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lobby - Page 804

  • Comment la France s’est laissée désarmer, par Ivan Rioufol

    Mais qu’ont-ils dans les yeux ? Cela fait quarante ans que les “élites” ne voient rien de l’immigration de masse, de l’islam guerrier, du séparatisme ethnique. Quarante ans qu’elles n’entendent rien des inquiétudes de ceux qui vivent ces réalités au quotidien. Jeudi dernier, c’est au cœur de la Préfecture de police de Paris qu’un “habilité secret-défense“, adepte du djihad, a assassiné au couteau quatre policiers avant d’être abattu. Le premier commentaire du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a été pour assurer que Mickaël Harpon, converti à l’islam en 2008, “n’avait jamais présenté de difficultés comportementales“, ni “le moindre signe d’alerte“. En réalité, l’islamiste s’était réjoui, en 2015, de l’attentat contre Charlie Hebdo devant deux de ses collègues.

    Il fréquentait quotidiennement la mosquée salafiste de Gonesse (Val-d’Oise), dont un des imams était fiché S. Il ne serrait plus la main des femmes. Sa radicalité aurait dû alerter le service antiterroriste qui l’employait comme informaticien. Castaner a parlé d’un “dysfonctionnement de l’État”. Mais seule l’idéologie aveugle à ce point.

    Ce que subit le pays sidéré est le résultat d’années d’endoctrinements sur la diversité heureuse et la nation fautive. Il est impensable qu’aucun policier n’ait vu la dérive de cet agent administratif, un Martiniquais handicapé embauché en 2003. Le choix de préserver ce fonctionnaire a été pris sous l’influence diffuse de considérations promues par la pensée officielle : ne pas discriminer, ne pas stigmatiser, respecter les différences, combattre le racisme, lutter contre l’islamophobie.

    Autant de valeurs “humanistes” qui, appliquées sans discernement, peuvent désarmer un service de police, mais aussi un gouvernement et un État. Les droits de l’homme sont paradoxalement devenus les alliés des islamo-fascistes. Ils trouvent aussi, auprès de juges et de journalistes, une abondance de collaborateurs. Ces idiots utiles préfèrent sonner l’alarme contre l’extrême droite. Mercredi, un néonazi a tué deux personnes, aux abords d’une synagogue en Allemagne. Mais ce n’est pas l’extrême droite, en tout cas, qui assassine en France.

    Mardi, lors de l’hommage rendu aux quatre policiers, Emmanuel Macron a appelé la nation à “faire bloc”, dans un “combat sans relâche” contre le “terrorisme islamiste“. Faut-il croire celui qui a fait du politiquement correct la langue officielle de la macronie ?

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 10 octobre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • I-Média n°267 – Attentat islamiste à la préfecture : les médias en mode autruche !

    L’image de la semaine
    La censure contre Eric Zemmour franchit un nouveau cap après que des annonceurs aient annoncé leur volonté de supprimer leur publicité des chaînes soutenant le journaliste et écrivain de droite.

    Attentat islamiste à la préfecture : les médias en mode autruche !
    Alors que le caractère islamiste de l’attaque ne faisait aucun doute, les médias ont préféré surjouer la prudence… Désormais, ils font semblant de découvrir le problème de la radicalisation…

    Revue de presse
    Il y en aura pour tous les goûts dans la revue de presse cette semaine avec notamment une énorme auto-censure de France 3 qui n’a pas assumé d’avoir publié une grosse Fake News sur l’incendie d’une église à Grenoble.

    Manif anti-PMA : la mauvaise foi des médias
    Les médias ont tout fait pour minorer le succès de la manifestation des opposants à la loi bioéthique. Le Monde et Quotidien ont notamment démontré leur incompétence.

    Coup de chapeau
    Dans le silence médiatique, la Nouvelle Librairie a une nouvelle fois été la cible d’une attaque par des militants d’extrême gauche.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n267-attentat-islamiste-a-la-prefecture-les-medias-en-mode-autruche

  • Nutella contre Zemmour : la pâte à tartiner du politiquement correct

    Nutella a décidé de supprimer ses plages publicitaires pendant l’émission hebdomadaire de Paris Première « Zemmour et Naulleau ». Cette asphyxie d’un grand média, pour raisons politiques, par un groupe industriel et financier, est une première. La censure anti-Zemmour pourrait s’étendre à tous les autres grands médias. Elle pourrait être pratiquée par tous les autres groupes industriels et financiers. Déjà sont annoncés les boycotts anti-Zemmour de la MAIF, Groupama, Monabanq. Et qui après Zemmour ? Bellamy ? Brunet ? Lucchini ? Messiha ? (Pour ce dernier, c’est déjà fait.)

