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  • Clément Méric : les Japonais de la rue Saint-Guillaume

    Clément Méric : les Japonais de la rue Saint-Guillaume

    Les antifas cagoulés et armés dont faisait partie Clément Méric. Crédit photo : DR

    PARIS (via Polémia) - Une mort inutile. En 1974 le monde découvrait l’odyssée d’Hiro Onoda, ce soldat japonais caché dans la jungle de l’île de Lubang et qui continuait la guerre du Pacifique tout seul, ne sachant pas que le Japon avait capitulé en 1945. En juin 2013, à l’occasion de l’émotion causée par la mort de Clément Méric, on découvre qu’il existe encore des « militants antifascistes », 68 ans après la disparition du fascisme en 1945. Là s’arrête la similitude, hélas.

    L’un savait, l’autre ne savait pas
    H. Onoda était un soldat et il avait l’excuse de son devoir d’obéissance militaire et de son isolement. Il n’a d’ailleurs accepté de se rendre qu’en présence de son ancien supérieur qui seul put le persuader que la guerre était vraiment terminée.

    C. Méric était un étudiant de 19 ans en sciences politiques qui de ce fait ne pouvait ignorer que le fascisme avait été rayé de la carte de l’Europe en 1945 : à la fois politiquement, militairement et moralement.

    Ou alors il faut s’inquiéter sérieusement de la nature de l’enseignement qui est dispensé dans la célèbre école de la rue Saint-Guillaume à Paris.

    L’antifascisme : un combat sans risque
    H. Onoda continuait sa guerre dans des conditions matérielles et morales extrêmement difficiles : c’est pourquoi à son retour au Japon, il fut salué comme un héros.

    Les «militants antifascistes » français du XXIème siècle, eux, vivent confortablement installés dans le Système. Ils ont pignon sur rue et disposent de la bienveillance médiatique, de celle du corps enseignant, des ligues de vertu et donc des institutions. A la différence de leurs grands-parents qui ont vraiment combattu ou subi le fascisme dans la première moitié du XXème siècle, ils ne risquent rien de grave.

    Se tromper d’époque
    H. Onoda vivait dans la peur d’être découvert et fait prisonnier car il se croyait toujours en guerre.

    Les « militants antifascistes » du XXIème siècle, eux, se trompent à la fois d’époque et de combat.

    On leur fait croire qu’il faut lutter contre le fascisme immonde et toujours renaissant, mais on leur fait en réalité jouer le rôle d’idiots utiles du néo-capitalisme : car on leur fait s’attaquer non aux « fascistes » mais à tous ceux qui résistent à la transformation de notre société voulue par l’oligarchie financière et qui se trouvent disqualifiés par le Système sous le vocable « extrême droite ».

    Les antifascistes de gauche sincères sont de malheureux schizophrènes pour cette raison.

    Mort inutile
    H. Onoda n’est pas mort dans la jungle. Il a rempli le premier devoir du soldat : survivre pour mener sa mission jusqu’à ce qu’on le relève. Son action avait donc un sens. C’est pourquoi H. Onoda fut salué à son retour, non comme un soldat perdu mais comme l’incarnation vivante du code de l’honneur militaire nippon.

    C. Méric, lui, est mort pour rien : en militant d’une cause morte et en victime accidentelle de la violence qui ronge notre société. C’est-à-dire en victime des effets de l’idéologie pour laquelle il militait.

