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magouille et compagnie - Page 1990

  • Exprimez votre refus total de la modulation des allocations familiales !

    Les 4 Vérités mettent en ligne une pétition adressée aux députés, pour s'opposer à la modulation des allocations familiales :

    "Madame, Monsieur le Député,

    Je tiens à vous exprimer mon refus total de la modulation des allocations familiales. Le principe même de la politique familiale française exige qu’on ne la confonde pas avec la politique sociale. Les allocations familiales n’ont qu’un but : permettre à chaque ménage, quel que soit son niveau de revenus, d’accueillir un enfant sans perdre de pouvoir d’achat.
    Il est évident que, si l’on touche au principe d’universalité des allocations familiales, c’est l’ensemble de la politique familiale que l’on renverse.
    Et c’est bien cela que les socialistes ont voulu faire. La famille résiste, en effet, un peu trop à leur goût à leurs visées collectivistes.
    La meilleure preuve que c’est la famille qui est visée comme telle, c’est que les socialistes se sont bien gardés de toucher à une inégalité beaucoup plus criante et beaucoup plus coûteuse.
    En effet, que les fonctionnaires perçoivent un supplément familial de traitement. Ce supplément aux allocations familiales – réservé aux salariés du public, « clientèle » électorale principale du Parti socialiste – est, quant à lui, « modulé » en fonction du salaire : plus un fonctionnaire gagne un salaire élevé, plus son SFT est élevé. C’est-à-dire l’exact inverse de la logique prétendument égalitaire de la modulation des allocations familiales en fonction du revenu. Ajoutons que ce SFT coûte quelque 2 milliards d’euros, à comparer aux 800 millions d’« économies » qu’est censée permettre la fameuse modulation. 
    Nous savons que ce gouvernement est profondément hostile à la famille et, avec  cette nouvelle attaque contre les allocations familiales, il le prouve une fois de plus.
    Nous ne sommes pas dupes.
    C’est pourquoi nous vous prions, Madame, Monsieur le Député, de vous opposer fermement à cette mesure inique."

    Pour signer, c'est ici.

    Marie Bethanie

  • Le "plug anal" de McCarthy place Vendôme : un accident industriel ?

    Et si l’installation de Paul McCarthy avait été la "provocation" de trop, celle risquant de mettre à nu les ressorts du système économique de l’art contemporain : une coterie de riches, de critiques et de fonctionnaires de la Culture s’accaparant l’espace public pour décréter "œuvres" des signes qui servent de plus en plus la rente financière et sa défiscalisation massive ?

    Que se passe-t-il ? Si le sabotage du « plug anal » géant de Paul MacCarthy - lui-même géant de la création contemporaine - érigé place Vendôme pour l’ouverture de la Foire internationale d’art contemporain (Fiac) a produit l’habituel concert de basse-cour des coucous suisses piaillant par réflexe « Réacs ! Réacs ! Réacs ! », de grandes voix ont significativement divergé. A commencer par celle de l’un des commissaires politiques les plus écoutés du marché de l’art contemporain, le critique Philippe Dagen. Cette fois-ci, au lieu de hurler avec les idiots utiles de l’avant-gardisme chic et de la provocation toc, il a condamné dans sa chronique du Monde une opération relevant selon lui du « vulgaire » et de la « trivialité » : « Il y a mieux à faire que gonfler un phallus couleur sapin dans les beaux quartiers de Paris ».

    La surprenante mise en garde de Philippe Dagen est en fait un signal d’alarme lancé à un monde dont lui-même fait partie : la bulle spéculative de l’art contemporain qui s’emballe depuis quelques années. Il prévient qu’elle pourrait exploser et le pot aux roses être découvert à cause d’erreurs comme celle qui a fait « pschitt ! » place Vendôme. Les komsomols à front bas de l’art contemporain se réjouissent du scandale McCarthy - selon eux une réussite totale : l’artiste est un héros d’avoir été agressé physiquement par un dangereux crétin et sa baudruche est grandie d’avoir été dégonflée. Mais Philippe Dagen, lui, a compris autre chose. Et il sermonne le Comité Vendôme (qui réunit les enseignes de luxe de la célèbre place), les organisateurs de la Fiac et la Mairie de Paris pour avoir mis en scène cet « enculoir » (selon la traduction de Delfeil de Ton dans L’Obs) rebaptisé « Tree » pour les petits enfants et les grands journalistes faux-culs. Attention, leur fait comprendre la vigie culturelle du Monde, le choix de ce spécialiste des « provocations pornographiques et scatologiques » risque de mettre à nu les ressorts du système économique de l’art contemporain : une coterie de riches, de critiques et de fonctionnaires de la Culture s’accaparant l’espace public pour décréter « œuvres » des signes qui servent de plus en plus la rente financière et sa défiscalisation massive. Un secteur en plein essor.

