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lobby - Page 2056

  • Les secrets de la Réserve Fédérale Américaine

    Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois. »


    Cette phrase attribuée à Mayer Amschel Bauer montre toute l’ambition oligarchique de la Banque. Ce Bauer, plus connu sous le nom de ses armoiries rouges : Rothschild, avait dès 1773 le projet de remplacer l’aristocratie européenne par un nouvel ordre mondial financier. Au XIXème siècle la Maison Rothschild contrôlait la moitié de la fortune planétaire. En 1910, affiliées de près ou de loin avec les plus grandes puissances bancaires de l’époque : J.P. Morgan Company, Brown brothers Harriman, M.M. Warburg & Co., Kuhn-Loeb et J.Henry Schroder, elle pouvait prétendre façonner en coulisse, derrière les trônes et selon ses intérêts, le sens de l’Histoire.

    Le pouvoir d’émettre de la monnaie confère tous les pouvoirs.

    Et non l’inverse : ce n’est pas, comme il se devrait, l’Etat ou le roi qui décide de la création monétaire en fonction des besoins économiques du pays. Les grands banquiers, tous issus du commerce et trafic international  (chemins de fer, mercerie, cuivre, esclaves, diamants…), ont vite compris que pour augmenter la masse monétaire, -autrement dit pour continuer à s’enrichir en tirant avantage des surplus ou excédents de l’argent en circulation-, il fallait l’étalonner sur l’or. Ce métal précieux demeure une valeur stable, échangeable et universelle. Le cours des monnaies s’est ainsi internationalisé – premier pas dans la mondialisation- en se régulant par la mise en place de taux favorables.

    Nos grands banquiers prétendaient alors apporter une stabilité économique à leurs nations par une réglementation des échanges d’argent… Ils limitaient surtout le flux sortant d’or afin d’en maintenir des réserves importantes dans des banques centralisées, qui pouvaient en dernier recours refinancer les banques en difficulté de leurs pays respectifs et ainsi éviter crises et faillites !

    Mais ne nous leurrons plus : quiconque contrôle la masse monétaire contrôle les entreprises et les activités du peuple, et c’est là le réel intérêt des banques centrales. Elles s’organisent donc pour faire du profit et ce, indépendamment de toute institution et bonne volonté gouvernementale.

    L’objectif premier de ces richissimes oligarques est l’obtention d’un pouvoir suprême par la création de dettes intarissables. Pourquoi dit-on que «la fortune des Rothschild consiste en la banqueroute des nations»? L’incroyable livre d’Eustace Mullins, Les Secrets De La Réserve Fédérale, nous dévoile cela de façon alarmante.
    (NDLR Scriptoblog, a voir aussi sur le sujet : La Guerre des Monnaies : La Chine et le nouvel ordre mondial)

    La FED

    Au début du XXème siècle de puissants groupes bancaires majoritairement européens ont échafaudé aux Etats-Unis, alors seuls dépourvus de banque centrale, une législation monétaire dans l’intérêt des grandes entreprises et fortunes, ainsi qu’une administration adéquate – et dont le public ignorerait tout!

    En cet automne 1910, une poignée d’homme vont décider du sort de l’Amérique en particulier et du Monde en général via la mise en place d’une Réserve Fédérale qui ne sera de fait qu’une banque centrale. Une banque centrale censée combattre les monopoles financiers par…un monopole financier!

    Il aura fallu 3 ans et l’élection du président-pantin Wilson pour promulguer officiellement la Loi de la Réserve Fédérale et attribuer ainsi tout pouvoir à une banque par le contrôle privé de la monnaie en lieu et place du contrôle public. Ou comment voler au peuple le pouvoir de battre monnaie et d’en réguler la valeur.