    Michel Geoffroy http://fr.novopress.info

  • Manif Pour Tous : répression policière et acharnement judiciaire

    Les opposants au mariage gay se disent victimes d'un "scandale judiciaire" et de gardes à vue abusives. Ils lancent un site Internet pour regrouper les plaintes contre les pouvoirs publics.
    En plus de leurs symboles habituels, comme les sweats roses et bleus, certains membres de l'association La Manif pour tous arborent désormais un badge "prisonnier politique". Lors d'une conférence de presse, les organisateurs ont dénoncé ce lundi la répression "injuste" dont sont victimes les opposants au mariage homosexuel.(voir aussi l’article du Gaulois)
    Épinglé au revers des vestes, le pin's est porté par les manifestants qui ont déjà été gardés à vue, comme Bertrand, 21 ans. "Je suis resté 17 heures en cellule et on m'a relâché sans poursuites", explique-t-il fièrement. C'était le 17 avril. Avec quelques dizaines d'irréductibles, il avait tenté un sitting sous les fenêtres de l'Assemblée nationale, un soir de débat sur le mariage gay. "Nous sommes restés moins d'une heure avant que la police nous dégage", s'insurge le jeune militant.
    ASSIGNER L'ÉTAT POUR FAUTE LOURDE
    Le récit de Bertrand illustre la situation dénoncée par les anti-mariage gay. "C'est un scandale judiciaire, il est anormal qu'on tente de faire taire la Manif pour tous, tonne l'avocat et militant Henri de Beauregard. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, joue les démobilisateurs en annonçant la dangerosité des manifestations puis justifie cela en procédant à des arrestations sans fondements. Ensuite, on maintient des gens en garde à vue, alors que les fonctionnaires de police savent très bien que cela ne tiendra pas devant un tribunal... " Le conseil en veut pour preuve: sur les 300 interpellations menées lors du dernier rassemblement, seules treize auraient donné lieu à des poursuites judiciaires.
    En réponse, les opposants au mariage gay préparent le lancement de libertepourtous.fr. À terme, le site proposera une assistance juridique aux manifestants mis en cause par la police. La plateforme dispensera également des conseils sur la conduite à adopter en cas de garde à vue et incitera les militants à déposer plainte au pénal.
    Autre objectif : regrouper les plaintes en vue d'une procédure d'assignation de l'État pour faute lourde au civil. Une façon de montrer, comme l'explique la porte-parole Ludovine La Rochère, que "oui, on reste mobilisés, parce que la famille est attaquée de toutes parts". La Manif pour tous élargit par ailleurs son combat et appelle à manifester contre la loi de Vincent Peillon sur l'enseignement primaire.
  • Les catholiques poignardés dans le dos

    Depuis des mois les Français - en particulier les catholiques - luttent pacifiquement contre une loi visant à changer les fondements de notre civilisation : Manif pour tous, Pétition devant le CESE, Printemps Français, Hommen, Veilleurs, Antigones, etc…
    C'est tout un peuple qui se lève face à un gouvernement qui n'a d'autres réponses que l'obstination, les arrestations arbitraires et le gazage d'innocents.
    Face à ce nouveau totalitarisme, un seul mot d'ordre : « On ne lâche rien ! ». La persévérance  et le courage des Français suscitent l'admiration du monde entier.
    Et pourtant... ils viennent d'être lâchés ! Poignardés dans le dos par le Conseil Famille et Société de la Conférence des Évêques de France !
    Sous le titre « Poursuivons le dialogue » (sic) cet organisme épiscopal regrette que « l'homophobie existe toujours dans la société et dans nos communautés catholiques » et ose avancer que « c'est une preuve de maturité démocratique que d'accepter sans violence que son propre point de vue ne soit pas retenu » !
    On aimerait qu'il demande à la « génération garde à vue » où se trouvent les violences...
    Mais il y a plus grave encore : le Conseil Famille et Société n'hésite pas à contredire ouvertement la doctrine catholique en affirmant que le fait de ne pas garder la chasteté dans les amitiés homosexuelles  ne « dévalorise pas cette expérience » !
    Madame, Monsieur pouvons-nous rester silencieux face à une telle aberration ? Jamais ! ON NE LÂCHE RIEN
    C'est pourquoi je vous demande de signer cet appel respectueux  adressé à Monseigneur Pontier, nouveau Président de la Conférence des Évêques de France, en cliquant ici.
    Diffusez ce message à vos contacts ! La Fille aînée de l'Église ne peut être ainsi souillée.
    Je compte sur vous et, dès à présent, un grand merci.¢
    Catherine Goyard, Présidente d’Avenir de la Culture
  • Gender S.O.S. ! Pour les pervertir, l’Etat kidnappe nos enfants !

    Parents, indignez-vous !

    Enseignants, rebellez-vous !

    Educateurs : insurgez-vous !

    L’endoctrinement des enfants sur le gender est une des pires calamités qui les menace, et à long terme l’ultime coup de bélier achevant la destruction interne de nos familles [1].

    Déjà, il était imposé aux 1ères-secondes – non en philo comme une thèse à débattre, mais en SVT alors qu’elle est totalement anti-scientifique [2]. Et voici qu’en septembre, elle sera obligatoire dès le primaire  ! (et sous forme d’exercice pratique dès la maternelle et même la crèche). C’est-à-dire que cette idéologie débile va formater tous les élèves de France, sans exception de la maternelle au lycée, de leurs 5 à 18 ans et encore… vont-ils retrouver ces sornettes à la Sorbonne  ! (chaire de Gender studies — «  présage  » — à Sciences Po.). Elle risque aussi de s’infiltrer par le biais des cours d’éducation sexuelle qui vont être obligatoires dès la rentrée, à partir de 6 ans  !