    L’art dit contemporain suscite en effet aujourd’hui plus de commentaires dans les pages « Finances » et « Argent » des journaux que dans la rubrique « Culture ». Le Monde Eco Entreprise nous apprend que « 76% des collectionneurs l’achètent pour faire un investissement » : pour les très riches à la recherche de bons placements, « l’art est aujourd’hui le plus porteur. Selon Artprice, son indice a augmenté depuis 2012 de 12 % quand celui de l’or baissait de 49 % et les prix immobiliers de 3 % ». Ce marché, qui a augmenté de 40 % en un an et de 1 000 % sur dix ans, vient d’être rassuré par le gouvernement anti-passéiste de Manuel Valls qui assomme les retraités et les familles mais a maintenu pour les riches l’exonération des œuvres d’art de l’impôt sur la fortune.[....]

    La suite sur Marianne

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-plug-anal-de-McCarthy-place

  • Michel Vauzelle "épinglé" par la Chambre régionale des comptes

    Lu ici, le détail des abus de Michel Vauzelle :

    "Mercredi dernier, Le Canard enchaîné publiait des extraits du  rapport que doit rendre la Chambre régionales des comptes le 25 octobre prochain. Et il n’est pas tendre pour Michel Vauzelle, président du conseil régional de la région Paca.[...]

    Selon l’hebdomadaire satirique, le rapport indique que Michel Vauzelle aurait régulièrement usé de services héliportés. Ces déplacements ont un coût substantiel : 200 000 euros auraient ainsi été puisés entre 2006 et 2009 dans les caisses de la région.

    De plus, l’ancien chauffeur de l’élu  aurait été promu successivement "chargé de mission assurant la coordination entre les élus et les services administratifs" puis "collaborateur de cabinet". Un cumul "abusif" selon la Chambre régionale des comptes .

    [...] On apprend aussi, toujours dans Le Canard enchaîné, que la région a attribué à Arles, ancienne ville de Michel Vauzelle, près de 4,8 millions d'euros en 2010 à près de 150 associations municipales. Une situation "atypique" selon la Chambre.[...]

    Marie Bethanie

  • Le plan secret de la SNCF pour le TGV

    Une information d'Economie matin :

    "La SNCF n'a pas attendu la Cour des Comptes pour savoir que le TGV n'était plus la machine à cash d'hier, et qu'il fallait réagir (lireTGV : Très grande vitesse mais très petite rentabilité). Dans un document confidentiel interne daté du 23 octobre 2014 que la rédaction d'EconomieMatin.fr a pu consulter, la direction envisage de prendre des mesures drastiques pour tenter de restaurer, au moins partiellement, la rentabilité du TGV. Au risque de se mettre à dos une bonne partie des voyageurs.

    La marge opérationnelle de l'activité TGV s'est effondrée à 12 % en 2013, quand elle culminait encore à 28 % 2008 ? Qu'à cela ne tienne : la solution proposée par les équipes du marketing de la SNCF,  dans un document daté du 23 octobre 2014, soit le jour même où la Cour des Comptes rendait publique son rapport, est tout ce qu'il y a de plus basique : augmenter les tarifs, mais aussi imposer un "durcissement des conditions d'échange / remboursement pour la clientèle loisir"."

    [Lire la suite ici

    Marie Bethanie

  • Éric de Montgolfier : la désillusion d'un juge

    L'ancien procureur de la République, jeune retraité d'une longue carrière dans la magistrature, dénonce l'arrogance des élites dans son nouveau livre.

