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lobby - Page 46

  • Les élites contre le peuple ou de deni de démocratie

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    Alexandre Devecchio

    Ecoutez ce que votre peuple vous dit », a lancé le vice-président américain aux Européens à Munich. JD Vance a pointé le recul de la liberté d’expression en Europe, mais aussi la coupure entre les dirigeants européens et les aspirations populaires. Le moins que l’on puisse dire est que son discours a divisé aussi bien la classe politique que les observateurs. Certains y ont vu une ingérence inacceptable dans les affaires européennes. D’autres, un plaidoyer pour la démocratie.

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  • L’USAID a versé 472 millions de dollars à un groupe de censure des médias soutenu par Soros

    L’USAID a versé 472 millions de dollars à un groupe de censure des médias soutenu par Soros

    Les révélations s’enchaînent sur l’USAID.

    Selon un récent rapport de Wikileaks, la très controversée Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a alloué plus de 472 millions de dollars à un média international à but non lucratif qui promeut des récits de gauche et soutient la censure de ce que l’on appelle la « désinformation ».

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  • Cabale judiciaire et médiatique contre Frontières (ex livre Noir). Erik Tegnér : « La presse de gauche bénéficie d’un traitement bien plus indulgent que celle de droite » [Interview]

     Depuis plusieurs semaines, le journal Frontières fait face à une offensive judiciaire et médiatique sans précédent. Son dernier numéro papier, consacré à l’analyse des décisions des tribunaux administratifs sur l’immigration clandestine, a déclenché une avalanche de critiques et de menaces, notamment de la part du Conseil National des Barreaux et de plusieurs avocats spécialisés dans la défense des étrangers en situation irrégulière.
     

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  • Panique à l’Élysée : les tocards avec Macron pour un dîner de cons

    Fripounette qui se trimballe Pustula en Inde et en Chine, était furieux contre Trump qui n’a pas voulu inviter sa bonne copine. Parce que l’UE n’est pas un pays, et que personne n’a élu cette grognasse. Il s’est vengé en faisant accueillir Vance aux marches du palais par un majordome gay, ce qui a eu l’air d’amuser beaucoup le vice-président. Les caprices de Macronescu sont mondialement connus et traités par le mépris.

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  • [Info BV] Des boutiques pour contester son OQTF ! Le business de l’immigration

    © BVoltaire
    © BVoltaire
    « Bénéficiez d’un accompagnement fiable pour toutes vos démarches. » Dans le XIXe arrondissement de Paris, à quelques pas de la Villette, une boutique insolite vient d'ouvrir ses portes. Installée dans les anciens locaux d’un établissement bancaire, Pôle Démarches propose à ses clients une assistance dans leurs démarches administratives, notamment et surtout en matière... d’immigration. « Titre de séjour, naturalisation, OQTF » représentent les principaux dossiers traités par ce cabinet « d’experts spécialisés dans le droit de l’immigration » qui possède déjà une antenne à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne). Alors qu’ils découvrent ce nouveau commerce, certains riverains expriment auprès de BV leur inquiétude. D’autres se disent surpris de voir une telle boutique ouvrir ses portes.

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  • [MÉDIAS] Un documentaire orienté sur les banlieues efface les ouvriers français

    Mohamed Bouhafsi. © Capture d'écran France 5
    Mohamed Bouhafsi. © Capture d'écran France 5
    « La banlieue, c’est le paradis ». Le titre du documentaire de Mohamed Bouhafsi à découvrir - ou pas - mardi 18 février, à 21h10, sur France 2 se veut un brin provocateur. « Mon but, c'est qu'il interpelle », explique le jeune homme, bien connu des téléspectateurs depuis qu’il officie dans l’émission C à vous, sur France 5. L’idée est de tordre le cou aux clichés sur les quartiers dits « populaires ». « Quand on regarde la télévision, on a l'impression que la banlieue, ce sont des scènes de combat, des fusillades et des émeutes. En réalité, dans 99 % des cas, ce ne sont pas des zones de non-droit. On n'est pas à Tijuana », insiste la natif d'Oran qui a grandi dans le 93.