    Le cerveau de ce projet: le Baron Alfred Rothschild – petit fils de Mayer Amschel et directeur de la Banque d’Angleterre. Le principal instigateur et bénéficiaire: Paul Warburg. Sans ce dernier, envoyé de la maison bancaire allemande Kuhn, Loeb & Co., il n’y aurait pas eu cette Loi supérieure aux lois de l’Etat. Ajoutez les Lazard Frères, Lehman Brothers, Goldman Sachs, la famille Rockefeller et celle de J.P. Morgan comme actionnaires privés et cardinaux (et non fédéraux comme le sous entend la dénomination de cette banque), et vous comprendrez comment depuis 1914 les destinées politiques et économiques des américains sont dirigées. Vous comprendrez surtout comment les guerres, les révolutions, les crises et les dictatures dans le Monde sont commanditées par une poignée de financiers amoraux et apatrides.

    Une oligarchie qui ne peut rien prévoir mais tout provoquer.

    La première grosse mobilisation de crédit de la Réserve Fédérale Américaine (fondée sur l’impôt  sur le revenu alors créé) fut pour financer la Première Guerre Mondiale. La FED a dépensé l’argent du contribuable américain au rythme de dix milliards de dollars par an pour que la guerre perdure alors que les pays belligérants, englués dans une boucherie insensée, recherchaient la paix dès 1916…

    Pourquoi le président Wilson leva l’embargo sur le transport des armes vers le Mexique en pleine décade révolutionnaire ?

    Pourquoi les financiers de la Réserve Fédérale ont-ils apporté des fonds à Lénine et Trotski si ce n’est pour renverser le régime tsariste tout en maintenant la Russie dans la Première Guerre Mondiale.

    Pourquoi cette crise agricole américaine de 1920 à 1921 si ce n’est pour se rembourser d’agriculteurs trop indépendants, dans l’Ouest du pays, qui refusèrent de dilapider leur argent dans les spéculations sibyllines d’une Banque trop lointaine.

    Pourquoi les principaux actionnaires de la Réserve Fédérale, alors opportunément tous éclipsés du Marché dès février 1929, ont-ils laissé la population et le pays se kracher dans une Dépression mémorable ?

    Quelles étaient les réelles ambitions de Gordon Richardson, banquier le plus influent du monde de 1973 à 1983 et alors patron de la Banque d’Angleterre ? N’était-il pas avant le président de la J. Henry Schroder Company of New York (l’un des autres actionnaires de la Réserve Fédérale) de 1962 à 1973 ? Et ne parlons-nous pas ici de cette banque, la Schroder donc, qui approvisionna  l’Allemagne de 1915 à 1918, finança Hitler et rendit possible la Deuxième Guerre Mondiale, favorisa l’élection du président américain Herbert Hoover quelques mois avant la crise de 1929 (et pour laquelle ce dernier resta étrangement inactif) ? Cette même banque, qui associé à Rockfeller dès 1936, mandata au début des années 80 deux secrétaires très influents de l’administration Reagan : Schultz à l’Etat et Weinberger à la Défense.

    De telles connexions ne peuvent que nous interpeler. Mais il semblerait, encore une fois, que l’ivresse démocratique corrompe notre raison au point que nous laissons faire sans réagir les caprices oligarchiques d’un empire au masque trop charitable…

    Cédric Bernalas.
    Article initialement publié sur Diktacratie

    http://www.scriptoblog.com/index.php/component/content/article/62-le-meilleur-du-web/economie/1219-les-secrets-de-la-reserve-federale-americaine

  • La haine d'Act-Up-Paris en manque de subventions

    Son action violente contre la fondation Jérôme Lejeune n'a apparemment pas fait recette : Act-Up-Paris annonce la mise au chômage partiel en janvier de certains de ses 11 salariés (à la suite d'Aides, qui va licencier 65 personnes).

     

    Il faut dire que l'association homosexualiste, qui ne revendique que... 130 adhérents environ, vit quasi exclusivement de subventions publiques et privées, lesquelles auraient légèrement diminué cette année.

