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lobby - Page 802

  • Marion Maréchal en cible, analyse sémantique

    La Convention de la droite organisée à Paris le samedi 28 septembre 2019 à l’initiative du magazine L’Incorrect n’a pas été appréciée des médias dits convenus. Ils y ont vu une réunion de ce qu’ils appellent « extrême droite », avec pour objectif d’enlever toute légitimité à cette réunion. Depuis, les obus journalistiques pleuvent.

    Rappelons que l’usage du mot « extrême droite » n’a aucune scientificité concernant les objets auquel il s’applique dans les médias principaux. Il sert à désigner pêle-mêle les populistes de droite, les conservateurs, les catholiques (mais pas les musulmans radicalisés islamistes et terroristes), les souverainistes, les identitaires… autrement dit, tous ceux qui ne sont pas de gauche ou de droite centriste, et ne pensent pas dans les clous de l’univers mondialiste et libéral-libertaire. Cet usage, qui est aussi une facilité et une paresse, révèle le degré d’infox que peut produire un système médiatique convenu et officiel : aucun de ces courants ne correspond à une quelconque définition du terme « extrême droite » en sciences politiques, sauf sous la plume « d’intellectuels » qui sont avant tout des militants, ainsi de Gérard Noiriel.

    Pourtant l’extrême droite est clairement définissable par des invariants : elle est avant tout antiparlementaire, opposée aux élections et à la démocratie, sinon par appel direct au peuple, autoritaire, raciste, réactionnaire, éventuellement fasciste ou nazie. Le lecteur trouvera une excellente analyse de cette problématique ici. Sans doute de telles mouvances existent-elles en France, elles se rencontrent cependant ailleurs que dans les courants de pensée cités plus haut, dans de rares groupuscules (avant l’été, Macron a eu des difficultés à en trouver trois à dissoudre). D’où la manipulation digne des pires fake news que représente l’utilisation frauduleuse de ce terme de sciences politiques à l’encontre de certains adversaires que l’on souhaite ainsi, au fond, à réduire au silence

    La chasse à la Marion est ouverte ?

    Marion Maréchal a eu droit elle aussi à un traitement particulier de la part du Monde, sous l’égide de Lucie Soullier, journaliste qui semble obsédée (ou amoureuse ?) de la jeune retraitée de la vie politique. L’article est paru dans l’édition du 2 octobre 2019 et semble s’inscrire dans une offensive plus vaste visant à légitimer l’accusation de « retour aux années 30 » employée à tort et à travers contre ceux qui pensent autrement que le bloc libéral élitaire. C’est à l’image des « travaux » prétendument scientifiques de Noiriel, encensés et promus par le même journal. L’idée ? Faire analyser par des intervenants supposés de bonne foi et neutres puisque universitaires (pas de rires, s’il vous plaît), ayant d’ailleurs été conviés à la commission parlementaire de lutte contre l’extrême droite au printemps 2019. Ces derniers, « démontrant » par la comparaison des discours combien un Éric Zemmour (Noiriel) ou une Marion Maréchal (Le Monde du 2 octobre 2019) tiendraient des discours identiques à ceux tenus par l’extrême droite d’antan, discours qui seraient masqués par de nouveaux mots. Avec ce mode d’analyse, Le Monde s’approche de pratiques de type théorie du complot.

    Il s’agit surtout de faire des amalgames anti-historiques puisque la base de tout travail d’historien est justement de ne pas pratiquer l’anachronisme, ce que fait avec volontarisme un Noiriel quand il veut assimiler Zemmour à Drumont.

    Il en va de même de l’offensive lancée contre Marion Maréchal.

    Titre et chapeau :

    « Dans le discours de Marion Maréchal, les mots de l’extrémisme. Lors d’une convention organisée par ses proches, samedi, Marion Maréchal a prononcé un discours quasiment programmatique, dont « Le Monde » a fait analyser de larges extraits par quatre chercheurs ».

    Le but :

    « Cette allocution d’une trentaine de minutes offre l’occasion de décrypter la ligne radicale de Marion Maréchal, « ex-Le Pen », à travers sa sémantique très identitaire, son idéologie sociétalement ultra-conservatrice et économiquement libérale et sa référence décomplexée à la théorie d’extrême droite complotiste du « grand remplacement » (selon laquelle la population française serait progressivement remplacée par une population non européenne). Un véritable acte politique. D’où l’importance de décrypter les mots de celle qui revendique mener une « bataille culturelle ». »

    Si le lecteur n’habite pas dans Paris centre ou dans un quartier bobo de métropole de province, il saisira combien il faut vivre en dehors du réel, pour ne plus voir simplement et avec honnêteté ce qui se passe dans la rue.