    Tous les juges ne sont pas des petits pois. Esprit libre pour certains, donneur de leçons pour d'autres, Éric de Montgolfier ne cherche en tout cas pas à être aimé. Celui qui s'est fait connaître en dénonçant le pouvoir de la franc-maçonnerie s'attaque maintenant à l'arrogance des élites. L'ancien procureur de la République est à la retraite depuis juin 2013. Il raconte les coulisses d'une longue carrière dans un ouvrage au nom qui claque comme une gifle : Une morale pour les aigles, une autre pour les pigeons*. Entretien.

    Le Point.fr : Dans votre livre, vous vous demandez s'il n'y a véritablement rien à espérer des hommes lorsque leurs intérêts sont en cause. Avez-vous trouvé la réponse ?

    Éric de Montgolfier : Je crois que les appétits parlent toujours plus fort que les consciences. Il y a statistiquement peu de personnes prêtes à sacrifier quelque chose qui les avantage. Par exemple, on ne peut pas demander à un ministre membre d'un parti de mettre quelqu'un de son parti en difficulté. La principale qualité de la justice, c'est son humanité. C'est aussi ce qui fait son imperfection. Elle est piégée entre sa nature humaine et la volonté des politiques qui cherchent à en faire un outil servile. La neutralité n'est réclamée que lorsqu'il s'agit d'adversaire. Un jour que je donnais une conférence publique à Saint-Raphaël, je suis accueilli chaleureusement par un des adjoints au maire. Je monte à la tribune et fais mon intervention dans laquelle je dis ce que je pense des élus. En redescendant de l'estrade, le type me dit : "Dites donc, vous n'êtes pas tenu à une obligation de réserve ?" Amusant, non ? À la vérité, j'ai servi la justice pendant quarante ans, et accomplir mon devoir n'a pas soulagé ma conscience. J'aurais aimé quitter l'institution une fois qu'elle serait devenue ce que je rêvais de voir. Hélas, après quarante ans de carrière, je ne suis pas parvenu à avoir une image de l'homme plus valorisante... La justice, je ne l'aime pas pour ce qu'ils en ont fait, mais pour ce que je voudrais qu'elle soit.

    Comment expliquez-vous l'inflation de condamnations d'élus ?

    Longtemps, l'impunité a favorisé la corruption des élus et, maintenant, se faire condamner est devenu un label, que les juges distribuent à tour de bras. Dans les années soixante-dix, il y a eu une volonté de rééquilibrer la justice. Jusqu'ici, ceux qui détenaient le pouvoir étaient libres de leurs mouvements. Historiquement, ils avaient pris de mauvaises habitudes. Fouquet a été puni par où il avait péché. Regardez Richelieu, Mazarin et Jacques Coeur... Nous sommes un pays qui est resté très latin, dans lequel la corruption est un phénomène naturel. Il y en a beaucoup moins qu'il ne pourrait y en avoir. Il existe pourtant le fameux article 40 du code de procédure pénale qui dispose que "toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs".

    Or, le problème des procureurs est précisément que l'information ne leur parvient pas. Bien sûr, nous avons parfois des courriers anonymes, ce qui n'est pas toujours reluisant. Mais c'est comme ça que j'ai découvert un jour que des fonctionnaires de la PAF (Police aux frontières, NDLR) faisaient passer des immigrés clandestins directement dans une machine à rayon X pour les bagages. Lorsque j'en ai parlé aux services de l'État concernés, j'ai découvert qu'on "n'avait pas cru utile" de me déranger pour ça. La justice est sous-informée et les préfets manquent à leurs obligations en conservant des informations dont on pourrait avoir l'utilité, sur des prises illégales d'intérêt par exemple. Il me vient une autre anecdote qui illustre bien le débat moral qui peut freiner l'information : dans les années quatre-vingt-dix, Toyota s'installe à Valencienne, zone sinistrée par le chômage. L'entreprise japonaise achète un terrain et, lors des premiers travaux, on retrouve des vestiges. Cela aurait normalement dû déclencher des recherches archéologiques qui auraient retardé le chantier. Si on me le disait, cela retardait, voire compromettait, la construction de l'usine, et remettait en cause le retour de l'emploi de centaines de personnes... Je l'ai su plus tard par des canaux moins officiels !