     

    Le dernier rapport financier accessible, celui de 2010, est très révélateur. Pour un budget à l'époque de 891 000 € (presque équivalent au budget actuel), Act-Up-Paris avait reçu :

     

    • 234 000 € de subventions publiques (auxquelles il manque 35 000 € que la Mairie de Paris a ajoutés à sa subvention habituelle l'année suivante)
    • 42 000 € de l'Agence française de développement (classés comme une aide privée alors qu'il s'agit d'un établissement public)
    • 153 000 € d'aides de Sidaction (association elle-même subventionnée par l'Etat et présidée par... Pierre Bergé)
    • 200 000 € d'aide de Pierre Bergé
    • 107 000 € de subventions de laboratoires pharmaceutiques
    • 81 000 € d'aides ou recettes diverses et variées
    • pour seulement 74 000 € de dons et cotisations

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/la-haine-dact-up-paris-en-manque-de-subventions.html

  • Vincent Lambert : l’étau se resserre

    Tout, dans l’affaire Vincent Lambert, jeune tétraplégique de 37 ans, de nouveau menacé de mort par l’équipe de gériatrie qui le soigne par retrait de son alimentation, concourt pour montrer que l’euthanasie est déjà entrée dans les mœurs médicales françaises. Si l’application de la loi Leonetti à un homme encore jeune qui n’est pas malade, juste profondément handicapé, incapable d’exprimer ce qu’il ressent, est contestable en droit, elle paraît parfaitement normale au médecin qui veut passer à l’acte, à Jean Leonetti lui-même qui a appuyé la décision du Dr Eric Kariger, à une responsable d’éthique d’un grand hôpital et centre de soins palliatifs comme l’hôpital Cochin à Paris, le Dr Véronique Fournier.
    Oui, on peut tuer un patient tétraplégique, qui n’est pas en fin de vie, qu’il soit capable ou non d’exprimer sa volonté, en le privant de nourriture – considérée comme un « traitement médical » qui maintient « artificiellement » la vie – quand bien même l’administration par sonde se fait simplement pour éviter les fausses routes, et que tous les organes de l’intéressé fonctionnent normalement. Oui, on peut le faire, dit en substance le Dr Véronique Fournier dans une récente interview au Monde, il faut même le faire mais – pour ne pas être trop barbare, pour ne pas retarder la survenue de la mort – à condition de couper aussi l’hydratation. Curieux : les travaux préparatoires de la loi Leonetti recommandaient de ne pas supprimer l’hydratation du patient, justement parce que la mort par soif est présentée comme trop cruelle.
    Il y a eu le cas d’Hervé Pierra, dont l’agonie abominable a incité le responsable de l’unité de soins palliatifs où se trouvait ce jeune tétraplégique, le Dr Bernard Devalois, à réclamer lui aussi que l’on puisse ajouter au processus des « soins palliatifs adaptés ». Mais toujours dans le but de tuer.
    Vincent Lambert, lui, avait survécu au printemps à 31 jours de retrait d’alimentation, parce qu’il recevait encore 500 ml de liquide chaque jour, avant d’être sauvé in extremis par un référé-liberté engagé par ses parents, qui s’opposaient à sa mise à mort volontaire.
    Aujourd’hui, l’affaire va vers un nouveau paroxysme, puisque le Dr Kariger, ayant obtenu l’accord de la femme de son patient, a engagé une nouvelle « procédure collégiale » prévue pour décider de l’euthanasie, l’illégalité de la première ayant été constatée par le tribunal de Châlons-sur-Saône au printemps.
    Entre-temps, le Dr Kariger a multiplié les interventions dans la presse pour justifier le « processus de fin de vie ». Avant la consultation « collégiale » qui s’est déroulée le 9 décembre, il avait déjà déclaré – c’était le 16 octobre dans Libération – : « Il faut arrêter. » Se disant prêt à aller « devant la justice » pour faire « consolider ce choix ». Aussi la rencontre du 9 décembre était-elle d’avance programmée comme une formalité destinée à justifier la mise à mort.
    Les parents de Vincent Lambert, devant cette certitude et cette manipulation ont, par la voix de leur avocat, demandé la récusation du Dr Kariger, juge et partie, qui a systématiquement refusé de prendre en compte leur volonté et qui s’est refusé à ce que son patient soit accueilli dans un centre spécialisé pour les personnes dans son état. Refus net du médecin. C’est à tel point que le responsable de ce service de neurologie de Nancy, le Pr Ducrocq, s’est trouvé seul, le 9 décembre à Reims à la réunion dite collégiale, pour défendre la vie de Vincent, pour le simple motif qu’il n’est pas en fin de vie. Devant un panel d’une dizaine, peut-être une vingtaine de médecins défendant le choix de Kariger. Une mascarade. On attend d’ici à Noël la « décision collégiale » qui en découlera. Tout laisse prévoir qu’elle consistera en un choix de passage à l’acte rapide.
    Le Figaro de samedi publie un remarquable résumé de la situation par notre consœur Delphine de Mallevoüe qui, en employant les mots justes, met le doigt sur la réalité française : nonobstant tous les débats, propositions de lois et autres panels citoyens, on peut aujourd’hui sans craindre des poursuites évoquer publiquement « l’euthanasie » programmée d’un homme jeune.
    Elle donne également la parole au Dr Bernard Jeanblanc, chef de service d’une unité de polyhandicapés, qui vient de voir Vincent Lambert. « Si on euthanasie un patient comme Vincent Lambert, quid des 1 500 autres qui sont comme lui ? On les élimine ? Sur quels critères ? Parce qu’ils sont handicapés ? Qu’ils ne servent à rien ? (…) Comment le Dr Kariger, qui reconnaît l’incapacité objective de Vincent à communiquer, peut-il soutenir avec une telle force de conviction qu’il a exprimé un refus de vivre ? (…) On ne peut baser un arrêt de mort sur des suppositions, c’est très grave ! A plus forte raison quand il s’agit de “faire mourir” et non de “laisser mourir”. »
    Article extrait de Présent du mercredi 18 décembre 2013
    http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/ ... serre.html

