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lobby - Page 2058

  • Yannick Jaffré du Collectif Racine à L’Action Française : " La tectonique patriote atteint l’école "

    Professeur agrégé de philosophie, Yannick Jaffré a rejoint le Rassemblement Bleu Marine après avoir milité dans la mouvance chevènementiste. Président du Collectif Racine, il conteste l’hégémonie de la ”gauche moralo-sociétale" sur l’Education Nationale. Il a bien voulu présenter sa démarche aux lecteurs de L’Action Française.

    L’ACTION FRANÇAISE : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

    YANNICK JAFFRÉ - Je suis un enfant de 68, ayant grandi dans son esprit libertaire, alternatif, contestataire, mais aussi dans la famille éclatée, le relativisme axiologique, le tiers-mondisme et la francophobie française. Mes années de formation, 1980 et 1990, étaient plus précisément dominées par la gauche morale, immigrationniste, antiraciste et repentante. Nulle part la France n’était valorisée, partout je la voyais ramenée à des crimes passés et à des tares présentes. Et pourtant, j’étais porté vers cette immense personnalité française. Elle avait passé les obstacles de l’époque par ma mère bretonne, dans le silence des gestes et des valeurs, par certains professeurs aussi, et par ce qui, dans la mémoire nationale, transcendait l’immédiat, Harlem Désir et Bernard-Henri Lévy. Je me suis donc frayé un chemin vers la France contre mon milieu estudiantin puis professoral. Au plan politique, Chevènement, maintenant le fil rouge d’une gauche patriote, m’a permis d’articuler ma sensibilité républicaine, populaire et sociale à cet amour de la France qui l’avait emporté en moi. Jeune professeur de philosophie en zone sensible dans l’agglomération de Dunkerque, je rejoins le MDC à l’automne 2000. J’y milite jusqu’en 2003, m’en éloigne, reviens en 2005 vers le MRC de Lyon pour mener la campagne référendaire, observe avec attention l’inflexion émariniste » du Front National, recontacte Bertrand Dutheil de la Rochère, ancien directeur de cabinet de Chevènement, après qu’il a rejoint le Rassemblement Bleu Marine. Il me présente alors Florian Philippot, puis Marine Le Pen. Je monte actuellement avec Bertrand Patrie et Citoyenneté, mouvement de gauche patriote, au sein du Rassemblement Bleu Marine.

    Qu’est-ce que le collectif Racine ? Quel est son histoire, son rôle, sa fonction, pour ses membres et pour le RBM ?

    Avec mon ami Alain Avello, également professeur de philosophie à Nantes, je me suis rapproché au printemps dernier de Valérie Laupies, conseiller de Marine Le Pen pour l’éducation, de Bertrand Dutheil de la Rochère et de Florian Philippot pour leur proposer l’idée d’un collectif professionnel associé au RBM. Ils l’ont soutenue, Marine Le Pen l’a validée avec enthousiasme, et nous voici en marche ! Nous construisons dans l’été le site internet, nouons les premiers contacts, organisons notre conférence de lancement. Elle a lieu avec Marine le 12 octobre dernier à Paris. C’est alors un formidable appel d’air qui nous permet, après moins de six mois d’existence, de revendiquer plus de 400 adhérents.

    Sur le fond, le Collectif est né d’une double volonté : rassembler les enseignants patriotes, construire une pensée pour l’école. Nous prouvons par notre existence même que la tectonique des plaques patriote atteint l’éducation nationale, bastion de la gauche moralo-sociétale, où gisent encore des réserves de républicanisme véritable, c’est-à-dire national. Quant à notre pensée, elle veut être cohérente, informée, précise, thème par thème, de la maternelle à l’université. Parce que nous sommes associés à un grand mouvement, le RBM, nous ne sommes ni un syndicat, trop catégoriel, ni un club de réflexion, exclusivement intellectuel. Nous voulons donner par l’action politique force à nos idées.

    Dans la crise de l’école, il est devenu assez courant d’incriminer le "pédagogisme"... Que recouvre ce mot à vos yeux ?

