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Dans une interview à La Stampa, le Pape François a mis en garde contre le souverainisme et le populisme, jugeant que le suffixe «-isme» «ne fait jamais de bien». Cette prise de position n’a pas été du goût de Marine Le Pen qui a rappelé au souverain pontife que les mots «christianisme» et «catholicisme» avaient le même suffixe.
Se disant «inquiet» par ce qu’il entendait aujourd’hui «des discours qui ressemblent à ceux d’Hitler en 1934 », le Pape François a qualifié le souverainisme d’«attitude d’isolement» et d’«exagération» qui «finit toujours mal» et «conduit à des guerres», indique son interview au quotidien italien La Stampa.
«Un pays doit être souverain, mais pas fermé. La souveraineté doit être défendue, mais les relations avec les autres pays et avec la Communauté européenne doivent également être protégées et promues», a-t-il expliqué.
Également interrogé sur le populisme, il a déclaré qu’il avait le «même discours» et que cette doctrine politique menait en fin du compte au souverainisme.
«Ce suffixe en “-isme” ne fait jamais de bien», a-t-il conclu.
Marine Le Pen réagit
La présidente du Rassemblement nationale Marine Le Pen a qualifié la déclaration du Pape d’«affligeante» et lui a rappelé que parmi les mots qui se terminaient en «-isme» figuraient «christianisme» et «catholicisme».
Nadine Morano, ancienne ministre française chargée de la Formation professionnelle issue du parti Les Républicains, a appelé, jeudi 8 août dans un tweet, les femmes algériennes voilées à retourner en Algérie.
L’ex-ministre française a réagi à une série de tweets publiée par une ressortissante algérienne résidant en France.
Cette Algérienne avait suscité une vive polémique après avoir dénoncé la discrimination contre les femmes voilées. La femme d’origine algérienne s’est plainte de s’être fait « jeter » d’une piscine du parc Aqualand à Saint-Cyprien à cause du port de burkini.
L’ancienne ministre française Nadine Morano s’est violemment attaquée à la jeune femme algérienne qui, selon elle, appartient « à la catégorie de femmes qui viennent imposer leur culture en France et qu’on ne veut pas ».
L’actuelle eurodéputée de Les Républicains a appelé la femme à rentrer chez elle en Algérie, « Prenez un avion et retournez en Algérie. En France, les femmes comme vous sont une insulte aux combats de nos mères pour la liberté. Partez dans un pays musulman vous serez tellement mieux », lui a-t-elle recommandé.
Dès lors, si la réalité administrative ne change pas (la proportion d’étrangers) il est une autre réalité qui change considérablement : la réalité culturelle, politique, sentimentale, civilisationnelle. Aujourd’hui le terme « Français » a perdu beaucoup de son contenu, car on peut avoir la nationalité française sans avoir le moindre attachement à la France, en tous cas en ne participant guère à sa civilisation.
On peut évaluer à 20 %, la part de la population qui n’est pas originaire de France ou d’Europe. Chiffre que plusieurs sources viennent confirmer. Ainsi, le CSA a reproché aux médias de ne faire apparaître dans les émissions de télévision « la diversité » que pour 18,5%, preuve qu’il considère qu’en réalité son poids démographique est bien supérieur !
De même l’INED et l’INSEE chiffrent à 19,5 % les étrangers et descendants d’étrangers. Certes, ces chiffres prennent en compte les descendants d’européens parfaitement assimilés et donc ce chiffre devrait, dans une certaine mesure, être revu à la baisse. En fait, pour l’essentiel, c’est à la hausse qu’il doit être revu ! D’abord parce que l’étude en question remonte à la période 2008-2011 et que depuis la situation s’est aggravée. Ensuite parce que la population d’origine extra européenne est mal connue. Un rapport parlementaire admet qu’à 30 % près, on ne connaît pas la population de Seine-Saint-Denis ! Enfin parce que cette étude ne prend en compte que trois générations : les parents, les enfants et les petits enfants d’immigrés, supposant qu’après l’assimilation est complète. Cela était assurément vrai dans le contexte d’une immigration européenne, cela l’est beaucoup moins s’agissant d’une immigration extra-européenne.
On prétend également que les entrées sont stables alors qu’en 2008 on a recensé 210 000 entrées et en 2018 410 000[3] entrées soit près du double !
Ce chiffre de 20 % que j’évoquais plus haut est également corroboré par Jérôme Fourquet dans son dernier livre au titre d’ailleurs très révélateur : L’Archipel français – Naissance d’une nation multiple et divisée[4]. Le directeur du département Opinion et Stratégies d’Entreprise de l’institut de sondages IFOP constate que 18,5 % des nouveau-nés de sexe masculin ont un prénom musulman. Ce chiffre, il faut le souligner, ne tient pas compte des prénoms ambigus et ne donne une idée que de l’immigration musulmane et non pas extra-européenne dans son ensemble, tant il est vrai que celle-ci n’est pas exclusivement musulmane.