    Pourquoi avez-vous fait ce choix - étrange - de juger ?

    J'avais un père chef d'entreprise qui me racontait des affaires de corruption avec une grande décontraction. Il présidait un comité interprofessionnel du logement et dépendait à ce titre des permis de construire délivrés à l'époque par la DDE. Je me souviens qu'un jour, il avait appelé le directeur. Lorsque mon père lui a demandé s'il partait en vacances, le directeur avait répondu : "C'est impossible, au prix où sont les pneus." Mon père lui avait tout simplement fait porter un train de pneus. J'étais adolescent, cela m'avait secoué.

    Selon vous, les élites vivent déconnectées de la réalité ?

    Une bonne partie, oui. Lorsque j'étais en poste à Chambéry, un soir, le représentant de la chambre départementale des huissiers de justice m'appelle et m'explique que l'un de ses confrères a été mis en joue par un fermier alors qu'il venait pour saisir sa dernière vache. Je vais donc sur place et, en arrivant, je vois une Porsche. Je demande à qui elle appartient et on me répond que c'est celle de l'huissier ! Si ça, ce n'est pas un signe de l'arrogance du pouvoir... À Nice, cela m'a toujours frappé, on ne se cache pas. Il y a un restaurant qui jouit d'une grâce extraordinaire : sa terrasse, c'est le trottoir, à tel point que c'est la chaussée qui est devenue piétonne. Cela n'est pas normal. Peut-être que comme Sarkozy et beaucoup d'élus y viennent, le restaurateur s'est senti protégé ? Cela me choque. Tout ce qui est inégalité arrogante est une attaque contre la justice. Et elle nous met mal à l'aise, nous, les juges. Il faudrait que l'on apprenne la déontologie à l'école de la magistrature. Dans Le palais indiscret, Jean-Paul Lacroix raconte cette petite anecdote : le tribunal doit juger une voyante. L'oeil goguenard, le président l'interroge : "Puisque vous lisez l'avenir, dites-moi à quoi le tribunal va vous condamner." Elle répondit : "Le tribunal va me relaxer, car je ne connais pas un magistrat digne de se moquer de celui qu'il va condamner." La liberté de parole du magistrat ne doit pas le dispenser d'exemplarité.

    Qu'est-ce qu'un intouchable ?

    Il y en a beaucoup, du moins le croient-ils. J'ai reçu un courrier d'un parlementaire, ancien magistrat, qui m'écrivait pour "interpeller mon attention" sur la situation d'une de ses connaissances qui s'était rendue coupable de je ne sais quelle infraction... Il attendait que je classe l'affaire. Je lui ai fait une autre faveur : j'ai accéléré la procédure pour la faire comparaître plus vite devant le tribunal ! Autre exemple, je vois un jour arriver dans mon bureau un gros entrepreneur du coin. Il me dit "je sais que vous admirez beaucoup ma maison qui a une vue imprenable", ce que je confirme. Il poursuit : "Il faudra que je vous invite à dîner avec votre épouse." Puis il en arrive au véritable motif de sa visite : il s'était fait arrêter pour excès de vitesse et venait me "demander conseil". Je lui ai donc conseillé de payer son amende, par chèque. Croyez-moi, j'attends toujours mon invitation à dîner !

    Il m'est aussi arrivé d'avoir des amendes. Un jour, je m'étais garé sur une place réservée aux handicapés, je n'avais pas vu la signalisation. J'ai commencé à discuter avec l'agent. Le fonctionnaire me répond : "Adressez-vous au procureur." Il se trouve que j'étais le procureur. Eh bien, j'ai payé mon amende, comme la loi me le demandait.

    Que faut-il changer ?

    Je pense qu'il faut renoncer au modèle d'école de la magistrature. Il a vécu. L'égalité du concours est fictive : la plupart de ceux qui le réussissent sont passés par une prépa payante. Il faudrait aussi un Conseil supérieur de la magistrature (CSM) rénové et doté de moyens réels. Ceux que j'appelle "les soutiers de la magistrature" sont bien peu représentés, alors que les corps d'élite sont, eux, surreprésentés. Par ailleurs, au nom de quoi le président de l'Assemblée nationale, celui du Sénat, ainsi que le bâtonnier peuvent-ils nommer des personnalités ? Il y a peu de respect pour cette trilogie chère à Montesquieu, qui pourtant a plus de sens que jamais. La démocratie ne peut être efficace qu'avec fermeté. La justice ne pourra pas continuer comme cela.