    L’objectif visé est explicite  : «  Dépasser la binarité historique entre féminin et masculin  » (sic). En général, l’enseignement ne sera plus «  fondé sur le postulat de la complémentarité des sexes  ». La preuve  : les enseignants doivent s’appuyer sur la Ligne Azur 2012, dont une des dominantes est que l’identité se fonde sur le sentiment d’appartenance à un genre ou à un autre, indépendamment de toute donnée anatomique ou biologique. [...]

    Père Daniel-Ange - La suite sur France Catholique

    http://www.actionfrancaise.net

  • Vers une épuration des Officiers catholiques dans l’Armée ?

    Il y a toujours eu plus de catholiques fervents dans le métier des armes que dans les autres. À quoi cela tient-il ? Sans doute à la volonté de se conformer à ce que disait Notre-Seigneur : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux que l'on aime. »
    Le pieux chanoine Berto, fondateur de l’orphelinat Notre-Dame de Joie, écrivait à ses « anciens », en saluant la mémoire d’ex-pensionnaires engagés volontaires et morts pour la France en Indochine : « J’ai été et je suis fier d’eux. Soyons fiers ensemble de ceux qui sont tombés. Une seule gloire est au-dessus de la leur : celle des martyrs. En attendant que nous ayons des martyrs parmi nous, Bertrand et Louis-Yvon sont notre plus haut honneur. Nous ne le désavouerons jamais. »
    Ce sont des hommes de fidélité, à leur foi catholique, certes, mais aussi à leur pays, quel qu’en soit le gouvernement. Cette double loyauté peut être difficile à vivre lorsqu’elle devient conflictuelle. On l’a bien vu lors de la séparation de l’Église et de l’État, au début du siècle dernier, quand des officiers ont préféré briser leur épée plutôt que procéder à l’expulsion des religieux de leur couvent. D’où la traque des officiers catholiques dans l’armée par le gouvernement anticlérical et franc-maçon d’alors.
    Cela va-t-il recommencer ? Il paraît que le gouvernement prend « très au sérieux » (Le Monde du 8 juin) la « pénétration » des catholiques traditionalistes dans l’armée, relayée par de hauts gradés.
    Tout le monde a pu constater que l’ancien gouverneur militaire de Paris, le général Bruno Dary, fut l’efficace co-organisateur de la Manif pour tous. Versé dans le cadre de réserve, retraité, il est désormais bien libre de dire et de faire ce qu’il veut comme citoyen y compris – ce dont s’effraie le ministre de la Défense ! – d’appeler à « la résistance contre cette mauvaise loi ». Le ministre a oublié qu’un autre général avait déjà appelé à la résistance, en 1940, et qu’il a été, par la suite, reconnu comme un héros national après avoir été condamné à mort. Ses amis disent que son tort fut d’avoir eu raison trop tôt. L’Histoire, assurent-ils, lui a rendu justice…
    Oui mais ! Actuellement, il est un autre général qui, lui, est toujours dans l’active et pas n’importe où : c’est le chef d’état-major particulier du président de la République, le général Benoît Puga, dont le frère, l’abbé Denis Puga, est membre de la Fraternité S.Pie X et exerce son apostolat à Paris, à l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet. Le général Puga lui-même est un familier de cette paroisse et il n’est pas éloigné du mouvement traditionaliste Civitas, à la pointe du combat contre ce qui agresse la foi catholique. Dans le collimateur des services de renseignements, il y a aussi Pierre de Villiers, major général des armées.
    À ce stade, la première question qui vient à l’esprit est celle-ci : le « frère » Jean-Yves Le Drian, actuel ministre de la défense, est-il en train d’établir une liste noire d’officiers catholiques, contrairement à la loi qui interdit de ficher les citoyens en fonction de leurs convictions religieuses ou philosophiques ?
    Le Monde indique que « les services de renseignements ont placé cette frange minoritaire mais rendue très visible depuis les manifestations anti-mariage gay, sous surveillance ». Comme on n’a évidemment rien à leur reprocher d’un point de vue légal, il faut bien trouver un prétexte pour justifier cette surveillance puisque le fait qu’ils soient catholiques et hostiles au « mariage pour tous » ne saurait constituer un motif valable de mise à l’écart.