    Pour lire la suite, c’est ici !

  • Islamisme : la fierté de Mme Belloubet

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    Mme Belloubet, qui exerce avec brio les fonctions de ministre de la Justice, est très fière. Depuis le début de l’année 2019, 5 gardiens de prison ont été écartés de leurs fonctions pour islamisme radical. Oui, 5 ! Et 25 personnes ont été recalées au concours d’entrée dans la fonction publique pénitentiaire pour les mêmes raisons en 2018. Voilà pourtant un résultat qui démontre l’inefficacité de l’action gouvernementale dans la lutte contre l’islamisme radical.

    Cette déclaration a été faite quelques jours après l’attentat de la préfecture de police de Paris. Alors que quatre personnes sont mortes sous le couteau d’un fonctionnaire converti à l’islam, et après que le gouvernement a prudemment affirmé dans un premier temps qu’aucun élément ne permettait de placer cet acte de barbarie dans un contexte terroriste. Avant d’être sèchement recadré par le patron du parquet antiterroriste, qui a déroulé devant les caméras toutes les preuves du caractère islamiste de ce massacre.

    Ces gens n’ont décidément aucune pudeur, aucune honte. À quels imbéciles – surtout parmi ceux qui connaissent réellement l’institution – feront-ils croire que la profession de gardien de prison ne compterait que cinq terroristes en puissance ? Que parmi les candidats à cette fonction ingrate, mais au contact permanent de criminels et délinquants musulmans, seules vingt-cinq personnes seraient suspectes d’accointances avec cette idéologie criminelle ? Et on ne parle ni de la police – dont Mickaël Harpon est le dernier avatar – ni de l’armée, ni des hôpitaux, des administrations, ni des entreprises nationales « sensibles ». Mme Belloubet, qui s’intéresse plus aux transsexuels hommes devenus femmes candidats à la PMA, n’en parle pas.

    Il est vrai qu’il ne faut pas en parler. Cela pourrait donner des idées aux électeurs. Semer la panique, peut-être. Accorder du crédit au fantasme remplaciste. À tout le moins, le gouvernement, dont la fonction est de protéger les Français, pourrait agir, à défaut d’en parler. Mais il ne le peut pas. Paralysé par les conséquences de la lutte contre toutes les discriminations, il ne peut pas mettre en œuvre les filtres efficaces qui élimineraient des postes à risques les adeptes d’un système théocratique immuable et irréformable, puisqu’il est révélé une fois pour toutes. Alors il se rabat sur des concepts creux, au premier rang desquels la notion de « radicalisation ». Cela ne signifie rien du tout, chacun le sait, mais cela permet de ne pas stigmatiser.

    Un gouvernement courageux pourrait prendre des mesures courageuses. Il dénoncerait toute idéologie, toute religion, toute pratique qui ne respecte pas les principes élémentaires de notre civilisation occidentale, et en interdirait la manifestation, y compris vestimentaire. Il imposerait à ses agents publics et, au-delà, à tous ceux qui ont une activité dans des secteurs essentiels (énergie, communications, sécurité, etc.) de souscrire à une déclaration d’adhésion à ces principes : égalité entre les hommes et les femmes, égale dignité de tous, liberté de conscience, distinction du spirituel et du temporel, primat de la loi nationale sur les coutumes extranationales. Et, surtout, il mettrait en place une surveillance régulière en sanctionnant ceux qui ne respecteraient pas ces principes.

    L’idée est séduisante, mais irréaliste. Elle nécessite d’abord des moyens que l’État n’a plus. Contrôler ses agents n’est pas dans ses capacités, cela nécessiterait un appareil de surveillance tentaculaire. Mais cette idée est surtout porteuse d’un risque majeur de totalitarisme, de la part d’un régime tenté en permanence par la censure et le conditionnement des esprits. Mise en œuvre pour empêcher l’infiltration d’éléments criminels au nom d’une civilisation exogène, elle serait légitime. Utilisée pour criminaliser tous ceux qui n’adhèrent pas au dogme républicain, elle serait redoutable et terrifiante. Les technologies numériques lui donneraient un pouvoir exorbitant, à côté duquel Gestapo et KGB passeraient pour de minables amateurs.

