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magouille et compagnie - Page 1855

  • Monsieur 12 % !

    88% des Français ne veulent plus de cet homme, élu Président de la République par défaut, par faillite d’un système.

    Le temps d’un voyage et le retour s’annonce aussi morose que les quatre dernière années. Il y eut Molenbeek, les manifestations contre la loi El Khomry au cours desquelles des jeunes gens si peu épris d’études avaient incendié, bastonné les policiers sans que ceux-ci puissent répliquer. Ces jeunes gens tout de noir vêtus que Valls tient à conserver de par-devers lui pour je ne sais quelle obscure raison. Il y eut ce malheureux jeune policier insulté et enfariné par un lycéen pour qui l’autorité, visiblement, n’avait aucune valeur et qui s’est retrouvé en garde à vue pour un malheureux coup de poing. Il y eut aussi, sur le plan économique, la poursuite infernale d’un chômage qui n’arrête pas d’augmenter. Plus de dix millions de Français sont désormais sans emploi. Un record absolu. Puis ces « Panama Papers » qui citeraient deux membres du FN mais surtout pas le trésorier de la campagne du candidat socialiste

    Il y a surtout la calamité d’un homme qui s’accroche à son siège doré malgré 12 % d’opinion favorable. Traduction : ce sont en fait 88 % des Français qui ne veulent plus de cet homme, élu président de la République par défaut, par faillite d’un système, par erreur dont la France paiera pendant encore longtemps l’élection.

    Je m’étonne d’ailleurs qu’à ce stade, les sondeurs trouvent encore 12 % de Français croyant encore en François Hollande. Pour nous, lecteurs de Boulevard Voltaire, cela paraît surréaliste.

    Je l’écoutais encore hier, dans la cour des Invalides, hachant sa lecture d’une épitaphe adressée à la dépouille d’Alain Decaux dont il a osé dire, et sans frémir, que la religion de cet immense historien, c’était la République. Car selon Sa Majesté François, il ne peut exister d’autres religions que la sienne, celle qu’il préside, celle dont il est le dieu incarné.

    Il faut croire, d’ailleurs, qu’il se croit au-dessus de tous puisque, enfermé dans sa tour d’ivoire, il projette d’aller à la rencontre du peuple, de son bon peuple, celui dont il refuse de croire qu’il ne l’aime pas ou plus. Ses conseillers en com’ lui auraient préparé une tournée discrète pour aller convaincre, un par un, que lui seul peut, à gauche, remporter la prochaine élection.

    Bon vent, Monsieur Hollande. Ne craignez rien des mauvais citoyens : ils auront été isolés le temps de votre visite, comme vos services de sécurité savent si bien faire, afin que seuls vos 12 % de supporters puissent vous acclamer.

     dans Boulevard Voltaire

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/monsieur-12_157365.html#more-157365

  • Podemos et SYRIZA corrompus ? Et Nuit debout ?

    Attali et Soros s’attaquent à ce qui reste de cultures et de religions.

    Pas grand monde ne se pose la question sur le financement de ces partis sortis de nulle part et qui arrivent à se tailler le chemin au plus haut de leurs États. La surprenante victoire de SYRIZA en Grèce et celle du « faiseur de roi » Podemos en Espagne, qui n’est plus gouvernée, depuis que le « Yes We Can » espagnol est venu troubler la vie politique en deux ans seulement. Désormais, en France, apparaît sur le modèle espagnol « Nuit debout ». Force est de constater que l’orientation idéologique est la même que pour SYRIZA et Podemos.