Autre indicateur : le test de la drépanocytose intéressant parce qu’il est effectué à la naissance et qu’il s’agit d’une maladie concernant essentiellement les extra-européens. Ce chiffre assurément est à prendre avec prudence car nos compatriotes antillais et une petite minorité de nouveau-nés européens peuvent être concernés, mais à l’inverse les Chinois par exemple ne le sont pas. Ce qu’il faut retenir, c’est que ce test qui était positif pour 20 % des nouveau-nés en 2001 en concerne 38 % en 2017.
Toutefois les chiffres de la démographie, assurément très révélateurs, sont loin de dire toute la réalité du grand remplacement. Ce n’est pas seulement une partie de la population qui change, c’est notre civilisation : la part croissante du ramadan dans la société, la charia qui devient la loi dans certains quartiers, la progression du port du voile, la généralisation du halal (50 % des animaux de boucherie qui sont abattus selon ce rite).
II – « Le grand remplacement n’est pas voulu »
Les médias, tout en niant l’existence du grand remplacement, affirment que l’immigration massive n’est pas la conséquence d’une volonté politique, ce qui serait une vision « complotiste ».
Cette question mérite assurément le débat, même s’il existe des indices difficilement contestables. En premier lieu, chacun peut constater que, à rebours de l’opinion publique (ainsi que le révèlent tous les sondages), le pays légal est infiniment plus favorable aux partisans de l’immigration qu’à ses adversaires. Ces derniers n’auront pas beaucoup accès aux principaux médias ni aux grands éditeurs. En revanche, ils seront souvent accueillis devant les juridictions notamment la fameuse XVII° chambre correctionnelle ! L’actualité fourmille d’exemples révélateurs. Ainsi, récemment, des identitaires se retrouvent 48 heures en garde à vue pour avoir manifesté pacifiquement. À l’inverse, pour un militant favorisant des entrées illégale sur le territoire, le Conseil constitutionnel fait obstacle à la loi pénale en donnant valeur constitutionnelle au principe de fraternité !
La comparaison des moyens dont disposent les différents acteurs est également très révélatrice. L’agence européenne Frontex, en charge de la protection des frontières de l’Europe se voit attribuer moins de 500 millions d’euros, somme inférieure à celle dont disposent les associations immigrationnistes subventionnées par des milliardaires comme Soros mais aussi par des institutions publiques, comme l’Union européenne, des États et des régions.
Alors, qui veut ce grand remplacement ? Il est vrai que de plus en plus de responsables politiques affirment publiquement vouloir limiter l’immigration mais, en la matière, le droit est pour l’essentiel de nature jurisprudentielle. Il relève donc de la Cour européenne des droits de l’homme, du Conseil constitutionnel, du Conseil d’État, de la Cour de cassation ou encore de la Cour nationale du droit d’asile. Cette supériorité des juridictions sur le pouvoir politique a été particulièrement bien illustrée par la question du regroupement familial : instauré par le gouvernement Chirac en 1976, le gouvernement suivant a tenté de l’abroger ; en vain, car le nouveau décret a été annulé par le Conseil d’État. Ainsi, depuis quarante ans, le regroupement familial continue de s’appliquer. De même concernant le droit d’asile prévu à l’origine pour protéger des petites minorités persécutées dans leurs pays. Il est devenu un moyen commode pour s’installer en France car les juridictions construisent, décision après décision, un droit extrêmement favorable aux étrangers. C’est ainsi que contrairement au droit commun, ils n’ont pas à faire la preuve de leurs allégations que ce soit concernant leur identité, ou pour établir la réalité des persécutions dont ils se prétendent victimes dans leurs pays d’origine.
Est-ce à dire que les pouvoirs politiques sont impuissants ? En réalité, sur la question de l’immigration des mesures énergiques sont indispensables : il faut privilégier non plus les droits individuels de l’homme, mais le droit des peuples à leur continuité historique et à leur civilisation ; l’État doit cesser de subventionner les associations immigrationnistes et abroger les lois Pleven et autres qui empêchent le libre débat sur une question aussi vitale pour l’avenir de notre peuple.
En refusant de prendre de telles mesures, gouvernement et parlement permettent, qu’ils le veuillent ou non, la poursuite du Grand Remplacement.
Jean-Yves Le Gallou 11/08/2019
[1]Histoire de la population française, Paris, PUF, 4 volumes, 1988
[2] Jacques Dupâquier, (1922 – 2010) est un historien français et membre de l’Institut (Académie des sciences morales et politiques), spécialiste de l’histoire des populations et de démographie historique.
[3] 240.000 titres de séjour délivrés, 120 000 demandes d’asile et 50 000 « mineurs isolés ».
Deux cent quarante-huit homicides au cours des mois de mai, juin et juillet. Les causes de ce terrible inventaire sont multiples, mais l’une se rapporte notamment à l’augmentation drastique des violences intrafamiliales.