    Ils ont trouvé : on va les soupçonner de fomenter un putsch pour renverser le gouvernement socialiste ! Le soupçon est énorme, son fondement plus que ténu. Il s’agit d’un article, circulant sur Internet, de La Revue de l’Arsenal, une nouvelle publication qui, après avoir souligné le « grand mécontentement » des armées, évoque un Mouvement du 6 mai qui serait suscité par des officiers en lutte contre « le cabinet franc-maçon » du ministre de la Défense.
    Les trois généraux évoqués plus haut pourraient être le moteur d’un possible sursaut ; et la revue d’appeler de ses vœux une sorte de putsch. Mais les auteurs de ce texte soulignent que ces généraux n’ont pas cette intention-là ! Du coup, ils opinent que « le salut viendra des capitaines » si les généraux font défaut. C’est tout ! Pas de quoi décréter la République en danger et la démocratie en péril.
    Évidemment, les généraux Dary, Puga et Villiers ne sont pour rien dans ces rêveries putschistes. Mais Le Monde note, juste après ce prétendu projet de putsch militaire : « Aucun des trois hauts gradés n’a publiquement démenti sa proximité avec les idées politiques qui leur sont prêtées. » Suivez mon regard… Pourquoi démentiraient-ils des idées politiques qui sont les leurs en effet et qu’il est parfaitement légal de professer ? On comprend ce qu’insinue le fielleux quotidien du soir qui n’a pu être informé que par des sources proches du ministère de la Défense : s’ils ne démentent pas cette proximité, n’est-ce pas parce qu’ils sont proches, si ce n’est complices, de « putschistes » qui partagent leurs idées politiques ?
    On appelle ça la culpabilité par amalgame. Technique jadis employée lors des procès de Moscou : puisque vous ne répondez rien quand on vous accuse de comploter contre le Parti, c’est que vous êtes du complot.
    Votre silence, voilà la preuve que nous cherchions !
    Ajoutez à cela que le gouvernement, avant même de songer à la dissolution des Jeunesses nationalistes révolutionnaires, préparait celle du Printemps Français, dissidence traditionaliste de la Manif pour tous. Ce « Printemps » est une émanation, dit-on, de Civitas dont le général Puga est proche. Toutefois il n’y aura pas de révocations pour ce motif car cela est impossible juridiquement.
    L’épuration pourrait donc prendre une forme feutrée : on inciterait fortement les officiers généraux en activité, trop catholiques au goût du pouvoir, à faire valoir leurs droits à une retraite anticipée, sans murmure ni hésitation : un général peut-il être proche d’un mouvement dissous pour violence et subversion ? Puis on s’en prendrait aux officiers d’un grade moindre.
    Des sanctions contre ceux-là ont déjà été prises : un colonel a été sorti de la liste de ceux pouvant être élevés au grade de général : on l’avait vu affronter les « Femen » (opposantes féministes dénudées) lors d’une manifestation. On enquête également sur un officier de réserve des forces opérationnelles lié au Printemps français et vu dans des manifestations. Le gouvernement compte sur la discrétion de ces serviteurs de l’État, l’armée étant « la grande muette », pour procéder à une épuration en douceur.
    Le gouvernement nourrit ses dossiers et propage dans la presse l’idée qu’il y a du complot militaire dans l’air. Il convient d’être vigilant face à un pouvoir qui est le plus anticatholique depuis les sombres heures du Petit Père Combes et qui compte le plus grand nombre de ministres francs-maçons.
    Le Bulletin d’André Noël
    Le Bulletin des Amis de l'Information Libre
    E-mail : banoel@wanadoo.fr

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Manif pour tous: la répression policière dénoncée à l’ONU

     

    Le Conseil des Droits de l’Homme, organisme interne de l’ONU, vient d’être saisi au sujet de la répression policière injuste et injustifiée exercée par le « pouvoir » socialiste, à l’occasion des manifestations contre la loi Taubira. Sale temps pour la Hollandie !
    Intervention complète de M. Grégor Puppinck, directeur du Centre Européen pour les Droits de l’Homme et la Justice, au Conseil des Droits de l’Homme à Genève lors de la 23ème session régulière, le 6 juin 2013. À visionner absolument !

