Dégoulinant de moraline anti-populiste, Darius (1) n’est peut-être pas celui que vous croyez.
Voici comment une enquête (2) de trois journalistes du Temps (3), Boris Busslinger, Célia Héron, Sylvia Revello, présentait le Monsieur propre de LCI :
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Dégoulinant de moraline anti-populiste, Darius (1) n’est peut-être pas celui que vous croyez.
Voici comment une enquête (2) de trois journalistes du Temps (3), Boris Busslinger, Célia Héron, Sylvia Revello, présentait le Monsieur propre de LCI :

Pour une raison très simple, celle de “leur morale et la nôtre” rappelait Léon Trotski consistant à nier toute démocratie y compris en leur rang ; ce qui déplaisait à la naïve Rosa Luxembourg croyant à la théorie des stades dialectiques le dernier portant au plus haut les acquis civilisationnels atteints par le précédent : esclavagisme, féodalisme, capitalisme, socialisme, communisme.

Le progressisme est un champ de ruines. Aucune idée ne sort plus de ses universités d’été, sauf pour qualifier d’ extrême droite la société civile quand elle critique l’oligarchie mondialiste au pouvoir. De Jean-Luc Mélenchon à Emmanuel Macron, une même caste persiste à imposer, au nom d’un militantisme universaliste, une société ouverte et déracinée. Les protestataires sont relégués dans la fachosphère, selon le procédé stalinien du terrorisme intellectuel et de la traque aux dissidents. Or la force des réalités oblige à constater les désastres de ces idéologies socialistes, antiracistes, postnationales.
Le tribunal administratif de Ludwigshafen a récemment confirmé l’interdiction de candidature de Joachim Paul, député régional de l’AfD en Rhénanie-Palatinat. Cette décision, qui pourrait sembler ponctuelle, s’inscrit en réalité dans un schéma beaucoup plus inquiétant : l’État allemand utilise la justice et ses institutions pour neutraliser ses opposants politiques. A chaque recul démocratique, nous croyons qu’il est unique et définitif. Pourtant, il n’est ni le premier ni le dernier. Partout en Europe, la démocratie régresse, non à cause de l’extrême droite, mais des élites libérales, démocrates et humanistes. Elles prônent des valeurs qu’elles n’appliquent jamais, surtout envers leurs adversaires. Le motif invoqué, des « doutes » quant à sa loyauté constitutionnelle, repose sur le rapport des services de protection de la Constitution, organisation soumises aux directives gouvernementales. Un rapport administratif devient ainsi une arme pour museler un député légitimement élu.

À Royère-de-Vassivière, petite commune de la Creuse près d’un grand lac artificiel très fréquenté l’été, un événement vient de se produire qui en dit long sur l’inversion accusatoire pratiquée avec décontraction par l’ultragauche et ses violents protégés de la diversité, suivant le modèle LFI qui voit l’innocence là où il y a le crime et inversement, selon la couleur de peau des bourreaux et des victimes.
Ce n’est pas parce que la France va mal que nos dirigeants devraient être anxieux.
Bien sûr, ils ont (pour certains fort confusément) compris que la situation est catastrophique, et certains se doutent que les jours de la République sont comptés mais ce n’est pas une raison pour se laisser abattre : il reste manifestement quelques mois, quelques années peut-être, pour en profiter largement.

« Les soins de santé sexuelle et reproductive, y compris le service postnatal et celui de planification familiale sont devenus très limités pour 155.000 femmes enceintes et allaitantes » à Gaza.
C’est ce que rapportait de façon officielle, le 5 novembre 2024, le service d’information de l’ONU, se référant à l’Agence des Nations Unies en charge des questions de santé sexuelle et reproductive (UNFPA).
Ainsi, il se trouve que 155.000 femmes étaient enceintes et donc allaient donner naissance à des nouveau-nés gazaouis ou avaient des bébés qu’elles allaitaient.