Le contraste a de quoi saisir. Les États-Unis suspendent temporairement les octrois de visas aux habitants de la bande de Gaza. La France, elle, octroyait en juillet le statut de réfugiés à... tous les Palestiniens !
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Depuis une petite semaine, la municipalité communiste de Noisy-le-Sec occupe le devant de la scène médiatique, entre les bouffées de chaleur d’un été torride et la rencontre en Alaska d’un Russe qui tire son épingle du jeu et d’un Américain qui a juré de finir de se payer la vieille Europe, qu’il vient d’ailleurs de rançonner. Imaginez-vous qu’un « petit groupe de quartier » (je vous rassure, ce ne sont pas des paroissiens de Saint-Nicolas-du-Chardonnet), composé de trois ou quatre péquins, a menacé de casser tout le matériel de projection cinématographique de la ville si Barbie, le film de Greta Gerwig, financé par Mattel – le fabricant des poupées Barbie qui inondent le monde, qu’il s’agisse de la version Barbie portant le voile islamique ou de la poupée handicapée ou estropiée – était diffusé en plein air sur grand écran. Comme le souhaitait une majorité d’habitants de la ville, en grande partie peuplée de Maghrébins.

Il faudra que Trump leur explique que c’est Poutine qui a gagné cette guerre.
Ils se croient tous encore en 1990, quand l’URSS était exsangue. Ils n’ont toujours pas réalisé qu’en 25 ans, Poutine a reconstruit non seulement son armée, mais tout son pays, le nettoyant des crapules sans foi ni loi qui l’avaient mis en coupe réglée après la chute du Mur.

L’Europe se dépêche pour incorporer la Suisse, qui, si ma mémoire est bonne, avait rejeté par consultation l’idée d’adhérer à ce machin infâme, il y a déjà plusieurs années. Qu’à cela ne tienne, ce ne sera pas la première fois qu’un referendum est contourné, piétiné, violé, sali… C’est même une constante dans cette organisation totalitaire. Les peuples sont mis en avant quand ils servent les intérêts de la propagande, jamais quand ils seraient susceptibles de donner leurs avis, ou d’infléchir des politiques absurdes et ruineuses. Là, c’est donc la Suisse qui est dans le viseur, juste au moment où le monde entier se rend compte que cette EU ne représente rien, ne pèse rien, n’est écoutée par personne et se marginalise par sa volonté d’imposer une vision de l’avenir qu’elle est la seule à promouvoir, le tout posé sur des fondements que certains accusent de fanatisme idéologique nazi, beaucoup trop des personnages clés de cette organisation comptent dans leur lignée d’anciens nazis. Une forme de satanisme pointe également, puisque systématiquement, sont érigés en exemple des scènes de l’apocalypse, vendues soit comme des erreurs, vous savez le fameux, « oups on n’avait pas fait gaffe », ou carrément comme des interprétations artistiques géniales, que nous autres les abrutis de conservateurs sommes incapables de comprendre, c’est tellement puissant que ça dépasse nos pauvres cervelles restées bloquées aux années 30.

Le Monde, nom si péremptoire lorsqu’on ne représente qu’une infime poignée du vrai monde. Un journal qui se voulait la référence et n’est plus qu’une décadence morale et textuelle quand on voit la pauvreté argumentaire de ses gratte-papiers bouffis de fatuité. Ce Monde, qui tourne dans le sens inverse des aiguilles du temps en se croyant toujours à l’heure mitterrandienne, n’a donc pas encore pris la mesure du ras-le-bol généralisé concernant la « culture » de gauche. Laquelle culture se fissure de partout, continuant à coûter des sommes indécentes aux contribuables – suivant le travers gauchiste de vivre sur le dos de ceux qu’on insulte – sans rapporter un sou, parce que le goût de l’infâme commence à lasser le public.