     
    TEXTE INTÉGRAL
    Merci Monsieur le Président,
     
    Dans le cadre de l’Examen Périodique Universel, l’ECLJ souhaite attirer l’attention du Conseil des droits de l’homme sur des événements graves qui se produisent actuellement en France en matière de contrôles d’identités, d’arrestations et de détentions arbitraires ainsi que de violences policières.
     
    Depuis plus de huit mois, des millions — je dis bien des millions- de français manifestent pacifiquement dans toute la France pour défendre la famille et les droits des enfants contre une loi nouvelle qui crée un droit à l’adoption d’enfants et au mariage par les couples de même sexe. Ce mouvement social est le plus important en France depuis Mai 68.
     
    Plutôt que de tenir compte de ce mouvement, le gouvernement a menacé de l’interdire, il le réprime par l’usage abusif de gaz lacrymogènes contre la foule, par des violences policières, des arrestations et des détentions arbitraires par centaines, je dis bien — arbitraires et par centaines.
     
    Monsieur le Président, Du 24 au 26 mai, ce sont 350 personnes qui ont été interpellées (par la Police parisienne) et détenues en garde à vue jusqu’à trois jours durant. Sur ces 350 détenus, sept seulement ont été condamnés, très légèrement. L’arrestation des 343 autres était arbitraire et politique. En plus, des centaines d’autres personnes ont été arrêtés et retenus pendant plusieurs heures au prétexte de contrôles d’identités. Souvent, elles ont été arrêtées « au faciès », parce qu’elles portent ce vêtement marqué du symbole du Mouvement.
     
    À aucun moment, la légalité de ces arrestations n’a été contrôlée par un magistrat indépendant.
     
    Ces manifestants sont à présent fichés, leurs identités et empreintes sont conservées par la police. En outre, le gouvernement a ordonné l’identification dans l’armée des officiers proche du mouvement.
     
    L’ECLJ documente tous ces cas de répression : nous recevons de très nombreux témoignages, notamment de victimes de brutalités policières, y compris sur des enfants et des mères de famille.
     
    Monsieur le Président, cette répression doit cesser et être dénoncée. Elle démontre en particulier un dysfonctionnement grave des procédures de contrôles d’identité et de gardes à vues. L’ECLJ invite donc respectueusement le Conseil des Droits de l’Homme à se saisir de ces violations particulièrement graves pour un pays qui se targue d’être exemplaire dans le respect des droits de l’homme.
     
    Je vous remercie.
     
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=dRyXkhLZoBw
  • Relâchez les Hommens

    Communiqué :

    C’est avec stupeur et indignation que nous apprenons ce mardi 11 juin à 17 h 30 l’incarcération de 4 jeunes militants dits Hommens de la lutte contre la loi de dénaturation du mariage.

    Ils n’ont strictement commis aucun crime contre des biens ou des personnes. Ils ont seulement profité d’un lieu et d’une circonstance pour émettre leur protestation qui est aussi la nôtre.

    On ne peut que comparer cela à la complaisance des pouvoirs publics pour les actions violentes, racistes et christianophobes du groupuscule des Femens. Ces dernières notamment, on s’en souvient, avaient fait irruption à Notre-Dame de Paris, se rendant coupables de vols et de violences.  Elles ont été immédiatement relâchées, comme d’ailleurs après d’autres provocations.

    On mesure là l’effarante partialité du gouvernement Hollande-Ayrault-Valls-Taubira.

    Les soussignés appellent tous leurs adhérents et amis, et par-delà tous les Français, à manifester leur écoeurement devant ce déni de justice et leur soutien aux jeunes incarcérés.

     

    Signataires :

     

    • Bernard Antony, président de l‘AGRIF.
    • Daniel Hamiche, directeur de l’Observatoire de la christianophobie.
    • Vivien Hoch, Itinerarium.
    • Jeanne Smits, directrice de Présent.
    • Guillaume de Thieulloy, directeur de Riposte Catholique.
    • Michel Janva, Le Salon Beige
    • Abbé Guillaume de Tanouärn, directeur du Centre Saint Paul.

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Violences médiatiques

    On connaît l’importance disproportionnée accordée au fait-divers par les médias contemporains… Pour peu que celui-ci soit de nature politique et que la droite dite « extrême » soit susceptible d’être impliquée, c’est l’emballement immédiat ! Auto-programmé, en quelque sorte.
    La mort à Paris d’un militant d’extrême-gauche a été l’événement majeur de la semaine passée… Aujourd’hui, un événement chassant l’autre, le soufflet d’une indignation politiquement manipulée retombe et la chasse aux sorcières s’essoufle. Médiatiquement, en tout cas.
    À nouveau, et quelle que soit la réalité de ce qui s’est passé à la gare Saint-Lazare et la responsabilité des uns ou des autres dans cette échauffourée, remarquons à nouveau que les comptes-rendus « à chaud » des médias tout autant que les réactions du monde politique n’ont été ni très sérieux, ni vraiment dignes.