    Ce qui se passe actuellement est un phénomène absolument inédit dans l’histoire de notre pays, et même au-delà : la mise en place d’une dictature capitaliste, d’une authentique ploutocratie qui s’affiche comme telle, un régime où la puissance économique et financière devient seule décisionnaire pour le droit à l’expression dans le domaine politique, culturel et social.

    Certes les puissances d’argent n’ont jamais joué un rôle négligeable dans la vie politique française. Mais Nutella, c’est-à-dire le groupe Ferrero, groupe italien comptant 33 000 salariés et pesant 10 milliards d’euros, est allé là où personne n’avait osé aller : couper les vivres à une chaîne d’information, Paris Première, pour l’obliger à licencier Eric Zemmour. Immédiatement le groupe MAIF (3 milliards de chiffre d’affaires), Groupama (14 milliards de chiffre d’affaires), Monabanq (27 milliards de chiffre d’affaires) lui ont emboîté le pas. Une digue réputée infranchissable a été rompue.

    Rien d’autre que de l’ultracapitalisme

    Nous avons donc une coalition de grandes entreprises qui entendent dorénavant peser sur ce que les Français ont le droit d’entendre ou non. Et parce que la personne visée est marquée à droite, tout le camp de la gauche, et de la gauche de la gauche, sans parler du camp progressiste, trépigne de joie, ne réalisant pas vraiment que, grâce à sa campagne anti-Zemmour, elle déroule un tapis rouge à ce qui n’est rien d’autre que de l’ultralibéralisme, de l’ultracapitalisme, comme jamais la France et la planète n’en ont connu.

    Car quelle est la motivation de ces entreprises multinationales, dirigées par des milliardaires ? Il peut y avoir la peur d’un boycott par l’extrême gauche, l’idée que, sur les réseaux sociaux, une mauvaise réputation pourrait leur coûter quelques points de croissance. Mais l’e-réputation et la réputation tout court sont bien plus affectées par un accident industriel comme Lubrizol ou par des affaires à la Carlos Ghosn que par des publicités passées sur une chaîne qui donne la parole à Zemmour.

    Mais il y a sans doute d’abord le fait que les directions de ces entreprises, qui raisonnent en marché mondial, qui rêvent de délocalisations faciles, et dont les charges sociales tirent profit de l’immigration massive, veulent défendre leurs intérêts. Et leurs intérêts, c’est de supprimer les frontières, et de développer toujours plus de mobilité planétaire.

    Le nouveau capitalisme qui se dessine, avec cette stupéfiante immixtion publique de grands acteurs économiques dans la sphère politique, ne prend plus ses repères à Londres ou Washington, mais à Pékin : immense liberté capitalistique et total verrouillage de la liberté d’expression.

    Les Chinois ont tiré profit de ce modèle ces quarante dernières années. Mais Hong-Kong semble montrer que le système a ses limites. Il n’y a pas de raisons que les Français soient davantage enclins que les Chinois à avaler l’écœurante pâte à tartiner progressiste.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 10 octobre 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Sainte Greta, endoctrinez-nous!

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    Bébé a fait son caprice. Ça y est, après plusieurs mois sous biberons médiatiques l’enfant s’est enfin rebellé contre ses parents et autres tuteurs moraux. Malheureusement pour elle, sa soudaine crise d’ados a levé le voile sur le rôle opaque et nauséabond qu’elle interprète. Du « je ne devrais pas être là » au « vous m’avez volé mon enfance », la fillette aux tresses blondes, a voulu donner une leçon d’écologie aux chefs d’Etat en réunion exceptionnelle à l’ONU le 24 septembre dernier. Bien que simple pion, elle incarne à elle seule toute une stratégie de propagande alliant deux facteurs inédits.