    L’ensemble des réformes qui, à partir des années 1970, et sous l’influence de l’« esprit 68 », ont dégradé de manière profonde mais, nous le croyons, réversible, l’école de la république. L’idéologie les inspirant est un assemblage de théories qui, pour certaines, remontent à l’Émile de Rousseau. Ainsi Hegel dénonçait-il dès 1817 les pédagogies par le jeu, l’empirie, l’induction qui annulent le maître. Au XXe siècle, Freinet, Montessori, entre autres pédagogues « libres » et « ouverts », s’appuyant sur des théories psychologiques mal établies, dont la Gestalt theorie, ont promu un enseignement global, ludique et spontanéiste. Augmentées par le grand courant anti-institutionnel et égalitariste des années 1970, toutes ces sources se sont reversées dans l’école française, la funeste loi d’orientation de 1989 déclenchant la grande déferlante. Plaçant « l’élève au centre du système », elle a livré l’acte d’enseigner à la psychologie de l’individu et à la sociologie des groupes. Au rebours de sa vocation universelle et émancipatrice. Enseigner au sens noble, en effet, ce n’est pas prendre l’élève tel qu’il est supposé être, c’est l’élever vers ce qu’il peut devenir. A travers des méthodes plus ou moins ludiques, inductives, globales, il s’est créé un climat de confusion expérimentale sous lequel les « règles pour la direction de l’esprit » cartésiennes ont été dramatiquement brouillées. Ces conceptions, que le principe de réalité fait refluer dans tous les esprits de bon sens, sont encore soutenues par le ministère et ses « spécialistes ». Nous sommes là pour leur porter le coup de grâce !

    Ne faudrait-il pas aussi prendre en considération le problème de structure qui a consisté à homogénéiser à outrance le parcours scolaire et à produire un enseignement général pour tous mais au rabais et un enseignement professionnel totalement déconsidéré ?

    C’est pour nous la mère de toutes les batailles, le point névralgique, la pierre de touche. Nous mettrons fin au Collège unique par le haut. C’est-à-dire en revalorisant les filières professionnelles, mais vraiment, pas verbalement. De là, on redressera, en les désengorgeant, le niveau des séries générales et des licences universitaires. Nous avons sur le sujet des pistes très ambitieuses.

    Quelles sont vos campagnes actuelles ? Comment les menez-vous et en direction de qui ?

    Nous menons le combat sur trois fronts : l’implantation, la communication, la conception. Constitués en association, nous sommes en train de monter nos sections départementales. Avec un site régulièrement alimenté, nous intervenons sur le vif dans le débat scolaire, et provoquons les acteurs du système : notre lutte actuelle concerne la défense des statuts de 1950 et des classes préparatoires. Parallèlement à ces deux tâches, enfin, nous formons des commissions par thème, matière, niveaux, structures, pour mener un travail foncier, de longue haleine, avec 2017 pour horizon. Tous les professeurs patriotes qui voudraient contribuer à l’aventure sont les bienvenus !

    Propos recueillis par Stéphane Blanchonnet - L’AF 2876

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Entretien-Yannick-Jaffre-du

  • J-30 : la liberté d'expression menacée, une raison de plus pour venir à la Marche pour la Vie

    Communiqué de Choisir la Vie : 

    "Alerte : le délit d’entrave à l’IVG élargi

     Jamais un gouvernement n’aura été aussi loin dans la « traque » des défenseurs de la Vie…

    Après  un premier rapport du HCCefh (Haut Conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes), demandé par le ministre Najat Belkacem, qui préconisait  4 recommandations dont la création d’un site institutionnel  pro-IVG (site que le gouvernement  s’est  empressé de créer pour contrer les antennes d’écoute aux femmes enceintes en difficulté !), un second rapport du 7 novembre dernier publiait, cette fois, pas moins de 34 recommandations pour un meilleur accès à l IVG dont :

    - la suppression de la condition de détresse dans la disposition légale actuelle

    - la suppression du délai de réflexion de 7 jours de la clause de conscience

    -  une obligation à tous les établissements publics de pratiquer l ivg…

    C’est à présent une véritable atteinte à la liberté d’expression qui nous est imposée par le projet de loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes, n° 717 déposé le 3 juillet 2013, adopté par le Senat en première lecture le 17 septembre dernier (TA N n°214) et examiné cette semaine en commission.

