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magouille et compagnie - Page 1907

  • Zoom : La novlangue : une arme au service de la superclasse mondiale et cosmopolite (20-10-2015)

  • «Jungle» de Calais : doublement du nombre de clandestins en 3 semaines !

     

    La «jungle» de Calais a vu sa population doubler en trois semaines, passant de 3000 à 5500 à 6000, selon la préfète du Pas-de-Calais. Ce campement de clandestins est en train de se transformer en ville dans la ville, avec bibliothèque, restaurants, école… 

    «Il faudrait peut-être un préfet à l’immigration qui n’existe pas et il faudrait peut-être que l’armée vienne pour surveiller ce lieu» a déclaré Natacha Bouchart, maire LR de la ville de Calais, à RMC info, évoquant cette «ville de 6000 personnes où l’on ne sait pas trop ce qu’il s’y passe à l’intérieur».
    Dans le même temps, le gouvernement affiche une fermeté de façade face à l’immigration illégale. Cherchez l’erreur…

    http://fr.novopress.info/

  • Procès politique contre Marine Le Pen

    Depuis la loi du 16 septembre 2011, les prières de rue sont formellement interdites en France. Les occupations de l’espace public par une pratique religieuse sont mal acceptées des Français car symboliques du communautarisme qui gangrène notre pays.

    L’expression publique de la religion est un droit en France, mais les manifestations sur la voie publique doivent faire l’objet d’une déclaration et peuvent être interdites si elles constituent un trouble à l’ordre public. L’appropriation de l’espace public par une religion est, en outre, contraire au principe de laïcité et peut être assimilée à une occupation conquérante, voire séditieuse, du territoire national. Les prières de rue musulmanes, telles que celles qui avaient cours dans le quartier de la Goutte d’Or à Paris, n’ont d’ailleurs rien de comparable avec les manifestations de caractère traditionnel reconnues par la jurisprudence administrative comme ayant un droit à perdurer.

    Forte de ce constat, et en avance sur la loi du 16 septembre 2011, Marine Le Pen avait déclaré à Lyon au sujet des prières de rue : « Je suis désolée mais, pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s’il s’agit de parler d’Occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça, c’est une occupation du territoire. […] C’est une occupation de pans du territoire, des quartiers, dans lesquels la loi religieuse s’applique, c’est une occupation. Certes, il n’y a pas de blindés, pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants. »

    Dans ces propos, nul appel à la haine, mais un simple constat. Marine Le Pen n’a pas dit que la présence de musulmans sur le territoire national constituait une occupation ; elle a simplement indiqué que les prières de rue sont des manifestations de puissance intolérables, et peuvent être comparées à une occupation. Ce n’est pas la même chose. Elle n’a pas jeté l’opprobre sur les musulmans dans leur ensemble mais a pointé du doigt quelques imams, et pratiquants, qui utilisent l’espace public pour faire la promotion de leur religion. Cela serait valable pour des catholiques, des juifs ou des bouddhistes surpris dans la même posture.

    Marine Le Pen avait raison et fut suivie par le législateur un peu plus d’un an après. En effet, des citoyens ne partageant pas la foi des fidèles priant dans la rue étaient empêchés de circuler librement dans la rue. Cela était, et reste, intolérable. On peut d’ailleurs regretter que la loi du 16 septembre 2011 ne soit pas mieux appliquée, les prières de rue existent toujours dans de nombreux quartiers en France, gênant de nombreux habitants.

    Le procès fait à Marine Le Pen est donc purement politique, comme celui, tout aussi ridicule, qui est fait en ce moment à Julien Sanchez, maire de Beaucaire. Des associations communautaires font un lobbying insensé auprès du pouvoir, Christiane Taubira en tête, pour salir et discréditer le Front national à l’approche des élections régionales. Les champions autoproclamés de la liberté d’expression ne se lèveront pas pour défendre Marine Le Pen, comme ils l’ont fait pour le rappeur Médine qui, dans une chanson, avait appelé à « crucifier des laïcards ». Il est plus facile de s’abriter derrière des slogans creux sur le « vivre ensemble » que de se lever contre le fondamentalisme islamiste.

    source :Boulevard Voltaire ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuVuEZVVZnDJENSTk.shtml

  • « Voter Sarkozy lorsqu’on est de droite, c’est accepter d’être cocu ! »

    Entretien filmé avec Pierre Gentillet, président démissionnaire des Jeunes de la droite populaire par Charlotte d’Ornellas.

