
La semaine a vu se produire de nouvelles attaques dans la guerre que mène l’establishment contre CNews. Les victimes ? Que des femmes. Et ça, vous n’avez pas aimé. Récapitulons.
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Violenté, déshabillé et laissé seul sur le bord de la route. Ce 19 février, au terme de la 25e journée de Ligue 2 au cours de laquelle les Girondins de Bordeaux affrontaient, à l’extérieur, l’équipe d’Amiens, un adolescent de 17 ans a été agressé par des supporters bordelais, membre des Ultramarines, dans le bus qui le ramenait chez lui. Selon plusieurs sources, le jeune homme aurait été contraint par deux supporters, âgés de 23 et 24 ans, de montrer son compte Instagram. Les deux Ultramarines auraient découvert qu’il suivait et soutenait Éric Zemmour et le Rassemblement national. Sur fond de « divergence d'idéologie politique », l’adolescent a alors été frappé, mis torse nu, humilié et débarqué au péage de Virsac sans ses affaires. Près d'une heure après les faits, sa mère a fini par le retrouver en localisant ses écouteurs sans fil. Le jeune garçon présentait plusieurs hématomes (trois jours d’ITT).

Je ne voulais pas revenir si vite sur leur propagande, mais un de leur petits soldats s’est distingué par son zèle. Ce document circule depuis un certain temps sur internet, après avoir pris le temps d’y répondre, faire circuler la réfutation est faire œuvre de salubrité publique :
Première question : Demandez qui a payé pour établir ce document ? Probablement, une des officines de public relations US depuis le début, cette guerre est menée comme une opération de propagande et non comme un conflit sérieux. Comme si les opérations allaient se décider en fonction des sondages d’opinion en Occident.

Géraldine Woessner est rédactrice en chef au Point. Environnement, transitions, des restes d’éco et de politique, ex-correspondante aux US. .

24/02/24
Les policiers ont interpellé un homme qui était en train d’imposer une fellation à une jeune femme ivre et à peine consciente, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Il a été placé en garde à vue et la victime a été transportée à l’hôpital.

À n’en pas douter, l’expression « métiers en tension » restera comme l’une des plus marquantes de l’année politique 2023 en France.
Mais, et nos fidèles lecteurs le savent mieux que quiconque, cette notion de « métiers en tension » est très souvent liée à un l’autre phénomène ayant lui aussi le vent en poupe ces derniers temps : l’immigration économique.
Mercredi 21 février, à quelques jours de l’ouverture du Salon de l’agriculture, le Premier ministre Gabriel Attal tenait une conférence de presse visant à détailler les « principales orientations » d’un nouveau projet de loi agricole. Un projet dans lequel il compte inscrire « l’objectif de souveraineté » alimentaire français, et exposer « le suivi et l’exécution » des mesures gouvernementales présentées le 1er février dernier.

La députée conservatrice de 43 ans Suella Braverman a affirmé avoir été limogée par le Premier ministre britannique Rishi Sunak de son poste de Ministre de l’Intérieur pour s’être prononcée contre « l’apaisement des islamistes ».
L’ancienne ministre britannique de l’Intérieur, Suella Braverman, a affirmé que le Royaume-Uni perdait son identité de grande nation où différentes confessions et races coexistaient pacifiquement parce que les islamistes et les extrémistes prenaient le pouvoir dans tous les domaines.
Bernard Germain
Ce matin le salon de l’agriculture devait ouvrir, mais l’ouverture en a été retardée. En effet, à l’intérieur dès l’arrivée du président de la république à 8 H 00, des heurts ont commencé à opposer agriculteurs et forces de l’ordre.
C’est la première fois qu’une telle situation existe avec de sérieux affrontements physiques, tellement les agriculteurs sont exaspérés.
Le président de la république s’est réuni avec les organisations syndicales au deuxième étage du bâtiment et a donné une rapide conférence de presse dans le couloir. C’est dire le caractère électrique de la situation. À l’heure où je rédige ces lignes - 10 H 20 - il n’a toujours pas pu se promener dans le salon où il y a plus de policiers que d’exposants et d’animaux. Personne ne sait ou il se trouve à l’heure actuelle. En bas, un comité d’accueil l’attend…
À la seconde (10 H 30), le salon vient d’ouvrir ses portes au public mais pas le bâtiment 1 où se trouvent policiers, agriculteurs en colère et un président introuvable.
Du jamais vu !