    Retrouvez les chroniques d'Éric de Montgolfier sur Le Point.fr

    * Une morale pour les aigles, une autre pour les pigeons, par Éric de Montgolfier, paru chez Michel Lafon, 296 pages, 19 euros.

  • Le Grand Orient de France veut lutter contre l’« antimaçonnisme »

    Samedi soir, le Grand Orient de France (GODF) lançait à Lille une campagne publique contre« la dangereuse résurgence de l’antimaçonnisme » qui se déclinera en conférences tenues dans huit villes françaises.

    Le Grande Maître du GODF, Daniel Keller a été très clair : « l’antimaçonnisme est aujourd’hui avec l’antisémitisme et l’homophobie l’un des trois symptômes de la crise de la République » avant d’expliquer les motivations de cette campagne :« nous avons décidé de prendre l’antimaçonnisme à bras le corps, d’abord pour le démystifier et puis pour montrer en quoi il était une menace pour les fondements de la République »… Selon le troisième intervenant de cette première conférence tenue à Lille, le journaliste Jiri Pragman, « 2014 n’est certes pas 1934 ou 1940, mais il y a une résurgence de l’antimaçonnisme », venant des milieux catholiques hostiles au mariage pour tous, des évangélistes, des musulmans et plus généralement d’internet et des réseaux sociaux »

     Que veulent-ils dire ? Que l’ « antimaçonnisme » va devenir un délit, comme le sont devenus l’antisémitisme ou l’homophobie, trop souvent vus là où ils n’existent pas ? Qu’il va bientôt devenir impossible de clamer ouvertement son opposition à la Franc-maçonnerie ? Qu’une chasse va être ouverte pour protéger la franc-maçonnerie et la République ?

     

    Il devient de plus en plus clair que cette « république » qu’ils invoquent sans cesse pour bâillonner toute opposition est une véritable menace pour la liberté des Français. Et puisque le Grand Maître du GODF affirme lui-même que la franc-maçonnerie en est un fondement, nous continuerons à nous opposer à ces minorités totalitaires qui tentent par tous les moyens d’imposer leur culture de mort.

    Rappelons en effet que Daniel Keller se prononçait il y a quelques jours en faveur de l’euthanasie et qu’il était reçu le 8 octobre dernier à l’Assemblée Nationale pour donner son avis sur le sujet… En quel honneur ? La question reste sans réponse… Mais il est certain en revanche que les Francs-Maçons ont toujours soutenu tous les maux imposés à la France depuis des décennies…

    PS : l’organisation Renouveau français a sorti récemment cet autocollant percutant, que l’on peut commander en ligne ici ou ici :

  • Le président de la commission des Finances de l’Assemblée en délicatesse avec le fisc

    L’UMP Gilles Carrez ne s’acquitte plus de l’impôt sur la fortune depuis 2011. L’administration, explique Mediapart, pense qu’il aurait dû continuer. Le parlementaire plaide la bonne foi.

    C’est une prise de choix pour les services fiscaux. Le président de la commission des Finances de l’Assemblée nationale, le député UMP Gilles Carrez, est convoqué dans une dizaine de jours en vue d’un probable redressement fiscal, révèle samedi Mediapart.

    Le Canard enchaîné avait expliqué cette semaine qu’une une soixantaine de députés et de sénateurs sont dans le collimateur de l’administration fiscale pour des situations allant du simple retard à la fraude. Une liste qui est le résultat d’une meilleure surveillance de la situation fiscale des parlementaires : depuis la mise en place de la Haute autorité de transparence de la vie publique. Lancée dans la foulée de l’affaire Cahuzac, celle-ci peut collecter et recouper des informations sur le patrimoine et les revenus des 925 députés et sénateurs.