    Ainsi, le régime de M. Macron et tous ses émules sont essentiellement incapables de lutter contre l’infiltration islamiste sans risque pour l’ensemble de la population. Aux Français d’en tirer les conséquences…

    François Teutsch

    https://www.bvoltaire.fr/islamisme-la-fierte-de-madame-belloubet/

  • En dix ans, la taxe foncière a augmenté de 34,7% en moyenne

    Dans certaines villes, les propriétaires doivent faire face à une envolée encore plus spectaculaire de l’impôt local.

    La taxe foncière a véritablement flambé en 10 ans. C’est ce que révèle une étude de l’Observatoire national des taxes foncières de 2019, publiée par l’Union Nationale des Propriétaires (UNPI) et rapportée par RMC.

    Ces dix dernières années, l’impôt des propriétaires immobiliers a en effet augmenté de 34,7% en moyenne. Et les grandes villes sont les plus touchées. À Paris par exemple, on observe un bond de 80% cette dernière décennie.

    L’Express

    https://www.tvlibertes.com/actus/en-dix-ans-la-taxe-fonciere-a-augmente-de-347-en-moyenne

  • Pendant que les télés bavassent sur Dupont de Ligonnès et le voile, des « jeunes » attaquent violemment policiers et pompiers !

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    Pendant que toute la presse et toutes les télés vous faisaient tourner en boucle le vrai-faux retour de Dupont de Ligonnès et qu’on débattait mollement, une énième fois, sur ce voile « pas souhaitable pour notre société” (Jean-Michel Blanquer) mais qu’on laisse de fait s’imposer, samedi soir, une banlieue s’enflammait.
    Dans le quartier du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie, des groupes de « jeunes » nombreux, et particulièrement violents, s’en sont pris sans raison à une voiture de police qui patrouillait.
    D’après Le Parisien, « une cinquantaine de jeunes, décrits comme excités et très agressifs, se mettent à agresser les fonctionnaires qui se trouvent dans leur véhicule. Des projectiles et une dizaine de mortiers de feux d’artifice sont lancés sur eux ».
    Les policiers ont été contraints d’effectuer « un tir de lanceur de 40 mm pour disperser leurs agresseurs » et ont dû quitter le quartier !
    Mais les choses n’en sont pas restées là : une heure plus tard, rebelote !
    Une nouvelle voiture de police prend en chasse une Clio ayant refusé un contrôle.
    Les policiers sont de nouveau la cible de projectiles.
    Contraints de nouveau de battre en retraite, ils endommagent leur véhicule…
    Il y a eu, malheureusement, un troisième acte.
    Le Parisien rapporte qu’« à minuit, une autre patrouille est violemment prise à partie sur le boulevard Charles-de-Gaulle qui traverse le quartier. Le pare-brise du véhicule, pourtant renforcé, est brisé par des tirs de mortiers. »
    Une voiture est incendiée.
    Les pompiers, à leur tour, ne peuvent pénétrer dans le quartier et doivent laisser la voiture brûler.
    Bilan de la soirée : pompiers et forces de l’ordre sont tenus en échec.
    Le Parisien ajoute, sans détailler, que « des violences similaires se sont produites dans la nuit aux Mureaux et à Trappes obligeant les forces de l’ordre à intervenir ».
    Et à reculer ?
    Le ministre de l’Intérieur a-t-il réagi ?
    Dominique Monthus

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/pendant-que-les-teles-bavassent-sur.html#more

  • La nation jacobine des programmes scolaires de 2019.

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    La France de l’an 2019 n’est plus celle de 1914 ni celle de 1945, ni même celle de Mai 68 : parfois, du coup, nous, Vieux Français, avons du mal à la reconnaître, bercés que nous étions par une histoire qui puisait ses racines dans une France d’Ancien Régime pas encore morte dans les tranchées de Verdun, qui trouvait sa respiration dans les paysages familiers et si divers de ce cher et vieux pays ayant survécu aux tourments des révolutions et des empires, et qui se reconnaissait dans toute une galerie de personnages, héros ou salauds, dont nous étions les héritiers parfois infidèles. Or, ce qui formait une sorte de terreau commun aux Français dans leur être propre et au-delà de leurs préférences, semble se déliter ou s’effacer devant la mondialisation et son revers, les identitarismes agressifs et exclusifs : évoquer les périodes lointaines qui ont fait l’histoire de France semble ne plus rien réveiller au cœur de nombre d’élèves ou d’étudiants, et le frisson qui pouvait nous traverser jadis au souvenir des épopées antiques ou médiévales (ah, Alexandre, Duguesclin, Jeanne…) a laissé la place à une indifférence polie ou une concentration studieuse purement scolaire devant des programmes qui manquent de ce souffle que l’on pourrait attendre de toute œuvre formatrice des intelligences et fondatrices des rêves du lendemain…