    Au sein de ce texte, un amendement a  déjà été adopté avec le soutien du gouvernement prévoyant l’extension du délit d’entrave à l’avortement.

    Apres l’article 5 ter, est en effet inséré un article additionnel pour modifier  l’article L 2223 -2 du code de la santé publique, article relatif à ce délit.

    Avec cet amendement, il s'agira de sanctionner toute personne qui ne délivrera pas d’information sur l'avortement.

    Ce délit sera donc constitué en "perturbant de quelque manière que ce soit la possibilité de s’informer sur les actes d'ivg ou en exerçant des pressions morales et psychologiques à l’encontre des femmes venues s’informer sur l’ IVG".

    Cet article ainsi voté permettra d’interdire toutes les informations, les sites qui n’encourageraient pas à l’avortement et  avertiraient des dangers de cette pratique.

    Choisir la Vie, consciente que ce projet de loi, s’il est voté modifiera profondément la liberté d’expression et d'action des associations défendant le Respect de la Vie, alerte ses sympathisants sur le danger extrêmement grave que constitue cet amendement qui sera, sans nul doute, le premier pas vers une interdiction pure et simple de manifester, voire d’exister…

    La dictature commence aujourd’hui ! Choisir la Vie appelle à se mobiliser massivement et fermement contre ce projet de loi, qui sera débattu en séance à l Assemblée nationale à partir du 20 janvier prochain…Cette mobilisation verra son apogée le 19 janvier lors de la GRANDE MARCHE POUR LA VIE".

    9mplv2014http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Un des auteurs marocain du « rapport sur l’intégration » veut interdire de faire sonner les cloches

    C ‘est ce que nous apprend le Figaro aujourd’hui dans son article « Rapport sur l’intégration: Matignon refuse d’assumer seul » page 11 :

    « Ancien membre du Haut Conseil à l’Intégration, Khalid Magdani, sociologue, dans une tribune publiée par Médiapart en mars 2011, se demandait comment « continuer à accepter sans réagir que les cloches (d’une cathédrale ndlr) sonnent tous les dimanches sans que rien ne soit fait pour faire cesser cette intrusion sonore et ostentatoire de la religion dans l’espace publique »

    Rappel : sur le site de Matignon Jean-Marc Ayrault « salue la grande qualité de ce rapport » , qui constitue une déclaration de guerre à notre civilisation.

    La Charia interdit en effet de faire sonner les cloches. Les traités de droit sunnite l’enseignent explicitement (cf « Les Statuts Gouvernementaux » de El Mawerdi ou « La dépendance du voyageur » de Al Misri ). Ces ouvrages fondamentaux de charia se trouvent à l’Institut du Monde Arabe.

    Khalid Magdani a défendu le rapport sur RTL

    Sur sa fiche Viadeo il précise qu’il est du Maroc. Evidemment il n’a jamais dénoncé les appels sonores du muezzin au Maroc, pays qui vient de  condamner à 30 mois de prison un converti au Christ sans qu’il s’en inquiète non plus…

    Source islamisation.fr

    http://www.contre-info.com/un-des-auteurs-marocain-du-rapport-sur-lintegration-veut-interdire-de-faire-sonner-les-cloches

  • Jour de Colère le 26 janvier à Paris

     

    CLe site internet de l'organisation a évolué et l'on en sait un peu plus sur cette manifestation destinée à concentrer les motifs d'insatisfaction face au gouvernement. Les associations qui ont déjà rejoint ce collectif sont :

     

    • Les Bonnets Rouge 69
    • Les Paysans, c’est l’Avenir
    • France Audace
    • Reconquête Républicaine
    • Collectif des Avocats Libres
    • Camping Pour Tous
    • Solidarité Pour Tous
    • Prisonniers politiques
    • Hollande Dégage
    • Peuple Français, Réveilles toi
    • Collectif Famille Mariage
    • La révolte fiscale c’est maintenant
    • Les Bonnets Rouge
    • Collectif Pour l’Enfance

     

    Cette première manifestation aura lieu le dimanche 26 janvier 2014, à partir de 14h.

    Michel Janva

  • Le grand amour entre Christiane Taubira et le Grand Orient

    Médias-Presse.Info vous avait annoncé cette conférence de Christiane Taubira au Grand Orient le 17 décembre en soirée.

