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Voici, traduite en français, une intervention de Maria Zakharova
1/-« Le chancelier allemand Olaf Scholz a fait la déclaration suivante lors du Forum économique mondial de Davos : « En Europe et en Allemagne, nous avons la liberté d'expression. Chacun peut dire ce qu'il veut. Même s'il est milliardaire. »
Le nouveau plan démographique de la Commission européenne, présenté par Dubravka Šuica, est vivement critiqué par les eurodéputés conservateurs. Ces derniers accusent l’Union de privilégier l’immigration au détriment des politiques familiales nécessaires pour sauvegarder l’identité culturelle européenne.
Tour à tour, les deux présidents américain et argentin ont présenté et déroulé leur discours pour clamer que l’idéologie de l’agenda 2030 de Davos était morte. En moins de quatre jours, Trump a bouleversé les États Unis, mis fin au mondialisme, au wokisme, à la suprématie démocrate et à l’aide militaire aux pays étrangers. Ces deux réquisitoires sont dans la continuité du discours de Trump à l’ONU qui avait déclaré lors de son premier mandat que le globalisme était terminé et laisserait la place aux nations souveraines.
Avec l’investiture du président américain, un vent ébouriffant de témérité semblait souffler, cette semaine, à droite. Comme si on avait enfin compris, en France aussi, jusque chez LR, que le parler vrai sans ambages d’un Trump, d’un Milei ou d’une Meloni était la clé de la réussite. La preuve par deux événements :
La « révolution du bon sens », dont s’est réclamé Donald Trump lundi dans son discours d’investiture, est une hérésie pour les idéologues au pouvoir, emmurés dans leurs croyances. Cette rupture blasphématoire s’annonce néanmoins historique. Elle a pris pour cible, dans l’immédiat, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et les Accords de Paris sur l’urgence climatique, qualifiés d’ « escroqueries » par le président des Etats-Unis. Vont être remises en question, spectaculairement cette fois, les affirmations « scientifiques » prédisant l’apocalypse sanitaire ou climatique si les peuples ne se soumettent pas aux normes et aux vérités d’organisations supranationales. Jusqu’à présent, la contestation de cette politique anxiogène était abaissée à l’étiage du « complotisme ».
Cependant, lorsque l’on affirme que la Terre a déjà connu cinq cycles de changements brusques de température et que, dans quatre d’entre eux, l’homme n’existait même pas, on nous traite de « terraplanistes » afin de discréditer nos idées, sans tenir compte du fait que la science et les données sont de notre côté.
La porte-parole de la diplomatie russe a réagi le 21 janvier aux déclarations faites à Davos par Olaf Scholz concernant la liberté d’expression en Allemagne. La diplomate a notamment mis en avant le cas des médias russes dont les activités ont été restreintes dans le pays.
Le cas du Havre évoqué sur une radio d’information. La ville d’Edouard Philippe est devenue la porte d’entrée de la drogue en Europe, avec des pratiques qui confinent à celles d’un pays en voie de développement : intimidation et meurtre de dockers, pression sur des témoins à charge en plein tribunal. Et la cadre de la lutte, quand on lui demande le profil des contrevenants, se perd en paraphrases : « Le profil habituel », « des profils importants pour les services de police et de justice »… mais encore. On n’a pas le droit. Et Piolle, le maire de Grenoble, l’un des premiers concernés, enchaîne sur le même sujet, alors que sa ville est devenue un genre de Chicago, où il ne maîtrise plus trop la situation. Il paraphrase lui-aussi : il peut encore aller partout, mais le dialogue est devenu difficiles dans certains endroits, où justement, sévissent les dealers. Mais selon Piolle, il n’y a pas de coupable, il n’y a que des jeunes « fracassés », des familles « éplorées », des services sociaux qui n’ont pas fait leur travail, ou qui peinent, faute de subsides… ben voyons. Des coupables ? Oui, les grands cartels de la drogue, en fait personne donc, c’est loin, c’est impalpable, un cartel international. Que propose-t-il ? La légalisation. Ben voyons, encore une fois. Pendant qu’il y est il peut aussi proposer la légalisation du viol et du meurtre, ça évitera que les services de maintien de l’ordre se cassent la tête. Lui non plus ne nomme pas, parce que c’est impossible légalement, même si tout le monde a compris de qui on parlait. On mesure à quel point l’État s’est donné tout seul des contraintes destinées à éviter que l’on nomme les gens, les coupables… et cela profite largement aux voyous, qui savent qu’on ne les nommera pas et que leur faute sera répartie sur l’ensemble de la population, par correction politique.
“Le changement climatique” a été identifié : il s’agit d’un homme de 28 ans originaire de Reseda, vêtu d’un sweat à capuche noir et tenant un briquet et des allumettes. – Peach Keenan
« La vie imite l’art », disait Oscar Wilde, un aperçu très perspicace de la condition humaine sous la forme d’une plaisanterie. Très hollywoodien. Dommage qu’il n’y avait pas de talk-show de fin de soirée à l’époque d’Oscar. Il aura fallu attendre plus de quatre-vingts ans, mais l’incendie apocalyptique de Los Angeles décrit au point culminant du roman de Nathanial West, Le jour de la sauterelle, paru en 1939, est enfin arrivé : la ville des rêves s’est transformée en un gigantesque cauchemar flamboyant. Les répercussions de ce fiasco assombriront notre vie nationale pendant des années.