Ce bilan, aussi lourd qu’il soit, ne fait pas oublier la quotidienneté de ces élus, de ces maires, qui devient de plus en plus stressante et menacée. Intimidations, harcèlement, insultes, violences, ils sont assaillis dans leur commune et jusque chez eux.
Cette « pitié » pour les maires a été suscitée par l’homicide – apparemment involontaire ? – dont Jean-Mathieu Michel, maire de Signes, dans le Var, a été victime alors qu’il intervenait auprès de deux personnes déposant illégalement des gravats sur un chemin de la commune.
Comme il se doit, le président de la République est intervenu pour appeler à être « sans complaisance et ferme » à l’encontre des « incivilités » et de la dégradation « du sens de l’État de la nation »” (Morandini).
Incivilités est un mot faible alors qu’il s’agit, à l’évidence, de transgressions multipliées qui dépassent, et de très loin, la violation d’un savoir-vivre municipal et social pour projeter une lumière désastreuse sur l’état de notre France et de notre civilisation.
Ce n’est plus seulement une affaire de politesse mais de malfaisance, et user du terme adoucissant d’incivilités à ce sujet est réducteur, alors, il est vrai, qu’il est parfois appliqué à des délits graves que la mansuétude a besoin de déguiser.
Nous savons bien que ce vœu présidentiel de lutte « sans complaisance et avec fermeté » va demeurer lettre morte et qu’il rejoindra la longue liste des virtualités volontaristes.
La tristesse politique ne tient pas qu’à cela.
Mais surtout à l’étonnement absurde, régulièrement formulé, face, tout à coup, à l’irruption de désordres violents, d’attitudes agressives, de colères antisociales et de fureurs humaines dans tel ou tel service public, au sein de telle ou telle institution, à l’encontre de telle ou telle fonction d’autorité et de pouvoir, comme s’il en existait une seule, un seul qui soit épargné, comme si globalement le désastre n’était pas partout et le cours de cette déplorable évolution pas irréversible !
Aussi, réclamer de la « pitié » pour les maires, focaliser sur eux laisserait entendre qu’il y aurait encore des oasis de tranquillité démocratique et d’espaces protégés alors que, précisément, la tragédie est qu’il n’y en a plus et que la République semble avoir baissé les bras et ses armes légitimes dans le combat opératoire qu’elle aurait à mener.
Si elle-même n’avait pas masqué son impuissance, aboulie, résignation en droits, garanties, prétextes, soutien des minorités triomphantes et révérence lâche à l’égard des forces haineuses qui la détestent.
Pourquoi les élus seraient-ils épargnés, puisque plus rien ni personne ne l’est et que le pouvoir se contente de déplorer ce à quoi il n’a plus la capacité de résister ?
Inlassablement, les Gilets jaunes manifestent pour le 39e samedi d'affilée en pleine période estivale. Les manifestants réclament la démission de Christophe Castaner et entendent maintenir la pression avant la rentrée.
Ils ne comptent pas lâcher l'affaire. Des centaines de Gilets jaunes sont encore une fois mobilisés ce 10 août pour la 39e semaine consécutive afin de faire entendre la voix des Français les plus défavorisés.
Les manifestants, réunis pour la plupart à Paris, réclament la démission du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, et l'arrêt immédiat de la «répression d'État». Ils exigent également, comme chaque samedi, la baisse des taxes sur les produits de première nécessité, un meilleur pouvoir d'achat, plus de justice fiscale et sociale, et l'instauration du référendum d'initiative citoyenne.
Vous connaissez le slogan des arracheurs de dents ? « ça ne vous fera pas mal ». Vous connaissez Les Décodeursque nous avons analysés fin 2014 ici et en vidéo mi 2017 là. Ils sont comme les arracheurs de dents qui vous emportent la moitié de la mâchoire sous prétexte d’un début de carie.
Un exemple de gencive abimée dans Le Monde du 7 décembre 2018 sous la signature de Samuel Laurent sur le « Pacte migratoire de l’ONU ; itinéraire d’une intox ». On désosse avec précaution.
Précisions méthodologiques
Il ne viendra jamais à un esprit sensé de croire la totalité de ce qui se peut s’écrire ou se représenter sur internet. Depuis la présence des reptiliens parmi nous, l’existence de l’amant caché du pape ou l’influence des infox des lapons sur le Brexit. Il va de soi que sur le pacte migratoire voulu par l’ONU, de nombreuses inexactitudes ont été avancées sur les réseaux sociaux.
Non, Emmanuel Macron – qui a déjà bien des soucis – ne démissionnera pas le lendemain de la signature du pacte pour laisser les pleins pouvoirs à l’ONU. Non, l’ONU « ne prévoit pas l’arrivée de 480 millions de migrants pour détruire l’Europe », elle se contente d’en préparer les conditions morales et symboliques ainsi que de proposer les cadres nécessaires pour éliminer moralement et politiquement ceux et celles qui auraient l’idée odieuse de ne pas envisager cette perspective avec ravissement. Mais rentrons dans le vif du sujet.