    Pierre Gentillet nous explique pourquoi il quitte Les Républicains, un parti sans idées qui ne défend pas les valeurs de droite.


    http://www.bvoltaire.fr/pierregentillet/voter-sarkozy-lorsquon-de-droite-cest-accepter-detre-cocu,213540

  • Viol raciste d’Évry : cela s’appelle l’horreur

     (Présent 8465)

    Lundi, s’est ouvert devant la cour d’assises des mineurs de l’Essonne le procès d’un « jeune » d’origine turque pour « viols en récidive, actes de torture et de barbarie ». L’histoire d’une agression monstrueuse, insoutenable, directement inspirée par des mœurs d’importation, mais dont la justice aura délibérément et honteusement atténué la gravité en refusant de retenir sa dimension raciste.
    8465 P1Mœurs d’importation
    Les faits remontent à la nuit du 30 mars 2014, lorsqu’une jeune femme de 18 ans, de retour d’une soirée passée à Paris, est brutalement accostée par quatre « jeunes » encapuchonnés et armés en sortant de la gare RER d’Evry-Courcouronnes. L’accusé exige d’abord qu’elle lui remette son téléphone portable, puis commence à la fouiller et à s’emparer de ses bijoux. Très vite, la bande l’entraîne derrière un talus, la déshabille tout en la frappant, et la viole. Dérangés par un passant, ils l’emmènent alors dans le parc des Coquibus, où l’accusé abuse à nouveau d’elle tandis que les trois autres la frappent à coups de bâton. Près de deux heures durant, ses tortionnaires s’acharneront sur elle, la violant à plusieurs reprises, la torturant, et l’humiliant, notamment en lui urinant et en lui déféquant dessus, avant de l’abandonner en la menaçant de mort si elle les dénonce.

    Racisme antifrançais
    Grâce à son témoignage et aux bandes de vidéosurveillance de la gare, les policiers interpelleront rapidement ses bourreaux : quatre « jeunes » âgés de 13 à 17 ans, dont trois frères d’origine turque. L’aîné, jugé depuis lundi, est un multirécidiviste bien connu de la police. Condamné à 4 ans de prison, dont 2 avec sursis, pour le viol d’un garçon de 13 ans en mai 2012, la justice l’a libéré dès septembre 2013, lui permettant ainsi d’infliger le martyre à cette jeune femme.

    Durant leur garde à vue, tous les quatre invoqueront des motivations racistes. Le plus âgé lançant notamment aux policiers qui l’auditionnaient : « Quand je sortirai, je niquerai la France. » Un autre avouant de son côté avoir demandé ses origines à la victime, tandis qu’un troisième confiait s’en être pris à elle « parce qu’elle était française et qu’il n’aime pas les Françaises ». Pourtant, les autorités policières et judiciaires tairont cette information. Plus fort encore : dans leurs qualifications, les juges ne devaient pas retenir la dimension raciste de ce crime !

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/

  • Emeutes, scènes de guerilla urbaine et soulèvements de Roms en Isère

    Il ne s'agit pas de scènes photographiées à Gaza ou en Syrie mais bien en France.

    2278623lpw-2278684-article-jpg_3117227_660x281"Voies SNCF coupées, voitures en feu, saccages : des dizaines de gens du voyage se sont soulevés mardi soir à Moirans (Isère) pour demander la sortie de prison de l'un d'entre eux pour assister à des obsèques, a-t-on appris de sources concordantes. « Une centaine de personnes avec des barres en fer bloquent la gare. Autour, il y a eu de lourds saccages, notamment le restaurant attenant à la gare. Sur les voies SNCF, ils ont fait brûler des voitures"(source)

    "Dans la nuit de vendredi à samedi, trois jeunes tziganes gantés et cagoulés, dont certains mineurs, sont morts en rentrant d'un cambriolage à Saint-Joseph-de-Rivière (Isère) dans une collision contre un arbre à bord d'une voiture qu'ils venaient de voler. Un quatrième occupant a survécu" (source)

    N-MOIRANS-large570En lien avec ces incidents, une mutinerie a par ailleurs éclaté au centre de détention d'Aiton(Savoie) (...) "Les détenus du centre de détention ont refusé de réintégrer leurs cellules après la promenade, précise le DauphinéIls ont bloqué les serrures des portes et ont mis le feu à tout ce qu’ils ont trouvé : journaux, chaises, tables, matelas"." (source)

    Mais que fait Manuel Valls pour rétablir le "vivre ensemble" républicain ? Il va peut-être les menacer de porter les bracelets électroniques de Christiane Taubira...

    Philippe Carhon

  • La dictature en marche

    Depuis quelque temps, le totalitarisme rampant, que nous étions nombreux à observer se glissant sournoisement dans notre législation, dans nos institutions éducatives, sociales culturelles, semble redresser la tête et imposer avec les formidables outils du pouvoir absolu dévolu à une oligarchie anonyme, mais se cachant derrière les marionnettes politiques, son dictat sans plus de précautions ni vergogne.

    On connaît l’emprise de plus en plus contraignante de la commission Européenne sur les modes de décisions budgétaires des états évoquée par François Marcilhac dans l’éditorial de l’AF 2000, ce qui retire une fois de plus au peuple une grande partie de ses droits de contrôle du politique.

    Sur un autre plan, on a vu récemment l’intrusion intempestive d’officiers de police dans nos locaux , la mise en garde à vue arbitraire de nos militants, la poursuite d’autres camarades devant les tribunaux pour avoir protester contre le pseudo théâtre de Castellucci.

    Les tracasseries policières sont notre lot quotidien et, contre mauvaise fortune, nous nous habituons avec plus ou moins bon cœur à cet état de fait.