    Bien sûr, les nouveaux programmes d’histoire du lycée accordent visiblement plus de place à notre histoire nationale que les précédents, et le thème même de la nation prédomine dans l’étude de la Révolution française et de ses suites, jusqu’au grand cataclysme mondial de 14-18. Mais cela ressemble parfois plus à une autopsie qu’à la reconnaissance de la nation vivante au fil des siècles. Et la nation n’est guère évoquée autrement que sous sa définition et ses lourds oripeaux jacobins, négligeant son caractère pluriel d’avant 1789, un caractère qui a longtemps survécu à travers les langues de France, du breton au basque, et par les cultures locales qui n’étaient pas encore (dé)confites en folklores parfois bien artificiels. Cette réduction scolaire à une Nation idéologique, née des Lumières et codifiée sous la Révolution, explique alors que certains collègues enseignants se croient ainsi autorisés, excusés pourrait-on dire, à faire de 1789 la date de naissance d’une France qui ne serait plus qu’un cadre idéologique dans lequel la Nation servirait désormais de ciment mais aussi bientôt de clé de voûte en remplacement d’une dynastie violemment déposée en 1792 : l’identité nationale est née de la déconstruction de l’unité française qui, en perdant son incarnation royale, cherchait désormais à survivre en se figeant en un bloc « un et indivisible ».

    Le drame de notre société contemporaine naît sans doute dans les affres des déchirements et des illusions de la période révolutionnaire, celle qui court de la Bastille à Waterloo, et les programmes scolaires cherchent à redonner du sens à ce qui en a perdu aux yeux des jeunes générations habituées à une mondialisation intrusive et « ouverte » à tous les vents de la mode et de la « consommation de possession », sans remettre en cause (ni officiellement le permettre) la doxa « républicaine » qui, en jacobinisant la nation, en a fait un monstre idéologique, sans doute aujourd’hui apaisé mais toujours pesant. Le refus répété de la République de reconnaître l’existence d’une pluralité provinciale inscrite dans l’histoire de la « fondation française » se marque jusqu’à l’absence de l’évocation des résistances ou des particularités régionales, dans des programmes « centralistes » qui oublient que la diversité française est, d’abord, « intérieure » avant que d’être issue de « l’extérieur ».

    Que les jeunes générations actuelles connaissent quelques difficultés à saisir la richesse de l’héritage français peut ainsi aisément se comprendre quand le système éducatif officiel ne valorise que ce qui « doit être obéi » quand il faudrait que cela soit, d’abord, « la noble occasion du sentiment amoureux » : à quinze ans ou à vingt ans, une matière scolaire soumise à examen de contrôle ne suscite trop souvent que bachotage ou esprit de compétition, et non esprit de vie et, éventuellement, de sacrifice… Et la « nation enseignée et obligatoire » n’émeut guère quand la nation charnelle et sentimentale, intimement vécue, celle qui vibre sous nos pieds et nous rattache à des ancêtres lointains et si proches, parfois un peu légendaires et imaginaires, cette nation qui porte le nom de France avant que d’être une « idée », même « certaine », nous fait, par l’histoire et le rêve, ce que nous sommes, des Français issus d’une terre d’histoire, et fils d’histoires de terres et de terroirs

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1580:la-nation-jacobine-des-programmes-scolaires-de-2019&catid=53:2019&Itemid=64

  • Mickaël Harpon : un scandale d’État, par Jean Rouxel

    Le 3 octobre, un dénommé Mickaël Harpon, agent administratif à la Préfecture de police de Paris, a assassiné au couteau 4 de ses collègues avant d’être abattu.

    Malgré tous les cris d’orfraies sur le thème « padamalgam », il fut vite évident que l’assassin s’était converti à l’islam radical.