    Au-delà de la bassesse intellectuelle et morale de son intervention, son coup de gueule permet de dévoiler au grand jour la stratégie d’infantilisation de l’écologie. Bien armée, Greta a su user de son statut de nouvelle prophétesse du réchauffement climatique, en se laissant adouber comme nouvelle amazone d’un combat mené depuis de nombreuses années. A coup de grandes tirades émotives, de sourires falsifiés et d’une maladie mentale étalée publiquement Greta a su charmer le public qui laissa ainsi venir à elle les petits enfants. Dès lors, suivant ses homélies à la lettre, collégiens et lycéens ont joué, le temps d’une grève pour l’environnement, aux héros climatiques en ramassant trois mégots et deux emballages plastiques dans les rues. Pas de quoi changer la face du monde.

    Cette volonté d’infantiliser une problématique pour mettre en place une folie populaire, à la botte des biens pensants, devaient bouleverser le courant des choses en forçant dirigeants et citoyens à changer radicalement politiques et modes de vie. Malheureusement le hochet s’est brisé devant le monde entier. Bien que ridiculisée, Greta a incarné et incarne encore cette volonté d’user également de la peur et de l’angoisse afin de convertir le plus grand nombre à sa cause. Discours apocalyptiques et autres déclarations prédisant l’éclatement de la planète se jumelaient parfaitement avec son personnage enfantin. Rien d’étonnant donc quand elle exhorte nos députés européens, le 16 avril dernier « à paniquer comme si la maison était en feu ».  Sa volonté clairement affichée d’opter pour une stratégie d’intimidation a participé à la propagande de masse. En cherchant à déclencher une hystérie populaire, c’est notre libre arbitre et notre libre discernement que l’enfant a voulu noyer dans ses larmes bourrées des gaz à effets de serre de toute la planète.

    Cette propagande hystérique, dénaturant le sujet en lui-même est, de surcroit, une preuve supplémentaire de l’existence du courant pastèque, écolo d’extérieure, communiste de l’intérieure, qui sévit depuis trop longtemps. De fait, les t-shirts de la fillette plaident pour un écologisme allié aux aimables antifascistes et autres LGBT. Bien qu’insupportable, Greta ne nous enlèvera pas de l’esprit que l’écologie reste un enjeu majeur pour notre civilisation et que nous devons y trouver des réponses non pas idéologiques mais pragmatiques.

    Bien que reçus en grande pompe au palais bourbon le 23 juillet dernier, dirigeants et députés français n’ont pas manqué leur correction médiatique. Ces derniers ont enfin reconnu en elle un garde vert d’une écologie non pas intégrale mais radicale. Seulement âgée de 16 ans et manipulée par beaucoup, elle incarne une propagande parfaitement huilée sachant attendrir et faire frémir pour mieux convertir. Il est grand temps pour elle de retourner à l’école, en hélico ou en bateau.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/11/sainte-greta-endoctrinez-nous-6182090.html

  • Antifas violeurs : Auto-dissolution du Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault

    Source : Lengadoc Info – Le Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault (GRAPH) a annoncé ce mardi dans un communiqué son auto-dissolution en raison d’une affaire de viol au sein même du groupe. Un viol qui n’est pas une première dans la mouvance antifa à Montpellier.
    Un viol « avéré » mais pas le premier chez les antifas

    L’éphémère GRAPH n’aura guère duré plus d’une année. Celui-ci a annoncé ce mardi que depuis la création du groupe « de nombreu.x.ses membres fondat.eu.r.ice.s ont quitté le collectif à la suite de la découverte d’un viol avéré dans [les] milieux militants et affinitaires mettant en cause un membre du groupe ».
    Si le GRAPH ne donne guère de détails sur les circonstances du viol et l’identité du violeur, on apprend dans le communiqué que ce dernier avaient des propos et une attitude « oppressantes » au sein du groupe au point de réveiller « des peurs, des souvenirs, des mal-êtres, etc, chez plusieurs d’entre nous ayant vécu des violences sexuelles ».
    Ce viol et les attitudes « oppressives » de cet individu ne semblent pas être des faits isolés au sein de la mouvance antifa locale. Déjà en 2014, un communiqué de militantes féministes dénonçait l’organisation du collectif antifa 34 qui était « gouverné par des individus blancs et masculins », une « hiérarchie bureaucratique, sexiste et autoritaire » à laquelle « s’ajoutent des cas d’agressions sexuelles dont les témoignages sont mis sous silence, la parole de la victime n’étant pas prise en compte et fortement délégitimée ».