    Mais ces derniers temps, des signes de plus en plus visibles de la montée de la dictature se manifestent tous les jours.

    Je voudrais évoquer un exemple récent particulièrement significatif, avec d’autant plus de recul que le mouvement dont il est question est relativement éloigné, en bonne partie du moins, de nos options politiques d’Action française.

    Cela se passe à Angers avec les militants du bloc identitaire qui ont eu l’outrecuidance de troubler une réunion municipale, comme le font régulièrement la CGT et autres écolos à tous propos.

    Là, il s’agissait de protester contre le financement et le permis de construire d’une mosquée sur les hauteurs d’Angers, pas n’importe quelle mosquée, un immense complexe de 4 350 mètres carrés séparés par une place avec une salle pouvant accueillir 2 500 fidèles.

    Aucun propos raciste n’ayant été tenu pendant cette courte manifestation, qui n’a même pas interrompu le conseil municipal (socialiste) puisque elle eut lieu avant l’ouverture de celui-ci, aucune violence n’ayant pu être constatée par la police, la plainte déposée par la mairie d’Angers avec les motifs pénaux de « provocation à la haine raciale, injures raciales et entrave au déroulement des débats d’une collectivité territoriale » devaient faire psschit.

    Délit d’opinion

    Le dossier d’accusation étant vide, le procureur, sans complexes, plaida que les accusés « refusaient la France « muticulturelle » ou les religions et les ethnies cohabitent dans la paix et l’harmonie (comme en Inde par exemple ?).

    C’est à dire en gros, une opinion contre une autre, ce qui supposerait un débat, un affrontement d’idées, dans un pays respectueux des libertés.

    Dans cette affaire, un jeune père de famille risque de perdre son emploi dans la fonction publique et recevoir des sanctions pénales graves. Tout cela pour avoir exprimé avec ses camarades une opinion différente de celles professées par le pouvoir qui nous dénie, à nous les Français, la liberté de nous exprimer, voire de penser.

    Soutenir Benoît Couetoux , le responsable du bloc Identitaire d’Angers, menacé par la répression du système, jusqu’à l’obtention du non lieu, est un devoir au non de la liberté inscrite sur tous les frontispices de nos monuments nationaux, pour faire reculer la dictature dans ce pays.

    L’Action française est solidaire par principe de tous les militants politiques, quelles que soient leurs appartenances idéologiques, dès lors qu’ils sont victimes du totalitarisme d’Etat.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action Française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-dictature-en-marche

  • Le Parti socialiste : c’est le flop, pas le top

    Le Parti socialiste actuel n’est guère crédible. Pas étonnant que le « peuple de gauche » le déserte de plus en plus.

    Quand on est empêtré dans ses contradictions, paralysé par son impuissance, confronté à une opinion publique très majoritairement défavorable, on n’a plus d’autre moyen, pour essayer de donner le change, que de proclamer envers et contre tout qu’on détient les clés de l’avenir et désigner un bouc émissaire : le Front national, qu’il faut à tout prix empêcher de remporter une région. En tout cas, le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, est un homme heureux : « C’est un succès, c’est le top, pas le flop ! » s’est-il exclamé, en annonçant le résultat de son référendum.

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  • Philippot sur le référendum du PS: «Spiderman et la fée clochette ont voté»

     

    Florian Philippot a qualifié hier le référendum du PS de « machin » « pas sérieux », expliquant que tout le monde pouvait voter quinze fois. « Spiderman a voté […] Lady Gaga, les Pokémon ont voté. La fée Clochette a aussi voté, je crois! » a-t-il ironisé. Jugeant qu’il s’agissait « d’une petite tambouille qui n’intéresse absolument personne », il a appelé le pouvoir à organiser des référendums sur les « grands sujets qui intéressent les Français ».

    http://fr.novopress.info/

  • Mettre en doute le réchauffement climatique, bientôt interdit et puni ?

    A quelques semaines de la Cop 21, l’affaire Philippe Verdier fait grand bruit. Voici le monsieur météo de France 2 au milieu de la tourmente pour avoir signé un livre intituléClimat investigation qui lui vaut d’être accusé d’un crime grave aux yeux de la police de la pensée : être « climato-sceptique ». La sanction fut immédiate : le voilà écarté de l’antenne !

    Et tous les médias mainstream de sonner l’hallali. Philippe Verdier utiliserait… « la rhétorique complotiste », le modèle « conspirationniste ». Bref, il est devenu un paria à éliminer. « C’est possible que ce soit l’Elysée qui soit intervenu dans cette affaire. Quand quelqu’un se met au travers de la route de la COP21, ça gêne l’Elysée », a répliqué Philippe Verdier.

    Ceci n’est-il qu’un avant-goût d’un nouvel interdit en préparation ?

    Dans une atmosphère quasi-secrète, une conférence internationale réunissant des juges s’est tenue dans la plus haute salle d’audience en Grande-Bretagne, afin de proposer de rendre illégal pour quiconque de remettre en cause les preuves scientifiques du réchauffement climatique d’origine humaine.

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