Théorie conspirationniste
Vous pensez autrement que Les Décodeurs ? Malheureux, vous tombez dans la conspiration comme l’annonce le sous-titre de l’article « Le pacte mondial pour des migrations sûres est à la base d’une théorie conspirationniste très populaire chez les gilets jaunes ». Fichtre !
Précisons que le pacte n’est pas un traité, il a été « adopté » les 10 et 11 décembre lors d’une grand messe onusienne à Marrakech à laquelle Emmanuel Macron et Édouard philippe se sont bien gardés de se rendre, y dépêchant le très obscur Secrétaire d’État aux Affaires Étrangères Jean-Baptiste Lemoyne. Le texte sera sans doute voté définitivement et sans de nombreux pays (le dernier réfractaire étant le Brésil) le 19 décembre 2018 à New-York, siège de l’ONU. Mais que contient ce fameux pacte ?
Commençons par son intitulé « Le pacte mondial des Nations-Unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières ».
Le doux Samuel précise « une déclaration de portée symbolique, réaffirmant un certain nombre de standards, mais ne comportant aucune obligation en matière d’accueil ». Reprenons le titre et le dernier adjectif, régulières. Régulier dit notre Littré (édition 1874) « conforme aux règles naturelles, conforme aux règles naturelles, conforme aux règles de la morale ». Régulier dans le sens commun c’est aussi ce qui revient régulièrement, ce qui est habituel, ce qui est inéluctable.
Gentil Samuel souligne le caractère non contraignant sur le plan juridique mais ajoute tout de suite que le texte « ajoute quelques déclarations de principe affirmant que les migrations sont un phénomène inévitable et qui a des aspects positifs ». Inévitable, le mot est lancé. Cela ne vous rappelle rien ?
Margaret Thatcher TINAThere is no alternative (il n’y a pas d’alternative – au néo libéralisme thatchérien – voulait-elle dire). Une portée « symbolique » qui devient en raison pratique normative. Les Européens sont condamnés aux migrations comme le forçat était condamné au bagne de Cayenne.
Reprenons le mot « standard » et le Robert d’Alain Rey, dictionnaire historique de la langue française (édition de 1992) « Standard… par analogie a pris le sens de rendre conforme à un modèle social standard ». Il s’agit bien de rendre conformes les nations subissant l’invasion migratoire, de les standardiser.
Reprenons aussi le mot « principe » et notre Littré, « principe… origine, cause première… ce qui opère comme un principe, proposition que l’esprit admet comme un point de départ, règle de conduite ». Même origine que princeps, prince, ce qui vient en premier. Ces principes sont donc un point de départ, des règles, qui doivent déterminer la conduite pratique des signataires et être suivis d’effet.
Complotisme, censure, autocensure
Tordons le cou à quelques canards hivernaux : non, l’ONU n’a pas téléphoné à Samuel Laurent pour lui commander son article. Non, Xavier Niel ou Mathieu Pigasse ne lui ont pas envoyé un courriel pour lui en indiquer le ton. Ce serait ridicule de le penser et surtout ces démarches sont parfaitement inutiles,
Samuel Laurent n’a besoin de personne pour mentir. Il le fait de lui-même, spontanément. Il connaît les « valeurs » et la sociologie du Monde et de ses propriétaires : la mondialisation heureuse, le charmant monde libéral libertaire, l’entre soi culturel, économique et social.
L’immigration « cool » dans les beaux quartiers et les immigrés pour les gilets jaunes. Il y adhère sans doute sincèrement, il y trouve un intérêt moral comme professionnel. Irait-il à l’encontre, il risquerait la déconsidération des ses pairs et peut-être plus.
Ajoutons que Samuel Laurent ou Les Décodeurs ne mentent pas tout le temps, pour une simple raison d’efficacité. La pratique du mensonge exige de la mesure, des précautions, du doigté, pour vendre le pacte pour les migrations par exemple. Le mensonge pour produire un effet doit se trouver noyé dans d’autres nouvelles, celles là vérifiées. Dans la société du spectacle le vrai devient un moment du faux, disait le regretté Guy Debord. Amen.
Dimanche 11 août, pour la fête de l’Aïd el-Kébir, environ 200 000 moutons seront égorgés rituellement, dans le silence assourdissant des associations de protection animales, et des végans pourtant si prompts à emmerder les bouchers traditionnels.