    En 2016, c’est sur la ZAD de Las Rebes qu’une jeune femme de 19 ans avait été violée par plusieurs individus. En 2017, c’est au sein du squat antifa Le Royal Occupé qu’un viol avait été une nouvelle fois commis.

    Si une plainte a été déposée en 2016 pour le viol de Las Rebes, nous ignorons si les autres dénonciations ont fait l’objet d’une procédure judiciaire.
    Le GRAPH, un énième et éphémère groupe antifa à Montpellier
    Avec cette auto-dissolution, le GRAPH risque de ne pas marquer les mémoires militantes locales. Il faut dire que depuis quelques années, les groupuscules antifas se succèdent les uns aux autres sans une grande régularité : « Scalp 34 », « Montpellier Antifa », « Collectif Antifasciste 34 », « Montpellier Antifasciste et Populaire », etc. D’ailleurs le communiqué du GRAPH annonce qu’une nouvelle structure verra bientôt le jour…

    Petit dernier de la bande, le GRAPH s’est fait connaître pour ses affiches appelant à la violence et pour avoir tenté de s’opposer (sans grand succès) à un hommage à Jeanne d’Arc.

    https://www.medias-presse.info/antifas-violeurs-auto-dissolution-du-groupe-revolutionnaire-antifasciste-et-populaire-de-lherault/113182/

  • Sleeping Giants ou le totalitarisme « soft » qui veut tuer

    Qui sont les Sleeping Giants qui veulent interdire Eric Zemmour d'antenne et utilisent des méthodes fascistes pour formater l'information selon leurs idées?

    Sur le plan social et économique en tout cas, en s’attaquant au portefeuille, car tel est l’objectif de Sleeping Giants, lancé aux Etats-Unis dans la foulée de l’élection de Donald Trump. L’opération de délation de toute pensée autre, visant en même temps à asphyxier les lieux d’expression de cette pensée, et donc la liberté d’expression, a ensuite essaimé en Europe et s’est installée en France.
    Sleeping Giants France a été lancé en février 2017.
    Il se présente ainsi : « Actuellement, nous comptons plus de 5000 géants (dont plus de la moitié sont de facto des géantes - le risque de ne pas être paritaire serait trop grand… NDE). Combattre la haine et l’emprise des fake news permet à chacun de se positionner, c’est un combat universel qui ne dépend pas des convictions politiques. Plus de 980 annonceurs ont bloqué Boulevard Voltaire, et des centaines ont retiré leur publicité du site auto-revendiqué fasciste Breizatao, jusqu’à ce que la régie Google Ads se décide enfin à exclure définitivement ce dernier ».
    À première vue, le lecteur pourrait croire à une opération de type Gorafi.
    Il n’en est rien, c’est très sérieux et les acteurs de cette opération ne semblent pas s’apercevoir combien ils combattent pour une vision totalitaire de la politique.
    Historique du groupe français

    « Les fondateurs de Sleeping Giants ont immédiatement compris que la prolifération d’informations racistes, sexistes, xénophobes, homophobes et antisémites était incontestable. L’information manipulée et/ou fausse (fake news) et les articles prônant la haine semblaient fleurir partout, du jour au lendemain. En recherchant l'origine du financement de ces articles par les encarts publicitaires, Sleeping Giants a découvert que les annonceurs étaient, en fait, extrêmement nombreux. Des gros et des petits, chacun contribuant à reverser des millions à des sites comme Breitbart News - le plus gros poisson du domaine - grâce à leurs publicités. Pourtant, étonnamment, ils n'avaient aucune idée que leurs annonces apparaissaient sur ces sites en raison de ce que l'on appelle « la publicité programmatique », un réseau complexe de placement d'annonces qui cible le consommateur plutôt que des sites spécifiques. Armé de cette information, Sleeping Giants a commencé à avertir les annonceurs de leur présence sur Breitbart News ».

