Il arrive que la vérité se retire du monde, comme une mer en reflux. À l’origine de ce reflux, il y a parfois une intention. La proposition de loi déposée par des députés de gauche et écologistes, dont Sandrine Rousseau et Clémentine Autain, visant à « réfléchir » à la place des faits divers dans les médias publics, n’a rien d’anodin. Il signe le retour d’une vieille tentation totalitaire : contrôler non seulement ce que l’on pense, mais ce que l’on a le droit de savoir.
lobby - Page 45
-
Affaire Cottineau (LFI). Blackout sur les faits divers : la gauche à l’assaut du réel
-
CRIF, Licra, SOS Racisme, centre LGBTI+, etc. Aurore Bergé annonce davantage de subventions et de pouvoirs à une coalition d’associations chargée de surveiller le net et qui pourront saisir directement l’Arcom

Ces associations vont «pouvoir signaler» les contenus haineux de façon «à ce qu’ils soient retirés de manière beaucoup plus rapide». Cela concerne les discours à caractère antisémite, raciste, anti-musulmans, homophobe, misogynes… Désormais, les associations seront «en lien direct avec l’Arcom, l’autorité de régulation, de manière à ce qu’elles soient prioritaires».
-
La loi Énergie de retour au sénat : l’éolien menace LR d’implosion en vol
-
Pourquoi Mélenchon et les gauchistes déconstruisent-ils la culture et la langue française ?

Cosmopolitisme vient du grec cosmos = monde et polites = citoyen. Le cosmopolitisme est un politique lié au culte du Cosmos. Le cosmopolitisme est la conscience d’appartenir à l’ensemble de l’humanité, il fond le particulier dans un Tout. Le cosmopolitisme consiste à se comporter comme un membre de la communauté mondiale, et non comme un citoyen d’un Etat. L’homme cosmopolite est citoyen du monde. D’autre part, l’Occident est dénoncé comme la civilisation du Père, terme qui vise le Dieu de la Bible. Les gaucho-mondialistes s’engouffrent dans ces créneaux pour réaliser leur œuvre de destruction de la langue française et de la nation.
-
Combat anti-éolien : lorsque la bien-pensance s'empare de combats qui la dépassent...
Samedi dernier, à Morlaix (Finistère), était organisé un rassemblement contre l'implantation d'un parc éolien dans la magnifique baie voisine. Louable initiative à laquelle, avec quelques amis trégorois, nous avions décidé de nous joindre avec enthousiasme. Je rappelle que depuis une dizaine d'années, Synthèse nationale, qui a publié en 2017 le premier livre sur le sujet, "Éoliennes, un scandale d'État" d'Alban d'Arguin cliquez ici, dénonce sans relâche cette escroquerie écologiste à la dimension planétaire.
-
Une poseuse de bombes a fait couler en Algérie le sang français : la France l’honore !
-
Villes les plus criminelles d’Europe : sept communes françaises dans le Top 20
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, insécurité, lobby 0 commentaire -
Patrick Jardin : Christine Kelly voulait m’inviter sur CNews : à cause de l’Arcom, impossible !

Le 26 juin, un SMS sur mon portable : « Bonjour c’est Christine Kelly ; accepteriez-vous de venir dans mon émission ce soir à 19 h 50 ? ». Et elle me laisse son téléphone. Étant d’un naturel méfiant, je m’assure auprès de mon ami Éric Zemmour que ce numéro de portable est bien celui de la ravissante Christine Kelly, car il est très rare que je sois sollicité de la part de journaliste de sa trempe. Je n’ai pas envie de me retrouver dans un traquenard à Paris. De nos jours nous ne sommes jamais trop prudents, surtout vu mes positions sur l’islam et les différentes menaces que j’ai déjà subies !
-
[POINT DE VUE] Quand Danièle Obono ose parler de la… neutralité de LFI
-
Tour de passe-passe ou réforme sérieuse ? Le Sénat lève le voile sur la jungle des agences publiques
Un État dans l’État ? Derrière cette formule choc se cache un rapport sénatorial aussi explosif que nécessaire, rendu public début juillet après cinq mois d’enquête minutieuse sur les agences et opérateurs de l’État. Ce travail, piloté par la sénatrice Christine Lavarde (LR) et présidé par Pierre Barros (PCF), fait l’état des lieux d’un univers tentaculaire souvent ignoré du grand public mais dont les coûts, les chevauchements de mission et l’opacité pèsent lourdement sur les finances publiques.