    Alors que les supposés agresseurs n’avaient pas encore été interpellés, on passait suivant les commentaires, d’un « guet-apens tendu à la victime » à une simple altercation, à la conséquence certes tragique, entre celle-ci et trois de ses amis d’une part et un autre groupe dont certains « auraient arborés » des tatouages à croix gammées…

    Tandis que le Front de Gauche où militait la victime appelait derechef à la dissolution des « groupuscules d’extrême-droite », Pierre Bergé tweettait sur la responsabilité de « l’immonde Barjot » – meneuse la plus médiatisée des Manifs pour tous – au mépris de tous les risques de poursuites pour insultes et diffamations que cela implique ; sa fortune, il est vrai, le met au-dessus des fâcheuses conséquences pécuniaires de toute condamnation future.

    Et bien évidemment, comme d’habitude, planait dans tous les commentaires la question de l’implication du Front national dans ce fait divers…  ne serait-ce que par la simple interrogation de la possibilité d’une infime ou majeure responsabilité de ce mouvement, auquel répondait l’écho évident, mais lourd de sous-entendus, que cette implication serait évidemment très difficile à prouver. Ça, on n’en doute pas !

    L’UMP, de son côté, a appelé à dissoudre tous les « groupuscules extrémistes », de gauche comme de droite… renvoyant ainsi tout ce qui n’est pas UMPS dos à dos au grand dam des humanistes de gauche qui se sont aussitôt étranglés de rage que l’on puisse mélanger les abhorrés « torchons fascistes » avec les héroïques « serviettes antifas ».

    Bref, des commentaires cent fois entendus, mille fois répétés, cent mille fois sans suite aucune, un million de fois creux et inutiles.

    Car les bagarres entre ennemis politiques, il s’en déroule chaque jour et pas seulement à Paris … Rarement mortelles, heureusement, car qui peut croire que tous les protagonistes aux motivations certes idéologiques de cette « mort stupide » à Saint-Lazare aient eu l’intention de tuer ? Qui pourrait s’imaginer un instant qu’une organisation puisse ordonner ou encore suggérer, voire simplement fermer les yeux sur des tentatives de meurtres d’« opposants politiques » par ses militants ? Le juge d’instruction n’a d’ailleurs pas retenu l’intention de tuer en mettant en examen, samedi soir, l’auteur présumé des coups mortels.

    C’est pourtant ce que médias et politiques n’ont cessé de marteler des jours durant, au mépris de toute vraisemblance. Mais plus c’est gros, plus ça passe… ou, finalement, plus ça indiffère !

    Cette « baston » entre groupes politiques opposés n’a pas été la première et ne sera pas la dernière… Les rixes entre militants de partis opposés jalonnent l’histoire de l’Humanité et les agressions, préventives ou en représailles, ne sont l’exclusivité d’aucun camp, d’aucune idéologie.

    Imaginons enfin que la victime ait été présumée « d’extrême-droite », les commentaires auraient-ils été aussi nombreux et unanimes ? Bien sûr ! Qui en douterait ?

    Philippe Randa  www.francephi.com.

  • Mariage tantouses : misère des lycées sous contrat… (avec la Franc-maçonnerie)

    Mardi dernier, quinze à vingt élèves d’un important lycée catholique de Toulouse s’étaient présentés en classe avec le fameux maillot représentant une famille, sans manifester pour autant ni sans être groupés. Ils se sont donnés le mot via Facebook car ils veulent réagir à ce qui leur semble «une injustice» : quelques jours auparavant, un camarade de première est venu en cours avec ce sweat-shirt et s’est vu contraint de l’enlever par la direction, condition sine qua non pour réintégrer sa classe.
    Grosse polémique entre l’établissement, les élèves et leurs parents, la direction. Celle-ci empêchant les jeunes d’aller en cours et menaçant même de les exclure… (source)

    C’est bien « le » directeur d’Albert le Grand

    Par ailleurs, beaucoup de catholiques bordelais risquent d’être surpris en découvrant les prises de position du directeur de Saint Albert Le Grand, établissement catholique sous contrat.