    Il fréquentait la mosquée de Gonesse – dont d’ailleurs l’ancien imam faisait l’objet, depuis 2015 (!) d’une obligation de quitter le territoire.

    Le plus ahurissant, dans cette histoire, est qu’un individu dangereux – dont les collègues avaient repéré d’inquiétants changements – ait pu continuer à avoir accès au cœur du renseignement policier français.

    On ignore aujourd’hui à quoi il a pu avoir accès, mais, potentiellement, il a pu connaître (et éventuellement transmettre à d’autres assassins) les données personnelles de nombreux agents des forces de l’ordre.

    Le laxisme et la peur panique d’être taxé d’« islamophobie » ont causé la mort de quatre personnes et entraîneront peut-être des conséquences encore plus graves dans l’avenir.

    Avec le dossier Harpon, nous disposons de tous les « dysfonctionnements » (comme dirait Christophe Castaner pour minimiser l’effarant scandale) possibles en matière de traitement de l’islam radical par les forces de l’ordre et de renseignement.

    Un homme connu comme dangereux a été laissé en place au cœur même du dispositif policier français.

    Le politiquement correct, l’inertie administrative, le laxisme se sont conjugués pour obtenir ce résultat effrayant.

    Le pire, c’est qu’aucune leçon ne semble jamais être tirée des catastrophes précédentes.

    Que l’on n’ait pas vu la dangerosité de l’islam radical en 1980 pouvait se comprendre. Qu’on fasse mine de l’ignorer au sommet de l’État en 2019 est proprement ahurissant. Je sais bien que l’on ne peut pas juridiquement s’en prendre à un simple suspect. Mais, précisément, il est urgent de changer la loi pour qu’il devienne impossible à un homme potentiellement dangereux d’exercer des missions régaliennes.

    Et il devient également nécessaire de préciser à quelles conditions les musulmans peuvent s’installer chez nous (on se souvient que les musulmans « modérés » ont choisi l’État islamique contre leurs voisins chrétiens en Irak et en Syrie. Pourquoi en irait-il autrement chez nous ?).

    Il n’est pas supportable que la seule réponse aux attentats, entre deux processions à la bougie et à l’ours en peluche, soit de dire sur tous les tons que « cela n’a rien à voir avec l’islam ».
    Oui, nous avons un problème – qu’il faut regarder en face – avec l’islam, idéologie totalitaire !

    Jean Rouxel

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/

  • Les éoliennes polluent

    Les éoliennes polluent

    Fabien Bouglé est interrogé par Guy Denaer dans Présent à propos de son dernier ouvrage sur les éoliennes. Extrait :

    Le premier paradoxe de l’éolien est d’utiliser des matières pas vraiment écologiques. Lesquelles ?

    Une éolienne est constituée de quatre parties : les pales, le rotor, le mât, le socle. Le mât est le seul élément recyclable. Les trois autres parties sont polluantes et non recyclables. Les pales sont en fibre de carbone, les brûler produirait une poussière cancérigène. Même Veolia reconnaît que c’est un problème majeur. Elles devront être enterrées, ce qui représente des milliers et des milliers de tonnes à enfouir. Pour les rotors, on utilise des terres rares, 200 kg à une tonne suivant la taille. Elles ne sont plus extraites dans les pays occidentaux à cause de leur impact sur l’environnement : la Chine s’en charge. Pour obtenir un produit de grande qualité, il faut laver dix fois ces terres rares avec de l’acide sulfurique, d’où des déchets radioactifs qui se répandent dans les nappes phréatiques. Les socles de béton sont enterrés « à vie » : c’est comme des bunkers allemands, impossibles à détruire ou en tout cas très coûteux – contrairement à ce que disent les promoteurs éoliens. Sachant qu’une éolienne a une durée de vie de vingt ans, cela fait beaucoup de déchets, non recyclables donc, ce qui va à l’encontre des principes écologiques.

    On pourrait penser que cet impact négatif sur l’environnement est contrebalancé par une énergie très verte ?

    On pourrait le penser… mais le facteur de charge d’une éolienne, c’est-à-dire sa production réelle par rapport à son utilisation théorique maximale, n’est que de 22 %. Il faut donc compenser par une production d’électricité au pétrole, au gaz, ou au charbon. Les fameuses énergies fossiles, qui produisent des gaz à effet de serre.