  • Mariage : des sénateurs accusent le gouvernement d'avoir trompé le Conseil constitutionnel

    Communiqué du sénateur Bruno Retailleau :

    "Bruno Retailleau, Sénateur de Vendée, et de nombreux collègues [24 sénateurs] accusent le Gouvernement d’avoir trompé le Conseil Constitutionnel, le Parlement et les Français au sujet de la loi sur le « Mariage pour Tous ».

    Le mariage et l’adoption pour les couples de même sexe entrainent en effet un grand nombre de bouleversements qui nécessitent d’adapter les codes législatifs à cette nouvelle législation. Pour exemple, les mentions « Père » et « Mère » ne sont évidemment plus automatiques.

    A l’époque, le Gouvernement avait refusé d’adapter immédiatement les textes en vigueur, sans doute pour endormir l’opinion publique choquée que les termes de « père » et de « mère », ou d’ « époux » et d’ « épouse », disparaissent de notre patrimoine juridique. Alors que la contestation montait dans le pays, cette amputation aurait été la goutte d’eau qui aurait fait déborder le vase.

    Mais parce qu’il fallait bien résoudre cette difficulté, le Gouvernement s’était engagé à prendre une série d’ordonnances, dans un délai de 6 mois après la promulgation de la loi. C’est sur cet engagement que cette loi a été votée par les parlementaires et validée par le Conseil Constitutionnel. Ce dernier a même expressément conditionné sa décision à la prise de ces ordonnances.

    Or, le Gouvernement a laissé passer le délai légal de prise de ces ordonnances, qui courait jusqu’au 18 novembre dernier. Qu’il s’agisse d’une manœuvre politique ou d’une erreur matérielle, le résultat est le même : l’habilitation donnée par le Parlement est caduque, et le Gouvernement est dans l’obligation de repasser devant les députés et les sénateurs.