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  • La démocratie sans le peuple, ce mal français et européen

    La démocratie sans le peuple : l’hérésie des Européistes est enfin dénoncée ! Le 14 février, Jacques Attali, symbole de la caste prolophobe, écrivait encore sur son blog préférer « la démocratie des juges » à « la dictature des élus ». Or le même jour, à Berlin, le vice-président des Etats-Unis, J.D. Vance, a stupéfié les participants à la Conférence sur la sécurité en accusant les dirigeants européens : « Il ne faut pas avoir peur de son propre peuple ! ». La leçon de démocratie, venant des Etats-Unis et d’un proche de Donald Trump, a été vue comme une ingérence, notamment par le RN.

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  • Les universitaires britannniques et leur rôle dans le fiasco ukrainien

    Alors que Macron est en train d’essayer de négocier la poursuite de la vassalisation de l’Europe, en tentant de faire un peu monter les prix auprès du maître étasunien qui méprise totalement cette bande de bricoleurs avides de dollars, les révélations tombent sur pire si faire se peut que Macron, il y a les Britanniques qui n’ont cessé d’œuvrer pour attiser la guerre en Ukraine sous une forme ouvertement terroriste. Notez le rôle de l’université, quand l’on voit la manière dont sur les plateaux de télévision sont recrutés en couple avec des retraités haut gradés de l’OTAN, on mesure la manière dont dans toute l’Europe a été depuis la guerre froide développé des «spécialistes» dont les crédits et les publications sont entièrement dépendants des fonds de la CIA et d’autres services. Fort heureusement il existe au contraire une tradition d’universitaires qui en matière historique et anthropologique, en particulier à Cambridge, d’un tout autre niveau, mais c’est sur les premiers que ça «ruisselle», le plus extraordinaire c’est quand l’Université d’été du PCF recrute un de ces agents pour soutenir également la guerre contre «Poutine»… ou quand ils sont embauchés à l’Humanité comme pigistes ou responsable du secteur international. Le pire de ces gens-là n’est pas leur conseil mais leur implication directe y compris par le récit fictif qu’ils nous ont et continuent à nous balancer pour entretenir la guerre dans une opinion publique qui n’en veut pas pour le plus grand malheur du peuple ukrainien qui ne voulait pas non plus et avait élu Zelenski pour qu’il fasse la paix.

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  • Un entretien avec Eric Zemmour sur le coup d’État judiciaire dans le JDD

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    Le JDD. Plus que la proximité de Richard Ferrand avec Emmanuel Macron à la tête du Conseil constitutionnel, c’est la continuité idéologique de l’institution qui, selon vous, entrave le politique, notamment sur l’immigration. Pourquoi ?

    Éric Zemmour. Richard Ferrand va succéder à Laurent Fabius. Un socialiste en remplace un autre. Comme toujours. Le Conseil d'État est aussi dirigé par un socialiste, M. Tabuteau. La Cour des comptes ? Un socialiste, M. Moscovici. Partout, les grandes institutions judiciaires sont entre leurs mains. La vraie question est ce qu’est devenu le Conseil constitutionnel. Il est aujourd’hui l’épicentre du gouvernement des juges. Il ne se contente plus d’interpréter le droit, il fait la loi. Il s’est arrogé un pouvoir qui n’était pas le sien, il a court-circuité l’exécutif et muselé le législateur. De Gaulle ne l’avait jamais voulu. Michel Debré l’avait dit sans ambiguïté : le Conseil constitutionnel n’a pas le droit de juger une loi sur le fond. Or, depuis plus de cinquante ans, il viole cette règle fondamentale. Le Conseil constitutionnel fonctionne sur un coup d’État.

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  • Centre Pausa pour migrants à Bayonne (64) : l’État, manquant à ses obligations d’hébergement, est condamné à verser plus de 800.000€ à l’Agglomération. Cette somme ne correspond qu’à la seule année 2019

    Ouvert fin 2018 dans un ancien bâtiment de l’armée appartenant à la Communauté d’agglomération Pays Basque (CAPB), Pausa a, depuis, accueilli pas loin de 40 000 migrants sur la route de l’exil. Selon la CAPB qui en assure le fonctionnement, le centre lui coûte environ un million d’euros chaque année, une charge qu’elle ne souhaite supporter seule. Voilà pourquoi, en 2019, la collectivité se tourne vers les tribunaux afin de contraindre l’État français à mettre, lui aussi, la main au pot. Après un feuilleton judiciaire de six ans, la cour administrative d’appel de Bordeaux vient de lui donner raison.

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