En tant que viandard assumé je ne vais pas avoir l’hypocrisie de m’indigner de ce « massacre » programmé et je ne vois pas au nom de quoi je supporterais l’agneau de Pâques ou de Pessah, la dinde de Noël, la poule au pot du dimanche et pas le mouton de l’Aïd ! On peut bien entendu, pour des raisons éthiques, ne pas accepter qu’on abatte des animaux pour les manger, mais en consommant de la viande régulièrement et sans complexe, je ne vois pas au nom de quoi je m’indignerais que les musulmans en fassent autant. Non ce qui me choque dans cette fête, ce n’est pas tant le « massacre » annoncé que les conditions sanitaires et légales dans lesquelles il va avoir lieu avec une parfaite hypocrisie et même lâcheté des pouvoirs publics.
Et ma colère est bien plus tournée contre l’État qui encore une fois courbe l’échine et veut à tout prix éviter les vagues d’une communauté réputée comme revendicative et turbulente que contre les musulmans qui ont compris depuis longtemps qu’il leur suffit souvent de tousser un peu fort pour que l’État se couche.
Les chiffres sont extrêmement difficiles à trouver tant un couvercle « vertueux » est posé sur les conditions de cette fête. Vous savez comme l’État aime cacher ou travestir les statistiques ethniques ou religieuses quand elles ne correspondent pas à son idéologie. Je ne vous donnerai donc que des approximations obtenues à force de recoupements grâce à l’excellent travail d’Alain de Peretti, le fondateur de Vigilance Halal, qui est sans doute un des meilleurs spécialistes du marché français du halal et sans qui je n’aurais pas pu faire cette vidéo.
Vous savez sans doute que l’abattage d’un animal aux fins de consommation est extrêmement réglementé en France et que même le traditionnel cochon tué par les paysans à la ferme n’est qu’une « tolérance » laissée à la discrétion des mairies et de la gendarmerie qui peut très bien, si elle le désire, décider de verbaliser les contrevenants. En France, seuls les abattoirs homologués sont autorisés à tuer des bêtes destinées à la consommation et les règles vétérinaires et d’hygiène sont devenues tellement strictes depuis une trentaine d’années que beaucoup de petits abattoirs locaux ont dû fermer faute d’avoir les moyens de se mettre aux normes.
Et bien, figurez-vous que ces règlements très stricts – et ceux d’entre vous qui ont travaillé en restauration ou en commerce de bouche savent combien les services vétérinaires sont habituellement intransigeants – deviennent soudainement dérogatoires lors de la fête de l’Aïd ! Sur les 200 000 moutons qui vont être sacrifiés rituellement, à peine 80 000 le seront dans des abattoirs traditionnels et homologués ! Le reste sera soit tué directement à la maison, puisqu’une tradition musulmane veut que ce soit le chef de famille qui sacrifie l’animal, soit dans des « abattoirs » temporaires (c’est-à-dire la plupart du temps un champ, un terrain privé, un parking, un terrain de sport communal) qui auront reçu en dépit de TOUTES les règles d’hygiène habituellement si strictes, l’autorisation préfectorale d’être mis en place.
Les plus cyniques pourraient dire « Bon, ben après tout, les règles d’hygiène, on s’en cogne, s’ils veulent manger de la viande pourrie ça les regarde ! », mais ce serait méconnaître totalement les risques sanitaires que ce genre de pratiques fait courir à tous ! Le sang est un des meilleurs milieux de culture qui existent pour les microbes (on cultive par exemple en laboratoire des souches microbiennes sur ce qu’on appelle de la « gélose au sang ») et les abattoirs sont équipés de système pour le traiter afin d’éviter les risques de contamination. Or dans ces « abattoirs temporaires », le sang des dizaines voire des centaines de bêtes abattues s’écoule librement dans la nature. Avec la chaleur du mois d’août, vous imaginez à quelle vitesse les bactéries et microbes s’y développent à l’air libre ? Et que voit-on dans la nature, en pleine chaleur sur du sang ou des déchets organiques ? Des insectes, des mouches, des moustiques qui se régalent et qui viendront après se poser sur notre nourriture ou nous piquer ! Alors ça ne vous semble toujours pas grave, si un abattoir temporaire est installé dimanche prochain à 100 mètres de votre habitation, de votre cuisine, de la chambre de vos gosses ? Ça ne vous semble pas délirant qu’on passe son temps à vous rappeler les règles de la chaîne du froid pour laisser des insectes gorgés de matières fécales ou de sang frais potentiellement contaminé se promener sur votre steak ou la joue de votre enfant ? Vous n’avez pas l’impression qu’on se fout un peu de votre gueule ? Et n’allez pas m’accuser d’islamophobie, je vous garantis que les microbes sont parfaitement laïques…
Maintenant que nous avons parlé du sang, on peut aussi parler de ce qu’on appelle les « panses vertes » et qui sont les boyaux et tout ce qu’on trouve à l’intérieur de l’animal. Elles nécessitent normalement les mêmes traitements que le sang et les abattoirs paient généralement des équarrisseurs pour les en débarrasser quand ils ne sont pas équipés d’incinérateurs pour les traiter sur place. Néanmoins, vous verrez dimanche, si vous avez la malchance d’habiter à côté d’un abattoir provisoire, que généralement ces panses vertes sont laissées à même le sol, en espérant que les renards et les corneilles feront le ménage…
