
On croyait être débarrassé de lui à jamais, et voilà que Bayrou n’a rien trouvé de mieux que de le prendre dans son gouvernement, et de le coller au ministère d’Outre-mer.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

On croyait être débarrassé de lui à jamais, et voilà que Bayrou n’a rien trouvé de mieux que de le prendre dans son gouvernement, et de le coller au ministère d’Outre-mer.

Bernard Lugan - Article paru sur le site du Nouveau Présent, cliquez ici.
Le gouvernement algérien ose demander à la France une réévaluation de la valeur locative de ses emprises diplomatiques en Algérie et le remboursement de loyers prétendument « sous-payés », alors qu’il s’agit de bâtiments construits par la France avec l’argent des Français sur des terrains qui appartenaient à la France avant 1962…
Sans parler des centaines de milliers d’immeubles, d’appartements, de villas, de fermes, de commerces, d’entreprises, de véhicules et de machines volés aux Français lors de l’indépendance de 1962.

Quand la France brûle, Macron plante des panneaux solaires. Ce n’est pas une série de malchances, c’est une stratégie. Le feu est un outil, il dégage, il efface, il prépare le terrain. Et sur ce terrain dévasté, on installe une autre France. Une France sans paysans, sans éleveurs, sans vignerons. Une France des serveurs, d’objets connectés et de dépendance énergétique.
/image%2F1421009%2F20250811%2Fob_ad8bad_l-ue-wokiste.png)
Dans une récente décision (452850), le Conseil d’État a fait droit à une requête de l’association Mousse, qui contestait à la SNCF le droit de demander sur sa plate-forme en ligne la civilité de ses clients (« Madame », « Monsieur »). Ladite association se définit ainsi : « Mousse, ce sont des super héros en slip vert qui utilisent des moyens juridiques pour faire avancer les droits LGBTQI + ».

Même une partie des défenseurs habituels de l’UE a exprimé sa sidération face à l’accord signé par Ursula von der Leyen avec Donald Trump. Il faut dire que c’est une reddition en rase campagne : l’UE cède à toutes les demandes des USA. L’alliance européenne ne nous a donné aucune prise dans la négociation, affaiblissant notre main, au lieu de nous aider à peser. Voilà qui en dit long sur l’UE.

Balbino Katz, chroniqueur des vents et des marées
Je venais de quitter le bar de l’Océan au Guilvinec, abandonnant derrière moi le brouhaha des voix et ce mélange tenace de café corsé et de vin blanc qui imprègne l’air des ports. En longeant le quai, je gagnai le pont qui conduit à Lechiagat. Tandis que je le franchissais, je me surpris à évoquer les récits de ma mère : avant-guerre, me disait-elle, cet ouvrage n’existait pas. À marée basse, on passait d’une rive à l’autre en sautant de pierre en pierre, au risque de choir sur les goémons luisants. À marée haute, il fallait recourir aux passeurs, silhouettes robustes maniant à la godille leurs canots trapus pour conduire hommes et femmes d’un bord à l’autre.
par Serge Van Cutsem
«On ferme des productions locales au nom du climat, puis on importe de beaucoup plus loin avec plus de pollution et moins de garanties de qualité ce qu’on peut produire ici. D’Ibbenbüren au MERCOSUR, des fermes françaises aux cargos de bœuf et de produits laitiers, se dessine une écologie à deux vitesses : restrictive pour les citoyens, et profitable pour les multinationales. Derrière les discours «verts» il y a un sabotage méthodique du bon sens».
Dans l’épisode précédent, j’ai détaillé l’histoire du charbon Ibbenbüren, cette petite ville allemande devenue symbole mondial de l’absurde climatique avec la fermeture de sa mine automatisée, rentable et située à côté d’une centrale, ceci au nom de l’écologisme, et j’insiste sur le suffixe «isme» qui fait toute ma différence. Cette même centrale qui a continué de tourner durant plus de 3 ans en brûlant du charbon importé d’outre-mer (Russie, Colombie, USA, puis Australie, Afrique du Sud, Indonésie après 2022).