    L’objectif est clair : « informer » - mais le terme dénoncer paraît de meilleur aloi - les entreprises que leurs annonces apparaissent sur des sites « racistes, sexistes, xénophobes, homophobes et antisémites ».
    Les caractéristiques de ces sites étant par avance et nature jugées « incontestables ».
    Une délation hors de tout procédé judiciaire normal, démocratique, et en dehors de tout Etat de droit. En effet, qui, sinon le droit (et une condamnation) peut déterminer si un organe de presse ou un média répond à ces caractéristiques ?
    Pour l’opération Sleeping Giants, la question ne se pose pas en ces termes : il y a des pétitions de principe et des évidences.
    Les Sleeping Giants Français se sont décidés, disent-ils, en particulier « au vu des plans d’expansion de Breitbart en Europe ». C’est pourquoi ils se disent « déterminés à minimiser l’espace public pour les propos haineux. Les réseaux de propagande tels que Breitbart constituent une véritable menace pour les sociétés ouvertes et le discours démocratique ».
    Un caractère militant en faveur de la mondialisation sous toutes ses formes, et un aveu : est considérée comme dangereuse toute autre conception politique et sociale.
    Les Sleeping Giants, c’est… la liberté par l’interdiction de la liberté.
    Sa première obsession est de faire disparaître Boulevard Voltaire.
    Du Orwell en sa forme la plus parfaite.
    Le système, comme chez Orwell, fonctionne aussi sur la peur.
    Conséquence : 4000 entreprises américaines ont retiré leurs annonces du site Breitbart et elles sont déjà plus de 1000 à être européennes.
    Comment cela fonctionne-t-il ?
    Ce sont « des milliers de géants qui travaillent nuit et jour pour les informer de leur présence sur ce site à leur insu ».
    De géants ? Voici :
    « Tout le monde peut aider. C'est simple. Suivez simplement les instructions sur le tweet épinglé sur notre page Twitter :
    1. Visitez le site ciblé, prenez la capture d'écran d'une annonce à côté d'une partie de leur contenu.
    2. Tweetez l’image avec une note polie à destination du compte twitter de la société, tout en nous taguant !
    3. Si la société répond, demandez-leur de confirmer le retrait de leurs annonces du site.
    4. Une fois la confirmation obtenue, retweetez-nous en indiquant CONFIRMÉ »
    Il y a des personnalités condamnées à Nuremberg ou adulées à Moscou à la bonne époque qui auraient adoré ce mode de fonctionnement.
    Comment dénoncer ?
    Et si un délateur n’est pas sur Twitter ?

    « Pas de problème. Vous pouvez toujours être un géant.Nous avons une page Facebook qui est également une excellente ressource. Vous pouvez entrer en contact avec les entreprises sur Facebook.Vous pouvez également envoyer l’image et le texte d’information par courrier électronique ou appeler les entreprises directement. Faites-leur savoir qu'elles font de la publicité sur le site ciblé, et que vous vous demandez si elles seraient prêtes à retirer leurs annonces.Si elles confirment, essayez d’obtenir la confirmation dans un e-mail ou même un sms et publiez cela sur notre compte Facebook. »

    Nous sommes dans une époque où, au mépris de l’Etat de droit, c’est-à-dire de ce qui fonde un véritable « vivre ensemble » depuis plusieurs siècles, n’importe quel individu peut décider de ce qui est illégal ou non concernant l’expression publique, en contribuant à provoquer la faillite d’entreprises médiatiques dont il ne partage pas les idées politiques.
    Le menu propose un tutoriel afin « d’exclure une annonce d’un site ciblé ».
    Avec l’entreprise/annonceur concernée, le contact se fait donc par un tweet prédéfini, suivant la consigne du tweet épinglé sur le compte de Sleeping Giants :

    « Votre campagne publicitaire apparaît sur le site Boulevard Voltaire qui promeut fake news et idées sexiste/racisteCela ne correspond pas à vos valeurs ?Pas de soucis il vous suffit d'un clic pour le retirer de votre listing »

    Et quand un annonceur, sous la pression, de peur de perdre des clients, accède à l’injonction, cela se termine ainsi, toujours sur twitter :

    « CONFIRMÉ Depuis plus de 110 ans en France, @SwissLife_Fr construit l’avenir sur la solidité. Le respect de tous leurs client.e.s et employé.e.s, la neutralité et expertise sont à la base de la qualité de l’assurance qu'ils fournissent. »