    Arrivée sous les huées et les slogans (« Francs-maçons en prison ! Dictature maçonnique ! »)  de jeunes Français tenus à l’écart par un important dispositif policier, le garde des Sceaux s’est précipitée à l’intérieur du temple maçonnique de la rue Cadet. Là, le ton était tout autre. Rond de jambe du 1er « Grand Maître adjoint », Pierre-Hubert Gouttière qui a larmoyé : « Après les odieuses attaques dont vous avez été l’objet, nous sommes honorés de vous recevoir. » 

    Le ministre de la Justice a rapidement mis les francs-maçons à l’aise : « Merci de m’accueillir dans votre maison. Je sais la part que vous avez prise dans l’édification de la République. » Et de se lancer dans une longue tirade où se mêlaient affaire Dreyfus, « philosophie des Lumières », laïcité, « vivre ensemble », racisme et « pacte républicain ».

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  • LMPT : 3 questions à Ludovine de La Rochère

    Le 23 novembre à Nantes, puis le 8 décembre à Paris, le 14 décembre à Bordeaux et enfin le 15 décembre à Blois, Montpellier et Versailles, la Manif Pour Tous a organisé de nouvelles manifestations. Quel est le sens de ces mobilisations qui ont réuni des dizaines de milliers de personnes ?

    3Ludovine : Les projets pro-LGBT et anti-famille de Hollande et de son gouvernement continuent d’avancer masqués avec le souci de ne pas effrayer l’opinion. La Manif Pour Tous poursuit donc ses actions. Nos objectifs sont bien-sûr inchangés : il s’agit d’éviter définitivement la libéralisation de la PMA et la légalisation des mères porteuses (GPA), - qui créeraient des orphelins de naissance et conduiraient à la marchandisation de l’enfant et de la femme –, d’empêcher la diffusion de la culture du gender - en particulier dans les écoles et en crèche -, et bien-sûr de maintenir la pression sur tous les partis pour qu’au prochain changement de majorité la loi de mariage et d’adoption pour les couples de même sexe soit abrogée (sans rétroactivité).

    4J’ajoute que, depuis plus d’un an maintenant, le combat de La Manif Pour Tous est fondé sur le père, la mère et l’enfant, c’est-à-dire la famille. C’est pourquoi elle s’oppose aussi, avec détermination, à tous les projets anti-familles en cours de préparation : statut du beau-parent – qui mettra parents et beaux-parents sur le même pied-, pré-majorité - qui restreindra l’autorité parentale -, remise en cause de l’adoption plénière, etc. A cela s’ajoute encore la réduction du congé parental ou encore des réformes fiscales qui auront un impact majeur sur la vie des familles. Il y a notamment la baisse du quotient familial (qui fera que plus la famille est nombreuse, plus l’augmentation d’impôt sera importante !), mais aussi la suppression d’une part fiscale pour les couples mono-actif : en clair, on veut pénaliser les familles dans lesquelles les mères s’occupent de leurs enfants !

    Il ne s’agit donc pas, comme je l’entends parfois, de défendre des intérêts qui seraient catégoriels (d’ailleurs la famille concerne tout le monde, c’est n’est pas une « catégorie »), mais de s’opposer à la mise en œuvre d’une politique anti-famille qui utilise la fiscalité comme levier puissant. Autrement dit, ces réformes fiscales sont purement idéologiques. De fait, comme l’attestent notamment les propos de M. Peillon, nos gouvernants n’aiment pas la famille. Ainsi qu’ils l’ont montré l’an dernier, ils préfèrent des individus sans lien, sans attache, sans racine, sans père ou mère…

    La Manif Pour Tous vient d’annoncer une grande manifestation le dimanche 2 février à Paris et dans d’autres capitales : quel est le sens de cette nouvelle mobilisation ?