Revenons-en à l’abattage domestique, c’est-à-dire celui pratiqué par le père de famille dans sa maison ou parfois même son appartement. Il se trouve lui aussi confronté au problème de la peau et des déchets. Alors assez logiquement, afin d’éviter que tous ces déchets se retrouvent jetés clandestinement n’importe où, les mairies comme Lille, Roubaix ou Tourcoing mettent à disposition des bennes en plein soleil chargées de les recueillir. Vous imaginez l’odeur en pleine ville ! Mais poussons le raisonnement un peu plus loin… Si votre chat ou votre chien meurt de sa belle mort et que vous décidez de vous en débarrasser dans une poubelle, savez-vous ce que vous risquez ? Une amende pouvant monter jusqu’à 3 750 € comme dit ici sur le site du ministère de l’Intérieur : https://www.demarches.interieur.gouv.fr/particuliers/faire-lorsque-animal-compagnie-mort
Il est donc clair (articles L 226-1 à L 226-9 du Code rural et de la pêche maritime) qu’il est formellement interdit de jeter la dépouille de son animal dans une poubelle, un égout ou tout autre lieu… Les mairies, en mettant des bennes à disposition pour recevoir ces déchets, se mettent donc volontairement hors la loi en étant complices de la constitution d’un délit ! Et tout ça pourquoi ? Parce qu’elles sont incapables d’avoir la volonté de faire respecter la loi sur leurs communes face à des comportements qui n’ont pourtant pas lieu d’exister en France !
Alors certes, sur le papier, ces abattoirs temporaires sont encadrés. Et des règles sont données, règles que sont censés faire respecter les services vétérinaires. Par exemple, sur chaque lieu d’abattage, un vétérinaire de la DDASS doit être présent afin de vérifier que les règles minimum d’hygiène sont respectées et il doit même faire cesser l’abattage si elles ne le sont pas… Maintenant, deux questions se posent : d’abord, peut-on raisonnablement penser qu’en pleines vacances du mois d’août, on va trouver assez de vétérinaires pour surveiller, pendant toute la durée de l’abattage (pas venir faire un coucou le matin en faisant semblant de s’assurer que tout est conforme) ? Ensuite imaginons Jean-Eudes, 26 ans, 1.72 m pour 68 kg, tout juste sorti de longues études, obligé de faire respecter les règlements sanitaires à 5 ou 6 égorgeurs halal avec leurs longues lames affûtées au milieu d’une centaine de familles attendant leur mouton dans l’excitation de la fête et du sang… Franchement, vous ne croyez pas que Jean-Eudes va être très vite persuadé que ce n’est qu’une sale journée à passer (surtout pour les moutons) et que le comptage des marguerites dans les champs est une activité champêtre bien plus agréable que le cassage de gueule halal ? De qui se fout-on ?
Et puisqu’on parle de dérogations, il faut bien aussi aborder le problème de l’égorgement halal. Il est dérogatoire à deux règles qui prévalent normalement en France : les animaux doivent être étourdis et ils doivent être saignés. Pour ceux qui ne verraient pas vraiment la différence entre « saigner » et « égorger » il n’est pas inutile de la leur expliquer. Saigner un animal revient à pratiquer une incision de chaque côté du cou sur 3 ou 4 cm de profondeur pour un ovin afin de trancher la carotide et la jugulaire alors que l’égorgement consiste à trancher cou, muscles, nerf vagal, trachée, œsophage jusqu’à la colonne vertébrale. C’est en fait une demi-décapitation sur plus de 20 cm de profondeur pour un mouton.
Alors si quelqu’un se demande encore où est la différence, il doit se poser la question de la mort qu’il choisirait entre se vider de son sang en étant inconscient ou se noyer dans son propre sang et les matières de dégurgitation de son estomac et de ses poumons sans avoir été préalablement étourdi… Peut-on vraiment penser qu’une petite prière récitée par le sacrificateur atténue beaucoup la douleur ? Je sais bien que tuer un animal est par essence un acte violent et qu’il serait sans doute préférable de ne pas tuer, mais quitte à le faire, n’est-il pas normal de choisir la méthode la moins traumatisante pour lui ?
Pour finir, je vais répondre d’avance à ceux qui ne manqueront pas de me dire « Oui mais j’ai vu des vidéos de L214 sur un abattoir où les bovins se débattent encore avec la gorge tranchée, c’est franchement pas mieux ! ». D’abord il est évident que comme dans toute entreprise humaine, malgré tous les règlements et tous les contrôles, il y a des débordements dus à la nature humaine qui n’est pas toujours très jolie et surtout à des soi-disant impératifs économiques qui tentent de justifier l’inacceptable. Les règlements tentent de lutter contre ça mais il est évident que les fraudeurs ont toujours un coup d’avance jusqu’à ce qu’ils se fassent prendre. Et puis surtout, ce qu’a malencontreusement oublié de vous préciser L214 dans la vidéo à laquelle je fais allusion, c’est que ces images ont été tournées à l’abattoir Charal de Metz qui se trouve justement être… un abattoir 100 % halal !