    Sleeping Giants est clairement une opération militante menée par des activistes.
    Exactement le type d’opération qui bénéficiera de la loi Avia, laquelle favorise les groupes organisés spécifiquement pour détruire la visibilité de leurs adversaires politiques.
    Des soutiens de la presse de grand chemin
    Les Sleeping Giants reçoivent le soutien de médias officiels, au nombre desquels : BFM, Slate, Télérama, Les Inrocks, Médiapart, Le Monde, L’Expansion, etc…
    France Inter en pointe
    L’exemple le plus clair de soutien à l’action d’activistes, est (surprenant ?) venu de France Inter.
    Le 12 août 2019, la radio publique, censée être attachée à la liberté d’expression comme à l’Etat de droit, évoquant l’action d’un « collectif de citoyens », comprendre des personnes membres du « camp du Bien », écrit que leur but est de « prévenir les annonceurs que leurs publicités arrivent sur des sites d’extrême droite ».
    L’émission est à la gloire des activistes et clairement délatrice de Boulevard Voltaire, média initialement fondé par Robert Ménard.
    France Inter prend clairement parti pour cette initiative « citoyenne », forcément citoyenne.
    Presse officielle, médias publics, pouvoir politique par le biais de la loi, activistes et simples citoyens unis : tout le politiquement correct s’organise afin de « lutter » contre toute opposition.
    L’enjeu ?
    Le contrôle de la parole publique, de la vérité et, de là, de ce qui peut et doit être pensé.
    Plus de tribunaux, plus de droit, plus de séparation des pouvoirs mais des autodafés.
    Préparez vos extincteurs.
  • « Conglomérat de sous-merdes », « Salafistes » : Marlène Schiappa dérape à nouveau sur la Manif Pour Tous

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    POUR LE « DÉBAT SEREIN ET APAISÉ » : C’EST ENCORE RATÉ !

    Marlène Schiappa récidive et dérape à nouveau en « likant » un tweet odieux. Un comportement indigne d’une ministre de la République. Le mouvement demande des excuses sans délai.

    Au surlendemain de la 1ère manifestation contre la PMA sans père et la GPA qui a rassemblé des centaines de milliers de manifestants, la Secrétaire d’Etat à l’égalité Femme-Homme a « liké » sur Twitter un message d’un certain M. Alex Dimeck-Ghione, s’adressant à La Manif Pour Tous et la qualifiant de « conglomérat de sous-merdes, pas même bonnes à faire pousser des champignons. Vous êtes de la même engeance que les salafistes, et devez être considérés avec la même crainte. » (Sourcecopie d’écran ci-après)

    Ces propos sont graves. Il est plus grave encore qu’un membre du gouvernement les soutienne ainsi publiquement, avec la mention « j’aime ». Notre pays a été frappé par le terrorisme islamiste à de multiples reprises au cours de dernières années et il y a quelques jours encore au cœur même de Paris. Faire un amalgame odieux entre le terrorisme et la foule de manifestants rassemblés pour défendre le droit des enfants à ne pas être volontairement privés de père est indigne d’un membre du gouvernement. Cet amalgame est doublé d’une insulte caractérisée : « sous-merdes ».

    Comment un membre du gouvernement peut-il soutenir et souscrire à de tels propos qui, tout à la fois, insultent les sympathisants de La Manif Pour Tous et relativisent le terrorisme islamiste ? Alors que le Président de la République avait appelé à un « débat serein et apaisé » sur les questions de bioéthique, l’attitude de Marlène Schiappa est une fois de plus à l’opposé.

    La Secrétaire d’Etat n’en est pas à son premier dérapage. En février dernier, elle avait évoqué des « convergences idéologiques » entre La Manif pour tous et les « terroristes islamistes » dans une interview à l’hebdomadaire Valeurs Actuelles. Après une demande répétée de La Manif Pour Tous et l’annonce d’une saisine de la Cour de Justice de la République, Marlène Schiappa avait présenté ses excuses dans un communiqué, affirmant que « depuis près de deux ans au gouvernement », « [elle] défend aussi (…) une forme de bienveillance dans le débat d’idées » et qu’« [elle souhaite] depuis le début de [ses] missions [s’adresser] à tout le monde, sans sectarisme. » Force est de constater qu’elle agit en réalité à l’inverse.

