
Il y a un affolement palpable avant l’investiture de Donald Trump. L’Ukraine, le Moyen-Orient, Taïwan, les rapports à l’énergie, au commerce, vont changer et les principaux pôles économiques semblent se préparer à une forme d’onde de choc. Mais en particulier dans le petit monde du transgenrisme qui a entendu le président élu expliquer qu’il allait mettre fin à cette folie très récente et revenir à la nature : deux genres seulement : garçon et fille. Il joue ce faisant sur du velours, la très grande majorité de la population occidentale lui emboîtant le pas. Terminé les parents 1 et 2, retour au père et à la mère, comme en Russie d’ailleurs, fin de cette ambiguïté sexuelle en forme de nouvelle qualité, fin des généraux américains en jupon, fin des sportifs hommes inscrits chez les femmes, fin des concours de miss avec des femmes nées hommes et ainsi de suite…