Je veux enfin chaleureusement remercier Alain de Peretti, le président de l’association Vigilance Halal, sans qui je n’aurais pas pu écrire cet article. Son association lutte pied à pied depuis 7 ou 8 ans contre le halal avec déjà plus de 40 procès à son actif dont des recours devant le Conseil d’État et les instances européennes. Aucune association ne fait mieux le job qu’eux et ils méritent tout notre soutien ! Ils ont déjà dépensé près de 70 000 euros en frais d’avocats et de justice et si vous pouvez participer à leur combat, votre argent sera bien utilisé.
Quand Hollywood vient faire la leçon aux citoyens européens. Ce vendredi 9 août, Richard Gere, célèbre acteur américain, est monté à bord de l'Open Arms, ce navire pseudo-humanitaire à qui l'Italie, Malte ou encore l'Espagne ont refusé d'ouvrir leurs ports.
« Nous sommes ici sur le navire Open Arms », a-t-il indiqué dans une vidéo diffusée par l'ONG espagnole Proactiva Open Arms. Et d'ajouter : « Je viens d'arriver depuis Lampedusa, nous avons apporté autant d'eau et de nourriture que possible pour tout le monde à bord ».
Le vieux beau aux multiples navets n'a pas précisé combien de migrants il comptait recueillir et loger dans ses luxueuses propriétés.
Par ailleurs, également ce vendredi, l'Ocean Viking, le nouveau navire de SOS Méditerranée et Médecins sans frontières (MSF), a « secouru » 85 migrants. L'embarcation en question, qui était partie de Libye, a été repérée jeudi soir par un avion de l'opération européenne Sophia. Matteo Salvini, de son côté, a rapidement adressé un courrier au gouvernement de Norvège, dont le navire bat pavillon. « L'Italie n'est pas juridiquement tenue, ni disposée à accueillir les immigrés clandestins non identifiés, se trouvant à bord de l'Ocean Viking », a fait savoir le ministre italien de l'Intérieur.
Les Français en sont confusément conscients, les médias pratiquent la désinformation et la manipulation. Leurs méthodes sont cependant assez subtiles pour tromper nos compatriotes, même lorsqu’ils sont circonspects. Aussi serait-il nécessaire de les informer sur les techniques employées par les désinformateurs afin qu’ils puissent les décrypter lorsqu’elles sont utilisées. Ligne droite estime dès lors souhaitable que les militants de la droite nouvelle s’attèlent à cette tâche auprès des Français.
Les médias et les techniques de désinformation
L’information quotidiennement distillée par les grands médias n’est en effet pas neutre. Tout est soigneusement sélectionné et mis en scène pour soutenir les thèses du Système et affaiblir celles de ses opposants. Les Français le sentent bien qui expriment dans tous les sondages une défiance de plus en plus forte à l’égard des chaînes d’information et de leurs journalistes. Pour autant, il ne leur est pas facile de démêler le vrai du faux et cette réserve des Français, pour importante qu’elle soit, n’empêche pas les manœuvres des médias de produire leurs effets. Tout citoyen responsable devrait donc connaître les techniques utilisées par les manipulateurs afin de ne pas tomber dans le piège des campagnes de désinformation. Aussi, l’une des activités militantes de la droite nouvelle devrait, selon Ligne droite, être consacrée à cette formation des citoyens. Une formation où devraient être explicitées et dénoncées les techniques les plus utilisées.
Le silence absolu
La technique de désinformation la plus simple, la plus facile et la plus répandue consiste à censurer totalement les informations qui vont à l’encontre du politiquement correct et qu’on veut cacher au public. Ainsi ne parle-t-on jamais du risque de voir l’immigration provoquer un basculement civilisationnel dans notre pays.
La fausse symétrie
La fausse symétrie consiste à mettre sur le même plan des idées ou des groupes qui n’ont pas le même poids ni la même légitimité afin de dévaloriser les uns et de mettre en avant les autres. Ainsi, placera-t-on au même niveau les voyous des banlieues et les policiers auxquels ils sont confrontés. On expliquera qu’il y a une incompréhension réciproque entre les uns et les autres et que le dialogue entre eux devrait être amélioré. Une symétrie entre les deux parties totalement illégitime car on ne peut pas mettre la police qui incarne l’État et qui est chargée de faire respecter les lois sur même plan que les jeunes qui les bafouent. Mais l’objectif est précisément, sans en avoir l’air, de dévaloriser la police et de réhabiliter les jeunes des zones de non-droit.