    Copie d’écran du tweet du 8 octobre à de M. Alex Dimeck-Ghione, Président du centre LGBT du Mans,
    liké par la Secrétaire d’Etat Marlène Schiappa

    « Nous attendons de nouveau des excuses car on ne peut laisser passer ces amalgames scandaleux et ces insultes visant des centaines de milliers de personnes » souligne Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. « La manifestation de dimanche s’est déroulée dans un climat paisible, ce qui est notable compte tenu du climat ambiant et des violences à déplorer dans tant de manifestations depuis le début de ce quinquennat » précise-t-elle.

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  • La manifestation du 6 octobre - Ludovine de La Rochère sur CNEWS - 06/10/19

  • Débat sur l’immigration : ils ne sont pas à la hauteur des enjeux

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    9467-20191011.jpgCinq heures de débat entre parlementaires autour du thème de l’immigration. Mais finalement, rien.

    Emmanuel Macron souhaitait regarder les choses « en face », il avait dénoncé « les bourgeois qui ne croisent pas un immigré », il voulait montrer qu’il était le président capable de dépasser les clivages des partis pour s’attaquer aux vrais problèmes. Encore une fois, c’était du vent. Le débat organisé à l’Assemblée nationale, lundi 7 octobre, aura duré cinq heures, cinq heures pour rien.

    Hasard du calendrier, ce débat se tient quelques jours seulement après l’attaque à la Préfecture de Police de Paris et alors que Hadama Traoré, « le candidat des banlieues » aux dernières élections européennes souhaitait organiser une manifestation de soutien au terroriste, les parlementaires ont débattu autour de « six axes de travail ».

    Les membres du gouvernement à la barre

    Le Premier ministre Edouard Philippe s’est dit « prêt à discuter d’une éventuelle mise en place de quotas sur l’immigration », rappelant que « bien accueillir suppose de maîtriser les flux migratoires ». Une annonce encore très obscure puisque le chef du gouvernement est incapable de se décider sur les critères de ces quotas. « Quotas par nationalité, ou par secteurs professionnels, de tout cela nous devons discuter », précise-t-il.

    Parmi les membres du gouvernement, le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian appelle à « une réponse européenne », soit que chacun accueille sur son sol des réfugiés, soit par « la solidarité financière ou matérielle ». Rien de nouveau donc. Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a pour sa part demandé la mise en place d’un « plan de lutte contre les fraudes ». « Oui en France, on ne laisse pas des personnes périr parce qu’il leur manque le bon tampon sur le bon document », a-t-elle ajouté. Elle précise ne pas vouloir « retenir toute solution reposant sur une participation financière des personnes admises à l’AME », qui serait un « obstacle trop important pour l’accès effectif aux soins ».

    Pas d’annonce particulière, pas de prise de conscience de la part des membres du gouvernement pour enrayer la crise migratoire face à laquelle la France se retrouve désormais en première ligne en Europe. Les chiffres d’arrivées ont majoritairement baissé cette année dans les pays européens, sauf en France, qui reste l’eldorado des clandestins.

    Marine Le Pen appelle à un référendum

    Dans l’opposition, Marine Le Pen a dénoncé « une immigration anarchique laissant se développer le fondamentalisme islamiste », rappelant les victimes de la tuerie perpétrée par Mickaël Harpon. Elle a proposé un « moratoire » sur l’immigration et a appelé l’exécutif à « avoir le courage d’organiser enfin un grand référendum ». Chiche ? Pas certain que cet appel soit entendu par des membres d’une majorité qui refuse de voir les nouveaux défis. D’ailleurs, dix-huit députés de la République en marche ont co-signé une tribune pour demander l’élargissement de « l’accès du marché du travail aux migrants ».

    En quelque sorte, ce débat n’aura pas été à la hauteur des enjeux mondiaux qui se présentent à nous aujourd’hui. Pas un mot sur la crise démographique, pas un mot sur le lien entre l’immigration et la délinquance, pas une mesure sur la ghettoïsation des banlieues et des zones de non-France, rien non plus sur la multiplication des mosquées et des commerces ethniques… En somme, du blabla, des jeux de rôle… Dommage qu’il s’agisse d’un thème fondamental pour l’avenir de notre civilisation.