    5Ludovine : La Manif Pour Tous, ce sont tous ceux qui ont défilé dans la rue. En un an, ils ont bâti une opposition, mais aussi une alternative. Le début de l'année 2014 verra l'arrivée au Parlement du projet de loi famille de Dominique Bertinotti. La Manif Pour Tous prépare une contre-proposition étayée, argumentée, issue des réflexions du Grenelle de la Famille. Mais avant la présentation de cette proposition de loi famille LMPT, il y aura en effet la manifestation du 2 février. Elle aura une dimension européenne historique. En effet, la feuille de route LGBT pour les années à venir doit être adopté par le Parlement Européen le 4 février 2014. Nous ne pouvons laisser faire cela sans réagir. C’est pourquoi tous les pays membres de l’Union Européenne ont une responsabilité majeure à laquelle ils doivent répondre. La Manif Pour Tous a fait naître un mouvement qui dépasse d’ores et déjà les frontières françaises. La date du 2 février prend bien évidemment en compte les mobilisations dans les autres pays européens qui ont aussi leurs propres calendriers nationaux. Ainsi, cette manifestation pourra être commune à d’autres grands rendez-vous à Rome, Madrid, Londres, Bruxelles, Vienne, Paris, Lisbonne, etc. La dimension européenne de cette manifestation est déterminante, elle conditionne l'avenir et la place des familles pour les années à venir. En étant très nombreux le 2 février, nous montrerons notre ferme volonté de ne pas laisser passer les projets du lobby LGBT, ni au niveau national, ni au niveau international. Nous montrerons qu’une véritable lame de fond s’est levée en Europe contre tous ces soi-disant « progrès » subversifs et délirants.

    Le 26 janvier, une initiative "jour de colère" est pourtant annoncée depuis plusieurs semaines sur les réseaux sociaux. N'y a t il pas télescopage, voire même risque de division entre ces deux dates ?

    Ludovine : Les Français sont en colère. Ils le sont chaque jour un peu plus face à un gouvernement qui les méprise, les humilie, les fragilise. C'est toute la société qui est mobilisée. Au rez-de-chaussée, c'est l'emploi qui est menacé et à l'étage, c'est la famille qui est précarisée. Cela n’est donc pas étonnant qu’il y ait plusieurs manifestations prévues ! Je ne sais pas, en tout cas pour le moment, qui est à l’initiative de celle du 26 janvier. Il n’en reste pas moins qu’il y a urgence à agir pour la famille et à nous faire entendre des gouvernants en place comme de ceux qui sont susceptibles de prendre leur suite. Et puisque les projets LGBT et anti-familles concernent toute l’Europe et sont promues par ses institutions, il faut aussi agir en concertation avec tous les pays européens. Et comme l’a montré notre victoire sur la résolution Estrela, nous pouvons et nous allons gagner !

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les chiffres mensongers de l'"homophobie"

    L’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), qui vient de publier son rapport annuel, ne note aucune augmentation des insultes "homophobes" en 2012 par rapport aux années précédentes : elles auraient touché 0,3% des quelques 14 600 personnes interrogées dans le cadre de l'étude.

    Voilà qui contredit sérieusement les chiffres publiés en mai par SOS Homophobie, en pleine contestation de la loi Taubira : + 27% d'actes homophobes et plus précisément, + 15% d'insultes en 2012. Ce qui avait permis l'association homosexualiste de montrer du doigt La Manif pour tous :

    "Peut-on être opposé-e au mariage et à l’adoption pour les couples de même sexe et ne pas être homophobe ? SOS homophobie aurait tellement voulu le croire et pouvoir en attester ! Force est de constater que la réponse doit être négative. Car voilà, il est un principe avec lequel on ne transige pas : celui de l’égalité."

    On peut dores et déjà prédire une explosion des chiffres de 2013, puisque SOS Homophobie comptabilisera comme victime n'importe quel homosexuel s'étant senti blessé par la tenue des manifestations et ayant appelé à ce sujet l'association.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/les-chiffres-mensongers-de-lhomophobie.html

  • La France n'est plus un pays de liberté

    Le think tank GenerationLibre a rédigé un rapport sur la liberté en France, en parcourant le corpus juridique. Toutes les limites apportées à la liberté d'expression, depuis sa sacralisation dans la loi sur la presse de 188, ont été passées en revue. La conclusion est sans appel. De la loi Pleven ("anti-discrimination") aux lois mémorielles, du délit d'"outrage à une personne chargée de service publique" à celui d'"opinions contraires à la décence", le législateur a élaboré depuis quarante ans l'un des cadres les plus restrictifs des pays développés. La multiplication des procédures de diffamation, où la charge de la preuve est inversée, reflète l'extrême judiciarisation du débat public. Le moindre propos un peu tranchant peut aujourd'hui valoir de multiples poursuites.