    Bruno Retailleau et ses collègues sénateurs exigent donc que le Gouvernement se conforme à la loi, en demandant une nouvelle habilitation au Parlement. Toute autre décision serait un coup de force inadmissible contre nos institutions.

    Beaucoup de Français ont été heurtés par la loi sur le « mariage pour tous », qui bouleverse les fondements de notre civilisation. S’il s’avère que les conséquences de cette loi s’appliquent dans l’illégalité la plus totale, le Gouvernement prendra la responsabilité de réveiller leur colère."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/mariage-des-s%C3%A9nateurs-accusent-le-gouvernement-davoir-tromp%C3%A9-le-conseil-constitutionnel.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

  • Confirmation : le mariage gay est bien illégal (délai de 6 mois dépassé)

    Cet article fait suite au billet de Lucien Cerise (auteur de Oliganarchy) :
    Le « mariage homo » toujours illégal en France : le vote truqué à l’Assemblée

     


     

    Le gouvernement avait 6 mois jusqu’au 18 novembre 2013 pour prendre les ordonnances qu’il s’était engagé à prendre devant le Conseil Constitutionnel. Le délai est dépassé : l’habilitation est donc caduque et les mariages gays prononcés après le 18 novembre 2013 : parfaitement illégaux. Tout autre disposition serait contraire à la loi.  Les maires doivent donc prendre leur disposition, dans l’attente du prochain passage devant le parlement…

    Le mariage gay : le grand caprice de Pierre Bergé

     

    Mariage : des sénateurs accusent le gouvernement d’avoir trompé le Conseil constitutionnel Communiqué du sénateur Bruno Retailleau : "Bruno Retailleau, Sénateur de Vendée, et de nombreux collègues [24 sénateurs] accusent le Gouvernement d’avoir trompé le Conseil Constitutionnel, le Parlement et les Français au sujet de la loi sur le « Mariage pour Tous ».

     

    Le mariage et l’adoption pour les couples de même sexe entrainent en effet un grand nombre de bouleversements qui nécessitent d’adapter les codes législatifs à cette nouvelle législation. Pour exemple, les mentions « Père » et « Mère » ne sont évidemment plus automatiques. A l’époque, le Gouvernement avait refusé d’adapter immédiatement les textes en vigueur, sans doute pour endormir l’opinion publique choquée que les termes de « père » et de « mère », ou d’ « époux » et d’ « épouse », disparaissent de notre patrimoine juridique. Alors que la contestation montait dans le pays, cette amputation aurait été la goutte d’eau qui aurait fait déborder le vase.

     

    Mais parce qu’il fallait bien résoudre cette difficulté, le Gouvernement s’était engagé à prendre une série d’ordonnances, dans un délai de 6 mois après la promulgation de la loi. C’est sur cet engagement que cette loi a été votée par les parlementaires et validée par le Conseil Constitutionnel. Ce dernier a même expressément conditionné sa décision à la prise de ces ordonnances.

     

    Or, le Gouvernement a laissé passer le délai légal de prise de ces ordonnances, qui courait jusqu’au 18 novembre dernier. Qu’il s’agisse d’une manœuvre politique ou d’une erreur matérielle, le résultat est le même : l’habilitation donnée par le Parlement est caduque, et le Gouvernement est dans l’obligation de repasser devant les députés et les sénateurs.

    Bruno Retailleau et ses collègues sénateurs exigent donc que le Gouvernement se conforme à la loi, en demandant une nouvelle habilitation au Parlement. Toute autre décision serait un coup de force inadmissible contre nos institutions. Beaucoup de Français ont été heurtés par la loi sur le « mariage pour tous », qui bouleverse les fondements de notre civilisation. S’il s’avère que les conséquences de cette loi s’appliquent dans l’illégalité la plus totale, le Gouvernement prendra la responsabilité de réveiller leur colère." (salonbeige)

    Source.

    http://www.scriptoblog.com/index.php/component/content/article/84-news/1196-confirmation-le-mariage-gay-est-bien-illegal-delai-de-6-mois-depasse