    Podemos, le parti qui veut laver plus blanc que blanc, est pris la main dans le sac du financement illicite. La loi espagnole interdit strictement le financement en provenance de l’étranger. Pablo Iglesias fait donc l’objet d’une enquête policière depuis janvier de cette année pour avoir perçu la modeste somme de cinq millions de dollars par le biais d’un homme d’affaires iranien, M. Alizadeh Azimi, qui gouverne la chaîne de télévision Hispan TV, financée par le gouvernement iranien. Pour brouiller les pistes, l’homme d’affaires a utilisé des moyens détournés, en passant par divers pays et en gonflant les factures. Ce fait met en porte-à-faux le « Monsieur Propre » espagnol, qui déclarait de manière tonitruante sur Cuatro TV : « Lorsque Podemos sera au gouvernement, JP Morgan ne pourra plus prendre son téléphone pour nous dire ce que nous devons faire. Les gens votent pour des gouvernements et non pour des banques d’investissement. » Les mollahs pourront, eux, prendre leur téléphone ?

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  • Les Panama Papers sont-ils le « coup de maître » des Etats-Unis annoncé dès mars ?

    Avec la publication des « Panama Papers », un article publié en mars dernier par le professeur à l’université de Genève Raphaël H. Cohen et signalé par l’éditeur suisse Slobodan Despot dans sa lettre hebdomadaire Antipresse prend des allures de prédiction.

    L’article, intitulé « Le coup de maître des USA », est paru le 14 mars 2016 sur le site de l’Agefi, l’Agence économique et financière, à Genève. Raphaël H. Cohen y explique que, à son « humble analyse, les Américains sont en train de déployer un plan diabolique qui va renflouer le trésor américain. La beauté du plan est que, sa finalité ne sautant pas aux yeux, la plupart des gens ne s’en méfient pas. De plus et surtout, il est presque imparable ».

    Selon l’économiste suisse, lui-même homme d’affaires, ce « plan diabolique » a déjà connu trois actes. Acte I : la signature du Facta (Foreign Account Tax Compliance Act), par lequel les grandes banques – notamment suisses – se sont engagées à livrer aux Etats-Unis les noms des citoyens américains ou simples résidents aux Etats-Unis détenant des avoirs chez elles. La première conséquence est de soumettre à l’impôt les actifs qui n’avaient pas été déclarés, la deuxième est que « ces détenteurs, n’étant plus bienvenus auprès des établissements étrangers, sont très tentés de rapatrier leurs fonds dans des banques américaines. Cela a bien sûr renforcé ces dernières en augmentant leur profitabilité tout en affaiblissant leurs concurrents étrangers ».

    Acte II : par un accord bilatéral avec la Suisse, les banques helvétiques sont désormais contraintes d’acquitter une pénalité sur les actifs des Américains qu’elles ont imprudemment hébergés depuis 2008. Ce n’est pas tant le montant des sommes recueillies par le Trésor US qui compte que le message que reçoivent toutes les banques du monde : il ne devient plus très raisonnable d’accueillir des citoyens ou résidents des Etats-Unis d’Amérique…

    L’acte III s’est joué à l’OCDE : « Tous les pays, sauf les Etats Unis, se sont engagés à mettre en œuvre la Norme d’échange automatique de renseignements relatifs aux comptes financiers en matière fiscale de l’OCDE (EAR) », sachant que « le hasard faisant bien les choses, le seul pays signataire de l’EAR qui bénéficie d’une exception au devoir de transmission est… les Etats Unis. Cela en fait la star des rares pays pouvant accueillir les actifs qui fuient les pays engagés à transmettre les informations dans le cadre de l’EAR ».

    Commentaire de Raphaël H. Cohen : « Il apparaît donc que les Américains ont, jusqu’à présent, fait un parcours sans faute. Ce sont même les seuls à tirer leurs marrons du feu en profitant d’un transfert massif d’actifs vers leurs paradis fiscaux (Delaware, Nevada, Wyoming et autres) en profitant notamment du fait que leurs institutions ne sont pas soumises à l’obligation de transmettre les informations de l’EAR. Pendant ce temps, les banquiers suisses, bientôt suivis par leurs concurrents non-américains, se consument avec moins de revenus et des charges de compliance astronomiques, auxquelles les banques américaines échappent joyeusement. »

    L’économiste suisse fait alors cette prédiction – son article, rappelons-le, a été publié le 14 mars 2016 :