    Et donc, plus on installe d’éoliennes, plus il faut produire d’électricité à base d’énergie fossile ?

    Exactement. C’est un paradoxe incroyable puisqu’on va produire des gaz contre lesquels l’éolien est censé lutter. L’Allemagne émet dix fois plus de gaz à effet de serre que la France à cause, en grande partie, de ses centrales au lignite qui compensent la faible production électrique de ses éoliennes. Alors que la France, grâce au nucléaire et à l’hydraulique, produit une électricité décarbonée à 90 %. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/206527-2/

  • PROTECTION DE L’ISLAM CRIMINEL : LA STRATEGIE DU POUVOIR S’ECROULE (Suricate)

    Une des pires choses qui pouvait arriver à un journaliste, à un activiste de gauche, à une membre du gouvernement, au président de la République, aux associations pro-islamistes, c’est que la réalité leur saute à la figure. Depuis des jours ils ramaient comme des malades pour convaincre les Français de la vilenie d’Eric Zemmour et de l’innocence de l’islam dans le dernier attentat sanglant à la Préfecture de Police de Paris (PPP).
    En même temps, l’activiste élyséenne Sibeth Ndiaye tentait une fois de plus de dissuader les Français d’écouter ou de lire les ré-informateurs de l’opposition et de suivre religieusement les cafouillages et les mensonges de la presse officielle.
    Et voilà que le Parquet anti-terroriste déclare qu’il s’agit bien d’un attentat islamiste, très modèle Daesh (1) de surcroît, et avec préméditation.

    egorgement-300x196.jpgTrop d’indices concordants : le Parquet n’avait pas le choix

    Il y eut l’ineffable Castaner, ci-devant ministre de l’Intérieur, pour venir minimiser l’affaire devant les caméras, il doit aujourd’hui choisir de se défendre soit pour ses mensonges, soit pour son incompétence.

    Puis l’humoriste Sibeth Ndiaye fit son numéro habituel de haine anti blogs et sites de réinformation, grâce auxquels les médias peuvent enfin s’informer sur les faits et rectifier les fake news qu’ils ont publiées dans les premières heures.

    D’abord le Parquet anti-terrorisme décide de ne pas suivre la piste de l’acte terroriste. Des problèmes de Mickaël Harpon avec sa hiérarchie furent évoqués, un dépit amoureux, des problèmes psychiatriques… mais les indices s’accumulant : rapidité d’exécution, précision des coups mortels, égorgement, montrent, sinon un professionnel, au moins un homme bien entraîné. Ses liens avec la mosquée salafiste de Gonesse sont alors révélés, sa radicalisation remontant à une dizaine d’années. Le Parquet décide alors de requalifier le massacre de la PPP en acte terroriste avec préméditation.
    Il ne pouvait guère faire autrement : il ne faut pas prendre les policiers pour des imbéciles comme le fait la gauche.

    Comme je l’indiquais dans mon dernier article que Minurne a publié, il y a trop de signes montrant que le tueur, Mickaël Harpon, n’était pas un malheureux sourd-muet mais un homme entraîné à tuer vite et de manière à ce que ses victimes (cinq et non quatre) n’aient pas la possibilité de crier, de donner l’alerte, de résister comme des policiers aguerris comme le sont ceux de la préfecture. Or, le seul moyen d’obtenir ce résultat, c’est d’égorger, car même un coup direct au cœur n’empêche pas un cri, un râle, quelque chose qui alerte dans le bureau voisin.Et où apprend-t-on à égorger vite et bien ?

    Des prétendues mosquées où l’on apprend à tuer, il y en a plusieurs en France, soigneusement éparpillées dans tout le pays et quelques-unes en région parisienne. Il est difficile d’affirmer que la mosquée de la Fauconnière à Gonesse où résidait Mickaël Harpon en fait partie, mais de nombreux éléments plaident en ce sens.

    Le site internet de la mosquée de Gonesse en apprend beaucoup (4)

    En se rendant sur le site de cette mosquée, on voit que parmi les prêcheurs invités se trouve Youssef Baouendi, dirigeant le Bureau de l’organisation de la Ligue islamique Mondiale basé à Mantes-la-Jolie. L’imam de la mosquée de Gonesse, le marocain Hassan El Houari, est membre du Conseil théologique des musulmans de France, composé à sa grande majorité de prédicateurs de la mouvance Frères Musulmans. S’il invite Youssef Baouendi, ce n’est pas par hasard.