  • Marion Maréchal Le Pen et les pompiers de Velleron

    marion-le-pen-MPI

    Un simple calendrier de pompiers peut devenir un sujet de conversation qui enflamme. Rassurez-vous, les pompiers de Velleron, dans le Vaucluse, n’ont pas eu le mauvais goût de poser dénudés comme l’ont fait parfois d’autres soldats du feu. Alors, qu’est-ce qui peut bien susciter la polémique ? Tout simplement le fait que, parmi les photos qui illustrent ce calendrier, on aperçoit Marion Maréchal Le Pen.

    Etonnant ? En réalité, non. Il s’agit tout simplement d’une tempête dans un verre d’eau. Les photos montrent les activités des pompiers de la petite ville. Les pompiers en action mais aussi les pompiers lors de cérémonies et festivités. Dont la traditionnelle fête de la Sainte-Barbe au cours de laquelle les pompiers ont l’habitude de recevoir la visite du député de la circonscription. Or, il se fait que ce député est désormais… Marion Maréchal Le Pen. Sa présence n’avait donc rien d’étonnant. Et on ne voit pas pourquoi il aurait été souhaitable de procéder à la retouche « stalinienne » des photos afin de gommer la présence de Marion Le Pen qu’au demeurant tout le monde s’accorde à trouver fort mignonne.

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  • Travailleurs détachés : Bolkestein en avait rêvé, Hollande l’a laissé faire

     

    Par Pierre Marchand

    2005 : A la veille du référendum sur la Constitution européenne, une directive européenne venait empoisonner un débat que les européistes pensaient gagné d’avance.

     

    On avait même fait revenir Chirac et Jospin pour l’occasion, et passé en boucle les images de l’A380, réussite européenne qui ne doit rien à l’UE mais qui tombait à point pour mettre de l’eau à un moulin europhile alors bien grippé. La directive Bolkestein, donc, et l’image intelligemment exploitée par les souverainistes du « plombier Polonais », permettait sinon la victoire du non, du moins une prise de conscience plus prégnante du caractère ultra-libéral de la construction européenne. Quelques années et amendements plus tard, cette directive est presque totalement oubliée. Pourtant son principe, qui existait depuis 1996, n’a cessé d’être approfondi depuis. A l’origine, il s’agissait de permettre aux travailleurs issus d’un Etat membre de l’Union de pouvoir travailler dans un autre Etat membre (libre circulation des services), sans formalité particulière. Aujourd’hui, le phénomène a pris une ampleur considérable : 1 à 1,5 millions de travailleurs détachés en Europe dont 210 000 déclarés en France en 2013. Un chiffre en augmentation de 23% en 2013 en France, pays destinataire de près d’un quart des travailleurs détachés.

    Cohérence libérale

    A en croire ses thuriféraires, le dispositif permettrait notamment de pourvoir les besoins non satisfaits par la main d’œuvre française, comme dans l’agriculture saisonnière ou dans le bâtiment par exemple. Quiconque a déjà observé un chantier BTP ou fait réaliser des travaux chez soi sait que le plombier polonais n’était ni un caricature ni un mythe, mais l’illustration humoristique d’une réalité de plus en plus répandue. On nous vend donc cette directive comme on nous vend l’immigration, en nous faisant croire qu’elle est indispensable pour combler le manque de main d’œuvre de certains secteurs. Elle s’inscrit donc bien dans la cohérence ultralibérale de l’Union européenne. Mais ce n’est pas pour cette raison que le gouvernement, Michel Sapin en tête, a décidé de s’en emparer. La gauche en effet y voit une aubaine pour les élections européennes et pour démontrer qu’elle aura été capable de faire accepter à l’Europe une avancée législative véritablement sociale. C’est ainsi que, sur le portail internet du gouvernement, on vante la victoire de la France qui a su obtenir gain de cause : « cette journée marque un progrès pour la défense de notre modèle social, pour la défense des travailleurs et pour le refus du dumping social. » (Michel Sapin).