Les porte-parole fabriqués
La technique des porte-parole fabriqués est utilisée, de son côté, lorsque les médias du Système décident d’une campagne d’opinion, pour lancer une idée ou un mot d’ordre nouveau. On voit alors fleurir des porte-parole jusque-là totalement inconnus à qui on offre avec complaisance des temps d’antenne significatifs. Ces individus, souvent issus de l’extrême gauche, viennent généralement de déposer les statuts d’une association et ne représentent guère qu’eux-mêmes et les quelques militants qui les entourent. Aussi ne devraient-ils pas être sollicités par les journalistes. Pourtant, les micros se tendent vers eux pour recueillir les propos que les manipulateurs veulent diffuser sur les antennes et qu’ils ne pourraient pas tenir eux-mêmes. Ainsi a-t-on vu de tels porte-parole apparaître pour dénoncer le harcèlement subi par les femmes lorsqu’une campagne de ce type à été lancée de façon très orchestrée et totalement artificielle par les médias.
Les cas particuliers caricaturaux
Une autre technique très répandue pour dénoncer une pratique que l’on veut stigmatiser est celle du cas particulier caricatural. L’idée est de prendre un cas particulier tout à fait exceptionnel choisi pour susciter un sentiment de révolte et de le présenter comme illustratif des pratiques que l’on veut dénoncer. Ainsi ira-t-on faire un reportage sur l’interpellation, dans son milieu scolaire, d’une jeune fille étrangère qui devait être expulsée du pays avec sa famille. L’idée est de scandaliser l’opinion et de montrer à quel point la politique d’expulsion des clandestins constitue une honte morale puisqu’elle conduit à arrêter les enfants dans leur classe devant leurs petits camarades. Le caractère exceptionnel des circonstances qui ont entouré cette expulsion et le fait qu’elle ne soit nullement représentative des expulsions en général ont été évidemment passés sous silence, car c’est l’ensemble des expulsions que les manipulateurs cherchent à présenter comme odieuses.
L’image choc
La technique de l’image choc est quant à elle la méthode de manipulation la plus efficace et la plus spectaculaire. L’exemple le plus emblématique est celui de la photo montrant un enfant mort sur une plage turque à la suite du naufrage d’un bateau de migrants. Cette photo qui a fait le tour du monde a été utilisée pour déclencher une émotion qui a servi à accréditer la thèse que les Européens, en refusant d’accueillir les migrants, étaient responsables de nombreux morts. Une accusation évidemment absurde qui ne prenait par ailleurs nullement en compte les conséquences catastrophiques de ces migrations pour la civilisation européenne. Le but recherché était en effet de pouvoir exercer une forte pression sur les dirigeants européens, laquelle a effectivement été orchestrée par les médias avec des résultats incontestables pour les manipulateurs puisque c’est après la diffusion de cette photo que Mme Merkel a ouvert les portes de l’Allemagne au flux des migrants. Notons qu’à l’inverse les images chocs sur les violences islamistes sont soigneusement et systématiquement occultées.
Le micro trottoir truqué
L’une des techniques de désinformation et de manipulation les plus fréquentes et les plus faciles à réaliser est le micro trottoir truqué. Il s’agit d’interroger les gens dans la rue afin de recueillir leur opinion sur un sujet donné. Pour s’assurer de pouvoir diffuser des réponses allant dans le sens qu’il souhaite, le journaliste va solliciter un nombre de personnes important afin de retenir in fine les trois interventions qui correspondent le mieux au message qu’il veut faire passer. Ensuite, sans évidemment se préoccuper de savoir s’il est ou non représentatif, il présentera son reportage comme s’il avait cherché à montrer quel était l’état de l’opinion. Résultat : le téléspectateur aura l’impression que l’opinion en général penche pour la thèse politiquement correcte, celle préalablement définie par le journaliste et par le Système. Ainsi, par exemple, lors d’un attentat islamiste, les personnes interrogées par les chaînes de télévision sont-elles toutes sur la ligne du Vivre ensemble, comme si, dans ces dramatiques occasions, il n’y avait jamais un seul Français en colère contre l’islam et les musulmans.
Beaucoup d’autres méthodes sont utilisées tels que la sélection tendancieuse des sujets traités ou le recours à des sondages orientés, autant de techniques qu’il faut porter à la connaissance des Français pour leur permettre de se protéger des manipulations dont ils sont la cible.
François Gervais, professeur émérite à l’Université de Tours, a jetté un pavé dans la mare avec son livre « L’urgence climatique est un leurre » aux éditions L’artilleur. Le physicien retourne un à un tous les poncifs du catastrophisme écologiste : l’anthropisme du réchauffement climatique, la nocivité du dioxyde de carbone ou encore la viabilité d’une énergie 100% renouvelable. Un ouvrage qui démontre également l’absence totale de consensus scientifique autour des questions climatiques.