    « Le prochain round consistera pour les Américains à intensifier la pression pour faire en sorte que le seul refuge vraisemblable pour les actifs non déclarés soient les banques des paradis fiscaux américains (sauf pour les Américains qui sont déjà faits comme des rats, du fait qu’ils sont déjà devenus persona non grata presque partout). Pour bétonner leur attractivité, il suffira aux Américains de répliquer les méthodes mises au point avec les Suisses et peut-être même d’en inventer de nouvelles. La clé étant évidemment de décourager les titulaires d’actifs non déclarés de les laisser ailleurs qu’aux Etats Unis. La convention de l’OCDE agit ici comme un magnifique cheval de Troie : sauf si quelques grandes puissances dessaoulent, son application aboutira à faire fuir les actifs non déclarés vers les paradis fiscaux américains. A ce stade, il n’y aura plus d’autre alternative.

    Quand l’étau se sera resserré autour de ceux qui ont encore des actifs non déclarés en dehors des Etats-Unis et que l’essentiel de ces actifs seront hébergés aux USA, bien sûr dans des banques essentiellement américaines, l’heure sera venue pour le coup de grâce : faire en sorte que les détenteurs étrangers d’actifs hébergés aux USA deviennent des… sujets fiscaux américains. Ceci permettra évidemment de les taxer et de toucher le jackpot. »

    http://fr.novopress.info/

  • "Nuit Debout" : malgré les dégradations, la Mairie de Paris ne portera pas plainte

    La Mairie de Paris, qui avait réclamé à LMPT 100 000 € pour refaire les pelouses piétinées du Champ de Mars après la manif du 13 janvier 2013, ne portera pas plainte contre les dégradations de Nuit Debout :

    Marie Bethanie

  • Soros : après les Femen et les No Borders, l’affaire Panama Papers…

    Charles Demassieux Riposte laïque cliquez ici

    Qui est George Soros, dont on entend souvent parler en ce moment dans l’affaire des Panama papers, scandale financier que beaucoup d’élus font mine de découvrir, avec une hypocrisie qui force le respect ?

    D’après le site georgesoros.com, il « a été un partisan international de premier plan des idéaux et des causes démocratiques depuis plus de 30 ans. Son organisation philanthropique (Open Society Foundations – OSF) soutient la démocratie et les droits humains dans plus de 100 pays. » Jusqu’ici, tout va bien, parce qu’un philanthrope est une « personne qui est portée à aimer tous les hommes » (Le Robert). Tous les hommes ? Pas exactement, parce que tous les hommes ne se valent pas, selon ce milliardaire sulfureux.

    De son vrai nom György Schwartz, George Soros est né en 1930 à Budapest, dans une famille hongroise juive intellectuelle ; son père était médecin, avocat et écrivain. La situation politique dans son pays, devenue hostile aux juifs et proche du régime nazi, le contraint à changer de nom. Il parvient toutefois à éviter la déportation, tout en négociant des devises sur le marché parallèle hongrois. Plus tard, il admettra s’être approprié des biens de juifs déportés, se justifiant ainsi : « Si je ne l’avais pas fait, d’autres l’auraient fait. Parce que, si je n’avais pas fait ça, je n’aurais jamais eu d’argent. » L’argent, ou le baromètre moral de Soros !

    En 1947, Soros part s’installer en Grande-Bretagne pour fuir le régime communiste et y poursuivre des études. En 1956, il s’installe aux États-Unis avec l’irrépressible envie de devenir riche. Il exaucera son vœu au-delà de toutes ses espérances, puisqu’il est à ce jour l’une des plus grandes fortunes mondiales.

    Il crée alors un fond d’investissement, le Soros Fund Management. En 1973, il fonde, avec Jim Rogers, Fond Quantum, dont les gains vont dépasser les 30% pendant une dizaine d’années. C’est en 1992 que le monde fait sa connaissance, tandis que l’Europe traverse une crise monétaire. Cette crise sera d’ailleurs l’un des arguments majeurs pour la monnaie unique.

