous pouvez être certain que des médias presstitués comme la BBC serviront d’hommes de main à l’élite contre le nouveau gouvernement grec, tout comme ils le font contre le gouvernement russe, le gouvernement chinois, le gouvernement iranien, tout comme ils l’avaient fait contre les Serbes, les Irakiens, les Libyens et le gouvernement syrien et les talibans.

    Source  

    http://www.oragesdacier.info/

  • 300 viols par jour… surtout pas d’amalgame !

    N’y aurait-il pas, derrière ce silence de nos féministes, toute la mauvaise conscience européenne et le refus d’approfondir une question dérangeante ?

     

    Dans La France Orange Mécanique, Laurent Obertone annonçait trois chiffres forts, sur l’ampleur de l’ensauvagement de la France : quotidiennement, il y aurait 13.000 vols, 2.000 agressions et 200 viols. Le 3 février dernier, il enfonçait le clou et évoquait 4.000 agressions physiques et sexuelles par jour, en France !

    Dans ces colonnes, il accusait l’État français de « laisser violer 300 Françaises par jour ». Soit le nombre de plus de 100.000 par an, 12 par heure, 1 toutes les cinq minutes !

    On se souvient des campagnes féministes menées contre le viol, dans les années 1970, et notamment du procès d’Aix-en-Provence qui, en 1978, avait bénéficié d’une couverture médiatique nationale. On n’a pas oublié le mémorable film de Yannick Bellon, L’Amour violé, qui, en 1977, montrait le mécanisme des rapports hommes-femmes qui amenait au viol (commis dans ce film par quatre Français respectables, dont deux pères de famille).

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