    Dumping social

    Ce qui est important dans ce principe de détachement, c’est que si le salaire minimum applicable est celui du pays d’accueil, les cotisations sociales restent celles du pays d’origine. Soit un bénéfice d’environ 30% (quatre travailleurs Roumains pour le prix de trois français...), sans doute suffisant pour aller chercher sa main d’œuvre dans les pays de l’est. Une forme de dumping social caractérisée contre laquelle le gouvernement n’a jamais eu l’intention de se battre. En réalité, il n’a fait que s’attaquer à la fraude au détachement, autrement dit aux effets indésirables de la directive, et non à son principe. C’est à dire le fait par exemple qu’un certain nombre de travailleurs détachés en France sont... des français, employée par des agences d’interim localisées dans des pays à faibles cotisations sociales (Luxembourg, etc.), ou que la difficulté à contrôler cette nébuleuse entraîne des dérives en termes de temps et conditions de travail, voire de salaire minimum non respecté. On ne saurait leur reprocher cette ambition, mais la bataille de Michel Sapin est-elle à la hauteur des enjeux ? Il suffit de considérer les « garanties majeures » arrachées par la France et ses alliés : liste de documents exigibles, responsabilité solidaire du donneur d’ordre, et liste noire des entreprises frauduleuses écartées des appels d’offres publics. Beaucoup de bruit pour rien, aurait dit Shakespeare.

    Alors que certains députés pointaient les dérives du système, allant jusqu’à évoquer un traitement de « nouvel esclave moderne », le gouvernement se contente et se glorifie de mesures administratives qui ne font que renforcer l’impression, déjà évoquée dans ces colonnes, que la France n’est qu’un vulgaire agent de contrôle des directives de la Commission. Si certains peuvent donc qualifier l’événement de victoire pour le gouvernement, il ne s’agit pas d’autre chose que d’une victoire de petit joueur.

    L’ACTION FRANÇAISE 2876

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Travailleurs-detaches-Bolkestein

  • 47 000 élèves ont déjà vu le film Tomboy. Parents, réagissez !

    La mobilisation doit s'amplifier contre ce film (présenté ici et ) diffusant la théorie du genre auprès des élèves de CE2, CM1, CM2 ! Quelques chiffres tirés de cet article du Monde devraient nous faire réagir :

     

    • La pétition contre la diffusion du film dans les écoles a recueilli à ce jour 15 000 signatures
    • 46 700 élèves ont déjà vu Tomboy dans 15 départements
    • Sur 450 classes inscrites pour voir le film à Paris, seules 15 se sont désengagées
    • 79% des enseignants parisiens l'ayant visionné l'ont jugé "très intéressant"
    • Précisons que les écoles privées sous contrat ne sont pas épargnées

     

    Plusieurs journaux régionaux se sont fait l'écho des interrogations des parents, et le Monde admet que la polémique enfle. A nous de faire en sorte qu'elle ne retombe pas et de mettre en garde nos directeurs d'écoles.

    Louise Tudy

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le CSA veut contrôler YouTube, Dailymotion et iTunes