    Soros, par ses spéculations sur la livre, contraint l’Angleterre à sortir du système monétaire européen, profitant des faiblesses du marché pour s’enrichir, en bon financier qui se respecte ! On le surnommera même « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre ». Dit plus crûment, ça donne : « Etant donné la situation économique de l’Angleterre et le niveau des réserves de change, une attaque spéculative d’ampleur pourrait obliger l’Angleterre à sortir du Système Monétaire Européen (SME) et à dévaluer sa monnaie. En vendant à découvert la livre sterling, ce serait alors le jackpot. » En ce sens, Soros incarne à merveille la finance internationale qui se fout allègrement des conséquences humaines de telles pratiques !

    Mais Soros se veut aussi philanthrope : il crée plusieurs fondations, regroupées autour de l’OSF, « dont le but est de défendre les droits humains et promouvoir la gouvernance démocratique », et étend son influence au terrain politique. Mégalomane, il se définit comme un « chef d’État apatride ». Sa générosité ne connaît pas de limites, avec pour but de changer le monde, ce qui fait joli sur le papier : pas dans la réalité.

    Ainsi, il chapeaute des associations et des projets qui, tous, convergent vers un seul but : détruire l’identité des Nations occidentales. En 2009, il finance une étude en France sur les contrôles au faciès ; en 2012, il offre 35 000 euros au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Cette association défend le port du voile, prône un « islam identitaire agressif », tel que rapporté dans un article du Figaro. Et ça, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, car cette association « profite de ce combat légitime pour faire avancer des causes plus suspectes », selon le Huffington Post, site d’information pourtant très « propre » sur lui idéologiquement !

    Dans la crise des migrants – décidément, cet homme ne s’épanouit que dans les crises ! –, Soros joue son rôle en finançant les « No Border », groupuscule d’ultra-gauche qui refuse les frontières et soutient le flux migratoire sauvage en Europe. Flux migratoire qui charrie aussi des terroristes, nous le savons à présent.

    Auparavant, il y aura la crise ukrainienne. Sur CNN, Soros déclare avoir pris une part importante dans les événements de Kiev, en soutenant les pro-Européens, car, pour lui, la Russie a « une autre vision du monde où la violence remplace l’État de droit ». Comprenez : la conscience identitaire est haïssable. D’où son rejet pour toutes les Nations qui la revendiquent, dont Israël, via une organisation comme Human Rights Watch, abondamment arrosée par ses dollars, ou l’Arab Regional Office.

    Mais l’ingratitude étant ce qu’elle est, BDS (Boycott Apartheid Israël) a récemment mis en demeure ce mécène de l’islam : « Nous appelons toutes les organisations palestiniennes, arabes et internationales, qui ont reçu des fonds des fondations Soros, à faire pression sur M. Soros pour qu’il nettoie son portefeuille d’investissements dans des violations des droits de l’homme, et à s’abstenir de demander des fonds de ces fondations s’il ne parvient pas à le faire. » Voici donc l’arroseur arrosé !

    Soros déverse aussi son fric sur les Femen et LGBT, évidemment, puisque ça participe de la déconstruction des identités et qu’il faut normaliser l’indétermination sexuelle dans le meilleur des mondes du milliardaire !

    Cependant, la preuve de l’échec du modèle Soros, c’est le soulèvement de ces identités un peu partout en Occident. Ce prédicateur économique et politique devrait se souvenir qu’« On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes. » (Louis XVI)

    Quant à l’affaire des comptes offshore du Panama, Soros est-il derrière ou pas ? Disons que la présomption d’innocence, étant donné son pedigree, est difficile à admettre !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Flop pour Belkacem et ses amis francs-maçons

    Retour sur le colloque organisé conjointement par la Grande Loge de France (GLDF) et la Grande Loge Féminine de France (GLFF) avec le soutien du ministre de l’Education nationale Najat Vallaud-Belkacem.

    Malgré les renforts de publicité, les invitations placardées dans les couloirs des établissements fréquentés par les étudiants et la retape des professeurs francs-maçons, rien n’y a fait.

    Le colloque franc-maçon destiné à la jeunesse s’est déroulé dans une salle à moitié vide (même pas 300 personnes au lieu des 600 escomptés).

