Dans la série « Un président ne devrait pas dire, faire ça », les épisodes semblent infinis. Inversement proportionnels au nombre de référendums accordés au peuple d'ailleurs. Et notre président a l'art de faire se télescoper ces choses qui, apparemment, n'ont rien à voir. Samedi donc, il se dit prêt à « aller au référendum » pour l'adoption définitive du texte sur la réforme du corps électoral en Nouvelle-Calédonie. A l'heure où le calme est loin d'être revenu là-bas, où l'on enterre les morts, la gravité de la situation impose un réflexe présidentiel à notre président. Et puis, dans la soirée, des vidéos tournent nous montrant le même Emmanuel Macron plus que décontracté dans un bar de Tourcoing pour la finale de la Coupe de France de foot à Lille. Pour ceux qui ne l'auraient pas compris, Gala explicite le message délivré par la propagande présidentielle : « Bière à la main et maillot floqué, Emmanuel Macron est un supporter de foot comme les autres ».
magouille et compagnie - Page 106
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Macron et Darmanin au bar du coin un soir de foot : au mauvais endroit au mauvais moment
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La menace comme méthode européenne
Après l’Europe des magouilles, celle des mafieux ou les menaces servent d’argument pour contraindre les dirigeants de pays amis à se plier aux volontés des commissaires européens et à leurs commanditaires. Ainsi le Premier ministre Georgien Fraki Kobakhide nous rapporte une scène que l’on aurait crue écrite pas Coppola pour le Parrain. Hélas c’est bien un témoignage glaçant que cet homme nous livre. Lors d’une conversation téléphonique, un commissaire européen, Olivier Varhelyi lui a glissé au creux de l’oreille : « Vous avez vu ce qui est arrivé à Fico ? Qui s’est fait tirer dessus, vraisemblablement pour avoir évoqué le scandale des vaccins. « Vous devriez être très prudent » et de tenter de s’absoudre maladroitement, on aurait donc mal interprété. Mais son explication conforte tout simplement ce qui lui est reproché, il s’enferre, persiste et signe. Cette menace faisait écho à la loi sur les Agents Etrangers que l’UE ne veut pas voir adoptée.
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Le contrôle des âmes deviendra-t-il une institution ?
Par Gérard Leclerc
« Dans les républiques démocratiques, la tyrannie laisse le corps et va droit à l’âme. Le maître n’y dit plus : ‘Vous penserez comme moi, ou vous mourrez’ ; il dit : ‘Vous êtes libres de ne point penser ainsi que moi ; votre vie, vos biens, tout vous reste : mais de ce jour, vous êtes un étranger parmi nous’ […] Quand vous vous approcherez de vos semblables, ils vous fuiront comme un être impur… »
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Le critiquerait-on trop ?
Quand on dénonce les postures ou actions du gouvernement, ou de Macron, certains détracteurs y voient un acharnement injustifié, ou une mauvaise foi avérée. La critique est jugée insupportable car elle pointe du doigt ce qui est fait ou pas d’ailleurs, sans se préoccuper de l’effort réalisé. Les mêmes concluent, non sans une amertume compréhensible, que quoique le pauvre homme fasse, il se trouve sous le feu des accusations, forcément injustes et infondées, et rejettent cette virulence sur la liberté d’expression qui permet ce genre d’écarts, ou le manque de courage de ceux qui auraient l’outrecuidance d’émettre des solutions en lieu et place des spécialistes.
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Coutances : l’appel à la prière islamique dans la cathédrale… avec la bénédiction de l’évêque !
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Quand la woke-écologie traque ses « brebis galeuses »
La chronique de Philippe Randa
On savait depuis longtemps, en tout cas depuis Pierre Victurnien Vergniaud, avocat, homme de loi et homme politique (1753-1793), que « la révolution est comme Saturne : elle dévore ses propres enfants »… Les exemples dans l’histoire de l’Humanité sont légion et puisque la Nouvelle Calédonie défraie la chronique ces temps-ci, rappelons seulement pour mémoire l’assassinat du leader Kanak Jean-Marie Tjibaou le 4 mai 1989 à Ouvéa par par un autre indépendantiste kanak, Djubellu Wéa qui le trouvait trop modéré… Jean-Marie Le Pen, président du Front national à cette époque, avait alors déclaré en guise d’oraison funèbre qu’« un pur trouve toujours un plus pur qui l’épure. »
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“Sales fafs” : une bibliothèque parisienne d’ultra-gauche vandalisée par des activistes d’ultra-gauche car le bibliothécaire aurait refusé de diffuser un livre d’Houria Bouteldja
Dans la nuit de samedi à dimanche les vitres de la bibliothèque des Fleurs Arctiques ont été brisées et la façade taguée « Sales faf Free Pales » et « NVM » (probablement « niquez vos mères »).
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“Putes”, “Ferme-la, con, naïf, incompétent, ignorant, débilos…” : Pourquoi Gabriel Attal ferme-t-il les yeux sur les accusations ayant conduit aux départs de la quasi-totalité des membres du cabinet de Prisca Thévenot ?
« Je ne peux continuer à subir les propos et l’attitude injurieuse et humiliante de la ministre qui n’a pas hésité, encore peu après 7 heures, ce matin, à hurler au téléphone que je me fais manipuler par “des filles”, qui plus est “des putes” », a notamment rapporté un collaborateur à la nouvelle directrice de cabinet, indiquant avoir été lui-même traité de « pervers narcissique » par Prisca Thevenot.
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Menaces à peine voilées
Rapportés par Irakli Kobakhidze lui-même, les propos lui auraient été tenus par un commissaire européen lors d'une conversation téléphonique au sujet de la loi sur les agents étrangers. -
Délinquance des mineurs : Attal recule déjà devant les juges de gauche…