    Le 24 mai dernier, son directeur Bertrand Gaufryau publiait (avec « mgr » Jacques Gaillot) une tribune sur le site Huffingtonpost (dirigé par Anne Sinclair et très marqué à gauche), intitulée « Mariage gay: on n’arrête pas la marée qui monte ».

    Dans cet article caricatural aux arguments idiots, Gaufryau vantait la loi Taubira dans des termes que l’on croirait issus d’une association LGBT : « C’est un événement qui fera date dans l’histoire de notre pays et une avancée démocratique considérable. Ce projet fondé sur l’Amour et l’extension des droits de tous, n’en fait perdre aucun aux autres. Il n’est en aucune manière une menace pour les familles dites « normales », ni une régression pour la société et encore moins la fin de la civilisation ».   (source)

    http://www.contre-info.com/

  • Clément Méric, priez pour nous, pauvres pécheurs !

    Clément Méric, priez pour nous, pauvres pécheurs !
    Le jeudi 6 juin, à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Clément Méric, 19 ans, est mort des suites d’une bagarre dans le quartier Havre-Caumartin à Paris (IXe arrondissement).

    Des rixes semblables, la France d’aujourd’hui en est coutumière, au point que l’opinion s’en émeut de moins en moins. La mort de Clément Méric fut néanmoins l’événement enfin trouvé pour recouvrir la France de sirop dissolvant, une sorte de lâchage de bonde livrant les ondes à la logorrhée politiquement brevetée. Les chiens n’en pouvaient plus : la « manif pour tous » aiguisait déjà leur appétit de viandards, ils étaient sur la défensive, ils sentaient que les choses pouvaient leur échapper. Et puis cette divine surprise : un skin, un facho, un nazillon massacre un Résistant. Frissons sur les épidermes des assis… On a pleuré en direct, sur le petit écran, et on a manifesté, on a hué ces imbéciles de droitards, croyant que les temps héroïques du Conseil National de la Résistance était revenu. Au lieu des F.F.I. et F.T.P., n’étaient réunis, pour le coup, que de minables histrions, intermittents d’un spectacle médiatique depuis longtemps passé comme un navet démodé.

    Résistant, avec un grand R

    Les étudiants de Sciences – Po, ce haut lieu de l’intelligence servile, l’endroit probablement le plus américanisé, le plus intoxiqué, le plus emberlificoté de propagande et de mensonges de notre pays, où l’on a substitué à notre langue le globish, le baragouin des maîtres de l’heure, où l’on a remplacé l’esprit critique par l’esprit de service, les penseurs véritables par des antifa de démonstration, ont entonné Le Chant des Partisans. D’aucuns se prennent facilement pour Jean Moulin, qui chieraient devant une baignoire gestapiste, et renient, en 2013, les valeurs patriotiques, nationales, françaises, des réfractaires à l’Occupation. L‘Occupation ? Nous y sommes. Comme dit Michel Serre, il y a plus de panneaux et d’enseignes en anglais, à Paris, qu’il n’y en avait en allemand du temps de la Kommandatur. Ces types, qui ont pour les Rebelles, en Syrie comme en Libye, les yeux de Chimène, qui soutiennent les FemHaine manipulées par la C.I.A., qui manifestent toutes les indulgences envers l’État raciste israélien, n’ont pas d’autre occupation, en bons fils de soixante-huitards et d’ectoplasmes boursouflés, gazéifiés par les vapeurs sous-américaines, plus délétères que le gaz sarin, que de soutenir les combats sociétaux du Système et d’agonir d’insultes les signes de notre identité. Esteban, lui, né en Espagne, loyal, fidèle au pays qui l’a accueilli et adopté, arborait un maillot de corps où s’affichait l’inscription « 100 % Français »… Il n’en fallait pas plus pour déchaîner la fureur de ces êtres qui se disent si ouverts !

    « Clément, militant, de gauche… », titrent certains médias attendris, histoire de faire pleurer Margot. On ne dit jamais, dans les rédactions, « extrême gauche ». L’extrémisme n’est réservé qu’à la droite.

    Il est infiniment dommage que le Front national ait abondé dans le sens de ce flot merdeux, sans prendre le soin de peser les faits, sans attendre l’élucidation des circonstances de l’agression, jusqu’à demander, comme la presse dominante, la « dissolution des groupes radicaux ». Tout le monde n’a pas le courage et la clarté de Serge Ayoub ! La politique est une hygiène, mais elle devient un poison lorsqu’on abdique devant l’opinion orientée des puissants du jour. Certaines erreurs tuent plus que des mensonges.