    Le gendarme de l'audiovisuel vient de remettre un rapport au Premier ministre et à la ministre de la Culture pour encadrer YouTube, Dailymotion mais également les services permettant le téléchargement définitif de films comme iTunes, le PlayStation Store ou le Xbox Live.
    Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a remis un rapport dans lequel il demande officiellement à pouvoir contrôler les sites de vente et de partage de vidéos.
    Le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) passe la vitesse supérieure. Après avoir évoqué son souhait d'encadrer les sites de partage de vidéo l'an dernier, le régulateur vient de remettre un rapport à la ministre de la Culture et au Premier ministre pour passer à l'acte. Ce document de 55 pages, dont l'Express a obtenu copie, vise à étendre le pouvoir du CSA sur les sites de vidéo comme YouTube, Dailymotion mais aussi iTunes d'Apple.
    Le rapport souligne que " de plus en plus de sociétés éditrices proposent leurs contenus audiovisuels sur des sites de partage de vidéos. C'est notamment le cas de Dailymotion, où tout détenteur de droits vidéo peut ouvrir un compte Official User afin de partager son catalogue, et également de You Tube".
    Vers une contribution à la création française ?
    Par exemple, Canal + a annoncé récemment vouloir proposer une vingtaine de chaînes sur la filiale YouTube. Le CSA demande donc une évolution législative "de façon notamment à y intégrer les distributeurs de service au sens de la loi française ". Le régulateur souhaite réaliser une étude d'impact pour déterminer la part du chiffre d'affaires qui relève de l'édition ou de la distribution de contenus professionnels sur ces sites. Et si le montant dépasse les 10 millions d'euros, YouTube et Dailymotion devront alors financer la création française et respecter des quotas d'oeuvres européennes.
    "Nous sommes étonnés d'apprendre une telle position, bien éloignée des échanges que nous avons pu avoir avec la nouvelle équipe", a réagi Giuseppe De Martino, secrétaire général de l'Association des Sites Internet Communautaires (ASIC).
    De plus, ces distributeurs seraient dans l'obligation de proposer les contenus d'éditeurs "dans des conditions équitables, raisonnables et non discriminatoires" (must-distribute). Cette mesure vise aussi les boutiques d'applications comme l'AppStore d'Apple ou le Google Play qui devraient obligatoirement offrir des services de vidéo à la demande comme CanalPlay, TF1 Vidéo... sur les smartphones et tablettes.
    Par ailleurs, le conseil a recueilli l'avis de la Commission européenne le 27 mars dernier pour s'assurer du statut des services de téléchargement définitif de films comme iTunes d'Apple, le PlayStation Store de Sony et le Xbox Live de Microsoft, ou la chaîne DisneyTek de Free. De telles plateformes peuvent "être à la fois soumises aux exigences de la directive service multimédia et à celles sur le commerce électronique", note la Commission et donc entrer dans le périmètre du CSA.
    Enfin, le rapport demande d'avancer de 4 à 3 mois, la mise à disposition en vidéo à la demande des films après leur sortie en salle et de raccourcir de 36 à 24 mois la diffusion sur des plateformes de vidéo à la demande par abonnement.
    La plupart de ces demandes s'inspirent du rapport de Pierre Lescure, "Acte II de l'exception culturelle à l'ère du numérique", remis au mois de mai dernier au gouvernement. D'ailleurs, le coordinateur de la mission, Jean-Baptiste Gourdin, a été nommé directeur du cabinet du nouveau président du CSA, Olivier Shrameck.
    En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/le-csa-veut-controler-youtube-dailymotion-et-itunes_420662.html#OyGMLZ2oZ4mPS4yE.99

  • La gauche n’a rien. Nous avons tout.

    La gauche offre du vide, du rien. Nous offrons une épopée. Elle est loin d'être terminée. Remontez sur votre cheval. Ayez confiance.

    Il suffit de lire Boulevard Voltaire pour le constater : la gauche dans son ensemble s’applique méticuleusement à détruire la famille.

    Dénaturation du mariage, raids LGBT dans les écoles, gender par-ci gender par-là, les idéologues maçonno-socialistes n’attendent pas… ils savent que leur fenêtre temporelle est forcément réduite, alors ils aspergent, ils arrosent, ils mettent le feu partout où c’est possible. Ils savent que les braises auront tout leur temps, bien après l’alternance, puisque jamais aucune majorité « de droite » ne revient sur les conquêtes de gauche.

    Et pourtant…
    Et pourtant, tout ceci, ce n’est que de la comm’

    La famille, le mariage, l’éducation des enfants… souffrent bien plus de nos manquements, de nos abandons, de nos faiblesses, que des attaques de toutes les Fourest de la terre réunies.

    Robin de la Roche lire la suite.....