    Les forces occultes attirent de moins en moins de jeunes.

    http://www.medias-presse.info/flop-pour-belkacem-et-ses-amis-francs-macons/52455

  • Le Front National vote contre la Théorie du Genre au conseil régional de Bretagne

    Intervention de Philippe Miailhes (FN) au Conseil Régional de Bretagne:"La Théorie du Genre est la remise en cause de l'altérité Homme/Femme... Vous vous attaquez aux rôles du Père et de la Mère"!

    Michel Janva

  • Le quai d'Orsay aurait étouffé une affaire de pédophilie

    Cela se passe peu de temps après l'affaire DSK, au siège de l'ONU à New-York. Un jeune fonctionnaire du quai d'Orsay (énarque ?) est mis en cause dans une affaire de pédophilie. Le gouvernement le rapatrie pour éviter que l'enquête du FBI n'aboutisse et recase le jeune homme dans une grande banque... 

    Qui était ministre des affaires étrangères à l'époque ? Alain Juppé ou Laurent Fabius ?

    Philippe Carhon

  • Eric Ciotti balance à Christian Estrosi son milliard d’euros de dettes

    Ça va de plus en plus mal entre Christian Estrosi, président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca), et Eric Ciotti, président du conseil départemental des Alpes-Maritimes, pourtant tous deux membre du même parti, Les Républicains.

    Au cours de la séance d’aujourd’hui au conseil régional de Paca, Philippe Vardon, conseiller régional FN, a accusé Christian Estrosi, qui fut le prédécesseur de Ciotti à la tête du département des Alpes-Maritimes jusqu’à fin 2008, d’avoir fait passer « la dette du département de 90 millions d’euros à 747 millions, soit une augmentation de près de 730 % sur 5 ans pour atteindre 942 millions au 31 décembre 2009 par l’effet des engagements contractés sous votre règne ». Près d’un milliard d’euros de dette pour son seul département !

    Philippe Vardon, élu sur la liste de Marion Maréchal-Le Pen, a ajouté, narquois :« Ces chiffres ne viennent pas de l’imagination de vos opposants Monsieur le président mais de votre successeur et ami, Eric Ciotti. Informations contenues dans un savoureux échange de courriers, où il est question de l’aide que vous sollicitez pour votre tramway, daté de février 2016 que je tiens à la disposition de la presse et qui éclaire votre attitude. »

    Et en effet ! Ces courriers, que nous avons récupérés, confirment les chiffres avancés par l’élu FN et montrent une très nette dégradation des relations, déjà tendues, entre Christian Estrosi et Eric Ciotti.

    Les échanges de courriers entre les deux hommes, qui s’échelonnent du 8 au 16 février dernier, portent au départ sur des questions techniques : Ciotti, au nom du département, refuse de s’engager à financer le tramway de Nice, dont Estrosi est maire, en représailles à l’absence de définition du périmètre de compétences entre les différentes collectivités, ce dont il tient le roi du cumul Estrosi, en qualité cette fois de président de la Métropole Nice Côte d’Azur, pour responsable.

    Le ton monte très vite et, dès sa réponse à son « cher Eric », Estrosi parle de « chantage » et accuse son successeur à la tête du département d’avoir pris des décisions qui « posent de graves difficultés » à la ville de Nice, qu’il énumère tout au long d’une missive fastidieuse mais fielleuses, et qui se clôt par cette phrase : « Si les blessures personnelles s’estompent avec le temps, mon souci de bonne gestion m’impose de dire la vérité sur ces questions dans l’intérêt des Niçoises et des Niçois. »

    La réponse de Ciotti, dont nous publions ci-dessous le début, est cinglante, et, plus terrible peut-être pour Estrosi, solidement argumentée. C’est dans celle-ci que l’on découvre que le montant de l’endettement du département des Alpes-Maritimes a grimpé quasiment jusqu’au milliard d’euros à cause de la gestion irresponsable de Christian Estrosi…

    Voir ici 

    http://fr.novopress.info/