    Un abattement trop vite utilisé

    En France, est imposable à l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) tout contribuable dont le patrimoine taxable est supérieur à 1,3 millions d’euros. Comme pour l’impôt sur le revenu, c’est au contribuable de faire sa déclaration. Gilles Carrez payait cet impôt jusqu’en 2011, avant de bénéficier du relèvement du seuil d’entrée. Depuis cette date, la résidence du président de la commission des Finances est, semble-t-il, à l’origine d’une erreur de calcul. Situé au Perreux-sur-Marne, ville dont Gilles Carrez est maire, le pavillon est détenu par le couple au travers d’une SCI (Société civile immobilière). Pour déterminer s’il était redevable de l’ISF, le député a retranché 30% à la valeur de sa maison, car elle est sa résidence principale. |....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-president-de-la-commission-des

  • Euthanasie : le prix à payer pour la survie de la majorité ?

    En échange de son soutien au gouvernement, le PRG aurait obtenu de Manuel Valls l’assurance qu’un texte sur la fin de vie serait déposé au parlement. Damien Le Guay s’indigne d’un tel « marchandage » sur une question aussi fondamentale.

    Est-il possible d’imaginer que le sort des 550 000 personnes qui, chaque année, en France, sont en fin de vie, soit suspendu à des tractations politiciennes entre le Premier ministre et « l’illustre » M Baylet -furieux de n’avoir pas retrouvé son siège de sénateur ? Non. Peux-on concevoir que la question de l’euthanasie soit mise dans la balance pour que les radicaux de gauche « daignent » rester au gouvernement ? Non plus. Est-il pensable que certains puissent vouloir forcer le travail de la commission Léonetti-Claeys, mise en place en juin, pour aller au-delà des conclusions qu’elle devait rendre en décembre ? Encore moins. Non. Tout cela est impensable. Mais qui peut le dire ! Sait-on jamais !

    Le Premier ministre, le 16 octobre, à fait parvenir une longue lettre à Jean-Michel Baylet pour lui dire, entre autre, que sur « la fin de vie », « le gouvernement veut avancer sur cette question », qu’il « faudra aller au-delà » de la loi Léonetti, qu’il y « aura une loi » bientôt pour « aboutir à une nouvelle étape ». Pourquoi tant de sous-entendus quand on sait que les radicaux de gauche sont fraternellement favorables à l’euthanasie et proche de l’ADMD ? S’agit-il de les réconforter pour mieux les décevoir, ou de les rassurer sans pour autant le dire ouvertement ? Est-ce à dire que l’euthanasie, qui n’est pas au programme de la commission Léonetti-Clayes, pourrait être réintroduite in fine ? Sommes-nous dans le petit jeu des palinodies politiciennes, des faux-semblants, des arrangements d’état-major politique ? On a du mal à le penser tant le Premier Ministre insiste sur l’idée d’une république exemplaire, d’un sérieux du politique, d’une démocratie à la recherche d’un consensus. Mais sait-on jamais ! [....]

    Damien Le Guay

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Euthanasie-le-prix-a-payer-pour-la

  • Nous n'intéressons pas NVB

    NVB persiste, signe, nie une fois de plus que la théorie du genre n'existe pas, avoue que "les détracteurs des ABCD de l'égalité ne l'intéressent pas", et prend vraiment les Français pour des imbéciles.

     

    Marie Bethanie

  • Les faux nez de l’écologie

    Selon la Tribune de Genève, « les dirigeants européens ont trouvé ce vendredi 24 octobre un accord ambitieux sur le climat, prévoyant notamment une réduction d’au moins 40 % des émissions de gaz à effet de serre. Le plan doit mettre l’Europe en position de leader mondial dans la lutte contre le réchauffement de la planète. » Nous voilà bien contents.

    Cela fait plus de vingt ans qu’on nous parle sans cesse de réchauffement climatique, de gaz à effet de serre, de réduction des émissions de CO2, de transition énergétique et d’énergies renouvelables. Le tout sous-tendu par un propos très officiel et très noble : l’atmosphère se réchauffe, cela aura des conséquences sérieuses sur la planète tout entière, et la cause de ce réchauffement réside dans l’activité humaine.

    Soit. Nul ne souhaite que les populations du tiers monde, déjà bien fragilisées, subissent comme une nouvelle plaie d’Égypte pluies diluviennes et destruction de leurs terres arables.

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