    Officiellement  « la LIM s’efforce de faire connaître la charia et de répandre l’enseignement islamique à travers la construction d’écoles et d’instituts musulmans, avec appuis et apports». Appuis et apports de qui ? Ce n’est pas dit. Et selon ses nouveaux statuts de 2016 la LIM « contribue à faire vivre le message de l’Islam, dans le sens qui est le sien : celui de l’équilibre et de la modération, combattre les mouvements qui prônent la violence, s’engagent dans le terrorisme, et pratiquent l’exclusion, pour construire un monde de paix, de justice, et de coexistence harmonieuse».
    Taqyya quand tu nous tiens !

    La Ligue a statut d’observateur (catégorie A) à l’ONU. Elle est accréditée par l’UNICEF. Elle a statut d’observateur à toutes les conférences de l’Organisation de la Conférence Islamique (Frères musulmans). Elle est membre fondateur de l’International Supreme Council for Dawah and Relief, une organisation islamiste radicale créée par l’Arabie saoudite.

    La LIM est considérée par les gouvernements européens comme une organisation gouvernementale internationale.

    En réalité, selon la Commission d’enquêtes judiciaires du Sénat américain, c’est une instance salafiste wahhabite  dont le siège est à La Mecque et qui dépend directement de l’État saoudien

    Elle prêche peut-être la paix et la coexistence harmonieuse, mais « en même temps », elle finance des mosquées et des mouvements islamistes extrémistes. C’est ce que Mohammed Sifaoui, appelle La Taqyya dans son dernier livre.

    Hassan el Houari invite aussi à la mosquée de Gonesse, à laquelle la municipalité socialiste vient de donner un terrain de 5000 m2 pour la remplacer par une grande mosquée, Ahmed Jaballah, ex président de l’UOIF et membre du Conseil européen de la fatwa (CEFR) et de l’Union internationale des savants musulmans (UISM, tous deux présidés par Yousef Al Qaradâwi, le guide spirituel des Frères Musulmans (2).
    Sans oublier Larbi Becheri également membre du CEFR et de l’UISM et responsable de l’École de charia des Frères Musulmans en France. Ni Ounis Guergah, diplômé en charia de l’Université de Médine, membre du CEFR et de l’UISM, professeur de théologie musulmane et directeur des études à l’IESH de Paris, la « Faculté d’études islamiques » comme l’annonce un panneau indicateur (3).

    Hassan El Haroui lui-même a des prêches « de paix » :  » Combattre les incroyants est la plus grande des causes. En fait, c’est la meilleure chose qu’une personne peut rechercher.
    Allah dit, Coran, 4:95 : « Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux-sauf ceux qui ont quelque infirmité- et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense, et Allah a mis les combattants au dessus des non-combattants, en leur accordant une rétribution immense. »
    Dans un prêche de septembre dernier, il réclamait l’éradication de l’État français et la création d’un État musulman régi par les lois de l’islam.

    Avec d’aussi excellents professeurs, on comprend que le pauvre Mickaël Harpon ait basculé dans le crime islamique.

    Il est inquiétant de voir que les services de renseignement de la PPP tolèrent en leur sein des musulmans fréquentant les mosquées compatibles avec la pensée salafiste et « salafiste-réformiste » des Frères Musulmans.

    La forte emprise des Frères musulmans sur la France

    L’emprise des Frères musulmans sur la France est très forte ; elle est surtout très organisée et en passe de contrôler le pays dans quelques années. Mohamed Sifaoui est un journaliste franco-algérien connu pour son courage à infiltrer les réseaux islamistes et criminels. Son franc-parler lui vaut souvent des ennuis. Il est depuis janvier 2018 directeur de la revue Contre-Terrorisme. Dans son dernier livre, Taqiyya, il fait une description glaçante de l’entrisme des Frères musulmans dans les institutions françaises et jusqu’au sommet de l’État où le Frère Hakim el Karoui a su devenir l’ami et confident du Président Macron, qui n’y voit que du feu et le croit modéré et musulman bien français.

    Dans Taqiyya on comprend que si la stratégie des Frères musulmans consiste essentiellement dans une entreprise d’infiltration, d’entrisme, et que sa tactique relève donc principalement de la dissimulation, la taqiyyales attentats terroristes collectifs ou individuels comme celui qui vient d’ensanglanter la PPP ne sont pas sans lien avec la doctrine islamiste globale à laquelle se rattache celle des Frères musulmans.