    Etienne Lafage

    Article paru dans Présent daté du 9 octobre 2019

    https://fr.novopress.info/215772/debat-sur-limmigration-ils-ne-sont-pas-a-la-hauteur-des-enjeux/

  • Donald Trump face à l’Etat profond des Etats-Unis

    Donald Trump face à l’Etat profond des Etats-Unis

    9467-20191011.jpgDe Christian Daisug dans Présent :

    En apparence, les démocrates sont en train de rassembler les éléments susceptibles de servir de preuves dans un processus de destitution dirigé contre le président Donald TrumpLa gauche s’agite. Le Congrès s’échauffe. La Chambre des représentants se prépare à rédiger les articles accusateurs. Cela, c’est ce que l’on voit, le spectaculaire, la partie émergente de l’iceberg. Mais il existe également, au-dessous, dans l’ombre, ce qui est invisible, la partie immergée de l’iceberg. C’est la plus importante, la plus agissante, la plus dangereuse. De quoi est-elle composée ? De centaines de « termites » appartenant au Deep State : l’armée silencieuse et dévouée de l’Etat subversif. En clair, des bureaucrates inamovibles et faussement apolitiques, incrustés à tous les niveaux et dans tous les rouages de l’administration fédérale. Leur but : servir leurs idées plutôt que le régime. Leur fonction : détruire de l’intérieur l’édifice du 45e président. Leur arme : le sabotage.

    Nous ne sommes plus dans un scénario classique prévu par la constitution qui consiste à tenter d’évincer le chef de la Maison Blanche pour faute grave. Ce scénario a déraillé dès le début car ses promoteurs ont constaté que les preuves manquaient pour qu’il aboutisse. Ils ont préféré emprunter une voie clandestine tout en maintenant la fiction théâtrale d’un jugement dans les règles. Cette voie clandestine, c’est un coup d’Etat. Un coup particulier : subtil, feutré, insidieux. Un coup de l’intérieur, sans sédition, sans révolte. Simplement, un long et patient travail de termites. Les fonctionnaires du Deep State procèdent comme ces insectes. Ils rongent, ils pourrissent, ils putréfient. Stephen Miller, conseiller de Trump, a observé leur manège. « Lorsque les décisions officielles s’opposent à leurs convictions et aux intérêts de leur ‟patron”, a-t-il confié au site Breitbart, ces agents corrosifs les falsifient, les dénaturent avant de les donner en pâture au Washington Post, au New York Times ou à NBC qui se chargent d’en faire des « scandales Trump. »

    Les exemples abondent dans presque tous les domaines : l’immigration, les tarifs douaniers, les armes à feu, les engagements militaires, les aides sociales… Tout est prétexte à conspiration, tout est objet de perversion. « Les manipulateurs s’efforcent d’avoir accès aux documents et à la correspondance privés, poursuit Miller, afin d’apporter du matériel explosif à exploiter plus tard par la presse. » C’est ainsi que se bâtissent les histoires inventées de toutes pièces et destinées à déstabiliser le pouvoir. On a cru longtemps que les informateurs étaient en très petit nombre et que les fuites étaient épisodiques et bien ciblées. Erreur. Le complot s’avère permanent avec d’innombrables ramifications servies par un personnel fourni, besogneux et cynique. Là aussi, les complices abondent. En vrac, Sally Yates, ex-ministre de la Justice, Peter Strzok, ex-chef de la section contre-espionnage du FBI, Susan Rice, ex-conseillère pour la sécurité nationale, James Clapper, ex-directeur de la National Intelligence, Andrew McCabe, ex-directeur adjoint du FBI et, bien sûr, James Comey, ex-directeur du FBI et John Brennan, ex-directeur de la CIA. La plupart furent nommés à leur poste par Barack Obama et servirent Trump à ses débuts jusqu’à leur démission ou leur limogeage. Mais pour un « gros bonnet » démasqué, combien d’opérateurs laissés en place ? L’autre jour, Trump explosa : « J’ai fini par conclure que ce n’était pas une destitution. C’est un coup pour enlever au peuple ses libertés. Nous sommes en guerre. »

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