    Haro donc sur le baudet ! On n’y regarda pas de plus près, le coupable était presque parfait : crâne rasé, nationaliste, errant en meute, comme les loups. Sans doute un peu moins innocent qu’un âne broutant quelque lopin de gazon. Sa violence était dès lors, par essence, à peine concevable, un S.S. déchaîné, une bête immonde que le ventre encore fécond avait conçue.

    En face, un ange, un héros dont l’apothéose médiatique ferait rougir de platitude les thuriféraires d’empereurs romains, ou les producteurs de petits saints. « Un visage […] poupin, les cheveux soigneusement coiffés, la chemise à carreaux impeccablement boutonnée », nous dépeint Le Monde, dans sa rubrique consacrée aux « Légendes dorées ». Le proviseur du lycée de Brest d’où ce « jeune plein de talents » est issu renchérit : « Un élève brillant, je dirais même un élève modèle. On ne décroche pas un bac S avec mention bien, pour ensuite intégrer Sciences – Po Paris par hasard… [on veut bien le croire]. » Il était « courtois et respectueux des autres, pleinement engagé dans les instances du lycée, en tant que délégué ou représentant des élèves. Il était particulièrement éloquent et on sentait en lui l’âme d’un jeune homme capable d’endosser des responsabilités ». Et c’est bien-là le malheur de notre pays, de notre époque, de notre « élite », qu’ils ne soient plus capables de produire que ces spécimens, souvent fils de profs, comme Méric, issus comme lui des classes moyennes, formatés, conditionnés, imprégnés, comme des éponges, de cette mélasse idéologique prodigués par nos établissements scolaires, lesquels ne retiennent des Lumières que la foi dans un progrès depuis longtemps discrédité, et un mépris profond pour le peuple, pour la France d’en bas, les pauvres, les laissés pour compte du libéralisme, livré aux turpitudes du marché du travail et au chaos ethnique. Des Méric, on en voit des légions, pendouillant leur bonne conscience de nantis du Système à leurs slogans haineux, s’enivrant comme des sots de grands mots ronflants pour masquer la bassesse de leurs agressions grotesques de petites frappes, quand ils ne sont pas guidés, tels des pantins, par les services de police.

    Des idiots bien utiles

    Méric aurait été « tué pour ses idées », paraît-il. Quelles « idées » ? Le chien de Pavlov avait-il des « idées » ? Les borborygmes idéologiques que déglutit le gros ventre mou de l’École et des médias, unis dans un même combat d’abrutissement et de démoralisation de la nation, sont-ils autre chose que des renvois stomacaux que la grosse société marchande produit, avec ses déchets aussi universels que ses droits de l’homme ?

    Clément Méric « n’était pas un bagarreur, ni un monstre de guerre », clament ses comparses. Que faisait-il alors, à « chasser du skinhead », à guetter la sortie, avec quatre de ses acolytes, ces trois jeunes, dont une femme, qui ne demandaient pas mieux, selon les témoins, que d’éviter la bagarre ? Il s’est peut-être trouvé, par hasard, au milieu des coups ?

    On ne peut sans doute pas nier une part de courage chez Clément Méric. Soit. Mais il a lui-même choisi la voie de la violence, et il n’est pas certain qu’il n’eût, parfois, sinon toujours, souhaité la mort de ses ennemis, les prétendus fascistes. Il était lui-même, du reste, un maillon de cette immense chaîne qui emprisonne notre pays, et l’étouffe. Internationaliste, égalitariste, démago, haineux par rapport aux racines, aux identités, son combat était destructeur, et visait à jeter le peuple dans l’errance et le désespoir. Si les antifa avaient un peu de dignité, ils arrêteraient de pleurnicher, et de crier au scandale. Méric est mort comme il a vécu, dans la haine. Paix à son âme, mais guerre à ses pareils.

    Laissons l’enquête (si elle est sincère et loyale) suivre son cours. Il n’est pas inutile aussi, pour notre honneur, et pour tenter de sortir le jeune Esteban de la situation malheureuse où il s’est empêtré, de le soutenir, parce qu’il est notre camarade, et parce qu’il est victime. Car le Système ne lui fera pas de cadeau.
    Claude Bourrinet http://www.voxnr.com