    On découvre un réseau fait de liens d’amitié et d’allégeance, de clientélisme et d’intérêts divers, de circuits de formation comme l’IESH, et on découvre l’ampleur des champs d’intervention et le nombre d’organisations et d’associations fréristes de toute nature qui irriguent la France.
    Sifaoui rapporte un propos saisissant d’un responsable du CFCM (Conseil Français du Culte Musulman : « …si des personnes liées à l’UOIF sont éparpillées sur le territoire national, ce n’est pas le fruit du hasard. Si Abdelhaq Nabaoui est en Alsace, Amar Lasfar dans le Nord, Tareq Oubrou à Bordeaux ou Azzedine Gaci dans la région lyonnaise, à Villeurbanne, c’est aussi pour se répartir les rôles et être présents localement. Si les pouvoirs publics prétendent ignorer cela, c’est qu’ils vous mentent ».

    Ils mentent peut-être, ils font surtout preuve d’une méconnaissance dramatique, voire criminelle, de ce qu’est l’islam conquérant et de qui sont les personnages sulfureux qu’ils fréquentent et en lesquels ils ont confiance. C’est Juppé avec Oubrou, Macron avec El Karoui… Des naïfs qui se font rouler dans la farine de blé dur islamiste. « Pendant ce temps en France, l’installation de la pensée des Frères musulmans s’opère en silence », par l’action de nombreux immigrés accueillis comme « réfugiés politiques » ou « étudiants » qui diffusent leur doctrine dans les banlieues qui deviennent depuis quelques années, notamment par le regroupement familial, des espaces de repli identitaire et de fermentation anti-occidentale, explique Sifaoui.

    Suricate 6 octobre 2019

    1 : Daesh, dans ses dernières déclarations, recommandait à ses fidèles d’attaquer et de tuer des militaires des policiers, des gendarmes…

    2 : Si Youssef al-Qaradawi a choisi de ne pas être officiellement le guide suprême des Frères musulmans, il en est pourtant le leader incontesté. Déclaré persona non grata dans de nombreux pays, condamné à mort en Égypte pour des liens supposés avec le Mossad, recherché par Interpol, notamment pour apologie du terrorisme et appel au meurtre des homosexuels, le prédicateur égypto-qatari vit des jours tranquilles et luxueux au Qatar où il s’est réfugié.

    3 : L’IESH, Institut Européen des Science Humaines, plus connu en Arabie comme « La maison d’Allah en France » et un organisme d’enseignement de l’islamisme financé par les inscriptions des étudiants, Qatar charity et de nombreux milliardaires du Golfe. Son trésorier est, selon les Renseignements Généraux, un militant islamiste convaincu.

    4 : Sources Le ParisienObservatoire de l’islamisation

    https://www.minurne.org/billets/21675
  • A Londres, des militants du mouvement « Extinction Rebellion » auraient été payés 450 euros par semaine

    Selon The Mail en Sunday, certains militants britanniques du groupe écologique seraient grassement financés par de riches donateurs. En effet, selon le journal qui a eu accès à des documents financiers, le groupe Extinction Rebellion, qui mène des actions dans plusieurs capitales, dont Londres et Paris, aurait payé ses militants et ce jusqu’à 450 euros par semaine au Royaume-Uni. En quatre mois, le « défraiement » des activistes aurait atteint 80.000 euros, précise le journal, insistant sur le fait que la plupart des milliers de militants qui ont pris part au mouvement à Londres sont des bénévoles. Ce sont les organisateurs qui sont payés.

    Toutefois, selon le site Checknews, si « plusieurs millionnaires ont fait d’importants dons au mouvement, qui a perçu au total 2,5 millions de livres depuis le mois de mars », cette accusation « ne peut pas être faite contre le mouvement français, qui a refusé les dons du Climate Emergency Fund et ne se finance que grâce à du crowdfunding local ».

    Un député du parti conservateur a demandé qu’une enquête fiscale soit réalisée. Le mouvement pourrait subir un important redressement fiscal s’il s’avère que les sommes versées sous forme de défraiement doivent être requalifiées en salaires.

    Atlantico

    https://www.tvlibertes.com/actus/a-londres-des-militants-du-mouvement-extinction-rebellion-auraient-ete-payes-450-euros-par-semaine