    Lire ce rapport (49 pages) ou sa synthèse (10 pages).

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Jean-Vincent Placé, sénateur de la Ripoublique, refuse de payer depuis plusieurs années 18.000 euros d’amendes

    L’insupportable asiatique bouffi, sénateur du mouvement d’extrême-gauche Europe-Écologie Les Verts (EELV), n’a pas payé depuis plusieurs années de nombreux PV.
    Pour rien de moins qu’une centaine de délits routiers, il doit à l’État environ 18.000 euros. Des délits de surcroît commis au volant d’un véhicule appartenant aux Français (via le conseil régional d’Île-de-France). Alors qu’il devait 22.000 euros, il n’avait payé que 6.000 puis 7.000 euros selon ses dires, attendant ensuite des nouvelles de l’État (sic). Pour se défendre il affirme que s’il n’a pas payé, c’est qu’il « n’est pas un homme de chiffres » ni « très bon avec les papiers ».

    Nul doute pourtant qu’il parvient sans problème à compter les dizaines de milliers d’euros que lui rapportent son siège de sénateur et les nombreux points de retraite associés…

    Source

    http://www.contre-info.com/jean-vincent-place-senateur-de-la-ripoublique-refuse-de-payer-depuis-plusieurs-annees-18-000-euros-damendes

  • Langue française : Ayrault accélère la décomposition de la France

    Dans le droit fil des rapports sur la désintégration de la France demandés par François Hollande et dans lesquels dix ministères sont impliqués – le comte de Paris, duc de France, a publié, sur le sujet, une remarquable tribune dans Le Figaro du 18 décembre –, le premier ministre a décidé d’accélérer le processus législatif visant à la ratification par la France de la charte des langues régionales et minoritaires du Conseil de l’Europe, ratification engagée par Jospin mais toujours au point mort.

    Il faut en effet une modification de la Constitution. C’est en Bretagne que le Premier ministre a fait cette annonce, par démagogie, en vue de caresser dans le sens du poil les Bonnets rouges en colère. C’est aussi une des promesses du candidat Hollande.

    Cette mesure ne fait que renforcer les conclusions des rapports commandés par le Président de la République, qui visent notamment à retirer au français sa place de langue de la nation pour la fondre dans un multilinguisme dont notre langue, encore internationale – mais pour combien de temps ? –, ne se relèverait pas. Alors que les jeunes Français, et pas seulement ceux issus fraîchement d’une immigration incontrôlée, ont une connaissance de plus en plus approximative du français, ils devront demain acquérir au primaire et au collège, outre l’anglais devenu de facto obligatoire, une langue régionale, la langue arabe et une langue africaine, si du moins le Gouvernement actuel arrive à ses fins.

    L’Action française n’est pas opposée aux langues régionales, bien au contraire, et le faire croire serait d’une totale malhonnêteté intellectuelle. Maurras est devenu monarchiste par fédéralisme et il n’a jamais renié la langue provençale. Pour l’AF, la survivance des langues réellement de France que sont les langues historiques de son patrimoine est un trésor infini auquel la république s’est attaquée à la fin du XIXe siècle dans le seul but de déraciner les jeunes Français afin de les rendre plus malléables à sa propagande. Leur perpétuation et leur acquisition est donc légitime. En revanche, la France n’a pas à s’inscrire dans un carcan supranational européen, d’autant que si la notion de « langues régionales » a un sens pour elle, celle de « langue minoritaire », qui ne vaut que pour les empires, n’en a aucun. Car qui dit langues minoritaires dit langue majoritaire, or le français n’est pas la langue (encore) majoritaire parlée en France mais la langue des Français et la langue de la France ...sauf à considérer, comme les indépendantistes de tout poil… et les technocrates européens désireux de détruire la nation, que notre pays n’est lui aussi que le résultat d’une colonisation impériale.

    Ce Gouvernement vise chaque jour à retirer une pierre à l’édifice national. En l’occurrence, il s’agit de la pierre d’angle, puisque c’est à la primauté du français qu’il s’attaque Une lutte à mort est engagée entre ce régime et la France.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-Langue-francaise